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Les marques cherchent toujours plus à identifier les influenceurs sur les réseaux sociaux, dans le but de mieux diffuser leurs messages, mais aussi les internautes à la croisée de plusieurs communautés, et aptes eux aussi à relayer des données. En parallèle, elles puisent sur ces mêmes réseaux des quantités d'informations leur permettant de mieux cibler leurs clients, mais aussi de mieux les connaître. Cela, à condition de savoir exploiter la multitude de données, évidemment. Ce processus est-il applicable à d'autres secteurs ? Certains, comme celui de la santé, se posent la question. A la fois pour diffuser mais aussi pour collecter.
Suivre la propagation via Twitter
Ainsi, plusieurs projets de recherche se sont intéressés à voir s'il était possible de suivre la diffusion d'une maladie en se basant uniquement sur des sites comme Twitter. La réponse est plutôt encourageante. De là, la distance est mince avec l'usage de ces mêmes réseaux pour prévenir les prochains nids d'incubation. Là encore, il semble que ces sites pourraient avoir un rôle non négligeable. Leur usage pour diffuser des informations de première importance sur la propagation d'une maladie ou les gestes à avoir est cependant à prendre avec plus de pincettes.
Les réseaux, mine d'informations
Plus que LE mode de diffusion, Twitter, Facebook et consorts semblent de plus en plus s'imposer comme un relais parmi d'autres, basé sur un réseau de proches ou d'entités suffisamment influentes et reconnues pour être lues et considérées comme légitimes. Quant à la mine d'informations que contiennent ces réseaux, et plus particulièrement ceux dédiés à une pathologie ou à l'échange de données santé, on peut surtout dire que l'on en est qu'aux prémisses. Oui, ces sites pourraient jouer un rôle non négligeable dans l'obtention d'informations pour la recherche. Mais des règles sont encore à définir, afin qu'aucune partie n'y perde. Et des modèles à inventer.
Les sites sociaux, dédiés ou non à des
problématiques santé, permettent d'envisager plusieurs usages de
diffusion, de collecte des informations santé... Autant de modèles en
train de s'élaborer et qui suscitent autant l'intérêt que le
questionnement.
Les marques cherchent toujours plus à identifier les influenceurs sur les réseaux sociaux, dans le but de mieux diffuser leurs messages, mais aussi les internautes à la croisée de plusieurs communautés, et aptes eux aussi à relayer des données. En parallèle, elles puisent sur ces mêmes réseaux des quantités d'informations leur permettant de mieux cibler leurs clients, mais aussi de mieux les connaître. Cela, à condition de savoir exploiter la multitude de données, évidemment. Ce processus est-il applicable à d'autres secteurs ? Certains, comme celui de la santé, se posent la question. A la fois pour diffuser mais aussi pour collecter.
Suivre la propagation via Twitter
Ainsi, plusieurs projets de recherche se sont intéressés à voir s'il était possible de suivre la diffusion d'une maladie en se basant uniquement sur des sites comme Twitter. La réponse est plutôt encourageante. De là, la distance est mince avec l'usage de ces mêmes réseaux pour prévenir les prochains nids d'incubation. Là encore, il semble que ces sites pourraient avoir un rôle non négligeable. Leur usage pour diffuser des informations de première importance sur la propagation d'une maladie ou les gestes à avoir est cependant à prendre avec plus de pincettes.
Les réseaux, mine d'informations
Plus que LE mode de diffusion, Twitter, Facebook et consorts semblent de plus en plus s'imposer comme un relais parmi d'autres, basé sur un réseau de proches ou d'entités suffisamment influentes et reconnues pour être lues et considérées comme légitimes. Quant à la mine d'informations que contiennent ces réseaux, et plus particulièrement ceux dédiés à une pathologie ou à l'échange de données santé, on peut surtout dire que l'on en est qu'aux prémisses. Oui, ces sites pourraient jouer un rôle non négligeable dans l'obtention d'informations pour la recherche. Mais des règles sont encore à définir, afin qu'aucune partie n'y perde. Et des modèles à inventer.
Sommaire
- Les épidémies de grippe prévisibles sur Twitter
Par L'Atelier - Paris 30 jui 2010
- La difficile exploitation de Twitter pour la diffusion de l’info santé
Par Nathanaël Vittrant 10 Jan 2013
- Le réseau social, un canal efficace pour la diffusion d'information médicale?
Par L'Atelier - Paris 26 nov 2012
- Pour informer sur une maladie, les proches sont la référence sur les réseaux
Par L'Atelier - Paris 06 déc 2012
- Sur Twitter, certaines règles facilitent la transmission de messages liés à la santé
Par L'Atelier - Paris 04 oct 2012
- Déterminer les utilisateurs influents dans une communauté de santé
Par L'Atelier - Paris 19 déc 2012
- Pour motiver le patient, les systèmes de e-santé doivent lui laisser la place centrale
Par L'Atelier - Paris 12 déc 2012
- Santé : recherche et patients peuvent bénéficier des données partagées, sous conditions
Par L'Atelier - Paris 31 oct 2012
- Dans la santé, l'afflux de données peut faciliter l'accès à une solution
Par Elyse Charvin 04 oct 2012
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