Après
Nokia, c'est au tour de Samsung de mettre les pieds dans le plat
concernant le vote imminent pour définir le standard nano-SIM.
L'entreprise sud-coréenne estime que le vote par correspondance des
membres de l'European Telecommunications Standards Institute (ETSI)
risque de court-circuiter les discussions qui ont encore lieu concernant
l'épineuse question du choix de ce standard.
Définir la norme nano-SIM n'est décidément pas de tout repos : après la polémique lancée par le modèle d'Apple et les attaques de Nokia à son encontre, c'est désormais Samsung qui pose des réserves auprès de l'ESTI. Dans la ligne de mire du constructeur se trouve le système de vote choisi par l'institut européen, qui s'est effectué par correspondance a normalement pris fin à la mi-mai.
Dans un courrier envoyé par Samsung à l'ESTI en début de semaine, l'entreprise explique ses craintes vis-à-vis de l'attitude de certains constructeurs ayant des intérêts dans le vote, qui ont poussé les votants à faire leur choix avant même que la question autour de l'affaire Apple ne soit réglée. En somme, certains votes auraient pu être orientés alors que des débats avaient encore lieu.
Les réserves de Samsung ne datent pas d'hier, puisque l'entreprise avait déjà déposé un recours début mai auprès de l'ESTI : l'institut a rejeté le recours le 14 mai dernier alors que le vote était sur le point de se terminer. « Samsung est toujours en train de prendre conseils et réserve sa position et ses droits de prendre des mesures complémentaires au cas où il le faudrait » a déclaré l'entreprise dans un communiqué.
Une prochaine réunion devrait avoir lieu à Osaka, au Japon, le 31 mai, il y a fort à parier que ce ne sera pas la dernière concernant le choix de ce standard problématique.
Définir la norme nano-SIM n'est décidément pas de tout repos : après la polémique lancée par le modèle d'Apple et les attaques de Nokia à son encontre, c'est désormais Samsung qui pose des réserves auprès de l'ESTI. Dans la ligne de mire du constructeur se trouve le système de vote choisi par l'institut européen, qui s'est effectué par correspondance a normalement pris fin à la mi-mai.
Dans un courrier envoyé par Samsung à l'ESTI en début de semaine, l'entreprise explique ses craintes vis-à-vis de l'attitude de certains constructeurs ayant des intérêts dans le vote, qui ont poussé les votants à faire leur choix avant même que la question autour de l'affaire Apple ne soit réglée. En somme, certains votes auraient pu être orientés alors que des débats avaient encore lieu.
Les réserves de Samsung ne datent pas d'hier, puisque l'entreprise avait déjà déposé un recours début mai auprès de l'ESTI : l'institut a rejeté le recours le 14 mai dernier alors que le vote était sur le point de se terminer. « Samsung est toujours en train de prendre conseils et réserve sa position et ses droits de prendre des mesures complémentaires au cas où il le faudrait » a déclaré l'entreprise dans un communiqué.
Une prochaine réunion devrait avoir lieu à Osaka, au Japon, le 31 mai, il y a fort à parier que ce ne sera pas la dernière concernant le choix de ce standard problématique.
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