A lire sur: http://pro.clubic.com/webmarketing/publicite-en-ligne/actualite-568460-publicite-perception-francais.html
L'IIfop s'est penché sur la
perception de la publicité en ligne par les Français. Pour 84% des
interrogés, elle est jugée comme un « contenu parasite qui leur fait perdre du temps ».
Deux Français sur trois estiment que la publicité en ligne est une mauvaise chose. Ce constat amer, réalisé par l'Ifop auprès d'un panel représentatif de mille personnes, n'est pas réellement une surprise. Heureusement pour les professionnels du milieu, ces chiffres sont à nuancer.
Parmi les observations d'ordre général, l'institut note que 94% des sondés sont exposés à la publicité sur Internet, une proportion qui égale la télévision. Sur les deux supports, un cinquième des personnes estiment voir plus de cent annonces par jour. D'où un sentiment d'omniprésence pour neuf interrogés sur dix. Sur mobile en revanche, 60% des gens disent être exposés à aucune pub. Une manne à venir.
Lorsqu'on leur demande combien de réclames ils voient en moyenne chaque jour, le mobile a clairement de la marge devant lui, avec 5 pubs seulement, contre 32 à la radio et 70 sur le Net et à la TV.
Globalement, l'opinion reste assez négative : seulement un tiers du panel trouve que la pub en ligne est une bonne chose, contre près de 20% à trouver qu'il s'agit d'une très mauvaise chose. S'ils la jugent envahissante, ils considèrent également qu'elle leur fait perdre du temps et qu'elle est intrusive. Pour les aspects positifs, les sondés manifestent peu d'intérêt pour son côté personnalisé ou interactif.
Les bannières sont les mieux tolérées
Pour Frédéric Micheau, le directeur général adjoint de l'Ifop, « le constat est très accablant et la publicité apparaît plutôt comme un parasitage de l'expérience de l'utilisateur sur Internet ». Alors pour améliorer les choses, l'institut a demandé à son panel quels étaient les éléments d'une campagne réussie.
Les trois quarts des personnes répondent d'abord qu'une réclame doit leur apporter de l'information. Un point que nuance Valérie Sacriste, sociologue des médias et de la publicité, selon qui les Français ont toujours demandé de l'information. En deuxième, 70% des sondés demandent un contenu de qualité.
Deux Français sur trois estiment que la publicité en ligne est une mauvaise chose. Ce constat amer, réalisé par l'Ifop auprès d'un panel représentatif de mille personnes, n'est pas réellement une surprise. Heureusement pour les professionnels du milieu, ces chiffres sont à nuancer.
Parmi les observations d'ordre général, l'institut note que 94% des sondés sont exposés à la publicité sur Internet, une proportion qui égale la télévision. Sur les deux supports, un cinquième des personnes estiment voir plus de cent annonces par jour. D'où un sentiment d'omniprésence pour neuf interrogés sur dix. Sur mobile en revanche, 60% des gens disent être exposés à aucune pub. Une manne à venir.
Lorsqu'on leur demande combien de réclames ils voient en moyenne chaque jour, le mobile a clairement de la marge devant lui, avec 5 pubs seulement, contre 32 à la radio et 70 sur le Net et à la TV.
Globalement, l'opinion reste assez négative : seulement un tiers du panel trouve que la pub en ligne est une bonne chose, contre près de 20% à trouver qu'il s'agit d'une très mauvaise chose. S'ils la jugent envahissante, ils considèrent également qu'elle leur fait perdre du temps et qu'elle est intrusive. Pour les aspects positifs, les sondés manifestent peu d'intérêt pour son côté personnalisé ou interactif.
Les bannières sont les mieux tolérées
Pour Frédéric Micheau, le directeur général adjoint de l'Ifop, « le constat est très accablant et la publicité apparaît plutôt comme un parasitage de l'expérience de l'utilisateur sur Internet ». Alors pour améliorer les choses, l'institut a demandé à son panel quels étaient les éléments d'une campagne réussie.
Les trois quarts des personnes répondent d'abord qu'une réclame doit leur apporter de l'information. Un point que nuance Valérie Sacriste, sociologue des médias et de la publicité, selon qui les Français ont toujours demandé de l'information. En deuxième, 70% des sondés demandent un contenu de qualité.
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