A lire sur: http://www.itespresso.fr/nokia-ne-detient-plus-les-renes-de-la-telephonie-mobile-52881.html
Le couperet s’est abattu sur Nokia, en fort recul sur le
marché de la téléphonie mobile et officiellement destitué de cette
première place qu’il occupait depuis 14 ans.
La chute était inexorable. Nokia est désormais dépossédé de sa place de numéro un sur le marché de la téléphonie mobile, après 14 ans aux sommets.
Sur un plateau d’une émission télévisée en Finlande, le président Jorma Ollila a confirmé l’échéance, comme impuissant face à cette perte nette de 929 millions d’euros qu’affiche le constructeur nordique sur le seul premier trimestre 2012.
Les ventes en volume ne contredisent pas cette dynamique négative : Nokia a écoulé 82,7 millions de mobiles au cours des trois premiers mois, contre 108,5 millions un an plus tôt, en baisse de quelques 30%, souligne l’AFP.
Les « feature phones » s’affichent eux aussi en retrait : 70,8 millions ont trouvé acquéreurs sur la période de référence, à comparer avec ces 84,3 millions d’exemplaires vendus sur l’exercice précédent, entre janvier et mars.
Quand les terminaux low cost ne suffisent plus à compenser la décrépitude des smartphones (la gamme Windows Phone Lumia a du mal à prendre racine), Nokia persiste à jouer les optimistes.
Ces « feature phones », piliers stratégiques, ont du plomb dans l’aile. L’éclosion, sur les marchés émergents, de nouveaux constructeurs tels Huawei et ZTE, n’y est pas étrangère.
L’on en avait appréhendé les signes au dernier pointage, début février : sous la houlette du trublion Samsung, un déséquilibre avait suffi à secouer significativement un écosystème dont la loi de la demande ne souriait d’ores et déjà guère à Nokia.
Le Finlandais, encore solidement arrimé à sa première place avec 100 millions de smartphones vendus en 2010, avait terminé l’année 2011 en retrait, le compteur grippé à 77,3 millions d’exemplaires (dont un peu plus d’un million de Lumia), soit 15,7% du marché.
Sur un plateau d’une émission télévisée en Finlande, le président Jorma Ollila a confirmé l’échéance, comme impuissant face à cette perte nette de 929 millions d’euros qu’affiche le constructeur nordique sur le seul premier trimestre 2012.
Les ventes en volume ne contredisent pas cette dynamique négative : Nokia a écoulé 82,7 millions de mobiles au cours des trois premiers mois, contre 108,5 millions un an plus tôt, en baisse de quelques 30%, souligne l’AFP.
Les « feature phones » s’affichent eux aussi en retrait : 70,8 millions ont trouvé acquéreurs sur la période de référence, à comparer avec ces 84,3 millions d’exemplaires vendus sur l’exercice précédent, entre janvier et mars.
Quand les terminaux low cost ne suffisent plus à compenser la décrépitude des smartphones (la gamme Windows Phone Lumia a du mal à prendre racine), Nokia persiste à jouer les optimistes.
Ces « feature phones », piliers stratégiques, ont du plomb dans l’aile. L’éclosion, sur les marchés émergents, de nouveaux constructeurs tels Huawei et ZTE, n’y est pas étrangère.
L’on en avait appréhendé les signes au dernier pointage, début février : sous la houlette du trublion Samsung, un déséquilibre avait suffi à secouer significativement un écosystème dont la loi de la demande ne souriait d’ores et déjà guère à Nokia.
Le Finlandais, encore solidement arrimé à sa première place avec 100 millions de smartphones vendus en 2010, avait terminé l’année 2011 en retrait, le compteur grippé à 77,3 millions d’exemplaires (dont un peu plus d’un million de Lumia), soit 15,7% du marché.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire