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Edition du 11/12/2012
Fujitsu, NTT et Nec ont créé un groupe de recherche dont l'objectif est d'agréger 60 canaux de 400Gbit/s chacun sur une fibre.
Les Japonais Fujitsu, Nec et NTT ont annoncé mardi qu'ile tenteraient
de combiner 60 canaux afin d'atteindre une vitesse de transmission de
données d'environ 24Tbit/s sur une seule fibre optique. Les trois
entreprises ont indiqué qu'elles amélioreraient les techniques
actuelles de multiplexage et de modulation des signaux et qu'elles
allaient également s'attaquer à la dégradation des signaux optiques sur
de grandes distances.
En plus du débit brut, une exigence évidente à mesure que davantage de données sont échangées en ligne, les trois groupes ont précisé qu'ils allaient essayer de concevoir une technologie de réseau aussi adaptable que possible pour gérer les fluctuations et changements brutaux au sein du réseau. Les tremblements de terre qui surviennent régulièrement au Japon sont un test majeur pour ses réseaux, à la fois en raison des dommages physiques qu'ils provoquent et des pointes soudaines du trafic qui suivent, alors que la population tente de se connecter et d'obtenir les dernières informations.
Réduire la consommation énergétique
L'un des principaux objectifs du projet est de réduire la consommation d'énergie de moitié par rapport aux technologies actuelles. Les économies proviennent de la réduction de la quantité de matériel nécessaire, ont souligné les trois firmes dans un communiqué commun. Elles se sont également fixé pour but de développer un dispositif unique pouvant à la fois moduler et démoduler le trafic, pour plus de flexibilité globale du réseau.
Des vitesses plus rapides en fibres ont déjà été atteintes par le passé dans un contexte de recherche. NTT a annoncé avoir établi un record du monde en septembre quand il a atteint un pétabit par seconde de transmission sur une seule fibre de 50 kilomètres, ce qui, selon l'entreprise est l'équivalent de l'envoi de 5 000 heures de vidéos haute définition de deux heures chacune par seconde.
Les mêmes sociétés ont précédemment fait équipe à partir de 2009 pour développer une technologie de transmission pouvant aboutir à 100Gbit/s par canal. Un produit basé sur ces travaux de recherche a été commercialisé au début de cette année.
En plus du débit brut, une exigence évidente à mesure que davantage de données sont échangées en ligne, les trois groupes ont précisé qu'ils allaient essayer de concevoir une technologie de réseau aussi adaptable que possible pour gérer les fluctuations et changements brutaux au sein du réseau. Les tremblements de terre qui surviennent régulièrement au Japon sont un test majeur pour ses réseaux, à la fois en raison des dommages physiques qu'ils provoquent et des pointes soudaines du trafic qui suivent, alors que la population tente de se connecter et d'obtenir les dernières informations.
Réduire la consommation énergétique
L'un des principaux objectifs du projet est de réduire la consommation d'énergie de moitié par rapport aux technologies actuelles. Les économies proviennent de la réduction de la quantité de matériel nécessaire, ont souligné les trois firmes dans un communiqué commun. Elles se sont également fixé pour but de développer un dispositif unique pouvant à la fois moduler et démoduler le trafic, pour plus de flexibilité globale du réseau.
Des vitesses plus rapides en fibres ont déjà été atteintes par le passé dans un contexte de recherche. NTT a annoncé avoir établi un record du monde en septembre quand il a atteint un pétabit par seconde de transmission sur une seule fibre de 50 kilomètres, ce qui, selon l'entreprise est l'équivalent de l'envoi de 5 000 heures de vidéos haute définition de deux heures chacune par seconde.
Les mêmes sociétés ont précédemment fait équipe à partir de 2009 pour développer une technologie de transmission pouvant aboutir à 100Gbit/s par canal. Un produit basé sur ces travaux de recherche a été commercialisé au début de cette année.
Article de Véronique Arène avec IDG NS
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