A lire sur: http://www.zdnet.fr/actualites/mwc-2013-la-pub-mobile-de-plus-en-plus-acceptee-un-peu-moins-en-france-39787686.htm#EREC-103
Business : Selon une étude InMobi
révélée lors du Mobile World Congress, 59% des mobinautes se déclarent
"à l'aise" avec la publicité sur mobile. Et 45% affirment que la
publicité mobile influence leurs achats en magasin.
Barcelone - L'explosion des smartphones et des applications
dope évidemment la publicité sur mobile qui affiche une croissance
insolente. Selon une étude
d'Informa Telecom & Media, ce marché a représenté 8 milliards de
dollars en 2012 dans le monde et devrait bondir à 13 milliards de
dollars cette année.
InMobi, régie publicitaire mondiale spécialisée dans le mobile, a voulu connaître la perception des mobinautes face à ces publicités. Une étude dévoilée lors du Mobile World Congress (15 000 utilisateurs dans 14 pays) entend démontrer que l'accueil est plus que favorable.
Ainsi, 59% des possesseurs de terminaux mobiles se sentent aussi à l'aise avec la publicité mobile qu'avec celle diffusée à la télévision ou sur Internet.On note néanmoins des disparités géographiques puisque ce taux tombe à 43% pour la France, visiblement plus réfractaire...
70% des revenus publicitaires via les applications
Mais qu'entend on par publicité mobile ? "70% des revenus proviennent des Apps, mais on note une croissance forte au niveau des bannières", nous explique Limvriak Chea, directeur général France pour InMobi.
Précisément, 54% des utilisateurs découvrent des publicités mobiles via des applications, 40% via leur moteur de recherche, 27% sur un site commerçant et 23% sur un site Web de vidéos.
De quoi déclencher des actes d'achat ? "66% des mobinautes ont déjà dépensé de l'argent sur mobile et 80% devraient le faire d'ici un an", ajoute le responsable. En France, nous sommes à 57%. Mais là encore, les Apps constituent le gros des dépenses.
Nouveaux modèles économiques à trouver
En fait, si la croissance de la publicité en ligne est forte, de nouveaux modèles économiques sont à trouver. "L'efficacité est au coeur des problématiques. Aujourd'hui, nous sommes capables d'améliorer le ciblage et de préférer la qualité au volume. On est ainsi capable de savoir si un mobinaute utilise concrètement une application. Si ce n'est pas le cas, inutile de lui pousser une publicité", explique Limvriak Chea.
"L'enjeu est de segmenter les utilisateurs, selon le type de produit ou le type d'offre, et accepter qu'il n'est tout simplement pas la bonne cible", poursuit-il. Segmentation, ciblage, tracking... autant de techniques intrusives qui pourraient ne pas être du goût de certains mobinautes. On se souviendra qu'Apple avait créé la polémique avec son outil de personnalisation des publicités par défaut.
InMobi, régie publicitaire mondiale spécialisée dans le mobile, a voulu connaître la perception des mobinautes face à ces publicités. Une étude dévoilée lors du Mobile World Congress (15 000 utilisateurs dans 14 pays) entend démontrer que l'accueil est plus que favorable.
Ainsi, 59% des possesseurs de terminaux mobiles se sentent aussi à l'aise avec la publicité mobile qu'avec celle diffusée à la télévision ou sur Internet.On note néanmoins des disparités géographiques puisque ce taux tombe à 43% pour la France, visiblement plus réfractaire...
70% des revenus publicitaires via les applications
Mais qu'entend on par publicité mobile ? "70% des revenus proviennent des Apps, mais on note une croissance forte au niveau des bannières", nous explique Limvriak Chea, directeur général France pour InMobi.
Précisément, 54% des utilisateurs découvrent des publicités mobiles via des applications, 40% via leur moteur de recherche, 27% sur un site commerçant et 23% sur un site Web de vidéos.
De quoi déclencher des actes d'achat ? "66% des mobinautes ont déjà dépensé de l'argent sur mobile et 80% devraient le faire d'ici un an", ajoute le responsable. En France, nous sommes à 57%. Mais là encore, les Apps constituent le gros des dépenses.
Nouveaux modèles économiques à trouver
En fait, si la croissance de la publicité en ligne est forte, de nouveaux modèles économiques sont à trouver. "L'efficacité est au coeur des problématiques. Aujourd'hui, nous sommes capables d'améliorer le ciblage et de préférer la qualité au volume. On est ainsi capable de savoir si un mobinaute utilise concrètement une application. Si ce n'est pas le cas, inutile de lui pousser une publicité", explique Limvriak Chea.
"L'enjeu est de segmenter les utilisateurs, selon le type de produit ou le type d'offre, et accepter qu'il n'est tout simplement pas la bonne cible", poursuit-il. Segmentation, ciblage, tracking... autant de techniques intrusives qui pourraient ne pas être du goût de certains mobinautes. On se souviendra qu'Apple avait créé la polémique avec son outil de personnalisation des publicités par défaut.
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