dimanche 23 décembre 2012

Kenshiro, le robot d’os et de muscles

A lire sur:  http://www.gizmodo.fr/2012/12/22/kenshiro-robot-os-muscles.html?utm_source=Newsletter+Gizmodo&utm_campaign=19e3e85615-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email


Kenshiro, le robot d'os et de musclesLe robot du jour s’appelle Kenshiro. Il ne grimpe pas aux vêtements, ne change pas de forme, n’est pas extraordinairement intelligent… Rien de tout cela… Il ressemble tout simplement comme deux gouttes d’eau à un humain. Du moins, en ce qui concerne son squelette…
Kenshiro possède l’étonnante propriété d’avoir un squelette, réplique quasiment à l’identique du nôtre, et des muscles plus vrais que nature. Conçu par Yuto Nakanishi et une équipe de chercheurs de l’Université de Tokyo, Kenshiro est une version bien plus évoluée de Kenjiro, présenté en 2010.
Avec son mètre cinquante et ses cinquante kilos, Kenshiro impressionne. Ses mouvements sont on ne peut plus réalistes. Nul doute que les travaux de ces ingénieurs japonais devraient se retrouver dans de nombreux humanoïdes dans les années à venir ! A voir absolument dans la vidéo ci-dessous.
[engadget]

Domotique : R2 Studios serait courtisée par Apple, Microsoft et Google

A lire sur:  http://pro.clubic.com/actualite-e-business/investissement/actualite-532296-domotique-r2-studios-courtisee-apple-microsoft-google.html?&svc_mode=M&svc_campaign=NL_ClubicPro_22/12/2012&partner=-&svc_position=289312478&svc_misc=-&crmID=11011704_289312478&estat_url=http%3A%2F%2Fpro.clubic.com%2Factualite-e-business%2Finvestissement%2Factualite-532296-domotique-r2-studios-courtisee-apple-microsoft-google.html

Google, Microsoft et Apple souhaiteraient investir davantage dans la domotique et lorgneraient du côté de la société R2 Studios.

Domotique
Fondée en mai 2011, id8 Group R2 Studios Inc est une jeune pousse proposant des solutions d'automatisation. Elle dispose en outre de propriétés intellectuelles décrivant des mécanismes pour la prise de contrôle de différents appareils au sein d'une interface utilisateur unique. La société fut créée par Blake Krikorian ayant précédemment fondé Sling Media inc à l'origine de la Sling Box, un boitier permettant de transférer le flux TV vers une tablette.

Selon le Wall Street Journal, Apple, Microsoft et Google seraient en discussion avec la société et souhaiteraient réaliser un rachat. Chacun tente effectivement de s'immiscer davantage au sein du salon des consommateurs. id8 Group R2 Studios Inc a d'ailleurs publié une application pour Android baptisée R2 Control for Crestron permettant de centraliser le contrôle des différents appareils motorisés de Creston qu'il s'agisse de volets, de lumières ou d'enceintes.

Microsoft et Google planchent respectivement sur leurs systèmes de domotique au travers de HomeOS et Android@Home tandis qu'Apple se préparerait à entrer le marché de la télévision. Pour l'heure, la TV reste effectivement au centre du salon et si le marché français fait certainement figure d'exception, la télévision connectée aurait globalement du mal à décoller. Google TV, par exemple, n'a pas su s'imposer et a d'emblée dû faire face à la frilosité des diffuseurs américains et à celle des consommateurs ne souhaitant pas voir un énième boitier dans leur salon. Pour sa part Microsoft multiplie les offres et les interactions sur Xbox et Google a récemment présenté le Nexus Q, un appareil de streaming multimédia.

Après l'ordinateur, le smartphones et la tablette, le salon forme donc un autre axe de croissance pour les géants de la Silicon Valley. Reste à savoir qui gagnera cette bataille.

R2 control

L'électronique portée et connectée, bientôt un accessoire comme un autre ?

A lire sur:  http://www.atelier.net/trends/files/electronique-portee-connectee-bientot-un-accessoire-un?utm_source=emv&utm_medium=mail&utm_campaign=alerte_us
 
Montres reliées au smartphone, tatouages esthétiques mesureurs de la forme d'un individu, lunettes intelligentes... 2013 pourrait bien voir le développement véritable d'un marché annonciateur de multiples services.
électronique portée


Vêtements connectés, électronique portée... Si les projets de recherche autour de la connectivité des objets que l'on porte afin d'améliorer notre quotidien occupent la recherche depuis de nombreuses années, ils n'étaient pas encore véritablement entrés dans notre quotidien. Voilà qui est de plus en plus chose faite. Juniper Research a publié récemment un rapport dans lequel il estime que les lunettes connectées et autres systèmes électroniques portés sur le corps et donnant accès à des services devraient représenter un marché d'1,4 milliard de dollars en 2014. Un marché porté par le secteur du bien être, investi par des marques comme Nike, avec son Nike+, pour communiquer autrement. Et par des acteurs spécialisés comme Fitbit. Les fameuses lunettes de Google, prototype annoncé en grande pompe, ont dû aussi jouer un rôle non négligeable dans cette adoption.
Santé, bien être, divertissement
Evidemment, le premier marché qui devrait en bénéficier devrait donc être celui de la santé et du bien-être. Qu'il s'agisse de vêtements "intelligents" capables de prélever des données physiologiques et de les interpréter, via son smartphone. Ou de composants spéciaux, comme des tatouages par exemple. Le but étant d'être plus proactifs et dans la prévention face à sa santé, mais aussi de mieux gérer les maladies existantes. Le secteur du divertissement aussi devrait largement en profiter. Si le projet Woven est un concept, qui fait du vêtement un véritable élément d'un jeu de rôle, on peut imaginer bien d'autres interactions. Plus simplement, ces objets peuvent être tout simplement développés pour plus de praticité : contrôle de son smartphone à distance...
Vers des changements de business model
Autre secteur qui devrait y trouver des opportunités : celui du commerce. Avec des lunettes connectées, on peut ainsi penser à des interactions directes avec le client, voire des achats. Mais les acteurs d'un écosystème ne sont pas les seuls à qui cette envolée de l'électronique portée et connectée s'adresse. Dans la lignée de Nike, ce sont toutes les entreprises qui ont tout intérêt à y jeter un œil appuyé. Se positionner sur le secteur, c'est peut être la possibilité de proposer du service de qualité, apte à fidéliser les individus. Quitte à changer en partie son modèle de fonctionnement.


ZDNet's tech predictions for 2013

A lire sur:  http://www.zdnet.com/zdnets-tech-predictions-for-2013-7000009130/?s_cid=e539


Summary: What will be the next big thing? As cellular carriers merge and become stronger, mobile makers may not survive. Will big data analytics take off, and will 3D printing arrive with a bevy of legal and ethical issues? Here's a look ahead at 2013 and what we can expect.

3D printing will go mainstream, printing at home?

It's Star Trek technology or primitive replicators coming to our century. Printing was, for years, limited to the business environment. Eventually it arrived in homes to consumer users. But, the next step in printing comes in three-dimensions -- 3D printing -- giving users the ability to 'print' (with lasers and computer-aided cutting machines) items for machines, computers, and even body parts.
It will only be a matter of time before home users will be able to download schematics and blueprints from the Web and create their own products from their home office as the technology becomes more simplified.
It's a distance away yet, but 2013 will see a dramatic rise in the 3D printing sector, along with the associated ethical issues with it. Should you be able to print a firearm at home? Should 3D printers be used with stem cells to build body parts? And should the schematics or blueprints be offered through 'pirate' sites? Where there will be 3D printing, there will likely be strict regulation.

Kenshiro, ce robot humanoïde qui nous ressemble vraiment !

A lire sur:  http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/robotique/d/kenshiro-ce-robot-humanoide-qui-nous-ressemble-vraiment_43419/#xtor=EPR-23-[HEBDO]-20121221-[ACTU-kenshiro__ce_robot_humanoide_qui_nous_ressemble_vraiment__]

Par Quentin Mauguit, Futura-Sciences
 
Un nouvel humanoïde, Kenshiro, pourrait profondément marquer les passionnés de robotique. En effet, son fonctionnement et ses formes ont directement été inspirés par l’Homme ! Ses os d’aluminium sont par exemple mis en action par des muscles… à poulies.
Les robots humanoïdes sont particulièrement complexes et coûteux à développer. Leur mode de locomotion bipède leur impose de maintenir activement leur équilibre. Pour compliquer les choses, leur surface de contact au sol est relativement réduite. De grandes avancées sont régulièrement faites dans ce domaine de la robotique. Cependant, de nombreux modèles, à l’image du célèbre Asimo, sont encore loin de nous ressembler, peut-être parce qu’ils ne sont pas bio-inspirés...
Depuis de nombreuses années, des chercheurs du Johou Systems Kougaku Laboratory (JSK) de l’université de Tokyo menés par Yuto Nakanishi tentent justement de construire des robots faits d’os et de muscles. Leur dernière création, Kenshiro, a été dévoilée durant la conférence internationale sur les robots humanoïdes qui vient de se terminer à Osaka (Japon). Elle est saisissante !

Kenshiro, le dernier robot humanoïde créé par le Johou Systems Kougaku Laboratory. Cette vidéo présente d'abord différents tests de mobilité réalisés sur une épaule du robot (shoulder), une jambe (leg) puis la colonne vertébrale (spine), avant que l'ensemble ne prenne forme... humaine. © spectrummag, Youtube
Kenshiro, le robot ressemblant le plus à l’Homme
Kenshiro est doté d’un squelette complet (y compris une cage thoracique présentant une certaine mobilité) composé d’os en aluminium. Un soin tout particulier a été apporté aux articulations. Pour preuve, les genoux disposent d’une rotule mobile se déplaçant au rythme des mouvements de flexion et d’extension des jambes. Par ailleurs, les os métalliques, à l’image du pelvis, sont similaires en forme à ceux des humains. Résultat, Kenshiro possède en tout 64 degrés de liberté (sans prendre les mains en considération). Le cou et chaque bras présentent par exemple chacun 13 possibilités de mouvement dans l’espace, contre 7 pour les jambes et 11 pour la colonne vertébrale.
Près de 160 muscles artificiels mettent tous ces os en mouvement, dont 50 dans les jambes, 70 sur le tronc, 12 au niveau des épaules et enfin 22 dans le cou. Ils se composent chacun d’un mécanisme plat composé d’une corde, de poulies et d’un seul moteur. Leur positionnement et leur fonctionnement permettent de reproduire fidèlement les couples musculaires et les vitesses angulaires observés chez l’Homme (entre 70° et 100° par seconde pour ces dernières), ou plutôt chez un garçon japonais âgé de 12 ans, puisqu’il s’agit du modèle pris par le laboratoire. Au final, ce système musculaire permettrait à Kenshiro d’être 5 fois plus puissant que son prédécesseur, Kenzoh.
Le nouvel humanoïde du JSK mesure 158 cm de haut pour un poids total de 50 kg. Il est ainsi deux fois plus léger que son prédécesseur et ses mensurations sont semblables à celle des humains. Les chercheurs sont allés jusqu’à respecter l’équilibre des masses dans le corps. Chez un garçon de 55 kg, chaque cuisse pèse environ 5 kg, contre 2,5 kg pour un mollet. Le nouveau robot musculo-squelettique possède quant à lui des cuisses de 4 kg ainsi que des mollets de 2,76 kg. Au final, Kenshiro correspondrait à l’humanoïde actuel ressemblant le plus, du point de vue des formes, à un Homme.

Le Big Data est-il soluble dans le Cloud public ?

A lire sur:  http://www.lemagit.fr/technologie/datacenter-technologie/cloud-grid-computing/2012/12/20/le-big-data-est-il-soluble-dans-le-cloud-public/?utm_source=essentielIT&utm_medium=email&utm_content=new&utm_campaign=20121221&xtor=ES-6

Le 20 décembre 2012 (12:29) - par

Réuni au sein du prestigieux MIT, un groupe d’experts de l’industrie et de spécialistes de la donnée ont débattu sur le rôle, ainsi que sa fiabilité, du cloud dans le Big Data. Certains restent encore sceptiques, nous apprennent nos confrères de SearchCloudcomputing.
BigData
Un groupe de «  data scientists » et de ténors du IT d’entreprise se sont réunis la semaine dernière au très prestigieux MIT pour débattre de l’épineuse question de l’éthique et de la gestion de l’analytique des Big Data. Ces données en volume ont-elles oui ou non leur place au sein des clouds publics.
Lorsque la question fut posée à un panel de deux spécialistes de la donnée et un expert de l’industrie – quel rôle pour le Cloud dans le Big Data ? – le scepticisme était de rigueur, notamment autour de la confiance et de la fiabilité des nuages. « Nous allons continuer à investir dans notre infrastructure existante en interne », a ainsi affirmé Claudia Perlich, une responsable chez media6degrees, un société de recherche en marketing basée à New York. « Nos clients n’ont pas forcément confiance dans les fournisseurs de services Cloud, nous préférons contrôler autant que possible notre IT ». Elle ajoute que c’est dans l’intérêt de l’entreprise d’investir dans sa propre infrastructure, même si cela risque de coûter plus cher que de basculer vers un service de cloud public. Une entreprise, moins axée sur le traitement des données et qui utilise seulement les Big Data pour la prise de décision, pourrait certes avoir une autre vision, concède-t-elle.
Toutefois, de plus en plus d’entreprises ont commencé à placer les traitements de leurs Big Data dans le cloud, assure Mike Olson, le CEO de Cloudera, l’un des spécialistes des services et des applications bâtis sur Hadoop, présent lors de la conférence. Pas forcément parce que cela est moins cher – parfois c’est même l’inverse – mais de part les possibilités de scalabilité et de flexibilité que cela apporte, ajoute-t-il.
En fait, de nombreuses start-up du monde du Big Data sont nées en se reposant sur le cloud public, estimant que cela constitue le meilleur moyen pour conserver des coûts réduits d’administration et d’infrastructure, commente à son tour Tom Davenport, professeur à la Harvard Business School et au sien du Babson College. Il évoque également la prédominance des outils Open Source sur le marché des outils de Big Data comme une des raisons de l’adoption. Toutefois, il serait surpris de voir aujourd’hui de grandes entreprises externaliser leur traitement des Big Data sur le cloud public d’Amazon Web Services.
Un autre participant Rachel Schutt, statisticien chez Google Research, était quant à lui plus optimiste quant aux déploiements de Clouds privés pour supporter des projets atour du Big Data. Elle explique que le Big Data n’est généralement pas l’affaire d’une unique machine, mais nécessite une approche flexible (scale-out) pour assurer leur traitement. Une approche au sein de laquelle plusieurs modèles s’exécutent sur un parc de machines – ce qui accélère la notion de scalabilité. Les recherches menées sur le Big Data par Google reposent sur la propre infrastructure du groupe.
Un point sur lequel les membres du panel se sont accordés est la nécessité d’éduquer la prochaine génération de « data scientists », notamment en matière d’éthique. Alex « Sandy » Pentland, professeur au MIT Media Lab réfléchit avec l’Union européenne et les Etats-Unis à un « Data Bill of Rights ». « Ce doit être l’utilisateur qui contrôle ses propres données », affirme Pentland.
Mais il existe toutefois une forme de consensus lorsqu’il est question de confronter vie privée contre bien public et utilisation des techniques avancées de Big Data pour analyser l’information (comme l’enregistrement des données de santé ou le comportement des populations pour endiguer la propagation d’une maladie, par exemple). Avec l’accord des utilisateurs finaux évidemment, une approche plus invasive de l’analytique Big Data pourrait être très utile, soutient-elle enfin.

« Appareils mobiles et comportement utilisateur », un livre blanc Tradedoubler

A lire sur:  http://www.itrnews.com/articles/137526/appareils-mobiles-comportement-utilisateur-livre-blanc-tradedoubler.html?key=862d53eea2c1d2fe
 
À l'approche des fêtes de fin d’année, annoncées comme la période la plus importante de l’année pour le marché du m-commerce, le spécialiste du marketing et des solutions digitales à la performance, dévoile les conclusions d’une nouvelle étude européenne* mettant en avant l’évolution du comportement des mobinautes dans son livre blanc « Appareils mobiles et comportement utilisateur ».

En démontrant que les appareils mobiles influencent les consommateurs dans leur acte d’achat*, le livre blanc Tradedoubler a pour vocation d’aider les entreprises commerçantes à appréhender l’influence de ces outils pour mieux orienter leurs stratégies marketing et leurs investissements.

« Notre étude montre que le parcours des consommateurs avant d'effectuer un achat sur leur appareil mobile peut s'apparenter au tracé d'un labyrinthe », souligne Pascal Gayat, Directeur Régional Tradedoubler France. « Il est donc essentiel de comprendre comment différents appareils mobiles et systèmes d'exploitation influencent le comportement des consommateurs, de leur recherche initiale à l’acte d'achat », ajoute-t-il. « Par exemple, contrairement aux utilisateurs expérimentés d'iPhone, bon nombre des propriétaires d'un téléphone Android utilisent un smartphone pour la première fois. Toutefois, étant donné la part de marché croissante de cette plate-forme, il deviendra de plus en plus important de communiquer efficacement avec ces utilisateurs », poursuit Pascal Gayat.

* Dans le cadre de cette étude, plus de 2 000 utilisateurs de smartphones ont été interrogés en Allemagne, en France, au Royaume-Uni et en Suède.


Le comportement des mobinautes passé au crible
Avides de bonnes affaires et de bons plans, les détenteurs d’iPhone utilisent leurs applications mobiles avant un achat pour pouvoir effectuer le meilleur choix. L’enquête a en effet révélé que 75% des propriétaires d’iPhone utilisent quotidiennement des applications et 28% d’entre eux recherchent des bons et coupons de réduction au moins une fois par semaine :

· 25% d’entre eux recherchent des bons utilisables en magasins depuis leur iPhone

· 22 % reçoivent des offres spéciales adaptées au lieu où ils se trouvent grâce à technologie de la géolocalisation

· 23 % stockent des offres quotidiennes sur leur iPhone et 20 % utilisent leur téléphone comme une carte de fidélité

Inconditionnels de la recherche sur mobile, ce sont les utilisateurs d'iPhone qui utilisent le plus leur téléphone pour accéder à Internet chaque jour (80%), rechercher de nouveaux produits chaque semaine (46 %) et effectuer des achats au moins une fois par semaine (20 %).

Les utilisateurs de BlackBerry se placent quant à eux en seconde position par rapport aux utilisateurs d’iPhone car ils consacrent moins de temps à la recherche depuis leur mobile :
· 31 % s'y adonnent au moins une fois par semaine

· 13% d’entre eux recherchent des bons et coupons de réduction au moins une fois par semaine avec leur BlackBerry


La tablette, outil majeur de la recherche depuis mobile
L’évolution positive des ventes de tablettes, en constante progression, complexifie la compréhension du marché mais favorise également la recherche depuis cet outil mobile :
· Parmi les propriétaires de smartphones, 23 % possèdent déjà une tablette, et 36 % prévoient d'en acheter une en 2013.

· Les propriétaires de tablettes sont plus susceptibles de transformer une recherche depuis cet outil en achat : ils sont effet 35 % à privilégier leur tablette pour l’achat d’un produit

· Ils sont aussi beaucoup plus susceptibles d'acheter des articles plus coûteux: près d'un utilisateur de tablette sur cinq (18 %) a dépensé plus de 600 € dans le cadre d'une seule transaction.


Les sites mobiles, un enjeu important pour cibler un large public
Un site mobile efficace est essentiel pour les commerçants qui souhaitent s’adresser à un large public. Les détenteurs d'Android sont en effet les plus susceptibles de rechercher des offres sur le navigateur de leur appareil mobile: 19 %, contre 9 % qui utilisent des applications. Privilégier un espace sur les sites de comparaison des prix, offrant une intégration étroite avec les applications de codes-barres, se révèle pertinent pour influencer les décisions d'achat de cette cible de mobinautes.

Avec la publication de son livre blanc « Appareils mobiles et comportement utilisateur », Tradedoubler invite les marques et les revendeurs qui cherchent à exploiter le potentiel du m-commerce à adopter une approche intégrant les canaux de distribution on et off-line avec des sites Web optimisés pour les appareils mobiles et des programmes d'affiliation bien suivis. Ceux-ci doivent être renforcés par des offres spéciales quotidiennes, des codes promotionnels et d'autres initiatives de marketing à la performance pertinentes pour développer les ventes.

« Compte tenu des différents comportements des mobinautes selon l’outil utilisé, les annonceurs ont deux options pour l'élaboration d'une stratégie mobile de marketing et de solutions digitales à la performance : cibler les groupes qui achètent le plus avec leur appareil mobile ou élaborer une stratégie viable sur tous les appareils et canaux en esquivant les restrictions et les aspects frustrants de certaines plates-formes. Nous pensons qu'avec des investissements bien ciblés, les marques et les revendeurs peuvent combiner ces deux options », déclare Pascal Gayat, Directeur Régional Tradedoubler France.

Retrouvez ici le livre blanc : Appareils mobiles & comportement utilisateur : Influence des appareils mobiles sur le parcours m-commerce

Rémunération pour copie privée : le détail des nouveaux barèmes

A lire sur:  http://www.itrnews.com/articles/137497/remuneration-copie-privee-detail-nouveaux-baremes.html?key=862d53eea2c1d2fe

 
La démission des représentants des industriels n’a pas empêché le vote des nouveaux barèmes pour la copie privée, que la Sacem qualifie de responsables et... négociés. Les auteurs, les artistes-interprètes, les producteurs et les éditeurs des œuvres musicales, de l’audiovisuel, de l’écrit et des arts visuels, se félicitent de l’adoption de ces nouveaux barèmes par la Commission pour la rémunération pour copie privée. Ces derniers fixent les rémunérations qui seront applicables à compter du 1er janvier 2013 au titre de la copie privée.

Contrairement à ce qu’annonçaient les importateurs des supports électroniques, les nouveaux barèmes sont loin des augmentations exponentielles pronostiquées, souligne la Sacem. " Ils prévoient en effet des tarifs globalement inférieurs à ceux actuellement en vigueur, dont l’application devrait se traduire par une légère diminution des rémunérations perçues au cours de l’année 2013 ". Cette décision a été adoptée à une large majorité, en présence de l’ensemble des membres de la Commission, à l'exception notable des représentants des cinq organisations d’importateurs.

" Dans l’élaboration de ces barèmes, la Commission pour copie privée a fait preuve d’équilibre et de modération. Chacun y a fait valoir ses arguments et a apporté sa pierre à l’édifice commun. Les créateurs des biens culturels concernés par la copie privée tiennent à cette occasion à souligner l’esprit de responsabilité manifesté par les organisations de consommateurs et la Fédération Française des Télécommunications, qui ont contribué ainsi à la juste application de la loi, poursuit la Sacem. Par cette décision, la Commission pour copie privée assure la continuité d’une pratique de copie au bénéfice des consommateurs pour leur usage personnel.

Les rémunérations votées ont été fixées en conformité avec les décisions du Conseil d’Etat, sur la base des résultats d’études d’usages réalisées par un institut indépendant, l’Institut CSA et en prenant en compte de façon équilibrée, dans le cadre de concessions réciproques, l’ensemble des intérêts en présence. Une commission paritaire est par essence un lieu de dialogue.
La décision qui vient d’être adoptée démontre que la rémunération pour copie privée, votée à l’unanimité par le Parlement en 1985, demeure parfaitement adaptée à l’ère numérique, pour peu que l’ensemble des organisations membres de la Commission décident d’agir de bonne foi et que tous les intérêts en cause puissent être pris en considération
".

Ce cerveau interactif va répondre à toutes vos questions !

A lire sur:  http://www.gizmodo.fr/2012/12/20/cerveau-interactif.html?utm_source=Newsletter+Gizmodo&utm_campaign=eb1da45d9a-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email


cerveauNous nous doutons que vous ne vous posez pas tous les jours cette question, mais vous êtes-vous déjà demandé quelle est la partie de votre cerveau qui s’active quand vous pensez à telle ou telle chose
Cette petite application en ligne est une véritable mine d’informations. Elle emmagasine un nombre fou de données issues d’IRM, ce qui lui permet de montrer les interactions entre le fait de penser à un objet ou une action et le néocortex.
Les données ont donc été recueillies au cours d’IRM, les participants ont passé des heures devant des bandes-annonces de films, tandis que leurs pensées étaient analysées.  Simple mais efficace, il ne restait plus qu’à compiler les informations.
Vous voulez savoir quelle partie de votre cerveau s’illumine quand vous songez à une voiture de sport? Pas de problème. Lorsque vous pensez au sexe ? Facile. 
L’application propose des milliers d’activités, d’idées et d’objets dans un nuage sémantique. Il suffit de cliquer sur l’un, et elle vous montre quelles zones du cerveau sont activées. En-fan-tin !
C’est une ressource incroyable pour les chercheurs et un moyen absolument formidable de nuire à votre productivité. Pour info, l’application recommande d’utiliser google Chrome comme navigateur.
N’oubliez pas, vous pouvez suivre Gizmodo.fr sur les réseaux sociaux : Facebook, Twitter, Google+ !

La fin des transistors au silicium annoncée ?

A lire sur:  http://www.gizmodo.fr/2012/12/21/fin-transistors-silicium-annoncee.html?utm_source=Newsletter+Gizmodo&utm_campaign=eb1da45d9a-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email
 

La fin des transistors au silicium annoncée ?Les transistors au silicium sont omniprésents. A la base de toute électronique, ceux-ci sont présents dans le moindre de nos gadgets. Sans eux, point de technologie. Pourtant, la course à la miniaturisation se heurte aujourd’hui à un frein, le silicium. Utilisé dans de trop petites dimensions, ses performances chutent. Situation à laquelle des chercheurs du MIT pourraient bien avoir trouvé une solution…
Arséniure d’indium gallium. Le nom de ce matériau est certes plus compliqué que silicium mais il est extraordinairement plus prometteur. Des chercheurs des Laboratoires de Technologies en Microsystèmes du MIT sont parvenus à créer des transistors de seulement 22 nanomètres grâce à ce matériau.
Une taille bien plus réduite que celle du silicium, de quoi permettre d’en stocker bien davantage, et donc d’augmenter les performances. Les chercheurs travaillent à augmenter encore les performances électriques ainsi que la vitesse de leurs transistors et espèrent bien atteindre les 14 nanomètres en 2015 puis seulement 10 en 2018…
[theverge]

Dan Swinhoe (Global) - Most Wanted Tech 2013: B2B

A lire sur:  http://www.idgconnect.com/blog-abstract/710/dan-swinhoe-global-most-wanted-tech-2013-b2b
 
Posted by Dan Swinhoe Company IDG Connect 12/20/2012
Dan Swinhoe (Global) - Most Wanted Tech 2013: B2B


For some, 2013 will be all about Apple TVs, new Xboxes, and whether or not Kim Dot Com will re-launch MegaUpload. For the vast majority, it will just be wondering if you'll finally get that new office coffee machine that was promised early last year. Here's the list of what other essential tech offices won't want to be without in 2013.
Green Tech
The IT sector is quickly becoming as harmful to the environment as cars. Whether it's to save money, meet new regulations or just to sleep soundly knowing you're saving the planet, Green IT will be big next year. Energy efficient computers, solar panels on your smartphone, apps that tell you where all the juice is going and paper recycling, as well as more efficient data centres will all be popular.
Cloud/Mobility
Just like this year, Cloud computing will be big in 2013, and everyone will be wanting a Cloud of their very own (albeit one that isn't affected by bad weather). With the Cloud comes Mobility, so people pining to use the tablets they got for Christmas will soar.
Hybrids
Tablets are nifty and do a lot of cool things, but the fact remains they lack the practical functionality that a proper computer or laptop provides. Your answer? Hybrids. Lenovo, Dell and Sony are all getting in on this market, and while they probably won't be up to the same standard as either of the devices they're emulating, that might not be the case in a few months' time.
Grey Hats
Not to be scaremonger, but Hacktivists and Black Hats are making companies and governments look foolish. Barely days go by between each scalp that is being claimed by tech whizzes with little interest in the rules. ‘Grey Hats' are the ones that do the hacking, but are nice enough to tell you instead of spreading all your information everywhere. Hire a few of these in addition to the ‘White Hats' and you might have a chance to prevent your business being in the news for the wrong reasons.
Robot Bosses
Not as daft as it sounds. AutoMan is a new system that ‘delegate tasks to human workers via crowdsourcing platforms such as Amazon's Mechanical Turk.' "I'd rather have a computer as my boss than a jerk," says AutoMan's creator, Daniel Barowy, whose creation is able to send out jobs, manage workers, accept or reject work and make payments. May struggle with those monthly meetings though.
Desktop Missile Launchers
For those that are stuck with human bosses, or equally human and annoying workmates, this may be for you. With a built in webcam and a 25-foot range, this USB foam missile launcher means your inbox will be safe from people trying to add more work to it for all of 2013. Or if you prefer to coax workers into staying longer, place a few at the exit door and aim via Skype or MSN.
Patenting
In recent weeks Apple, while still arguing over minute details with every phone maker associated with Android, have filed patents for: the rectangle, the leaf, wireless charging, disappearing screens, flexible screens, and a dozen other things. Patents are worth millions, if not billions, and hence Patent Trolling is now a thing. No doubt this will only balloon next year. Get in on the action -patent everything before someone else does.
Other possible trends include:
Rogue entrepreneurs; also known as ‘doing a McAfee'. Struggling for media attention in a highly competitive sector? No problem, send head honcho to a remote country and let him get into all sorts of trouble. VICE magazine and worldwide headlines await.
Tech-hubs: If the hype is to be believed, you can't move because of the millions of industrial parks parading themselves as the ‘next silicon valley'. Expect offices to be moving into remote areas that look nicer than your old office but means you have to start cycling once you get off the train because it's in the middle of nowhere.
Being bought by Facebook or equally big company; an extension of the Patent Wars. You have a legitimately original idea that you legally own, and you're too rich/famous to simply have your idea nicked off you, so what do mega rich companies do? Buy you out at a hugely inflated price. Result.

By Dan Swinhoe, Editorial Assistant, IDG Connect

Dan Swinhoe (Global) - Most Wanted Tech 2013: B2C

A lire sur:  http://www.idgconnect.com/blog-abstract/709/dan-swinhoe-global-most-wanted-tech-2013-b2c
 
Posted by Dan Swinhoe Company IDG Connect 12/21/2012
Dan Swinhoe (Global) - Most Wanted Tech 2013: B2C


Gizmos, gadgets, thingies and whatsits. As long as it beeps and lights up, people want it. This Christmas the number of tablets people receive will be equalled only by the number of Brussels sprouts left on plates, but what's going to be the big thing in 2013?
Flexible & Wearable Phones/Augmented Reality
Whatever happens, mobile stuff will be big next year. But aside from the usual millions of smartphones, things might be getting all futuristic. Samsung are reported to be working on ‘Project J', involving indestructible and invincible screens, and competitors are rumoured to be working on similar ideas. Advancement in technologies such as Graphene mean in theory this is possible, but the jury is still out on whether this will actually be a reality before next Christmas.
Meanwhile Juniper estimates wearable devices like Google Glass will be worth up to $1.5 billion by 2014. Right now the market is extremely pricey - a pair of hi-tech ski goggles with built in HUD display, for example, would set you back a cool $800. It's only a matter of time before they become cheaper. Microsoft is vying to get in on augmented reality glasses and a Japanese company has created an interactive train window. 2013 could be the year this tech moves away from a funny app on the phone to a viable, everyday occurrence.
Crowdsourcing
Whether it's Instagram projectors, e-ink watches, ambitious computer games or just precision-machined dice, crowd-funding is big news. The concept is easy; come up with an idea, ask for money, and the money is only collected once you've met your target. It's successful too; last year Kickstarter raised $100 million. Got an idea? Have a go - you could find it's a winner.
Next Gen Consoles
Whether you're rooting for Mario, Master Chief, or Solid Snake, 2013 might have something in store for you. Nintendo's Wii U will be on this year's Xmas and next year's birthday wish list of every youngster in the land, while the kids and students who never grew up will be waiting impatiently for the Xbox 720 and PS4 praying to the great 1UP Mushroom in the sky that they keep motion sensors as far away from their gaming experience as possible.
A spanner in the works however, could be Valve. The Half-Life creators say they are planning to bring their Steam platform to a new console-killing device in your lounge sometime next year. Normally such threats would be laughed off, but don't rule them out of becoming a major player.
Robots
Robots have always been, and always will be, incredibly cool. I don't know if it's just me, but there seems to be more and more people building seriously impressive ones lately. Whether it's giant four-ton mechs (sit-in or remote-controlled) real-life transformers or ones to possibly help with the Fukushima clean-up, robots are coming. Good job Cambridge University has set up a research centre to assess the threat of artificial intelligence then. You know, just case robots enslave humanity.
More Apple
New iPhone? Almost certainly. New iPad? Yep. Apple TV? Who knows. Whatever products get released bearing that little fruity symbol, expect them to sell millions. People just can't get enough burnished chrome. Their stocks may have looked a little shaky recently, but 2013 will probably see Tim Cook's company amass enough cash to buy the moon. And then patent it.

By Dan Swinhoe, Editorial Assistant, IDG Connect

Quels sites ont cartonné aux Etats-Unis cette année ?

A lire sur:  http://www.journaldunet.com/ebusiness/le-net/sites-us-qui-marchent/?utm_source=benchmail&utm_medium=mail&utm_campaign=ML7_E10236652&f_u=23951499
 

les sites internet qui cartonnent aux etats-unis
Les sites Internet qui cartonnent aux Etats-Unis© Eurobanks, Tiero, Thomas Pajot - Fotolia
Quels sites connaissent les plus fortes progressions aux Etats-Unis ? Si certains font la Une de la presse depuis de nombreux mois, d'autres sont largement méconnus en France... et pourraient bien donner des idées à des entrepreneurs à la recherche des business models qui marchent. Zoom sur les projets et les secteurs en vogue outre-Atlantique.
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Quand l'accès à son dossier santé tient dans un bracelet

A lire sur:  http://www.atelier.net/trends/articles/acces-dossier-sante-tient-un-bracelet
 
Par L'Atelier - Paris 20 décembre 2012 Patchworks
Patchwork consiste en une puce portée en bracelet et qui donne accès à une base de données contenant des informations comme ses rendez-vous médicaux. Il est ensuite possible d'imprimer ces rappels au format d'un ticket de caisse. Un moyen d'améliorer la santé des sans abris.
La santé connectée doit faciliter l'accès aux soins pour tous. En témoigne un projet mené par l'université de Lancaster, en collaboration avec Signposts et MAdLab. Celui-ci, baptisé Patchworks, a consisté en l'élaboration d'un prototype peu coûteux et intuitif, permettant aux personnes sans abri de ne pas oublier les rendez-vous santé et sociaux qu'elles ont. Le système, baptisé #Pat (pour Personal Appointment Ticketing service), consiste en fait en une puce RFID qui donne accès à tout l'agenda santé de la personne. Le système est complété d'une petite imprimante open source réalisée à partir de matériaux ayant un faible coût de production, et qui imprime sous forme de ticket de caisse les informations, format qui se glisse aisément dans une poche ou un portefeuille.
Un bracelet ou une carte magnétique
Le prototype, qui a été créé en concertation et suivant les idées de sans abris, fonctionne en RFID. La puce, la plupart du temps, est proposée sous forme de bracelet, mais peut aussi être contenue dans une carte magnétique ou un badge. Pour consulter son dossier, il suffit de passer la puce à proximité d'une station de base, connectée à l'ordinateur qui contient la base de données. Le dossier de la personne s'afiche alors automatiquement.
Perpétuer l'initiative
Le projet est encore à l'état de prototype, mais ses concepteurs souhaitent l'industrialiser à bas prix, afin que les centres de santé, ou les institutions dédiées aux sans abris, puissent l'acquérir et le proposer aux individus. Cela, même après la fin du projet global mené par les chercheurs, et baptisé Catalyst. A noter également que l'initiative avait pour but de réinsérer des personnes sorties du cadre traditionnel de l'emploi, en les faisant participer à la réflexion, la création et la construction du projet.

SFR lance la 4G à Montpellier

A lire sur:  http://www.zdnet.fr/actualites/sfr-lance-la-4g-a-montpellier-39785648.htm#EREC-103

Business : Après Lyon, l'opérateur ouvre donc commercialement la 4G dans la ville de l'Hérault, pour le grand public et les entreprises. Trois smartphones, une tablette et une clé compatibles sont disponibles.

SFR respecte (presque) son calendrier de lancement de la 4G dans les villes françaises. Après Lyon le 29 novembre dernier, le numéro deux français du mobile lance aujourd'hui commercialement le très haut débit mobile à Montpellier, lancement prévu initialement le 18.
Les offres sont désormais ouvertes au grand public et aux entreprises à travers SFR Business Team.
SFR qui entend être le premier à se positionner sur la 4G propose une offre complète articulée autour d'un réseau (épaulé par le Dual Carrier), de terminaux (le Samsung Galaxy SIII 4G, le HTC One XL, le Motorola Razr HD, la tablette Samsung Galaxy Note 10.1 4G et une clé dédiée), de forfaits et de services.
Trois forfaits avec smartphone DualCarrier/4G subventionné sont proposées à partir de 49,99 euros par mois incluant l'Illimité voix + 2 Go (en Dual Carrier et/ou en 4G) + le Multisurf (deux cartes SIM pour surfer sur une tablette avec le même forfait) + 2 Go de stockage en ligne avec Dropbox.
Deux autres offres proposent 4 et 6 Go de données pour respectivement 69,99 et 89,99 euros par mois.
Concernant les services, on peut citer la TV en HD, les jeux en Cloud ou encore le nouveau service Tango qui permet de réaliser des sessions de visioconférence de manière confortable.
Paris pour l'automne 2014 au mieux
SFR indique que le reste du pays sera couvert dans le courant de l'année 2013, notamment à Paris où la situation se débloque peu à peu grâce à un accord avec la mairie. Selon nos informations, il ne faudra néanmoins pas attendre la 4G dans la capitale avant l'automne prochain.
Au-delà de ces annonces, l'enjeu de la 4G est bien de permettre à l'opérateur (et à ses concurrents) de se démarquer face aux offres low cost qui prennent de plus en plus de poids.
Face à cette concurrence, mais aussi aux baisses de tarifs de gros et aux assauts des géants du Web comme Apple et Google, la crainte des opérateurs de réseau est de devenir de simples tuyaux. La 4G doit donc leur permettre de valoriser leurs réseaux et d'entamer une reconquête, voire de favoriser une hausse des prix afin de redonner des couleurs à leurs bilans financiers.
SFR estime ainsi que le low cost pourrait représenter à terme entre 15 et 20% du marché global. Une vraie plaie pour sa rentabilité. Mais la 4G va pousser les consommateurs à renouveler leurs smartphones. Or, ces smartphones ne seront subventionnés que par les opérateurs de réseau.
Le calcul est donc simple. La 4G va d'abord permettre une sensible augmentation des prix. Et chez SFR, on ne s'interdit d'ailleurs pas de poursuivre cette tendance à terme avec des classes de services qui permettront de facturer plus cher les plus gourmands en données ou en services. "Ces hausses de prix se justifieront par des contre-parties", assure-t-on chez l'opérateur.
Ensuite, grâce aux subventions, SFR pense qu'il pourra aspirer les clients sans engagement des offres low cost qui n'achèteront jamais nu un smartphone à 700 euros et qui n'auront pas accès au très haut débit mobile, inexistant chez ces acteurs. Excepté B&You, les marques low cost plafonnent souvent à 7 ou 14 Mb/s.

jeudi 20 décembre 2012

Quand le vêtement fait du corps une manette et une console de jeu

A lire sur:  http://www.atelier.net/trends/articles/vetement-corps-une-manette-une-console-de-jeu?utm_source=emv&utm_medium=mail&utm_campaign=alerte_emea

Par Rodolphe Langlois 19 décembre 2012 Woven
Woven transforme des vêtements en des objets connectés à un jeu smartphone, capables de réagir en fonction de certains événements, mais aussi de transmettre les données physiologiques du joueur, qui auront un impact dans le processus de jeu.
Le vêtement en lui-même peut-il être une interface de jeu ? Oui, pour deux étudiants néerlandais diplômés de la Utrecht School of Arts, Christiaan Ribbens et Patrick Kersten. Ils ont mis au point Woven, un projet qui a consisté à transformer un sweat et un pantalon en une véritable plateforme, dont le corps humain est l’unique "manette" interactive. Le but : faire que toutes les interactions qui se passent entre joueurs qui se prêtent au jeu depuis un smartphone, se visualisent sur le vêtement. Mais aussi passer par le vêtement pour prélever certaines indications sur l'état physique du joueur, qui entreront en compte dans le jeu. Développé à partir d’un smartphone, le programme/application peut en effet renseigner sur le rythme cardiaque de l’individu, et permettre la mise à jour ainsi que des interactions sur les profils sociaux de l’individu.
Ce qui cache sous les vêtements…
Woven est connecté au jeu Spooky, un jeu de rôle aussi développé pour l'occasion, et qui se joue en interaction avec son environnement. Le système a été développé à l’aide d’un smartphone, et d’un dispositif Bluetooth, permettant de se connecter au vêtement. Pour produire les données qui seront ensuite transmises et analysés par le smartphone, il intègre plusieurs types de capteurs, qui permettent notamment de relever les différents mouvements du corps, mais également les pulsations cardiaques de l’individu. Cependant, le cœur du système est lui formé par trois micro-contrôleurs de type Arduino, connectés entre eux, qui enregistrent et transmettent les données produites par les différents capteurs.
…un système simplifié
Woven est également équipé de petites enceintes portatives, mais aussi d’un petit écran LED et d’un moteur vibratoire, qui fonctionnent selon les interactions des joueurs. Enfin, une batterie connectée permet une autonomie du système pendant 6 heures. L’ambition de Woven, à l’origine simple projet d’école, était aussi pour ces deux étudiants de démontrer la facilité et l’efficacité d’un tel système, avec des composantes électroniques abordables sur un plan financier et technologique, tels que la création et le développement de l’application sur smartphone.

Robot : Rb3d invente le superhomme pour l'armée

A lire sur:  http://www.lesechos.fr/economie-politique/regions/bourgogne/0202453557488-robot-rb3d-invente-le-superhomme-pour-l-armee-522518.php?xtor=EPR-1500-[france]-20121220-[s=461370_n=2_c=203_]-1277694[_SDV]@1
 
Par Didier Hugue | 20/12 | 07:00 | mis à jour à 12:11 

L'exosquelette Héraclès, développé par une PME d'Auxerre, est appelé à équiper l'armée française.

L\'exosquelette épaulera le fantassin en opération et pourra porter 100 kg de charge. - DR
L'exosquelette épaulera le fantassin en opération et pourra porter 100 kg de charge. - DR
Rb3d plonge tout interlocuteur non averti dans le monde fantastique de la science-fiction. L'entreprise d'Auxerre (Yonne), spécialisée en mécatronique et cobotique, est l'inventeur d'Hercule, le premier exosquelette européen qui permet de soulever 40 kg d'un seul doigt et offre une grande fluidité de mouvements. « Il nous a servi de modèle de démonstration pour convaincre la Direction générale de l'armement, la DGA, d'aller plus loin avec nous », explique Serge Grygorowicz, le président-directeur général de Rb3d.
C'est aujourd'hui chose faite et un programme de 3 millions d'euros, dont 1,8 million financé par la DGA, doit faire naître en 2015 Héraclès pour qu'il équipe l'armée française. Ce futur exosquelette électrique, jugé plus performant que ses congénères nippon et américain, épaulera le fantassin en opération, protégera le démineur en intervention ou encore le pompier pour le port de tuyaux. Héraclès pourra embarquer jusqu'à 100 kg de charge. Constitué en matériaux composites, il permettra des marches soutenues et effectuera même de petits sauts. L'appareil pourra également avoir une déclinaison civile et éviter bien des maux. « Nous développons déjà des bras articulés pour le brossage des pneumatiques de poids lourds et nous pensons mettre sur le marché en 2015 200 exemplaires d'un exosquelette civil, dérivé d'Héraclès », révèle Vincent Mauvisseau, l'associé de Serge Grygorowicz.

Un bel avenir

Cette assistance aux gestes pénibles et répétitifs facilitera certains métiers de l'industrie et du bâtiment, non seulement en sécurité et de santé au travail, mais aussi de productivité. Si elle reste un marché de niche, évalué à 275 millions de dollars, la cobotique, nom donné à cette technologie de conception d'équipements permettant d'assister l'homme dans des tâches professionnelles, a toutefois un bel avenir.
Pour devenir l'un des acteurs mondiaux du secteur, Rb3d (1 million d'euros de chiffre d'affaires, 10 personnes) ouvre de nouveau son capital. Elle veut lever 3 millions d'euros afin de financer sa R&D et de bâtir une unité de production de 1.000 m 2 près du campus universitaire d'Auxerre. Dans l'espoir d'être opérationnel en 2014, l'investissement s'élève entre 1,5 et 1,8 million d'euros avec les équipements. « Si tout se passe bien, nous devrions pouvoir atteindre les 5,5 millions d'euros d'activité en 2015 et compter un effectif de 34 salariés », espère Serge Grygorowicz.

Effectif : 10 personnes
Chiffre d'affaires : 1 million
Activité : mécatronique
DIDIER HUGUE

Le W3C dévoile les spécifications du HTML5 et de Canvas 2D

A lire sur:  http://www.ictjournal.ch/fr-CH/News/2012/12/20/Le-W3C-devoile-les-specifications-du-HTML5-et-de-Canvas-2D.aspx

 20.12.2012 17:29  (Hélène Lelièvre)
Versions finales soumises aux tests
web (Source: Fotolia)
Le World Wide Web Consortium (W3C) a publié la liste complète des spécifications du HTML5 et de Canvas 2D. Ces versions finales seront soumises à une phase de tests d’interopérabilité et de performance. Le W3C travaille déjà sur les améliorations à apporter pour les versions futures.
Depuis huit ans, le World Wide Web Consortium (W3C) travaille à la standardisation du langage HTML5. Cette semaine, il a publié la liste complète des spécifications du HTML5 et de Canvas 2D. Une phase de tests d’interopérabilité et de performance est désormais engagée et durera jusqu’en 2014. Selon une étude de Kendo UI citée dans le communiqué du W3C, 63% des développeurs utilisent déjà le HTML5. La phase de tests permettra d’affiner le langage HTML5, de vérifier qu’il est facilement compatible avec tous les navigateurs, les outils de créations, les clients de messagerie…
Mais le consortium assure que cette version est stable : «Bien qu'elles ne soient pas encore des standards du W3C, ces spécifications sont désormais finalisées, ce qui signifie que les entreprises et les développeurs ont un cadre stable pour la mise en œuvre et la planification. Le HTML est la pierre angulaire d’une plateforme web ouverte.»
Le W3C a en outre publié une liste d’améliorations qui devront être intégrées à une version 5.1., prévue comme recommandation pour 2016.

Eurostat : la France progresse sur le haut-débit... pour rattraper son retard

A lire sur:  http://www.zdnet.fr/actualites/eurostat-la-france-progresse-sur-le-haut-debit-pour-rattraper-son-retard-39785659.htm#xtor=EPR-100

 
Chiffres : L'institut d'études Eurostat vient de publier les chiffres de l'Internet haut-débit en Europe. La situation est très hétérogène, et la France est dans le ventre mou, mais travaille pour remonter.

Neelie Kroes, commissaire européenne au digital, appelait hier à un "réveil" sur le haut débit, fixant ainsi l'une des sept priorités de l'Europe en matière de numérique dans les prochaines années. Des données d'Eurostat, l'institut de statistiques de l'Europe, le confirme : l'accès à Internet haut-débit se renforce toujours plus, mais masque de fortes disparités.
Au niveau européen, ce sont désormais 72% des foyers qui accèdent à l'Internet haut-débit. L'institut de statistiques ne précise néanmoins pas sa qualification du haut débit en termes de vitesse. Les chiffres publiés par Eurostat ne donnent pas l'actualisation du bas-débit pour 2012, mais ils étaient de 5% en 2011 et en baisse continue.
Ecarts importants
Il ne faudrait pour autant pas voir l'objectif atteint sitôt la priorité énoncée. Le haut-débit progresse bien : de 5 points entre 2011 et 2012 et de 11 points entre 2010 et 2012), et cette hausse est régulière.
Mais l'ensemble des Etats-membres ne sont pas logés à la même enseigne. L'Europe à 27 est hétérogène sur bien des points, et l'accès à l'Internet haut-débit ne fait pas exception. Elle compte par exemple quelques champions, comme la Suède (87%), la Finlande (85%), le Danemark (85%), les les Pays-Bas (83%) ou l'Allemagne (82%).
A l'inverse, certains pays sont franchement laissés à la traine : la Roumanie n'est qu'à 50%, tandis que la Bulgarie et la Grèce dépassent à peine ce chiffre à 51%. Et l'Italie n'atteint elle-même que 55%. On retrouve ensuite un ventre mou entre 60 et 80%, certains étant plus hauts que d'autres.
République tchèque, Irlande, Espagne, Chypre, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Hongrie, Pologne, Portugal et Croatie (qui devrait rejoindre l'Union européenne en qualité de 28ème membre en juillet 2013) sont tous dans le bas de cet ensemble moyen, entre 60 et 70%.
Au-dessus, on retrouve des Etats comme la Belgique, l'Estonie, Malte, l'Autriche, la Slovaquie, la Slovénie et la France, avec ses 77%. Notons au passage qu'Eurostat ne dispose pas de chiffres pour le Royaume-Uni.
La France remonte la pente
Si la France ne fait donc pas partie des champions du haut-débit, elle est l'un des pays où son taux de pénétration est en plus forte croissance, avec +7 points. Les seuls qui progressent plus vite sont généralement très en retard.
La Roumanie, la Slovaquie et la Bulgarie connaissent par exemple des croissances record - respectivement 19, 17 et 11 points - mais partent de bien plus loin. Celui qui s'approche le plus de la France est la Slovaquie, qui n'est plus qu'à 5 points d'écart.
Evidemment, il ne s'agit pas d'une course bête et méchante, et ces résultats peuvent être pondérés par le développement du pays, l'effort politique ou le développement des usages.
Mais on voit tout de même clairement que, bien qu'en forte hausse, la France est loin de pays comparables, qui pointent tous au-delà des 80% de taux de pénétration du haut débit.
Ces chiffres concernent les foyers où une personne au moins a entre 16 et 74 ans.
Source : The Next Web

Samsung présentera son écran flexible 5,5 pouces au CES

A lire sur:  http://www.zdnet.fr/actualites/samsung-presentera-son-ecran-flexible-55-pouces-au-ces-39785625.htm#xtor=EPR-100

Technologie : Les années passent et apportent chacune la preuve que si l'écran flexible n'est pas près d'arriver, on s'en approche. Cette fois, le coup part de Samsung.

Ecran AMOLED de 5,5 pouces de diagonale, utilisable a priori pour les smartphones, avec une définition de 1280 par 720 pixels et une densité de 267 pixels. A priori, rien de bien neuf dans ces spécifications avancées par CNET USA... A la différence que ce sont celles d'un écran flexible.
Démonstration au CES
Et depuis le temps qu'on en parle, Samsung devrait enfin montrer un modèle proche de l'exploitable au grand public. A l'occasion du Consumer Electronic Show, en janvier, le fabricant sud-coréen va dévoiler deux écrans flexibles. L'un aux dimensions citées plus haut, et l'autre de 55 pouces, destiné aux téléviseurs.
Samsung Display, la filiale du géant en charge des écrans, avait déjà produit plusieurs écrans flexibles. Mais jamais aucun ne s'était approché des spécifications minimales permettant d'envisager une commercialisation.
Cet écran ne sera pour autant pas utilisable tel quel - sans capacité tactile - mais il y a fort à parier que les délégations envoyées par LG et Nokia, concurrents de Samsung sur les smartphones et sur les programmes de recherche autour de l'écran flexible, viendront visiter le stand Samsung avec une certaine curiosité.

Why today’s CIOs may no longer be up to the job

A lire sur:  http://www.techrepublic.com/blog/cio-insights/why-todays-cios-may-no-longer-be-up-to-the-job/39749733?tag=nl.e106&s_cid=e106
 
Takeaway: As CIOs are asked to take a more strategic role in businesses fresh talent may be needed to take over from IT leaders stuck in an “order taker” mentality.
New blood may be needed at the top of IT departments to meet the changing demands being placed on CIOs.
The primary role of the CIO is shifting, from optimising and integrating packaged enterprise systems to identifying how new technologies can drive business advantage, according to Gartner research VP Mark Raskino.
“For a long time - maybe for two or three CIOs in a row - CIOs have been used to tidy up the mess made in the past,” said Raskino, who has co-authored a new report CIO New Year’s Resolutions, 2013.
“We’ve seen very large global ERP integration and standardisation projects. Those took the best part of a decade in some cases but they’re mostly done now and I’ve met CIOs from all kinds of corporations who are saying the big question now is ‘What next?’,” he said.
What should come next, Raskino said, is that CIOs stop being order takers executing the demands of the board and start advising on the best ways to get business value from technologies like social media and mobile.
“Words like mobile and social are being used very vaguely, they don’t describe capabilities or competencies. There’s a loss of translation of ideas into action,” he said.
“CIOs need to turn back towards being agenda formers as they were in the late 80s and early 90s,” according to Raskino before many “got into a pattern of delivering packaged stuff from the industry”.
The problem is that incumbent CIOs may not be the best qualified to carry out this more strategic role. Raskino argues that if a CIO was appointed “to spend the five years sorting out an ERP mess, you can’t necessarily expect the same individual to become a progressive agenda setter after that,” he said.
While some existing CIOs will adapt to the more strategic demands of the job, the high turnover of the post means that there will be a ready supply of new talent to meet this new challenge, he said.
“It’s probable that we will start to see CIOs appointed who are being asked from the beginning to be more agenda forming.”

Strategic vacuum

The failure of existing CIOs to provide this strategic guidance is creating a vacuum that few other business leaders or the IT industry executives are well-placed to fill, he said.
“The IT industry used to package ideas for businesses very well, that’s why we had CRM and ERP. The industry doesn’t need to provide that so much any more because a lot of the industry’s revenue comes from consumers,” he said.
And when it is left to other business leaders to set the technology agenda, they tend to favour strategies that are heavily influenced by consumer technology, which may not best serve business’ needs, he said.
“You’ll often see demands for tablet computers with scant justification for that,” he said.
The failure of CIOs to provide the necessary technology strategy is leading to the creation of new roles to meet this need, he said.
“We are seeing the appointment of people like chief digital officers and chief data officers. It’s symptomatic of businesses trying to create an agenda for the use of technology that isn’t otherwise happening,” he said.