A lire sur: http://www.atelier.net/trends/articles/ordinateur-bientot-dote-de-capacites-cognitives-mieux-aider-homme?utm_source=emv&utm_medium=mail&utm_campaign=lettre_toute_zone
Comment créer de nouveaux services qui capitalisent
sur les données tout en comprenant les besoins réels des individus ? En
rendant les ordinateurs et smartphones capables de sentir le monde tel
qu'il est réellement.
Les ordinateurs et smartphones sont
actuellement capables de traiter de nombreuses quantités de données.
Cependant, d’ici cinq ans, ces appareils pourraient développer d’autres
capacités, et imiter les cinq sens humains, pour multiplier et faciliter
les usages des individus. Pour les auteurs de l'étude "IBM 5 in 5",
dont c'est la septième édition, il s’agirait de permettre aux individus
d'être plus productifs, efficaces et informés en tirant profit de la
multiplicité d'informations en circulation. C'est-à-dire de prendre de
meilleures décisions, et de mieux vivre (en améliorant sa santé, ses
habitudes, en enrichissant sa vie, et en cassant certaines barrières,
géographiques, de langue ou de coût. Cela, en rendant les appareils
capables de comprendre comment chaque utilisateur perçoit son
environnement, à travers ses capacités cognitives, mais aussi en les
reproduisant et en les interprétant. Pour le toucher, ordinateurs et mobiles retransmettraient la texture d’un objet ou de la peau par des impulsions électriques. La faculté "visuelle" d’un ordinateur, quant à elle, lui permettrait d’identifier chaque objet, sans intervention humaine.
Big Data et autres technologies
L’ouïe artificielle serait à même de percevoir de nombreux types de sons, d’en déterminer l’origine, mais également de les interpréter "humainement". Pour le goût, l’ordinateur pourrait considérer les saveurs favorites d’un individu, mais aussi identifier ses besoins nutritionnels, et ainsi déterminer un régime personnalisé et unique. Enfin, la machine reconnaîtrait les origines chimiques d’une odeur mais serait aussi capable de prévenir et de s’adapter aux maladies humaines. Cependant, toutes ces fonctions vont nécessiter de nombreuses technologies. Pour chaque sens, les scientifiques voudraient profiter de l’essor du Big Data, pour associer analyse et traitement des données à une capacité intuitive et interprétative des appareils, encore à créer. Par exemple, après avoir mémorisé les propriétés de nombreuses textures, la technologie haptique (sens du toucher, ndlr) du smartphone utiliserait l’infrarouge ainsi que des capteurs de pressions pour faire correspondre des impulsions électriques à cette texture, que le cerveau pourrait alors intuitivement reconnaître.
Des possibilités infinies, mais à définir
En ce qui concerne la vue et l’ouïe, l’ordinateur tirerait profit de la mise au point de logiciel capables d’extraire et de contextualiser de nombreux contenus visuels et audio, mais également d’une capacité d’analyse et de stock des données renforcée et développée. Enfin, pour le goût et l'odorat, l'ordinateur devrait utiliser de nombreux capteurs et de nombreux algorithmes, capables de décomposer et répertorier chaque aliment ou chaque odeur selon sa structure chimique. Par la suite, l’ordinateur pourrait alors enregistrer les saveurs favorites d’un individu, pour proposer des aliments et un régime adaptés, mais aussi identifier les éléments nocifs de l’environnement de l’individu. Selon IBM, ces technologies pourront s’appliquer dans des domaines divers et variés comme la santé, l’agriculture, l’alimentation ou encore le service client. Reste que la mise au point de logiciels et principalement, la collecte de données devra d’abord bénéficier de la mise en relation de nombreux chercheurs, par des réseaux structurés et efficaces.
Big Data et autres technologies
L’ouïe artificielle serait à même de percevoir de nombreux types de sons, d’en déterminer l’origine, mais également de les interpréter "humainement". Pour le goût, l’ordinateur pourrait considérer les saveurs favorites d’un individu, mais aussi identifier ses besoins nutritionnels, et ainsi déterminer un régime personnalisé et unique. Enfin, la machine reconnaîtrait les origines chimiques d’une odeur mais serait aussi capable de prévenir et de s’adapter aux maladies humaines. Cependant, toutes ces fonctions vont nécessiter de nombreuses technologies. Pour chaque sens, les scientifiques voudraient profiter de l’essor du Big Data, pour associer analyse et traitement des données à une capacité intuitive et interprétative des appareils, encore à créer. Par exemple, après avoir mémorisé les propriétés de nombreuses textures, la technologie haptique (sens du toucher, ndlr) du smartphone utiliserait l’infrarouge ainsi que des capteurs de pressions pour faire correspondre des impulsions électriques à cette texture, que le cerveau pourrait alors intuitivement reconnaître.
Des possibilités infinies, mais à définir
En ce qui concerne la vue et l’ouïe, l’ordinateur tirerait profit de la mise au point de logiciel capables d’extraire et de contextualiser de nombreux contenus visuels et audio, mais également d’une capacité d’analyse et de stock des données renforcée et développée. Enfin, pour le goût et l'odorat, l'ordinateur devrait utiliser de nombreux capteurs et de nombreux algorithmes, capables de décomposer et répertorier chaque aliment ou chaque odeur selon sa structure chimique. Par la suite, l’ordinateur pourrait alors enregistrer les saveurs favorites d’un individu, pour proposer des aliments et un régime adaptés, mais aussi identifier les éléments nocifs de l’environnement de l’individu. Selon IBM, ces technologies pourront s’appliquer dans des domaines divers et variés comme la santé, l’agriculture, l’alimentation ou encore le service client. Reste que la mise au point de logiciels et principalement, la collecte de données devra d’abord bénéficier de la mise en relation de nombreux chercheurs, par des réseaux structurés et efficaces.
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