AdWords, le programme publicitaire de Google, favorisera bientôt les annonceurs qui disposent de sites optimisés pour le mobile. Leurs réclames profiteront d'un score de qualité amélioré, leur permettant d'être mieux positionnée, à enchère équivalente.
Partant du principe que la navigation sur un site depuis un téléphone peut se révéler inconfortable si ses pages n'ont pas été adaptées en conséquence, Google a décidé d'encourager les annonceurs à accompagner la montée en puissance du Web mobile. Il vient en effet d'annoncer que la version mobile du programme publicitaire AdWords favorisera désormais les annonces qui renvoient vers des pages d'atterrissage correctement optimisées.
Au sein d'AdWords, les positions des annonceurs respectifs sur un même mot clé sont pour mémoire déterminées en fonction de plusieurs critères, condensés dans ce que Google appelle le Quality Score (score de qualité). Le fonctionnement exact de l'algorithme qui sert à déterminer ce score est un secret gardé, mais on sait que pour un coût par clic (CPC) équivalent, l'annonce qui possède le meilleur Quality Score apparaîtra avant les autres.
Désormais, le fait d'utiliser une page d'atterrissage optimisée pour un affichage sur téléphone entrera donc en ligne de compte dans le calcul de ce score pour ce qui est des annonces diffusées sur mobile. « Une récente étude, qui interrogeait les utilisateurs au sujet de la performance des sites mobiles, a conclu que 61% d'entre eux n'étaient pas enclins à revenir sur un site auquel ils ont du mal à accéder depuis leur téléphone », justifie David Nachum, chef de produit Mobile Ads chez Google. Encourager le développement de sites optimisés reviendrait donc à satisfaire l'internaute, et donc à améliorer l'efficacité générale du programme AdWords.
Reste à voir quels sont les prérequis de ce que Google appelle un site optimisé pour le mobile. Le moteur préconise par exemple de proposer une interface adaptée à la navigation depuis les écrans tactiles, d'accorder une place prépondérante au contenu, ou d'éviter de faire appel à des technologies non interopérables. Fin 2010, Google avait d'ailleurs déjà commencé à limiter, sur mobile, l'affichage des annonces AdWords pointant vers des pages d'atterrissage chargés de contenus Flash.
Le moteur ne manque pas de rappeler que selon une étude réalisée avec la Mobile Marketing Association en juin dernier, seuls 12% des entreprises en France disposent d'un site optimisé pour le mobile. En parallèle de cette annonce, Google a mis en ligne un nouveau site, « Jouez la carte mobile », invitant les annonceurs à réfléchir à l'optimisation de leurs campagnes.
Partant du principe que la navigation sur un site depuis un téléphone peut se révéler inconfortable si ses pages n'ont pas été adaptées en conséquence, Google a décidé d'encourager les annonceurs à accompagner la montée en puissance du Web mobile. Il vient en effet d'annoncer que la version mobile du programme publicitaire AdWords favorisera désormais les annonces qui renvoient vers des pages d'atterrissage correctement optimisées.
Au sein d'AdWords, les positions des annonceurs respectifs sur un même mot clé sont pour mémoire déterminées en fonction de plusieurs critères, condensés dans ce que Google appelle le Quality Score (score de qualité). Le fonctionnement exact de l'algorithme qui sert à déterminer ce score est un secret gardé, mais on sait que pour un coût par clic (CPC) équivalent, l'annonce qui possède le meilleur Quality Score apparaîtra avant les autres.
Désormais, le fait d'utiliser une page d'atterrissage optimisée pour un affichage sur téléphone entrera donc en ligne de compte dans le calcul de ce score pour ce qui est des annonces diffusées sur mobile. « Une récente étude, qui interrogeait les utilisateurs au sujet de la performance des sites mobiles, a conclu que 61% d'entre eux n'étaient pas enclins à revenir sur un site auquel ils ont du mal à accéder depuis leur téléphone », justifie David Nachum, chef de produit Mobile Ads chez Google. Encourager le développement de sites optimisés reviendrait donc à satisfaire l'internaute, et donc à améliorer l'efficacité générale du programme AdWords.
Reste à voir quels sont les prérequis de ce que Google appelle un site optimisé pour le mobile. Le moteur préconise par exemple de proposer une interface adaptée à la navigation depuis les écrans tactiles, d'accorder une place prépondérante au contenu, ou d'éviter de faire appel à des technologies non interopérables. Fin 2010, Google avait d'ailleurs déjà commencé à limiter, sur mobile, l'affichage des annonces AdWords pointant vers des pages d'atterrissage chargés de contenus Flash.
Le moteur ne manque pas de rappeler que selon une étude réalisée avec la Mobile Marketing Association en juin dernier, seuls 12% des entreprises en France disposent d'un site optimisé pour le mobile. En parallèle de cette annonce, Google a mis en ligne un nouveau site, « Jouez la carte mobile », invitant les annonceurs à réfléchir à l'optimisation de leurs campagnes.
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