L'acquisition de nouvelles technologies doit être
pensée de façon globale en tenant compte de l'infrastructure
informatique existante, mais aussi des processus de l'entreprise.
Les entreprises ne seraient pas en mesure de
tirer pleinement profit des dernières technologies acquises. La raison ?
Pour 79 % des entreprises, cela serait dû à l'obsolescence de leurs
systèmes informatiques existants, selon
une étude menée par Ricoh.
Mais surtout, 78% des entreprises investiraient dans de nouvelles
technologies avant même de maîtriser pleinement les fonctionnalités du
matériel dont elles disposent. Or la technologie ne doit pas être
considérée comme un remède universel, car elle ne peut transformer à
elle seule le lieu de travail. La technologie et les processus doivent
être liés.
Une relation étroite
L’étude démontre que les entreprises évaluent leur technologie et
leurs processus documentaires (la circulation de l'information à travers
une entreprise) séparément, au lieu d’envisager ces deux éléments comme
étant reliés l’un à l’autre. L'efficacité de l'un serait dépendante de
l'autre. Seulement 53 % des organisations ont affirmé évaluer leur
technologie de gestion des processus tous les six mois, ou tous les six à
douze mois. Les entreprises européennes doivent dès à présent évaluer
leurs processus sensibles et leurs technologies pour maximiser autant
que possible leur fonctionnement, ce, en adoptant une démarche globale
pour Michel de Bosschere, Président de Ricoh France.
Un fossé dans les investissements
En effet, seule une compréhension approfondie du fonctionnement des
processus permettra d'appréhender les difficultés et d'identifier des
solutions. Mais bien intégrée, les technologies peuvent avoir un impact
sur les méthodes de travail, les rendant mobiles et souples.
L'innovation technologique va continuer à un rythme sans précédent, et
les entreprises doivent réagir dès aujourd'hui pour rester compétitives.
Toutefois, l'étude montre actuellement qu'il existe un fossé existant
entre les investissements technologiques au profit du front office
(vente et service client) et ceux à destination du back office
(finances, RH et marketing). Beaucoup d'entreprises équipent
prioritairement le front office de nouvelles technologies, mais ne
parviennent pas à les intégrer au back office. Cela peut avoir des
répercussions sur la gestion des processus et engendrer différents
risques tels que des engorgements, la multiplication inutile des efforts
et des failles dans la sécurité de l'entreprise.
Toute à fait d'accord avec vous , tout depond de l'homme , il faut q'on soit tous a la hauteur et on fait qu'on essaye d'atteindre notre but
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