A lire sur: http://www.gizmodo.fr/2012/04/22/la-couverture-la-plus-high-tech-du-monde.html?utm_source=Newsletter+Gizmodo&utm_campaign=33b381b9cb-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email
Quand on pense haute-technologie, on ne pense pas forcément à une couverture. Pourtant dans le futur, les couvertures pourraient bien nous rendre de nombreux services en plus de nous maintenir au chaud.
L’IM Blanky, c’est son nom, a des capteurs et du tissu conducteur brodé dessus. La couverture sait ainsi quand elle est pliée, en boule ou étalée.
Créée à l’université de Toronto, la couverture incorpore 104 détecteurs d’inclinaison en tissus qui ressemblent à des fleurs avec des pétales en tissu conducteur. Ces capteurs sont ensuite connectés à un réseau plus grand en utilisant des fils conducteurs qui forment une grande grille d’hexagones couvrant toute la couverture. Ce qui a pour but de créer un motif unique qui est aussi fonctionnel que stylé.
Les capteurs d’inclinaison transmettent leur orientation à un ordinateur via un Arduino qui est alors capable de calculer les pentes entre les diverses fleurs et pétales sur la couverture. Le résultat ? Une représentation en 3D de la forme de la couverture, peu importe comment elle est posée. En théorie, quand la e-couverture sera plus perfectionnée au point de déterminer la position de chaque centimètre carré, il suffira d’envelopper un objet avec elle pour en avoir une représentation 3D fidèle. On peut même imaginer que la respiration d’un patient sera surveillée juste en lui plaçant une couverture dessus. [University of Toronto - RAD via Domus]
L’IM Blanky, c’est son nom, a des capteurs et du tissu conducteur brodé dessus. La couverture sait ainsi quand elle est pliée, en boule ou étalée.
Créée à l’université de Toronto, la couverture incorpore 104 détecteurs d’inclinaison en tissus qui ressemblent à des fleurs avec des pétales en tissu conducteur. Ces capteurs sont ensuite connectés à un réseau plus grand en utilisant des fils conducteurs qui forment une grande grille d’hexagones couvrant toute la couverture. Ce qui a pour but de créer un motif unique qui est aussi fonctionnel que stylé.
Les capteurs d’inclinaison transmettent leur orientation à un ordinateur via un Arduino qui est alors capable de calculer les pentes entre les diverses fleurs et pétales sur la couverture. Le résultat ? Une représentation en 3D de la forme de la couverture, peu importe comment elle est posée. En théorie, quand la e-couverture sera plus perfectionnée au point de déterminer la position de chaque centimètre carré, il suffira d’envelopper un objet avec elle pour en avoir une représentation 3D fidèle. On peut même imaginer que la respiration d’un patient sera surveillée juste en lui plaçant une couverture dessus. [University of Toronto - RAD via Domus]
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