Bouygues Telecom et Microsoft lanceront d'ici la fin de
l'année une offre d'infrastructure en tant que service. Si la teneur
exacte n'a pas encore été dévoilée, les deux partenaires assurent que sa
simplicité et ses tarifs attractifs sauront séduire les PME.
Bouygues Telecom devrait lever le voile d'ici la fin de l'année sur sa première offre de cloud computing à destination des entreprises, élaborée en association avec Microsoft. À défaut d'en dévoiler les modalités exactes, les deux partenaires ont précisé la teneur de cette collaboration et les ambitions de ce cloud pour PME mardi, suite à la conférence de rentrée de l'éditeur.
« Nous avons pris la décision d'entrer sur le marché du cloud pour entreprises il y a environ un an. Nous y sommes allés parce que la démarche est naturellement intégrée dans la logique d'un opérateur, particulièrement s'il s'agit d'un opérateur mobile », a détaillé mardi Richard Viel, directeur général délégué de Bouygues Telecom.
Faut-il y voir une volonté de répondre aux projets auxquels sont associés Orange (Cloudwatt, avec Thales) et SFR (Numergy, avec Bull) sous l'égide de l'Etat français ? « On préfère faire des offres simples, pragmatiques, capables de délivrer un environnement économique optimal par rapport aux ambitions des entreprises », balaie l'intéressé.
Ici, il s'agira plus précisément des PME et ETI (entreprises de taille intermédiaire) - là où Cloudwatt et Numergy s'adressent plus aux administrations et aux grands comptes - avec une offre qui se limitera dans un premier temps à de l'infrastructure en tant que service (IaaS), soit des machines virtuelles à la demande, associée à des formules de stockage et de sauvegarde. Elle devrait cependant être étendue par la suite, avec une montée vers l'hébergement d'applications (SaaS).
Pour se lancer rapidement, Bouygues Telecom se devait de trouver un partenaire. Le choix se serait naturellement tourné vers Microsoft : « les offres existent déjà, et sont correctement dimensionnées pour nos besoins », résume Cyrille Guétin, directeur technique du réseau chez l'opérateur.
Au client final, on promet une offre simple et lisible, accessible dès la fin de l'année en mode self service, avant que le réseau de distribution soit mis à contribution. Il aura par ailleurs la possibilité de choisir entre un hébergement au sein des centres de données européens de Microsoft (Irlande, Amsterdam) ou parmi les trois data-centers de Bouygues Telecom, situés en France. « Nous avons des centaines de mètres carrés de salles qui les attendent », a plaisanté Cyrille Guétin, fustigeant ainsi les importants investissements des projets de ses concurrents.
Bouygues Telecom devrait lever le voile d'ici la fin de l'année sur sa première offre de cloud computing à destination des entreprises, élaborée en association avec Microsoft. À défaut d'en dévoiler les modalités exactes, les deux partenaires ont précisé la teneur de cette collaboration et les ambitions de ce cloud pour PME mardi, suite à la conférence de rentrée de l'éditeur.
« Nous avons pris la décision d'entrer sur le marché du cloud pour entreprises il y a environ un an. Nous y sommes allés parce que la démarche est naturellement intégrée dans la logique d'un opérateur, particulièrement s'il s'agit d'un opérateur mobile », a détaillé mardi Richard Viel, directeur général délégué de Bouygues Telecom.
Faut-il y voir une volonté de répondre aux projets auxquels sont associés Orange (Cloudwatt, avec Thales) et SFR (Numergy, avec Bull) sous l'égide de l'Etat français ? « On préfère faire des offres simples, pragmatiques, capables de délivrer un environnement économique optimal par rapport aux ambitions des entreprises », balaie l'intéressé.
Ici, il s'agira plus précisément des PME et ETI (entreprises de taille intermédiaire) - là où Cloudwatt et Numergy s'adressent plus aux administrations et aux grands comptes - avec une offre qui se limitera dans un premier temps à de l'infrastructure en tant que service (IaaS), soit des machines virtuelles à la demande, associée à des formules de stockage et de sauvegarde. Elle devrait cependant être étendue par la suite, avec une montée vers l'hébergement d'applications (SaaS).
Pour se lancer rapidement, Bouygues Telecom se devait de trouver un partenaire. Le choix se serait naturellement tourné vers Microsoft : « les offres existent déjà, et sont correctement dimensionnées pour nos besoins », résume Cyrille Guétin, directeur technique du réseau chez l'opérateur.
Au client final, on promet une offre simple et lisible, accessible dès la fin de l'année en mode self service, avant que le réseau de distribution soit mis à contribution. Il aura par ailleurs la possibilité de choisir entre un hébergement au sein des centres de données européens de Microsoft (Irlande, Amsterdam) ou parmi les trois data-centers de Bouygues Telecom, situés en France. « Nous avons des centaines de mètres carrés de salles qui les attendent », a plaisanté Cyrille Guétin, fustigeant ainsi les importants investissements des projets de ses concurrents.
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