La juge américaine Ellen Huvelle a fixé le 13 février comme date pour le début du procès devant opposer AT&T et le département de la Justice américain, qui cherche à empêcher l'opérateur de racheter T-Mobile car il estime que le groupe ainsi formé serait alors en position de nuire à la concurrence, rapporte Reuters.
Suite à la plainte du département de la Justice, AT&T aurait pu négocier avec les autorités de manière à aboutir à un arrangement et à s'éviter un procès. Toutefois, le deuxième opérateur mobile a préféré défendre son projet, indiquant que la division mobile de Deutsche Telekom T-Mobile, pourtant quatrième opérateur mobile, ne constituait pas un acteur très important sur le marché.
La date fixée pour le procès correspond à un compromis entre la date du 19 mars requise par le gouvernement et celle du 16 janvier souhaitée par AT&T. Il est prévu que le procès dure six semaines bien que les avocats de chaque partie pensent que l'affaire devrait être réglée avant ce terme. L'un des avocats d'AT&T, Mark Hansen, avait en particulier insisté pour que le procès se déroule rapidement. Il se pourrait en effet qu'une trop longue procédure ne complique le processus de rachat et ne décourage les investisseurs, fait observer Reuters. Durant la programmation du procès, qui a duré 1h20, la question d'un arrangement n'a pas été évoquée.
Rappelons qu'AT&T prévoit de racheter T-Mobile pour 39 milliards de dollars et que, si le procès aboutit au blocage du rachat, AT&T devra verser 6 milliards de dollars à T-Mobile. Rappelons également que Sprint Nextel, le troisième opérateur mobile, a porté plainte contre AT&T pour le même motif mais séparément. Un procès que la juge Ellen Huvelle a refusé de fusionner avec celui engagé par le département de Justice au motif qu'elle souhaitait que l'affaire soit réglée le plus rapidement possible.
Suite à la plainte du département de la Justice, AT&T aurait pu négocier avec les autorités de manière à aboutir à un arrangement et à s'éviter un procès. Toutefois, le deuxième opérateur mobile a préféré défendre son projet, indiquant que la division mobile de Deutsche Telekom T-Mobile, pourtant quatrième opérateur mobile, ne constituait pas un acteur très important sur le marché.
La date fixée pour le procès correspond à un compromis entre la date du 19 mars requise par le gouvernement et celle du 16 janvier souhaitée par AT&T. Il est prévu que le procès dure six semaines bien que les avocats de chaque partie pensent que l'affaire devrait être réglée avant ce terme. L'un des avocats d'AT&T, Mark Hansen, avait en particulier insisté pour que le procès se déroule rapidement. Il se pourrait en effet qu'une trop longue procédure ne complique le processus de rachat et ne décourage les investisseurs, fait observer Reuters. Durant la programmation du procès, qui a duré 1h20, la question d'un arrangement n'a pas été évoquée.
Rappelons qu'AT&T prévoit de racheter T-Mobile pour 39 milliards de dollars et que, si le procès aboutit au blocage du rachat, AT&T devra verser 6 milliards de dollars à T-Mobile. Rappelons également que Sprint Nextel, le troisième opérateur mobile, a porté plainte contre AT&T pour le même motif mais séparément. Un procès que la juge Ellen Huvelle a refusé de fusionner avec celui engagé par le département de Justice au motif qu'elle souhaitait que l'affaire soit réglée le plus rapidement possible.
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