A lire sur: http://www.itchannel.info/articles/139887/integration-cloud-entreprise-doit-etre-associee-redefinition-processus.html
Selon une étude de KPMG, les ressources humaines (57 %), la gestion des processus informatiques (54 %) et la gestion des communications internes/externes (53 %) sont les fonctions dans l’entreprise qui ont le plus largement intégré le Cloud. 48 % des entreprises sondées considèrent par ailleurs la réduction des coûts comme la principale motivation pour passer au Cloud et 70% des entreprises sont "plutôt d’accord" ou "tout à fait d’accord" pour dire que l’environnement Cloud a permis une réduction significative des coûts.
Reste que pour KPMG, l’intégration du cloud dans l'entreprises doit concorder avec une refonte de ses processus clés, et ce, afin de tirer profit des économies de coût informatique réalisées à court terme, et contribuer à transformer à long terme les modèles économiques. "La France ne semble pas prendre toute la mesure de l’ensemble des avantages que le Cloud Computing peut apporter, déplore Marie Guillemot, Associée, responsable du secteur Technologie, Média, Télécommunications de KPMG en France. Moins de 10 % des répondants considèrent, en effet, cette technologie comme un outil de transformation des processus de l’entreprise".
D'autant que l’adoption du Cloud s’avère généralement plus complexe que prévu, à la fois en termes de gestion des données, d’intégration de systèmes et de gestion des multiples fournisseurs de contenus. Plus d’un tiers des entreprises interrogées estiment que les coûts de mise en place de leur projet Cloud ont été plus élevés que prévu ; 31 % ont rencontré des difficultés de mise en œuvre pure quant à l’intégration de ces nouveaux processus avec l’architecture existante et 30 % évoquent des pertes de données ou une minimisation du contrôle sur ces données. "Les dépassements de budgets observés illustrent bien la nécessité de gérer la migration vers le Cloud comme un véritable projet d’entreprise, explique Sylvain Leterrier, Directeur, activités IT Advisory de KPMG en France. Il s’agit d’anticiper, avant même le démarrage du projet, la définition de la stratégie Cloud en matière de gouvernance et de sécurité, et la mise en place d’une structure de projet suffisamment transversale pour tirer parti du potentiel du Cloud au travers de la refonte de l’organisation et la redéfinition des processus métiers".
En revanche, du côté de la sécurité, tout va mieux. Elle n'est plus considérée comme le principal frein au développement.
Jeudi 4 Avril 2013
Si le Cloud Computing se déploie progressivement au sein de
bon nombre d’entreprises, son adoption nécessite malgré tout un temps
d’adaptation. Selon une étude de KPMG, les ressources humaines (57 %), la gestion des processus informatiques (54 %) et la gestion des communications internes/externes (53 %) sont les fonctions dans l’entreprise qui ont le plus largement intégré le Cloud. 48 % des entreprises sondées considèrent par ailleurs la réduction des coûts comme la principale motivation pour passer au Cloud et 70% des entreprises sont "plutôt d’accord" ou "tout à fait d’accord" pour dire que l’environnement Cloud a permis une réduction significative des coûts.
Reste que pour KPMG, l’intégration du cloud dans l'entreprises doit concorder avec une refonte de ses processus clés, et ce, afin de tirer profit des économies de coût informatique réalisées à court terme, et contribuer à transformer à long terme les modèles économiques. "La France ne semble pas prendre toute la mesure de l’ensemble des avantages que le Cloud Computing peut apporter, déplore Marie Guillemot, Associée, responsable du secteur Technologie, Média, Télécommunications de KPMG en France. Moins de 10 % des répondants considèrent, en effet, cette technologie comme un outil de transformation des processus de l’entreprise".
D'autant que l’adoption du Cloud s’avère généralement plus complexe que prévu, à la fois en termes de gestion des données, d’intégration de systèmes et de gestion des multiples fournisseurs de contenus. Plus d’un tiers des entreprises interrogées estiment que les coûts de mise en place de leur projet Cloud ont été plus élevés que prévu ; 31 % ont rencontré des difficultés de mise en œuvre pure quant à l’intégration de ces nouveaux processus avec l’architecture existante et 30 % évoquent des pertes de données ou une minimisation du contrôle sur ces données. "Les dépassements de budgets observés illustrent bien la nécessité de gérer la migration vers le Cloud comme un véritable projet d’entreprise, explique Sylvain Leterrier, Directeur, activités IT Advisory de KPMG en France. Il s’agit d’anticiper, avant même le démarrage du projet, la définition de la stratégie Cloud en matière de gouvernance et de sécurité, et la mise en place d’une structure de projet suffisamment transversale pour tirer parti du potentiel du Cloud au travers de la refonte de l’organisation et la redéfinition des processus métiers".
En revanche, du côté de la sécurité, tout va mieux. Elle n'est plus considérée comme le principal frein au développement.
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