A lire sur: http://www.demainlaveille.fr/2013/03/19/les-utilisateurs-twitter-des-tribus-avec-leurs-propres-codes-et-langages
L’idée
reçue que les utilisateurs Twitter partagent tout avec la communauté
est finalement remise en cause. En effet, sur Twitter, nous serons
plutôt en présence de de micro-communautés tribales, avec leur propre
code, leur propre usages et un langage commun spécifique. Autrement dit,
un cloisonnement assez présent et des échanges en silo, encourageant le
développement de zones hermétiques ! Une structure qui s’aligne plus
précisément sur les échanges sociaux physiques.
L’étude d’analyse sémantique menée par un groupe de chercheurs (de la London School of Hygiene & Tropical Medicine, le Department of Ecology and Evolutionary Biology, Princeton University, Princeton et la School of Biological Sciences, Royal Holloway, University of London) a démontré que les utilisateurs d’une même « tribu » font appel à des mots clefs et hashtags précis pour orienter les échanges et conversations, et ce en fonction des orientations politiques, religieuses, des métiers ou encore de l’ethnie.
Via le Guardian
L’étude d’analyse sémantique menée par un groupe de chercheurs (de la London School of Hygiene & Tropical Medicine, le Department of Ecology and Evolutionary Biology, Princeton University, Princeton et la School of Biological Sciences, Royal Holloway, University of London) a démontré que les utilisateurs d’une même « tribu » font appel à des mots clefs et hashtags précis pour orienter les échanges et conversations, et ce en fonction des orientations politiques, religieuses, des métiers ou encore de l’ethnie.
Interestingly, just as people have varying regional accents, we also found that communities would misspell words in different ways. The Justin Bieber fans have a habit of ending words in ‘ee’, as in ‘pleasee’.Ces résultats peuvent remettre en cause les mécanismes d’influence et de propagation des messages et informations sur la Twittosphère, notamment auprès des professionnels de la communication et du marketing.
Via le Guardian
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