Google a dévoilé cette semaine à l'occasion de la conférence
I/O les contours de Compute Engine, son infrastructure à la demande.
Encore en accès restreint, cette offre devrait permettre au numéro un
mondial de la recherche en ligne d'aller marcher sur les terres d'Amazon
ou de Microsoft.
Avec App Engine, Cloud Storage et BigQuery, Google disposait déjà d'une riche palette de solutions à la demande pour les développeurs et les créateurs d'applications en ligne. Cette semaine, la firme de Mountain View a pris le parti de descendre un cran plus bas, en inaugurant Compute Engine, une véritable formule de type Infrastructure as a Service (IaaS).
La promesse, telle que résumée par Google, consiste en la possibilité de louer à la demande des machines virtuelles, équipées d'Ubuntu ou de CentOS, qui seront physiquement hébergées au sein de ses propres centres de données. La formule de base repose sur des instances comprenant de 1 à 8 coeurs virtuels et de 3,75 Go à 30 Go de mémoire, avec une tarification à l'heure. S'ajoutent ensuite différentes options de stockage, de redondance entre les différents centres de données qui abritent l'offre, et de trafic IP - notamment à destination d'autres continents.
La tarification révèle un positionnement relativement agressif, même s'il faudra s'assurer que la définition de l'unité qui sert de base à la capacité de calcul délivrée est bien comparable entre acteurs distincts. Chez Google, l'instance de base comprend 1 coeur virtuel, 3,75 Go de mémoire vive et 420 Go de stockage disque dur, pour un tarif de 0,145 dollar de l'heure. Chez Amazon EC2, la formule la plus proche propose un coeur virtuel, 3,75 Go de mémoire vive et 410 Go de stockage, pour 0,165 dollar de l'heure.
Non content d'attaquer sur le plan des prix, Google met en avant sa capacité quasi-illimitée à fournir de la ressource, la location d'une infrastructure construits sur les fondamentaux mêmes de celle qui motorise ses propres services, et la facilité à connecter Compute Engine aux autres formules cloud commercialisées par ses soins.
Le géant de Mountain View se ferme toutefois une partie du marché en n'hébergeant pour l'instant que deux OS GNU/Linux. Amazon accueille depuis longtemps Windows, alors que Microsoft a de son côté récemment ouvert les bras d'Azure à Linux.
L'accès à Compute Engine ne se fait pour l'instant que de façon restreinte.
Avec App Engine, Cloud Storage et BigQuery, Google disposait déjà d'une riche palette de solutions à la demande pour les développeurs et les créateurs d'applications en ligne. Cette semaine, la firme de Mountain View a pris le parti de descendre un cran plus bas, en inaugurant Compute Engine, une véritable formule de type Infrastructure as a Service (IaaS).
La promesse, telle que résumée par Google, consiste en la possibilité de louer à la demande des machines virtuelles, équipées d'Ubuntu ou de CentOS, qui seront physiquement hébergées au sein de ses propres centres de données. La formule de base repose sur des instances comprenant de 1 à 8 coeurs virtuels et de 3,75 Go à 30 Go de mémoire, avec une tarification à l'heure. S'ajoutent ensuite différentes options de stockage, de redondance entre les différents centres de données qui abritent l'offre, et de trafic IP - notamment à destination d'autres continents.
La tarification révèle un positionnement relativement agressif, même s'il faudra s'assurer que la définition de l'unité qui sert de base à la capacité de calcul délivrée est bien comparable entre acteurs distincts. Chez Google, l'instance de base comprend 1 coeur virtuel, 3,75 Go de mémoire vive et 420 Go de stockage disque dur, pour un tarif de 0,145 dollar de l'heure. Chez Amazon EC2, la formule la plus proche propose un coeur virtuel, 3,75 Go de mémoire vive et 410 Go de stockage, pour 0,165 dollar de l'heure.
Non content d'attaquer sur le plan des prix, Google met en avant sa capacité quasi-illimitée à fournir de la ressource, la location d'une infrastructure construits sur les fondamentaux mêmes de celle qui motorise ses propres services, et la facilité à connecter Compute Engine aux autres formules cloud commercialisées par ses soins.
Le géant de Mountain View se ferme toutefois une partie du marché en n'hébergeant pour l'instant que deux OS GNU/Linux. Amazon accueille depuis longtemps Windows, alors que Microsoft a de son côté récemment ouvert les bras d'Azure à Linux.
L'accès à Compute Engine ne se fait pour l'instant que de façon restreinte.
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