En Chine, le géant de la recherche en ligne est vivement critiqué pour ses pratiques en matière de politique publicitaire. Des médias ont reproché à Baidu de fournir des informations erronées. Pour cause, de faux billets d'avion ont été vendu à des internautes.
Depuis quelques jours, Baidu est au centre de vives critiques portant sur ses pratiques publicitaires. Certains médias nationaux comme CCTV ou le Quotidien du Peuple ont noté que de faux billets d'avion étaient proposés par des annonceurs. Ces contenus pouvaient alors être librement achetés par les internautes.
Face à ces accusations, Baidu a présenté des excuses publiques. Wang Zhan, vice-président des ventes, a reconnu les erreurs commises par la société et a tenu à préciser qu'à l'avenir, elle analysera plus précisément les éventuelles informations frauduleuses. De même, le responsable a expliqué qu'il passera en revue les ventes et procédures d'approbation des offres publicitaires.
Pour rappel, le moteur de recherche est largement prédominant sur le marché chinois. Ses pratiques sont donc attentivement scrutées non seulement par les observateurs mais également par les rares concurrents présents. Preuve en est, en 2008, Baidu avait déjà été inquiété pour ses pratiques en matière de publicité. La firme avait alors été obligée de revoir une partie de son organisation.
Face à ces accusations, Baidu a présenté des excuses publiques. Wang Zhan, vice-président des ventes, a reconnu les erreurs commises par la société et a tenu à préciser qu'à l'avenir, elle analysera plus précisément les éventuelles informations frauduleuses. De même, le responsable a expliqué qu'il passera en revue les ventes et procédures d'approbation des offres publicitaires.
Pour rappel, le moteur de recherche est largement prédominant sur le marché chinois. Ses pratiques sont donc attentivement scrutées non seulement par les observateurs mais également par les rares concurrents présents. Preuve en est, en 2008, Baidu avait déjà été inquiété pour ses pratiques en matière de publicité. La firme avait alors été obligée de revoir une partie de son organisation.
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