A lire sur: http://www.gizmodo.fr/2012/04/25/des-batteries-de-metal-liquide-pourraient-aider-les-energies-renouvelables.html?utm_source=Newsletter+Gizmodo&utm_campaign=64a6a373f5-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email
Le
professeur Donald Sadoway et son équipe d’étudiants du Massachusetts
Institute of Technology (MIT) sont parvenus à concevoir une batterie qui pourrait rendre bien plus fiables les énergies renouvelables (solaire et éolienne en particulier) et permettre de les implanter davantage sur notre planète.
Leur objectif premier était de créer une batterie, certes peu chère et réalisée avec des matériaux bien connus, mais aussi et surtout de fabriquer une énorme batterie. Et force est de constater que même si ladite batterie semble sortie tout droit d’un épisode de Star Trek, sa taille permettrait de placer les énergies renouvelables au même rang que les fossiles dans notre utilisation quotidienne. Alors que le premier prototype tenait dans un verre d’eau, l’actuel fait 15 cm de large et permet un stockage 200 fois supérieur.
Le principe de cette batterie est assez commun : des sels fondus sont pris en étau entre deux électrodes, faites le cas présent de métal liquide. Et d’après le professeur Sadoway, aucun problème de chaleur, la batterie chauffe elle-même en se chargeant et se déchargeant, ni de refroidissement. Les prototypes ont encore de longues années devant eux, mais qui sait, peut-être verra-t-on un jour ce genre de batterie en fonctionnement.
Petite anecdote : pour se lancer dans ce projet, le professeur a fait appel à des étudiants, du MIT, certes, mais des étudiants, des débutants, pas des experts dans le domaine. Pourquoi ? Et lui de répondre : « ils sont persuadés que si ça marche, ça peut changer le monde… Ils ont fait des miracles ».
[theverge] & [physorg] © mozZz – Fotolia.com
Leur objectif premier était de créer une batterie, certes peu chère et réalisée avec des matériaux bien connus, mais aussi et surtout de fabriquer une énorme batterie. Et force est de constater que même si ladite batterie semble sortie tout droit d’un épisode de Star Trek, sa taille permettrait de placer les énergies renouvelables au même rang que les fossiles dans notre utilisation quotidienne. Alors que le premier prototype tenait dans un verre d’eau, l’actuel fait 15 cm de large et permet un stockage 200 fois supérieur.
Le principe de cette batterie est assez commun : des sels fondus sont pris en étau entre deux électrodes, faites le cas présent de métal liquide. Et d’après le professeur Sadoway, aucun problème de chaleur, la batterie chauffe elle-même en se chargeant et se déchargeant, ni de refroidissement. Les prototypes ont encore de longues années devant eux, mais qui sait, peut-être verra-t-on un jour ce genre de batterie en fonctionnement.
Petite anecdote : pour se lancer dans ce projet, le professeur a fait appel à des étudiants, du MIT, certes, mais des étudiants, des débutants, pas des experts dans le domaine. Pourquoi ? Et lui de répondre : « ils sont persuadés que si ça marche, ça peut changer le monde… Ils ont fait des miracles ».
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