Le Wall Street Journal rapporte que Google ouvre un nouveau datacenter en Europe. Situé en Finlande, plus exactement, il aura coûté 200 millions d'euros au géant pour sa construction. Outre un environnement particulièrement propice, Google bénéficierait également de la politique volontariste des autorités finlandaise envers les opérateurs de centres de données.
Il aura fallu deux ans et 200 millions d'euros à Google, géant de l'Internet mondial, pour transformer une ancienne fabrique de papier des bords de la mer Baltique, en Finlande, en datacenter flambant neuf. Au-delà du symbole que l'on voudra bien y voir sur les changements dans l'industrie de l'information, on peut souligner l'intérêt du géant pour un pays du Nord de l'Europe.
Les raisons de cette implantation sont multiples. Il y a l'opportunité que représentait en 2008 la fermeture d'une usine de papier, les probables aides promises par les autorités de Hamina, en Finlande, pour son arrivée dans le pays - la Finlande tente de convaincre de la qualité de son environnement pour l'implantation de centres de données - ou encore cet environnement, justement.
Car la Finlande, ainsi que les localités du littoral, vantent leur environnement et leur climat. Faibles températures, proximité d'eau en abondance, et prix peu élevé du terrain. Autant de bonnes raisons pour Google ou un autre opérateur de centre de données de s'implanter, alors que les principales préoccupations sont justement le coût de l'implantation - donc le prix du terrain - et le coût du refroidissement des serveurs. De ce point de vue, on comprend que des températures moyennes faibles et la présence d'eau, ingrédient indispensable au refroidissement, soient une incitation intéressante.
Le Wall Street Journal rappelle que les datacenters ont pris part dans la consommation électrique mondiale à hauteur de 1,5% l'an dernier. Et évidemment, les systèmes de refroidissement des serveurs prennent toute leur place dans ces coûts énergétiques. D'où l'intérêt d'utiliser des systèmes de réfrigération plus évolués, qui utilisent les éléments à disposition, comme l'eau froide, plutôt que de refroidir l'air ambiant pour l'injecter dans les fermes de serveurs. D'autant qu'à Hamina, en Finlande, l'air ambiant participera aussi du refroidissement des équipements de Google : la température moyenne sur l'année y est de 2°C. Espérons pour les ingénieurs californiens de Google qu'ils n'aient pas à y emménager.
Il aura fallu deux ans et 200 millions d'euros à Google, géant de l'Internet mondial, pour transformer une ancienne fabrique de papier des bords de la mer Baltique, en Finlande, en datacenter flambant neuf. Au-delà du symbole que l'on voudra bien y voir sur les changements dans l'industrie de l'information, on peut souligner l'intérêt du géant pour un pays du Nord de l'Europe.
Les raisons de cette implantation sont multiples. Il y a l'opportunité que représentait en 2008 la fermeture d'une usine de papier, les probables aides promises par les autorités de Hamina, en Finlande, pour son arrivée dans le pays - la Finlande tente de convaincre de la qualité de son environnement pour l'implantation de centres de données - ou encore cet environnement, justement.
Car la Finlande, ainsi que les localités du littoral, vantent leur environnement et leur climat. Faibles températures, proximité d'eau en abondance, et prix peu élevé du terrain. Autant de bonnes raisons pour Google ou un autre opérateur de centre de données de s'implanter, alors que les principales préoccupations sont justement le coût de l'implantation - donc le prix du terrain - et le coût du refroidissement des serveurs. De ce point de vue, on comprend que des températures moyennes faibles et la présence d'eau, ingrédient indispensable au refroidissement, soient une incitation intéressante.
Le Wall Street Journal rappelle que les datacenters ont pris part dans la consommation électrique mondiale à hauteur de 1,5% l'an dernier. Et évidemment, les systèmes de refroidissement des serveurs prennent toute leur place dans ces coûts énergétiques. D'où l'intérêt d'utiliser des systèmes de réfrigération plus évolués, qui utilisent les éléments à disposition, comme l'eau froide, plutôt que de refroidir l'air ambiant pour l'injecter dans les fermes de serveurs. D'autant qu'à Hamina, en Finlande, l'air ambiant participera aussi du refroidissement des équipements de Google : la température moyenne sur l'année y est de 2°C. Espérons pour les ingénieurs californiens de Google qu'ils n'aient pas à y emménager.
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