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La Commission européenne soutient le projet R&D Eurocloud visant à
concevoir un microprocesseur 3D spécial. Pour obtenir au final des
centres de données plus efficaces, plus propres et moins chers.
Dans sa stratégie numérique, la Commission européenne s’intéresse au cloud.
A travers le projet EuroCloud, elle apporte un soutien financier à des travaux R&D mêlant « informatique en nuage » et green IT pour développer des data centers plus écologiques.
Concrètement, il s’agit de concevoir des puces pour serveurs qui coûteront « dix fois moins à l’achat et consommeront 10 fois moins d’énergie en mode fonctionnement, par rapport aux serveurs actuellement disponibles ».
De tels travaux devraient permettre de gagner de la densité et en puissance en termes de processeurs dans un serveur unique.
Dans cette perspectives, il s’agit de concevoir « des microprocesseurs à faible consommation, normalement utilisés dans les téléphones mobiles, en l’appliquant sur une échelle beaucoup plus grande » pour aboutir au final à des centres de données comportant 1 million de cœurs de processeurs.
Au cœur des travaux R&D financés par l’UE figure un microprocesseur 3D spécial.
EuroCloud associe des chercheurs de plusieurs pays européens (Royaume-Uni, Belgique, Suisse, Finlande et Chypre).
Le projet est majoritairement soutenu par l’UE à hauteur de 3,3 millions d’euros sur 3 ans (63% du budget total).
Un bel exemple de ce qui est possible de réaliser en matière de touche européenne dans le cloud en unissant les forces de la recherche européenne.
Mais cela reste une goutte par rapport à la force de frappe d’un groupe américain comme Intel.
En 2011, le fondeur a consacré 17% de son chiffre d’affaires à la R&D, soit 8,35 milliards de dollars.
A travers le projet EuroCloud, elle apporte un soutien financier à des travaux R&D mêlant « informatique en nuage » et green IT pour développer des data centers plus écologiques.
Concrètement, il s’agit de concevoir des puces pour serveurs qui coûteront « dix fois moins à l’achat et consommeront 10 fois moins d’énergie en mode fonctionnement, par rapport aux serveurs actuellement disponibles ».
De tels travaux devraient permettre de gagner de la densité et en puissance en termes de processeurs dans un serveur unique.
Dans cette perspectives, il s’agit de concevoir « des microprocesseurs à faible consommation, normalement utilisés dans les téléphones mobiles, en l’appliquant sur une échelle beaucoup plus grande » pour aboutir au final à des centres de données comportant 1 million de cœurs de processeurs.
Au cœur des travaux R&D financés par l’UE figure un microprocesseur 3D spécial.
Il a vocation à « diminuer
considérablement les coûts en électricité et les coûts d’installation
des serveurs dans les centres de calcul en nuage ».
La Commission européenne le souligne dans sa communication :
« Les mesures préliminaires montrent que l’utilisation de ces
technologies permet de réduire les besoins en électricité de 90% par
rapport aux serveurs conventionnels. »
Efficacité, propreté, taille compact…Le projet de serveur sur puce 3D
est ambitieux. S’il tient toutes ses promesses une fois déployé dans
les centres de données, les gestionnaires de services IT pourraient
économiser des « milliards d’euros ».EuroCloud associe des chercheurs de plusieurs pays européens (Royaume-Uni, Belgique, Suisse, Finlande et Chypre).
Le projet est majoritairement soutenu par l’UE à hauteur de 3,3 millions d’euros sur 3 ans (63% du budget total).
Un bel exemple de ce qui est possible de réaliser en matière de touche européenne dans le cloud en unissant les forces de la recherche européenne.
Mais cela reste une goutte par rapport à la force de frappe d’un groupe américain comme Intel.
En 2011, le fondeur a consacré 17% de son chiffre d’affaires à la R&D, soit 8,35 milliards de dollars.
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