A lire sur: http://www.usinenouvelle.com/article/cinq-capteurs-sous-la-peau.N193818#xtor=EPR-192
Par Thierry Lucas - Publié le
Chaque capteur est recouvert d’une enzyme qui permet la détection de la substance à analyser. Les enzymes ont une durée de vie d’environ un six semaines, ce qui est déjà suffisant pour certaines applications. La conception de l’électronique était un défi, en termes de miniaturisation, mais aussi de consommation électrique : l’ensemble se contente de 0,1 watt.
Ce type d’implants, encore au stade du prototype, devrait permettre
d’alerter directement le médecin quand un symptôme apparaît, et
faciliter la mise au point de traitement complexe qui nécessite de
suivre la réaction du patient.
Thierry Lucas
Par Thierry Lucas - Publié le
C’est un laboratoire d’analyse de sang implantable. Des chercheurs de
l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne l’ont conçu pour améliorer la
surveillance des malades chroniques, et mieux suivre des patients en
chimiothérapie.
Il ne mesure que quelques millimètres, mais il contient les capteurs
mesurant la concentration de 5 substances (lactate, glucose, etc.), un
transmetteur radio, et une minuscule bobine électrique pour recevoir de
l’énergie, qui lui est transmise sans fil, par une batterie qui prend la
forme d’un patch. C’est aussi le patch qui collecte les informations
envoyées par l’implant, et les renvoie vers un téléphone mobile via une
liaison Bluetooth. Le téléphone transmet les résultats de l’analyse au
médecin qui suit le patient.Chaque capteur est recouvert d’une enzyme qui permet la détection de la substance à analyser. Les enzymes ont une durée de vie d’environ un six semaines, ce qui est déjà suffisant pour certaines applications. La conception de l’électronique était un défi, en termes de miniaturisation, mais aussi de consommation électrique : l’ensemble se contente de 0,1 watt.
Thierry Lucas
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