A lire sur: http://www.zdnet.fr/actualites/haut-debit-sans-fil-la-france-toujours-dans-le-bas-du-panier-selon-l-ocde-39787019.htm#EREC-103
Chiffres : Les chiffres comparant la
qualité, le coût, la vitesse ou le taux de pénétration d'un pays à
l'autre sont toujours compliqués à manipuler. L'étude de l'OCDE a
toutefois l'avantage de comparer une base de pays relativement homogène.
Il y aurait désormais 700 millions d'abonnements à l'Internet
sans-fil "haut débit" dans les pays de l'OCDE (Organisation de
coopération et de développement économique, qui regroupe 34 pays
membres, essentiellement développés), selon des données publiées aujourd'hui par l'organisation.
Cela revient, rapporté à 100 habitants, à un taux de pénétration moyen de 56,6. Evidemment, certains pays sont bien en avance, comme la Corée du Sud ou la Suède, "les deux seuls pays où il y a plus de connexions mobiles que fixes".
22ème place pour la France
Les chiffres correspondent à juin 2012. La situation a donc pu évoluer depuis, mais elle reflète une tendance générale. Sur le sans-fil, la France se classe par exemple à la 22ème place sur 34 en taux de pénétration, avec 46,9 connexions haut-débit sans fil pour 1000 habitants (dont 46,7 en Internet mobile, en excluant le satellite ou le WiFi).
En comparant avec d'autres pays du même ordre de développement, la France est devant l'Italie, le Canada, l'Allemagne ou la Belgique. Les raisons des avancées et retards peuvent toutefois différer d'un pays à l'autre, et l'OCDE ne s'avance pas plus sur les explications.
A cette place, la France est très loin du peloton de tête. On observe toutefois une observation de la tendance quant au haut-débit fixe, où elle se place en 6ème position (toujours en taux de pénétration) derrière la Suisse, les Pays-Bas, le Danemark, la Corée du Sud et la Norvège.
Attention toutefois, ces chiffres ne reflètent que des taux de pénétration, et excluent d'autres critères comme les vitesses et qualités de connexion, les couvertures nationales ou les tarifs. Ces chiffres sont évoqués dans le reste de l'étude, mais il n'est pas nécessaire de s'y étendre.
Les tarifs sont en effet difficiles à répliquer d'un pays à l'autre, et ceux présentés par l'OCDE se rapportent à la vitesse de téléchargement et au Mo de données. Et ces vitesses, justement, sont assez peu fiables puisque l'OCDE ne s'est basé que sur les vitesses annoncées par les opérateurs, et non réelles.
Tous les chiffres sont cependant facilement récupérables sur la page de l'OCDE dédiée à l'étude des réseaux fixes et mobiles.
Cela revient, rapporté à 100 habitants, à un taux de pénétration moyen de 56,6. Evidemment, certains pays sont bien en avance, comme la Corée du Sud ou la Suède, "les deux seuls pays où il y a plus de connexions mobiles que fixes".
22ème place pour la France
Les chiffres correspondent à juin 2012. La situation a donc pu évoluer depuis, mais elle reflète une tendance générale. Sur le sans-fil, la France se classe par exemple à la 22ème place sur 34 en taux de pénétration, avec 46,9 connexions haut-débit sans fil pour 1000 habitants (dont 46,7 en Internet mobile, en excluant le satellite ou le WiFi).
En comparant avec d'autres pays du même ordre de développement, la France est devant l'Italie, le Canada, l'Allemagne ou la Belgique. Les raisons des avancées et retards peuvent toutefois différer d'un pays à l'autre, et l'OCDE ne s'avance pas plus sur les explications.
A cette place, la France est très loin du peloton de tête. On observe toutefois une observation de la tendance quant au haut-débit fixe, où elle se place en 6ème position (toujours en taux de pénétration) derrière la Suisse, les Pays-Bas, le Danemark, la Corée du Sud et la Norvège.
Attention toutefois, ces chiffres ne reflètent que des taux de pénétration, et excluent d'autres critères comme les vitesses et qualités de connexion, les couvertures nationales ou les tarifs. Ces chiffres sont évoqués dans le reste de l'étude, mais il n'est pas nécessaire de s'y étendre.
Les tarifs sont en effet difficiles à répliquer d'un pays à l'autre, et ceux présentés par l'OCDE se rapportent à la vitesse de téléchargement et au Mo de données. Et ces vitesses, justement, sont assez peu fiables puisque l'OCDE ne s'est basé que sur les vitesses annoncées par les opérateurs, et non réelles.
Tous les chiffres sont cependant facilement récupérables sur la page de l'OCDE dédiée à l'étude des réseaux fixes et mobiles.
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