A lire sur: http://www.zdnet.fr/actualites/accord-free-mobile-orange-l-etat-saisit-l-autorite-de-la-concurrence-39784195.htm#xtor=EPR-100
Réglementation - Le gouvernement veut savoir si l'accord d'itinérance mis en place entre les deux opérateurs ne risque pas d'affecter, à terme, la concurrence.
Le gouvernement avait prévenu. Il entend que les opérateurs télécoms s'inscrivent dans un vrai modèle d'investissement pour préserver l'emploi dans le secteur. En ligne de mire, sans le nommer, Free Mobile.
"Le Gouvernement considère qu’en dehors des zones les moins denses du territoire, le déploiement par chaque opérateur de son propre réseau doit être la règle, y compris pour le dernier entrant. En particulier, le recours à l’itinérance ne saurait servir de modèle économique et ne peut donc se concevoir que de manière transitoire, en tous cas dans les zones denses".
Et pour bien enfoncer le clou, on apprend ce lundi que le gouvernement a saisi l'Autorité de la concurrence sur cette question. Et de demander : "dans l'hypothèse du maintien ou de la pérennisation de cet accord, (...), de savoir dans quelle mesure Free ne bénéficierait pas d'un modèle de déploiement durablement plus avantageux que ses concurrents", indique l'Autorité de la concurrence dans un communiqué.
Sortir au plus vite de cet accord d'itinérance
L'argument est connu et repris à l'envie par les concurrents de Free Mobile. Ce dernier appliquerait une stratégie du coucou, se contentant de l'itinérance pour écouler la majeure partie de son trafic et ainsi réaliser d'importantes économies en infrastructures.
Le trublion ne cesse de répéter de son côté qu'il déploie bien son réseau et que son objectif est bien, de sortir au plus vite, de cet accord d'itinérance qui lui coûte plusieurs centaines de millions d'euros par trimestre.
L'Autorité a par ailleurs été interrogée sur la possibilité pour les opérateurs de mutualiser leurs réseaux mobiles dans les zones faiblement peuplées pour la bande dite des 800 mégahertz.
"Face aux difficultés qu'ils rencontrent, ils souhaitent être éclairés sur les différentes possibilités compatibles avec le respect des règles de concurrence", explique l'Autorité qui rendra son avis à la fin du mois de février.
Réglementation - Le gouvernement veut savoir si l'accord d'itinérance mis en place entre les deux opérateurs ne risque pas d'affecter, à terme, la concurrence.
Le gouvernement avait prévenu. Il entend que les opérateurs télécoms s'inscrivent dans un vrai modèle d'investissement pour préserver l'emploi dans le secteur. En ligne de mire, sans le nommer, Free Mobile.
"Le Gouvernement considère qu’en dehors des zones les moins denses du territoire, le déploiement par chaque opérateur de son propre réseau doit être la règle, y compris pour le dernier entrant. En particulier, le recours à l’itinérance ne saurait servir de modèle économique et ne peut donc se concevoir que de manière transitoire, en tous cas dans les zones denses".
Et pour bien enfoncer le clou, on apprend ce lundi que le gouvernement a saisi l'Autorité de la concurrence sur cette question. Et de demander : "dans l'hypothèse du maintien ou de la pérennisation de cet accord, (...), de savoir dans quelle mesure Free ne bénéficierait pas d'un modèle de déploiement durablement plus avantageux que ses concurrents", indique l'Autorité de la concurrence dans un communiqué.
Sortir au plus vite de cet accord d'itinérance
L'argument est connu et repris à l'envie par les concurrents de Free Mobile. Ce dernier appliquerait une stratégie du coucou, se contentant de l'itinérance pour écouler la majeure partie de son trafic et ainsi réaliser d'importantes économies en infrastructures.
Le trublion ne cesse de répéter de son côté qu'il déploie bien son réseau et que son objectif est bien, de sortir au plus vite, de cet accord d'itinérance qui lui coûte plusieurs centaines de millions d'euros par trimestre.
L'Autorité a par ailleurs été interrogée sur la possibilité pour les opérateurs de mutualiser leurs réseaux mobiles dans les zones faiblement peuplées pour la bande dite des 800 mégahertz.
"Face aux difficultés qu'ils rencontrent, ils souhaitent être éclairés sur les différentes possibilités compatibles avec le respect des règles de concurrence", explique l'Autorité qui rendra son avis à la fin du mois de février.
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