A lire sur: http://www.linformaticien.com/actualites/id/29316/prism-la-nsa-se-livrerait-a-un-vaste-espionnage-telephonique-et-informatique.aspx
par
, le 07 juin 2013 13:02
Selon le Guardian
et le Washington Post, l’organisme américain écouterait les
communications de millions d’abonnés téléphoniques sur les réseaux
américains et se procurerait des données auprès des plus grands acteurs
de l’informatique : Apple, Google, Microsoft, Facebook et autres.
A intervalles réguliers, la NSA est soupçonnée de se livrer à des opérations d’écoute et de récupération des données, particulièrement depuis les attentats de 2001 et les lois qui ont suivi, en particulier le Patriot Act. Jusqu’à présent, les soupçons étaient patents et la NSA n’avait pas nié se livrer à des écoutes mais le volume de données collectées a de quoi faire frémir. Le quotidien britannique a publié une ordonnance de justice qui oblige Verizon à livrer à la NSA la totalité des données téléphoniques de ses abonnés d’avril à juillet.
Depuis ces révélations, la NSA, les parlementaires américains et la Maison Blanche rivalisent d’ingéniosité en matière de communication langue de bois. En effet, il semble impossible de nier les faits mais les uns et les autres précisent qu’il s’agit de lutte contre le terrorisme et assurent que seules des métadonnées sont collectées, c’est-à-dire numéro appelé et durée de conversation mais assurément pas le contenu des conversations. Bien évidemment, nous ne sommes pas obligés de croire ces dénégations.
A intervalles réguliers, la NSA est soupçonnée de se livrer à des opérations d’écoute et de récupération des données, particulièrement depuis les attentats de 2001 et les lois qui ont suivi, en particulier le Patriot Act. Jusqu’à présent, les soupçons étaient patents et la NSA n’avait pas nié se livrer à des écoutes mais le volume de données collectées a de quoi faire frémir. Le quotidien britannique a publié une ordonnance de justice qui oblige Verizon à livrer à la NSA la totalité des données téléphoniques de ses abonnés d’avril à juillet.
Depuis ces révélations, la NSA, les parlementaires américains et la Maison Blanche rivalisent d’ingéniosité en matière de communication langue de bois. En effet, il semble impossible de nier les faits mais les uns et les autres précisent qu’il s’agit de lutte contre le terrorisme et assurent que seules des métadonnées sont collectées, c’est-à-dire numéro appelé et durée de conversation mais assurément pas le contenu des conversations. Bien évidemment, nous ne sommes pas obligés de croire ces dénégations.
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