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Edition du 02/01/2013 - par Maryse Gros
Ce que Forrester prévoyait pour la Business Intelligence en 2012 reste d'actualité en 2013. Les utilisateurs veulent mieux contrôler leurs outils, la BI mobile s'impose et les fonctions dans le cloud progressent même si les suites logicielles restent fortement installées. Enfin, les outils de découverte des données s'épanouissent dans les solutions in-memory, tandis que les technologies big data explorent les grands volumes.
Edition du 02/01/2013 - par Maryse Gros
Ce que Forrester prévoyait pour la Business Intelligence en 2012 reste d'actualité en 2013. Les utilisateurs veulent mieux contrôler leurs outils, la BI mobile s'impose et les fonctions dans le cloud progressent même si les suites logicielles restent fortement installées. Enfin, les outils de découverte des données s'épanouissent dans les solutions in-memory, tandis que les technologies big data explorent les grands volumes.
Dans le domaine de la Business Intelligence, la plupart des prédictions
faites par Forrester il y a un an sont toujours valables pour l'année
qui s'annonce, constate Boris Evelson, analyste spécialisé sur ces
questions. En premier lieu, les entreprises vont continuer à exploiter
plusieurs plateformes BI plutôt que chercher à consolider et centraliser
celles qu'elles ont mises en place pour différentes applications ou
départements. Ensuite, les utilisateurs vont continuer à demander
davantage de contrôle sur les outils de BI. Ils sont toujours frustrés
lorsqu'il leur faut s'adresser aux équipes informatiques pour compléter
leurs possibilités d'analyse et attendre un retour trop longtemps. En
2013, les métiers donneront aussi de la voix pour faire valoir leurs
priorités sur celles de la IT. Dans ce contexte, les outils BI gagnants
seront ceux qui combineront la flexibilité des fonctions en self-service
avec, en arrière-plan, un contrôle efficace des responsables
informatiques pour les administrer et en améliorer la performance.
Autre confirmation. La BI mobile a progressé en 2012, continuera à le faire en 2013 et pourrait devenir la norme, estime Boris Evelson. Il explique que les utilisateurs ayant le plus besoin d'analyser les données ne peuvent plus attendre de rentrer au bureau pour prendre leur décision (il pourrait être trop tard...). Forrester pense que la BI devient mobile, certaines fonctions avancées s'imposeront. On disposera de plusieurs méthodes de requêtes visuelles, de l'analyse géolocalisée, de l'affichage animé, des requête basées sur des capteurs et de l'intégration avec d'autres applications mobiles de gestion.
Les bases alternatives gagnent en popularité
Quant à la BI dans le cloud, Boris Evelson pense qu'elle va lentement mais résolument réduire le recours aux installations sur site. Pour l'instant, elles sont encore immatures, avance-t-il, en insistant surtout sur le fait que les plateformes d'entreprise lourdement personnalisées ne sont pas près d'être délogées. Il existe néanmoins un intérêt pour les solutions BI dans le cloud, en partie parce qu'elles permettent de réduire l'investissement initial. Cela prendra du temps, mais Forrester s'attend à ce que le marché du cloud BI poursuive sa progression lorsque les acteurs leaders entreront en jeu « brouillant les lignes entre les installations sur site et les déploiements dans le cloud », prédit Boris Evelson. Pour l'instant, selon une récente enquête du cabinet sur la BI et les big data, seules 1 à 2% des entreprises (selon le type de scénario en question) ont entièrement transféré leur plateforme BI et leurs applications dans le cloud et que 3 à 4% de plus prévoient de le faire sous deux ans.
Autre confirmation. La BI mobile a progressé en 2012, continuera à le faire en 2013 et pourrait devenir la norme, estime Boris Evelson. Il explique que les utilisateurs ayant le plus besoin d'analyser les données ne peuvent plus attendre de rentrer au bureau pour prendre leur décision (il pourrait être trop tard...). Forrester pense que la BI devient mobile, certaines fonctions avancées s'imposeront. On disposera de plusieurs méthodes de requêtes visuelles, de l'analyse géolocalisée, de l'affichage animé, des requête basées sur des capteurs et de l'intégration avec d'autres applications mobiles de gestion.
Les bases alternatives gagnent en popularité
Quant à la BI dans le cloud, Boris Evelson pense qu'elle va lentement mais résolument réduire le recours aux installations sur site. Pour l'instant, elles sont encore immatures, avance-t-il, en insistant surtout sur le fait que les plateformes d'entreprise lourdement personnalisées ne sont pas près d'être délogées. Il existe néanmoins un intérêt pour les solutions BI dans le cloud, en partie parce qu'elles permettent de réduire l'investissement initial. Cela prendra du temps, mais Forrester s'attend à ce que le marché du cloud BI poursuive sa progression lorsque les acteurs leaders entreront en jeu « brouillant les lignes entre les installations sur site et les déploiements dans le cloud », prédit Boris Evelson. Pour l'instant, selon une récente enquête du cabinet sur la BI et les big data, seules 1 à 2% des entreprises (selon le type de scénario en question) ont entièrement transféré leur plateforme BI et leurs applications dans le cloud et que 3 à 4% de plus prévoient de le faire sous deux ans.
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