La NASA vient de valider l'un de ses projets visant à exploiter un système de connexion laser entre ses stations terrestres et ses sondes spatiales. La vitesse de transfert théorique serait alors de 100 Mbps (12,5 Mo/s) et permettrait d'accélérer considérablement la communication entre la Terre et l'espace.
Actuellement, la NASA utilise des systèmes de radiofréquence (RF) pour communiquer avec ses sondes spatiales et autres satellites. A titre d'exemple, le transfert d'une photo en haute résolution sur Terre depuis les environs de Mars prend, avec ce système, près de 90 minutes : avec le système de haut débit laser actuellement en développement, il n'en faudrait plus que 5. Mais ce n'est pas le seul atout de cette technologie, qui accélérerait également la transmission d'ordre aux éventuels véhicules téléguidés déployés sur d'autres planètes.
Le développement d'un tel système s'avère aujourd'hui nécessaire à la NASA pour continuer l'évolution de la « conquête spatiale ». « Tout comme les internautes chez eux qui ont dépassé le dial-up, la NASA se rapproche de la limite de ce que son réseau de communication actuel peur gérer » a commenté Dave Israel, qui gère le projet.
Reste que ce système, actuellement nommé Laser Communications Relay Demonstration (LCRD) nécessite une lourde logistique à base, forcément, de lasers, mais aussi de satellites relais, de téléscopes, de miroirs, de systèmes de pointage et de suivis… Le projet sera testé durant deux à trois ans dans des stations basées en Californie du Sud et à Hawaii, et la Station spatiale internationale sera mise à contribution.
Le LCRD est l'un des trois projets dont la NASA a annoncé le financement le 23 septembre dernier : les deux autres concernent une horloge atomique installée dans l'espace, et une voile solaire.
Actuellement, la NASA utilise des systèmes de radiofréquence (RF) pour communiquer avec ses sondes spatiales et autres satellites. A titre d'exemple, le transfert d'une photo en haute résolution sur Terre depuis les environs de Mars prend, avec ce système, près de 90 minutes : avec le système de haut débit laser actuellement en développement, il n'en faudrait plus que 5. Mais ce n'est pas le seul atout de cette technologie, qui accélérerait également la transmission d'ordre aux éventuels véhicules téléguidés déployés sur d'autres planètes.
Le développement d'un tel système s'avère aujourd'hui nécessaire à la NASA pour continuer l'évolution de la « conquête spatiale ». « Tout comme les internautes chez eux qui ont dépassé le dial-up, la NASA se rapproche de la limite de ce que son réseau de communication actuel peur gérer » a commenté Dave Israel, qui gère le projet.
Reste que ce système, actuellement nommé Laser Communications Relay Demonstration (LCRD) nécessite une lourde logistique à base, forcément, de lasers, mais aussi de satellites relais, de téléscopes, de miroirs, de systèmes de pointage et de suivis… Le projet sera testé durant deux à trois ans dans des stations basées en Californie du Sud et à Hawaii, et la Station spatiale internationale sera mise à contribution.
Le LCRD est l'un des trois projets dont la NASA a annoncé le financement le 23 septembre dernier : les deux autres concernent une horloge atomique installée dans l'espace, et une voile solaire.
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