A lire sur: http://www.gizmodo.fr/2012/04/22/une-batterie-qui-respire-pour-parcourir-plus-de-800-km.html?utm_source=Newsletter+Gizmodo&utm_campaign=33b381b9cb-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email
Non, vous ne rêvez pas ! Il se pourrait bien que, grâce à IBM, Asahi Kasei
et Central Glass, nous puissions, dans un avenir proche, effectuer pas
moins de 800 km avec une seule charge de la batterie de notre voiture
électrique. Cette batterie haute performance fonctionne, classiquement, à
base de lithium, mais aussi… d’air !
Le concept est le suivant : l’air, composé comme chacun sait d’oxygène, passe dans la batterie. Les molécules d’oxygène sont absorbées par une couche de carbone imprégnée des ions lithium. Ceux-ci réagissent pour former de l’électricité et du peroxyde de lithium. Une fois la batterie vidée, une simple prise de courant la rechargera et libèrera l’oxygène, comme si votre voiture respirait.
Asahi Kasei, grand spécialiste des membranes séparatrices pour les batteries lithium-ions, et Central Glass, leader dans la fabrication d’électrolytes, ont été appelé en renfort sur ce projet, Batterie 500, chacun dans leurs domaines de prédilection. IBM entend ainsi transformer son expérimentation en un produit tout à fait viable commercialement à l’horizon 2030.
Non, vous ne rêvez pas ! Il se pourrait bien que, grâce à IBM, Asahi Kasei
et Central Glass, nous puissions, dans un avenir proche, effectuer pas
moins de 800 km avec une seule charge de la batterie de notre voiture
électrique. Cette batterie haute performance fonctionne, classiquement, à
base de lithium, mais aussi… d’air !Le concept est le suivant : l’air, composé comme chacun sait d’oxygène, passe dans la batterie. Les molécules d’oxygène sont absorbées par une couche de carbone imprégnée des ions lithium. Ceux-ci réagissent pour former de l’électricité et du peroxyde de lithium. Une fois la batterie vidée, une simple prise de courant la rechargera et libèrera l’oxygène, comme si votre voiture respirait.
Asahi Kasei, grand spécialiste des membranes séparatrices pour les batteries lithium-ions, et Central Glass, leader dans la fabrication d’électrolytes, ont été appelé en renfort sur ce projet, Batterie 500, chacun dans leurs domaines de prédilection. IBM entend ainsi transformer son expérimentation en un produit tout à fait viable commercialement à l’horizon 2030.
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