A lire sur: http://www.lemagit.fr/economie/business/2013/06/05/174-me-depenses-en-services-cloud-non-valides-par-la-dsi-en-france/
Le 5 juin 2013 (18:14) - par Cyrille Chausson
1,74 million d’euros : c’est le montant moyen que
les directions métiers d’une entreprise française auraient dépensé en
services cloud sans en avertir leur DSI en 2012, révèle une étude
réalisée par le cabinet Vanson Bourne pour le compte de VMware. 33 % des
DSI interrogés pensant ainsi être bypassés par leurs utilisateurs
métiers, au profit de services dématérialisés.
Cette étude, réalisée auprès de 3 000 salariés et de 1 500 DSI issus d’entreprises situées en France, en Allemagne, Grande-Bretagne, Pays-Bas, Italie et Scandinavie, indique également que les entreprises entre 500 et 1 000 employés seraient les plus concernées par cette pratique. Cette pratique toucherait 47 % d’entre elles en Europe.
En France, 39 % des employés reconnaissent avoir déjà acheté, utilisé ou téléchargé des services Internet ou cloud, ou être prêts à le faire, sans que cet achat soit validé par les DSI. En France, les départements achats ont identifiés comme les plus gourmands en services cloud non approuvés (37 % des cas). Suivent le département des ventes (36 %), puis le département logistique (36 % également).
30 % de ces achats « sauvages » sont liés à la disponibilité immédiate des services cloud, sans avoir la nécessité d’attendre l’approbation de la DSI, 16 % y voient une réponse à une DSI trop exigeante et incapable de lui apporter des réponses dans les temps impartis et 22 % un moyen pour lancer de nouveaux services.
Le panier moyen ? Les employés français ont dépensé en moyenne 2 552 € dans des services cloud en 2012. Ce ne sont pas les plus dépensiers en matière, certains employés européens pouvant dépenser plus de 5 000 €, comme 22 % des Italiens et 17 % des Allemands.
Pour autant, les DSI français voient la pratique plutôt d’un bon œil. Pour 76 % d’entre eux, cet achat « hors protocole » serait même bénéfique pour l’entreprise. Car cela leur permet de répondre plus rapidement à la demande des clients (46 % des DSI sondés), de disposer d’une solution non disponible au sein de la DSI (56 %). Pour un DSI sur deux, ces services cloud fournissent à l’entreprise une solution unique adaptée à ses besoins. Parmi les écueils mis en avant par la minorité de DSI réfractaires, la nécessité de maintenir le contrôle et l’augmentation de la charge de gestion sont le plus souvent citées.
Au niveau européen, les solutions cloud utilisées sans l’accord des DSI sont, dans 55 % des cas, des services collaboratifs ou de partage de fichiers, des messageries cloud (47 %) et des outils de messagerie instantanée (44 %).
Cette étude, réalisée auprès de 3 000 salariés et de 1 500 DSI issus d’entreprises situées en France, en Allemagne, Grande-Bretagne, Pays-Bas, Italie et Scandinavie, indique également que les entreprises entre 500 et 1 000 employés seraient les plus concernées par cette pratique. Cette pratique toucherait 47 % d’entre elles en Europe.
En France, 39 % des employés reconnaissent avoir déjà acheté, utilisé ou téléchargé des services Internet ou cloud, ou être prêts à le faire, sans que cet achat soit validé par les DSI. En France, les départements achats ont identifiés comme les plus gourmands en services cloud non approuvés (37 % des cas). Suivent le département des ventes (36 %), puis le département logistique (36 % également).
30 % de ces achats « sauvages » sont liés à la disponibilité immédiate des services cloud, sans avoir la nécessité d’attendre l’approbation de la DSI, 16 % y voient une réponse à une DSI trop exigeante et incapable de lui apporter des réponses dans les temps impartis et 22 % un moyen pour lancer de nouveaux services.
Le panier moyen ? Les employés français ont dépensé en moyenne 2 552 € dans des services cloud en 2012. Ce ne sont pas les plus dépensiers en matière, certains employés européens pouvant dépenser plus de 5 000 €, comme 22 % des Italiens et 17 % des Allemands.
Pour autant, les DSI français voient la pratique plutôt d’un bon œil. Pour 76 % d’entre eux, cet achat « hors protocole » serait même bénéfique pour l’entreprise. Car cela leur permet de répondre plus rapidement à la demande des clients (46 % des DSI sondés), de disposer d’une solution non disponible au sein de la DSI (56 %). Pour un DSI sur deux, ces services cloud fournissent à l’entreprise une solution unique adaptée à ses besoins. Parmi les écueils mis en avant par la minorité de DSI réfractaires, la nécessité de maintenir le contrôle et l’augmentation de la charge de gestion sont le plus souvent citées.
Au niveau européen, les solutions cloud utilisées sans l’accord des DSI sont, dans 55 % des cas, des services collaboratifs ou de partage de fichiers, des messageries cloud (47 %) et des outils de messagerie instantanée (44 %).
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