A lire sur: http://www.zdnet.fr/actualites/numerique-le-gouvernement-devoile-18-propositions-pour-son-quinquennat-39787761.htm#xtor=EPR-100
Politique : Le gouvernement
consacrait son séminaire intergouvernemental au numérique ce 28 février.
Beaucoup d'idées - pour la plupart déjà connues car issues de
différentes missions - mais un calendrier assez vague.
Le numérique, c’est l’avenir. La feuille de route du gouvernement
n’omet pas de le rappeler dans son premier paragraphe : « Le numérique
bouleverse nos vies. » Et comme le changement vient des jeunes, il
n’était pas inutile de leur consacrer la première partie des décisions
tranchées par le gouvernement et présentés aujourd'hui en séminaire.
D’autant que, rappelons-nous, la jeunesse est la priorité du gouvernement actuel. L’axe 1 de la feuille de route lui fait donc la part belle en consacrant quatre propositions à l’enseignement. Ecole, université, promotion des métiers du numérique et renforcement des « actions de sensibilisation et d’information ».
L'école : formation et fonds
Sur l’école, l’essentiel des mesures est renvoyé à la loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école, bientôt discutée au Parlement. Elle vise à « une généralisation des usages du numérique de l’école au lycée. »
Direction l’école, donc, pour 150 000 enseignants qui recevront deux ans de formation « à l’usage pédagogique des technologies de l’information et de la communication. » Quant aux professeurs des écoles, un « temps de formation utilisant le numérique sera inclus » dans leur service.
Deuxième point de la formation : celle dédiée aux élèves. Outre une promesse d’étendre l’option « Informatique et sciences du numérique » à toutes les séries de baccalauréats général et technologique, le gouvernement assure qu’à l’issue du quinquennat, « tous les élèves sortant du système scolaire seront familiers des outils numériques. »
Côté fonds, un appel à projets doté de 10 millions d’euros est prévu pour aider au raccordement des établissements scolaires en très haut débit. Les dotations sont destinées à la création d’une filière nationale du numérique éducatif.
L'université : plus accessible à distance
L’université n’est pas oubliée, qui devrait voir apparaître avant l’été le projet « France Universités Numériques ». Objectif à terme (2017) : rendre accessible en enseignement à distance pour toutes les disciplines possibles, et développer la formation numérique jusqu’à 20% de l’offre totale.
Les élèves, du collège à l’université, devraient être informés un peu mieux sur les « métiers du numérique ». Le rapport estime qu’avec 1 million d’emplois, le secteur représente « le quart des créations nettes d’emplois au cours des 15 dernières années. »
Un bassin à ne pas ignorer en ces temps de disette salariale. « La ministre de l’enseignement supérieur présentera pour la rentrée 2013 un plan d’action coordonné pour orienter plus de jeunes » vers ces métiers. Objectif : 3000 jeunes diplômés supplémentaires au minimum formés chaque année aux métiers du numérique à l’horizon 2017.
Les emplois d’avenir seront de la partie, puisque 2000 seront créés dans les Espaces publics numériques, et des discussions en cours avec le secteur privé permettraient d’étendre ces emplois d’avenir au secteur marchand. Le gouvernement promet que les élèves « décrocheurs » seraient aussi favorisés dans la formation aux métiers du numérique.
Investissement dans la R&D
La deuxième partie de la feuille de route peut constituer une réponse – symbolique cependant, les dates d’élaboration des deux rapports excluant de fait une consultation préalable - à l’étude de Gilles Babinet pour l’Institut Montaigne, justement publié cette semaine.
Afin de « faire émerger des entreprises numériques de rang mondial », il prévoit la création de quartiers numériques locaux dans une quinzaine de villes. Ce sera le pendant régional au « quartier numérique » prévu pour Paris.
Par ailleurs, le gouvernement évoque plusieurs technologies clé, dans lequel un effort d’investissement supplémentaire devrait être réalisé. Il parle de 150 millions d’euros d’aides à la recherche et au développement, à destination de objets connectés et logiciels embarqués, du calcul intensif, du cloud, de la big data et de la sécurité des systèmes d’information.
Cela suffira-t-il à donner le coup d’accélérateur nécessaire ? Pas sûr, et 300 millions d’euros de prêts sont aussi prévus pour les entreprises « engagées dans des projets structurants de déploiement des solutions numériques. »
Aide à la transition numérique des TPE-PME
D’autres aides sont prévues pour les TPE-PME, notamment pour les aider à faire leur transition numérique. Elles devraient se baser sur le réseau des chambres de commerce, mais aucune précision sur les moyens mis en œuvre n’a été ajoutée.
Là encore, le déploiement des infrastructures sera sans doute crucial, et le gouvernement rappelle son engagement de couvrir l’intégralité du territoire en très haut débit d’ici à 10 ans. Cela cadre avec le but de la mission THD.
Aucune mention n’est faite aux technologies alternatives classiques dans les zones non accessibles à la fibre. La 4G est cité comme « alternative utile ». Si 2017 n’est pas oublié par la feuille de route, c’est seulement pour 2022 qu’elle garantit une couverture de « 100% de la population et du territoire national » en très haut débit, majoritairement en FTTH.
Lutter contre la fracture numérique
Dans sa troisième et dernière partie, la feuille de route s’intéresse aux questions de société. Les « valeurs » à « promouvoir » dans la société et l’économie numérique.
Cela concerne essentiellement des services et règles qui seront ajoutés ou développés afin de permettre l’accession aux technologies du numérique pour un plus grand nombre de personnes, afin de « lutter contre l’exclusion », « protéger notre souveraineté », etc.
Les Espaces publics numériques seront par exemple « renforcés ». D’où les emplois d’avenir cités plus haut. Ils doivent continuer à favoriser l’adoption des outils numérique par les citoyens qui n’y ont pas accès.
L’idée n’est pas mauvaise, reste à voir dans quelle mesure elle sera développée. Mais dans un contexte où la maîtrise des outils numériques est un prérequis de plus en plus fréquent pour trouver un travail, la lutte contre l’exclusion de ceux qui sont souvent déjà exclus du marché de l’emploi ne peut qu’être une initiative louable.
D’autant que le gouvernement compte généraliser « la délivrance de certificats diplômants sur l’utilisation de l’informatique et d’Internet », à destination des moins diplômés ou des demandeurs d’emploi.
Fiscalité : renvoi au CNNum
Nous écarterons rapidement le volet fiscalité de la feuille de route et du séminaire intergouvernemental. Le rétablissement « de notre souveraineté fiscale » sonne comme une déclaration de dynamisme, mais masque un vide absolu. Certes, la promotion de l’établissement stable virtuel dans les conditions OCDE est cité. Certes, une base d’imposition unique (et un guichet unique) sera défendue au niveau européen.
Mais pour le reste… Les conclusions du rapport Collin & Colin sont renvoyées au CNNum. A charge pour lui de proposer des aménagements liés au numérique pour la loi de finances 2014… S’il le juge bon. Absolument rien de neuf par rapport aux dernières déclarations de Fleur Pellerin sur le sujet.
La CNIL, fort décriée par Gilles Babinet, devrait au contraire obtenir plus de pouvoirs. Pour la feuille de route, il s’agit de « renforcer l’effectivité des droits des personnes vis-à-vis des fichiers contenant leurs données personnelles. » De nouveaux droits sont évoqués : action collective en cas d’atteinte aux données personnelles, protection accrue des mineurs, etc.
Neutralité du Net : renvoi au CNNum
Côté neutralité du Net, par contre, le gouvernement met un petit coup dans la balle, histoire de la renvoyer plus loin. La question est adressée au CNNum – ce ne sera que le énième rapport – et ne sera abordée ensuite que si « un manque juridique est constaté pour la protection de la liberté d’expression et de communication sur Internet. »
Dommage, estime la Quadrature du Net dans un communiqué. L’association, très en pointe sur la question, ne comprend pas que le gouvernement réduise « l’enjeu de la liberté d’expression sur Internet à la protection de la neutralité du Net, » qui « ne peut suffire. »
Les autres domaines n’augurent guère de grandes annonces. Côté culture, on attend les conclusions de la mission Lescure. Ah, et les efforts de numérisation se poursuivront.
Enfin, le monde de la santé devrait faire l’objet d’efforts particuliers, avec un plan « Hôpital numérique » sur cinq ans et 80 millions d’euros pour les « territoires de soins numériques », pour favoriser le partage de l’information médicale le long de toute la chaîne de soins.
Sur ces points, il ne s’agit que de déclaration d’intention, mais il est intéressant d’avoir l’humeur du gouvernement. On attendra cependant le mois de mars et la publication des propositions exhaustives de chaque ministère pour en savoir plus sur les grilles de lecture appliquées à toutes ces problématiques. Et on attend le séminaire de 2014, censé « prendre acte des avancées et tracer de nouvelles perspectives. »
D’autant que, rappelons-nous, la jeunesse est la priorité du gouvernement actuel. L’axe 1 de la feuille de route lui fait donc la part belle en consacrant quatre propositions à l’enseignement. Ecole, université, promotion des métiers du numérique et renforcement des « actions de sensibilisation et d’information ».
L'école : formation et fonds
Sur l’école, l’essentiel des mesures est renvoyé à la loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école, bientôt discutée au Parlement. Elle vise à « une généralisation des usages du numérique de l’école au lycée. »
>> Lire "Vincent Peillon a une stratégie pour le numérique à l'école"Deux moyens : des fonds et de la formation. Car consacrer le numérique comme partie intégrante du « droit à l’éducation » ne servirait pas à grand-chose avec des enseignants plus patauds que leurs élèves.
Direction l’école, donc, pour 150 000 enseignants qui recevront deux ans de formation « à l’usage pédagogique des technologies de l’information et de la communication. » Quant aux professeurs des écoles, un « temps de formation utilisant le numérique sera inclus » dans leur service.
Deuxième point de la formation : celle dédiée aux élèves. Outre une promesse d’étendre l’option « Informatique et sciences du numérique » à toutes les séries de baccalauréats général et technologique, le gouvernement assure qu’à l’issue du quinquennat, « tous les élèves sortant du système scolaire seront familiers des outils numériques. »
Côté fonds, un appel à projets doté de 10 millions d’euros est prévu pour aider au raccordement des établissements scolaires en très haut débit. Les dotations sont destinées à la création d’une filière nationale du numérique éducatif.
L'université : plus accessible à distance
L’université n’est pas oubliée, qui devrait voir apparaître avant l’été le projet « France Universités Numériques ». Objectif à terme (2017) : rendre accessible en enseignement à distance pour toutes les disciplines possibles, et développer la formation numérique jusqu’à 20% de l’offre totale.
Les élèves, du collège à l’université, devraient être informés un peu mieux sur les « métiers du numérique ». Le rapport estime qu’avec 1 million d’emplois, le secteur représente « le quart des créations nettes d’emplois au cours des 15 dernières années. »
Un bassin à ne pas ignorer en ces temps de disette salariale. « La ministre de l’enseignement supérieur présentera pour la rentrée 2013 un plan d’action coordonné pour orienter plus de jeunes » vers ces métiers. Objectif : 3000 jeunes diplômés supplémentaires au minimum formés chaque année aux métiers du numérique à l’horizon 2017.
Les emplois d’avenir seront de la partie, puisque 2000 seront créés dans les Espaces publics numériques, et des discussions en cours avec le secteur privé permettraient d’étendre ces emplois d’avenir au secteur marchand. Le gouvernement promet que les élèves « décrocheurs » seraient aussi favorisés dans la formation aux métiers du numérique.
Investissement dans la R&D
La deuxième partie de la feuille de route peut constituer une réponse – symbolique cependant, les dates d’élaboration des deux rapports excluant de fait une consultation préalable - à l’étude de Gilles Babinet pour l’Institut Montaigne, justement publié cette semaine.
>> Lire "Numérique : le "New Deal" paroissial de Gilles Babinet"Alors que l’ancien président du Conseil national du numérique plaide pour un ‘New Deal’ numérique, le gouvernement ne semblera pas à côté de la plaque sur les questions d’internationalisation des entreprises françaises.
Afin de « faire émerger des entreprises numériques de rang mondial », il prévoit la création de quartiers numériques locaux dans une quinzaine de villes. Ce sera le pendant régional au « quartier numérique » prévu pour Paris.
>> Lire "Tremble, Silicon Valley : la France a un (nouveau) plan numérique"La feuille de route fait explicitement référence à ce quartier numérique parisien, prévu pour la fin de l’année. Le gouvernement prévoit aussi des « French digital houses » pour offrir aux entreprises concernées une vitrine à l’international, et une aide accrue d’Ubifrance.
Par ailleurs, le gouvernement évoque plusieurs technologies clé, dans lequel un effort d’investissement supplémentaire devrait être réalisé. Il parle de 150 millions d’euros d’aides à la recherche et au développement, à destination de objets connectés et logiciels embarqués, du calcul intensif, du cloud, de la big data et de la sécurité des systèmes d’information.
Cela suffira-t-il à donner le coup d’accélérateur nécessaire ? Pas sûr, et 300 millions d’euros de prêts sont aussi prévus pour les entreprises « engagées dans des projets structurants de déploiement des solutions numériques. »
Aide à la transition numérique des TPE-PME
D’autres aides sont prévues pour les TPE-PME, notamment pour les aider à faire leur transition numérique. Elles devraient se baser sur le réseau des chambres de commerce, mais aucune précision sur les moyens mis en œuvre n’a été ajoutée.
Là encore, le déploiement des infrastructures sera sans doute crucial, et le gouvernement rappelle son engagement de couvrir l’intégralité du territoire en très haut débit d’ici à 10 ans. Cela cadre avec le but de la mission THD.
>> Lire "Mission THD : "l'extinction du cuivre est essentielle" pour faire décoller la fibre, juge Antoine Darodes de Tailly"Le gouvernement annonce un investissement public de 4,3 milliards d’euros entre 2013 et 2017, à destination des opérateurs et des collectivités. Priorité sera faite, comme prévu, aux sites publics, établissements scolaires et zones d’activités.
Aucune mention n’est faite aux technologies alternatives classiques dans les zones non accessibles à la fibre. La 4G est cité comme « alternative utile ». Si 2017 n’est pas oublié par la feuille de route, c’est seulement pour 2022 qu’elle garantit une couverture de « 100% de la population et du territoire national » en très haut débit, majoritairement en FTTH.
Lutter contre la fracture numérique
Dans sa troisième et dernière partie, la feuille de route s’intéresse aux questions de société. Les « valeurs » à « promouvoir » dans la société et l’économie numérique.
Cela concerne essentiellement des services et règles qui seront ajoutés ou développés afin de permettre l’accession aux technologies du numérique pour un plus grand nombre de personnes, afin de « lutter contre l’exclusion », « protéger notre souveraineté », etc.
Les Espaces publics numériques seront par exemple « renforcés ». D’où les emplois d’avenir cités plus haut. Ils doivent continuer à favoriser l’adoption des outils numérique par les citoyens qui n’y ont pas accès.
L’idée n’est pas mauvaise, reste à voir dans quelle mesure elle sera développée. Mais dans un contexte où la maîtrise des outils numériques est un prérequis de plus en plus fréquent pour trouver un travail, la lutte contre l’exclusion de ceux qui sont souvent déjà exclus du marché de l’emploi ne peut qu’être une initiative louable.
D’autant que le gouvernement compte généraliser « la délivrance de certificats diplômants sur l’utilisation de l’informatique et d’Internet », à destination des moins diplômés ou des demandeurs d’emploi.
Fiscalité : renvoi au CNNum
Nous écarterons rapidement le volet fiscalité de la feuille de route et du séminaire intergouvernemental. Le rétablissement « de notre souveraineté fiscale » sonne comme une déclaration de dynamisme, mais masque un vide absolu. Certes, la promotion de l’établissement stable virtuel dans les conditions OCDE est cité. Certes, une base d’imposition unique (et un guichet unique) sera défendue au niveau européen.
Mais pour le reste… Les conclusions du rapport Collin & Colin sont renvoyées au CNNum. A charge pour lui de proposer des aménagements liés au numérique pour la loi de finances 2014… S’il le juge bon. Absolument rien de neuf par rapport aux dernières déclarations de Fleur Pellerin sur le sujet.
>> Lire "Fiscalité du numérique : Fleur Pellerin a "l'espoir" d'une prise en compte dans le budget 2014"Là où le gouvernement se veut un peu plus en pointe, c’est sur la question des libertés en ligne. « Espace de liberté sans équivalent », Internet devrait faire l’objet d’un projet de loi, présenté au Parlement début 2014 au plus tard.
La CNIL, fort décriée par Gilles Babinet, devrait au contraire obtenir plus de pouvoirs. Pour la feuille de route, il s’agit de « renforcer l’effectivité des droits des personnes vis-à-vis des fichiers contenant leurs données personnelles. » De nouveaux droits sont évoqués : action collective en cas d’atteinte aux données personnelles, protection accrue des mineurs, etc.
Neutralité du Net : renvoi au CNNum
Côté neutralité du Net, par contre, le gouvernement met un petit coup dans la balle, histoire de la renvoyer plus loin. La question est adressée au CNNum – ce ne sera que le énième rapport – et ne sera abordée ensuite que si « un manque juridique est constaté pour la protection de la liberté d’expression et de communication sur Internet. »
Dommage, estime la Quadrature du Net dans un communiqué. L’association, très en pointe sur la question, ne comprend pas que le gouvernement réduise « l’enjeu de la liberté d’expression sur Internet à la protection de la neutralité du Net, » qui « ne peut suffire. »
Les autres domaines n’augurent guère de grandes annonces. Côté culture, on attend les conclusions de la mission Lescure. Ah, et les efforts de numérisation se poursuivront.
>> Lire "Mission Lescure : réformer le statut d'hébergeur quitte à faire "évoluer" l'Europe"L’action publique doit également être « modernisée », avec développement des services d’identité numérique à la clé, et poursuite de la politique d’ouverture des données publiques. Rien de bien nouveau non plus, donc, mais on prendra note que le gouvernement ne souhaite pas ralentir.
Enfin, le monde de la santé devrait faire l’objet d’efforts particuliers, avec un plan « Hôpital numérique » sur cinq ans et 80 millions d’euros pour les « territoires de soins numériques », pour favoriser le partage de l’information médicale le long de toute la chaîne de soins.
>> Lire "FIC 2013 : Fleur Pellerin veut relancer IDéNum"Au cours du séminaire, il a également été fait référence au contrôle de l’exportation des outils de surveillance et de contrôle d’Internet, au rééquilibrage de la gouvernance mondiale de l’Internet, et à l’aide aux pays en développement pour l’accès au numérique.
Sur ces points, il ne s’agit que de déclaration d’intention, mais il est intéressant d’avoir l’humeur du gouvernement. On attendra cependant le mois de mars et la publication des propositions exhaustives de chaque ministère pour en savoir plus sur les grilles de lecture appliquées à toutes ces problématiques. Et on attend le séminaire de 2014, censé « prendre acte des avancées et tracer de nouvelles perspectives. »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire