dimanche 31 juillet 2011

Le premier vélo d’appartement connecté à Google Maps

Avis aux fans de cyclisme indoor et de high tech, la société Proform vient de lancer la commercialisation d’un vélo d’appartement… pas comme les autres. Connecté à Internet, le « Tour de France Indoor Cycle » utilise Google Maps pour vous offrir de nouvelles sensations plus proches de la route.

Grâce à sa connexion à Google Maps, le « Tour de France Indoor Cycle » vous permet de définir vos propres trajets et de visualiser votre position en mode vision satellite. Que vous soyez plutôt étape du Tour de France ou itinéraires secrets, vous suivez votre position en temps réel pour prendre la mesure de votre avancée sur le parcours.

Pour simuler les difficultés de votre parcours, le vélo peut s’incliner à + ou – 20% selon le niveau de la pente pratiquée. Il opposera aussi une résistance en fonction de cette pente, ainsi qu’une résistance au vent calculée en fonction du poids et de la taille du cycliste.

Vendu un peu plus de 900€, ce vélo d’appartement « geek » reste réservé aux cyclistes les plus assidus !


vendredi 29 juillet 2011

Choix logiciels 1 an après : la gestion des campagnes marketing en mode SaaS chez BUT

0Chaque mois, JDN revient sur les contrats logiciels signés l'année précédente. Malgré un temps de déploiement plus long que prévu de sa solution Aprimo, l'enseigne de la grande distribution a atteint son objectif de retour sur investissement.

Publié le 06/07/2011


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Spécialisé dans l'équipement de la maison, BUT a souhaité s'équiper en juin 2010 d'une solution pour gérer et optimiser ses ressources et campagnes marketing dans l'ensemble de son réseau composé de 215 magasins répartis dans toute la France.

"Nous avons été tout de suite ambitieux et le périmètre à couvrir était dès l'origine très large. Notre volonté était de réaliser plus d'opérations et de campagnes avec un niveau d'effectifs et de ressources équivalent", indique Jean François Greco, directeur de la communication de BUT. "De nombreux services tel que le Marketing, les Achats, la Finance et la Communication, ainsi que nos prestataires extérieurs ont été mis à contribution, tant au niveau de la définition des modes opératoires que dans l'application des nouveaux processus".

Plusieurs équipes ont ainsi été amenées à travailler aussi bien sur le niveau de la définition des nouveaux modes opératoires mis en place que de l'application des nouveaux processus. Une coopération qui s'est révélée fructueuse en ayant permis à BUT de corriger certains de ses processus marketing qui fonctionnaient pourtant en apparence correctement.

"La gestion du reporting a été un point sensible et des traitements Excel ont dû être réalisés" (Jean François Greco - Directeur de la communication BUT)

"La mise en place de la solution Aprimo qui gère des processus de 6 à 7 mois pour certaines opérations ou campagnes nous ont permis de découvrir des dysfonctionnements très en amont des cycles de leur réalisation, ce qui nous a amené à intégrer au projet d'autres personnes spécialisées dans le sourcing", fait savoir Jean François Greco.

Mais d'autres difficultés ont également dû être menées de front. "La gestion du reporting a notamment été un point sensible. Si Aprimo génère des rapports à la volée, nous avons dû réaliser, à partir des exports proposés par la solution, des traitements par le biais de fichiers Excel. Cette partie du projet avait été sous estimée et nous avons pu constater que ce travail était relativement chronophage et nécessitait beaucoup de réflexion pour obtenir les données les plus pertinentes", tempère le directeur de la communication de BUT.

En dépit d'un délai de mise en œuvre retardé par le fait qu'une partie des équipes de BUT ont été mobilisées sur d'autres projets menés par l'enseigne en parallèle, la solution SaaS Aprimo donne aujourd'hui satisfaction sachant que l'objectif de ROI a été atteint " et même dépassé " même si au départ cela n'était pas gagné d'avance.


A lire ailleurs



"Au niveau du déploiement nous avons consacré plus de budget que prévu initialement, notamment parce que nous nous n'avions pas de staff dédié à cette étape et que nous avons du adapter les workflows et les paramétrages à la profondeur du périmètre à couvrir ", tempère ainsi Jean François Greco.

"La satisfaction des collaborateurs était pour nous un point très important, nous devions leur offrir plus de confort malgré l'augmentation de la charge de travail. Ainsi, si nous considérons l'investissement réalisé et les premiers retours obtenus, je pense pouvoir dire qu'aujourd'hui l'objectif de ROI a été atteint et même dépassé", conclut le directeur de la communication de BUT.

Le bilan des autres choix logiciels de Juin 2010
EntrepriseEditeurNature du projetCommentaire
ThalysNeolane CRM (gestion des campagnes)" La mise en place s'est déroulée quelques mois après le lancement du référentiel et globalement le périmètre initial de ce module a été maintenu. De nouvelles tables, sources, champs et templates ont, par contre, été ajoutés suivant les besoins business - segmentations ou déclencheurs des campagnes. Nous avons dû surmonter plusieurs difficultés comme la bonne compréhension des besoins business et leurs traductions, la mobilisation des équipes et ressources: il est fondamental de disposer des bonnes ressources et de consacrer du temps à la définition détaillée des besoins, lors de workshops thématiques, de les formaliser dans des spécifications très détaillées pour éviter tout malentendu ", a expliqué Catherine L'Olivier, responsable CRM chez Thalys
BH (filiale du groupe Bénéteau)ISIA Diapason ERP" La mise en place s'est passée comme prévue dans le périmètre déterminé lors de l'analyse de cadrage, à savoir que nous avions surtout travaillé sur la partie industrie et nous avions laissé volontairement les parties gestion commerciale et installation sur site sans cahier des charges spécifique, par manque de recul. Aujourd'hui, il nous reste encore les parties commerciales et gestion des chantiers à écrire et à mettre en place, par ailleurs nous avons fait évoluer le paramétrage originel par nos équipes internes afin de rapprocher l'ERP Diapason de nos processus métiers. Nous rencontrons aujourd'hui quelques difficultés pour trouver une méthodologie de paramétrage commune et travaillons ensemble pour y remédier ", a indiqué Eric Laurent, Directeur des Systèmes d'Information du groupe Bénéteau
SerimaxNuxeoGestion documentaire et KM" La mise en place du projet s'est déroulée comme prévu et le périmètre du projet n'a pas vraiment évolué. Maintenant que tout est en place et fonctionne, nous travaillons pour intégrer davantage de documents, utiliser plus de fonctions qui sont disponibles en standard, et dont nous n'avions pas forcément besoin au début du projet, etc. Nous n'avons pas rencontré de difficultés particulières à part peut-être certains utilisateurs pas forcément à l'aise avec les outils informatiques qui ont encore un peu de mal à s'adapter. Mais nous sommes à leur écoute, et nous faisons le maximum pour leur faciliter la tâche. Les taux de fréquentation sont bons et se maintiennent. Nous voyons tout de suite la différence lorsque nous communiquons sur la publication de certains documents, ou lorsque nous organisons des sessions de formation. Le coût du projet initial a été quoi qu'il en soit parfaitement respecté ", a fait savoir un porte-parole de Serimax.
PriceministerGoogleMessagerie et bureautique" Nous n'avons pas rencontré de problème particulier pendant la migration. La première phase de migration a permis de lever quelques déficiences sur certains outils fournis par Google (Directory Sync) ce qui a finalement permis de mettre en place une procédure de migration claire et non équivoque. Nous avons effectué une migration tout en douceur au fil de l'eau. Pas de migration big bang. Le nouveau système cohabite très bien avec l'ancien. Au début, on pensait que tout le monde souhaiterait conserver Outlook comme client de mail. Le volume de données de certains utilisateurs (+ 10Go) ont rendu la migration parfois un peu longue mais ça n'a pas été un point bloquant. Le budget initial a été parfaitement respecté (au chiffre prêt). Le seul dépassement budgétaire à noter est finalement apparu sur la bande passante Internet qui a du être augmentée pour pouvoir supporter sans problème l'accès aux mails ", a fait savoir Justin Ziegler, DSI de Priceminister.
Secours PopulaireBarracuda NetworksRéseaux" Nous n'avons rencontré aucun problème lors de la mise place. La seule chose qu'on puisse dire si on est tatillon, c'est que l'interface évolue souvent avec les nouveaux firmwares ce qui nous oblige à nous replonger un peu dans la documentation. Ce boitier fonctionne sinon très bien ! Nous avons d'ailleurs encore fait appel à Barracuda Networks pour sécuriser nos serveurs web et notre messagerie avec un Antispam (Spam & Virus Firewall 300) et un Web Application Firewall (660 avec la fonctionnalité d'auto-learning). Nous sommes totalement en phase avec le projet initial. La seule éventuelle remarque que je ferai, c'est que ce boitier serait parfait si la QOS se faisait au niveau applicatif et pas par protocole. Même si ceci ne faisait pas partie de notre demande initiale, avec cette fonctionnalité nous n'aurions plus besoin de deux appliances (link balancer et routeur) mais d'une seule, nous faisant ainsi bénéficier d'une certaine économie ", indique le responsable projet.
Source : JDN Solutions

Méthodologie : JDN Solutions publie chaque semaine une sélection des principaux contrats signés par les DSI françaises avec des éditeurs de logiciels. Publié mensuellement, le présent article a pour but de revenir sur les choix de logiciels que nous avons publiés un an auparavant, et faire le bilan de ces projets. Dans ce cadre, JDN interroge les entreprises utilisatrices, via leurs éditeurs.

Sur les 24 contrats logiciels publiés en juin et juillet 2010, nous avons obtenu une réponse positive de 8 entreprises utilisatrices qui ont bien voulu nous répondre sur l'état d'avancement de leur projet. 8 ne nous ont pas du tout répondu (Bakkavor / Cezanne Software, General Solar Systems / CRM update, Tunisian Foreign Bank / Temenos, Singer / Altitude Telecom, Innocent / EDT, Leo Pharma / Cegedim Dendrite, La Mutuelle Nationale des Hospitaliers / FrontGRC, Sodexo / Altaven), 7 n'ont pas pu nous répondre dans les temps (Aéroport de Heathrow / Pegasystems, Kellog's / Crossgate, Royal Navy / IFS, Gérard Darel / IBM Cognos 8, Virigin Galactic / Salesforce CRM, Office du tourisme d'Afrique du Sud / Salesforce.com et Saint-Gobain / b-process) et 1 entreprise n'a pas pu nous fournir d'interlocuteur connaissant tout l'historique du projet (Santé publique écossaise / InterSystems).

Dominique FILIPPONE, Journal du Net
http://www.journaldunet.com/solutions/intranet-extranet/gestion-campagne-marketing-chez-but-avec-aprimo.shtml?f_id_newsletter=5436&f_u=24019632

Dispelling the vapor around cloud computing

http://whitepapers.zdnet.com/thankyou.aspx?&promo=530&tag=nl.e530&cval=wit2.zdnet&ctype=default&docid=2386957&view=2386957&load=1&load=1

Three signs Google+ is here to stay (And two that it's doomed)

By Matt Weinberger | July 29, 2011, 2:39am PDT

Summary

One month in, here’s a look at three signs that Google+ is here for the long haul - and two signs that it’s doomed to fail.

Blogger Info

Christopher Dawson

Sometimes it seems like the population of the Internet has broken down into two camps: Those who think Google+ is the social networking equivalent of the Second Coming, and those who insist on fence-sitting, waiting to see how the fledgling Google+ deals with its first wave of crises before they jump over from Facebook.

In fact, some naysayers, like those at Business Insider, are wondering if Google+ has already peaked, with users decreasing while the gender ratio gets even more weighted towards males. All the same, Google+ has racked up an impressive 20 million users in the month or so since launch.

So keeping that in mind, here’s a look at three signs that the optimists are right and Google+ is here for the long haul - and two signs that Google+ is doomed to fail.

Google+ is here to stay:

1. Humor: Everybody’s a comedian, it seems, when it comes to Google+. SomeEECards.com notes the last person to group his friends into Circles. Web cartoonist Matthew Inman, better known asThe Oatmeal,” offers this Lion King-infused take on Google Circles, while this cartoon on Google vs. Facebook vs. MySpace has been making the rounds on sharing sites like Reddit. And there are far more examples out there.

Why am I pointing this out? Because all these jokes indicate that users grasp Google+ and what it tries to do enough to both make these jokes and understand them. Where users used to make jokes about Facebook’s creepy “Big Brother” functionality, cracks about Google Circles stand in their place.

Basically, if you so much as smiled at one of these, Google+ has its hooks in you.

2. Growing Fast: Three weeks in, Google+ hit a solid 10 million users, and that was while invitations were still pretty scarce. That number just shy of doubled to 18 million less than a week later, and two days after that Google+ hit 20 million registered users. That’s especially impressive considering that it’s still technically a field test, though Google Gmail was in beta for years.

Even celebrities and public figures are jumping on the Google+ bandwagon, including Canadian Prime Minister Stephen Harper (whose first contributions to his followers were pictures of a kitten), singer Taylor Swift, and, perhaps unfortunately, socialite and reality television star Paris Hilton. Love them or hate them, prominent figures jumping aboard a social network is a bellwether of staying power.

It seems that even Google was caught flatfooted by Google Plus’ appeal. But the search giant is moving to build out Google+ with talent and technology acquisitions like that of Fridge, which will enhance Google Circles for users in as-yet undeclared ways. And at the same time, Google+ is letting corporations join in with special business profiles while promising that games are soon to come.

3. Angry Users: Hear me out on this one - yes, users are putting together their own wishlists of things they wish Google+ would include, or problems and flaws that need fixing. But as ZDNet’s own Steven J. Vaughan noted on the occasion of Ms. Hilton’s Google+ debut, it’s very often from a place of love for the product.

After all, Google+’s privacy-based approach has gained the social network its fair share of fans, and it would be stranger than anything if they couldn’t work up the passion to brainstorm improvements. And unlike Facebook, where users now tend to take odd changes to privacy and functionality settings as the norm, Google+ is still very much a work in progress.

So, all that said, the case could be made that upset Google+ users are just die-hard fans in the making.

Google+ is doomed to fail:

1. History: Google Buzz, too, launched amidst a flurry of hype. Not only was it a short honeymoon - Google wound up paying $8.5 million in a privacy lawsuit. Buzz is still in operation, but enthusiasm for it died out both within and without Google very quickly, and it looks like the search giant has stopped development on its Twitter competitor altogether.

That’s an extreme case, but at least Buzz survived Google’s loss of interest. Google Wave, the company’s big play into combining instant messaging, was killed entirely when it failed to find its audience. Same for Google Health and Google PowerMeter.

Now, I’m not saying that Google shouldn’t phase out products that aren’t making it money. The “Don’t Be Evil” catchphrase aside, Google is a business, and it would be doing its shareholders a disservice if it were investing time and cash into unprofitable ventures.

But visits to Google+ are showing signs of decline, even as Wall Street analysts have begun worrying about Google’s ROI and margins on the social endeavor. And from a personal, anecdotal perspective, it seems that my Google+ feed is a veritable ghost town sometimes, and the only really regular users I follow are those on Google Inc.’s payroll.

2. Angry Users: Everything I said above about passionate users still applies. But angry users are angry users, and when Google+ is deleting user profiles for violating its rules about tying a Google Profile to a real name, without explaining the reasoning to the user, anger can override passion.

And that’s putting aside the bad PR around the time William Shatner, Captain Kirk himself, was temporarily banned from Google+ for being too popular. And ZDNet’s Violet Blue has called Google+ “Fast, cheap, and out of control,” in a harsh criticism of Google’s rules around adult content (or lack thereof).

Essentially, users want more communication and guidance from Google than they’ve been getting, though the search giant has met in the middle in some cases. In other words, it seems like Google+ may be a revolutionary approach to social networking, but it comes with some lousy customer service.

No Clear Answers

At the end of the day, it’s easy for cynics to call Google+ a Facebook-killer and then get frustrated when the house that Zuckerberg built is still standing a month later. But Facebook took seven years to get where it is, while Google+ has had a month almost exactly to the day.

Give it another six months, and see if Google+ has kept growing its users. Maybe then, we’ll have some hints as to the future of the Google+ vs. Facebook fight for supremacy. But when it comes to a company like Google, even six months is practically a lifetime. Just look how much chatter Google+ has generated in just one.

http://www.zdnet.com/blog/google/three-signs-google-is-here-to-stay-and-two-that-its-doomed/3188?alertspromo=&tag=nl.rSINGLE

Updatable firmware could be the new target for hackers

By Adrian Kingsley-Hughes | July 28, 2011, 7:17am PDT

Summary

At the upccoming Black Hat conference, security researcher Charlie Miller plans to disclose a way to hack the battery microcontrollers on Apple notebooks and how this hack could be used to brick batteries, steal data or possibly even cause a fire or an explosion.

Blogger Info

Adrian Kingsley-Hughes

A few days ago security researcher Charlie Miller announced that he will disclose information at the next Black Hat conference about how he figured out a way to hack the battery microcontrollers on Apple notebooks and how this hack could be used to brick batteries, steal data or possibly even cause a fire or an explosion.

It’s an interesting hack. Miller started with a battery firmware update released by Apple a few years ago. Buried within this update he found the password (which turned out to be the default password for the component as set by the manufacturer) and set of commands needed to put the battery microcontroller into ‘full access mode.’ This mode allowed low-level access to the controller and offered Miller the chance to make it do things it wasn’t supposed to do, such as lie about the charge state of the battery. He also managed to brick batteries - seven in all, each costing $130.

So, other than bricking batteries (something that a mischievous hacker might be happy doing), what else can be done? Well, Miller thinks that this could be used to install malware onto a system in such a way that it would survive a total disk wipe and BIOS reflash - persistent malware that could only be eradicated through reflashing the affected component.

Now, the researcher (and most of the news pieces covering it) latched onto this being an ‘Apple’ issue, but in reality it’s a problem affecting pretty much anything that has reflashable or updatable firmware. Paul Ducklin, head of technology at Sophos Asia Pacific, had this to say:

So, are Apple laptop batteries the new attack vector? Could a virus set your beloved Macbook on fire?

The answer to the first question is: no more so that any other hardware in your system with field-updatable firmware. That includes the motherboard itself, your wireless card, your 3G modem, network card, graphics device, storage devices and much more. Including, of course, the battery pack. And - as Apple fans reading this article will be happy to note - the risk is not unique to Apple, though Charlie Miller’s paper is.

So this extends well beyond the Apple ecosystem (and even computers as a whole) and is something that affects everything with updatable firmware. If the bad guys can gain access to that firmware, then there’s a possibility that rogue code could be installed. It’s as simple as that.

But what about using this hack to make batteries explode? Could that happen? Well, yes … but … batteries are pretty robustly built, and OEMs are keen to make sure that they don’t explode (for the sake of liability) so the modern notebook battery is fitted with numerous safeguards to protect against the battery bursting in flames or exploding. While the safety features built into some batteries do fail (a little more often that I’d like so see, judging by the number of recalls I come across), on the whole notebook battery technology is pretty safe (I’m typing these words with a Dell sitting on my lap, behaving itself).

So, is there an issue here? Yes. Is it an Apple issue? No. Is it something that the tech industry needs to think about? Absolutely. Is this something that people should start panicking over? Absolutely not!

Side-note: Miller says he plans to release a tool called ‘Caulkgun’ that will prevent hackers from accessing the battery microcontroller by changing the password to a random string of digits. Personally I’d be wary of running this because it will prevent Apple updates relating to the battery controller from being installed.

http://www.zdnet.com/blog/hardware/updatable-firmware-could-be-the-new-target-for-hackers/13943?alertspromo=&tag=nl.rSINGLE

Les 5 tendances 2011 du commerce de détail

Avec la baisse des dépenses de consommation et la hausse des coûts, les marges de la distribution traditionnelle sont tendues. Quelles sont les tendances 2011 de la distribution ? Quelles sont les mutations à prévoir ? Henri Seroux, Directeur Général France chez Manhattan Associates, éditeur de solutions de gestion de la Supply Chain, nous présente les défis majeurs auxquels sont confrontés les distributeurs en 2011.


La consommation des ménages reste inégale et imprévisible, et face aux difficultés économiques persistantes, les coûts sont réduits afin de compenser la pression sur les marges. Au-delà de ces conditions de marché difficiles, les distributeurs doivent s'attaquer aux problèmes posés par l'évolution rapide du commerce de détail.


1. Mutation des marchés

Les marchés évoluent rapidement et vont continuer à se développer. Nous le constatons avec les cycles de vie courts des biens de consommation électroniques, l'impact des fichiers téléchargeables pour l'industrie musicale et la complexité du mélange de canaux de distribution dont disposent maintenant les clients : magasins, Internet, catalogues et smartphones.

Aujourd'hui, les consommateurs se renseignent plus spécifiquement sur les produits qu’ils achètent et sont plus exigeants en termes de service et de valeur ajoutée. Les distributeurs doivent fusionner leurs canaux de distribution afin d’optimiser leurs niveaux de stock, la gestion, et le traitement des commandes. Ils peuvent ainsi créer une offre de service et une expérience d’achat cohérentes pour leurs clients.

Les distributeurs doivent pouvoir accéder, en temps réel, aux données relatives à leur Supply Chain afin d’acquérir la flexibilité nécessaire à l’évolution de la demande et des besoins du marché.


2. Développement international des enseignes

De nombreux distributeurs cherchent à croître en développant leur présence à l’international. La volonté de vendre, en dehors de leur marché d’origine, pousse les enseignes à revoir leurs stratégies de localisation des stocks et d’exécution des commandes.
Généralement, lorsque la portée géographique d’une entreprise augmente, il en va de même pour son nombre de centres de distribution. Toutefois, cette approche décentralisée empêche les distributeurs d'avoir une « vision globale » de leurs chaînes logistiques. Ils améliorent la synchronisation de leur Supply Chain grâce à un suivi des stocks à l'échelle du réseau.

L’autre impératif est l’optimisation globale de leur processus de gestion des commandes des clients afin de les traiter de la manière la plus efficace possible. Des outils de prévision et de gestion des commandes sont nécessaires afin de s’assurer que les produits les plus vendus sont disponibles en nombre suffisant et acheminés sur les lieux où la demande est la plus forte. Ainsi, les niveaux de stock au sein de l'entreprise sont équilibrés, hiérarchisés et rationalisés.


3. Succès des réseaux sociaux

La concurrence entre les distributeurs est rude sur un segment de population en particulier : les détenteurs de Smartphones. Les distributeurs créent de nouveaux sites Internet pour ces clients, au-delà des vitrines d’e-commerce traditionnelles. Les pages de fans sur Facebook et Twitter sont visées : les enseignes pourront y entamer un dialogue avec leur clientèle sur des sujets liés à leurs produits.

Les Supply Chain doivent alors être capables de soutenir ces initiatives marketing. Les produits doivent être disponibles depuis et vers n’importe quel endroit. Le maître mot est « l’exécution pratique des commandes ». Si un client consulte une page de fan sur Facebook et découvre une promotion spéciale sur un article qu’il souhaite acheter, il doit pouvoir réserver le produit dans un point de vente local en quelques clics.

Pour offrir ce niveau d’interactivité, le distributeur doit pouvoir suivre en temps réel l’état de ses stocks et traiter une commande n’importe où, via le mode souhaité par le client (livraison à domicile ou mise à disposition en magasin).


4. Services et localisation géographique

En 2011, nous avons commencé à voir arriver les « services tenant compte de la localisation géographique ». Parce que les applications sur Smartphone permettent maintenant de localiser leurs utilisateurs, les distributeurs peuvent exploiter cette fonctionnalité en lançant des promotions destinées à des clients locaux.

Là encore, ces promotions sur le mode de la réservation en ligne ou simple retrait en magasin obligent les détaillants à fusionner leurs canaux de distribution. Cette méthode a pour avantage de cibler et de fidéliser les clients locaux afin d’écouler les surplus de marchandises dans certains magasins.


5. Développement du commerce au-delà des points de vente fixes

Cette année, le nombre de consommateurs ayant Internet au quotidien grâce à leur téléphone augmente encore. L’adoption croissante des Smartphones est en train de changer les habitudes d’achat. Il est maintenant facile de comparer les prix avec ceux de la concurrence en magasin, simplement en scannant le code-barres d’un produit. Des applications sont proposées à cet effet : à l’aide d’un code-barres, un site d’e-commerce peut vous indiquer combien coûterait l'expédition du produit.

Pour les enseignes de commerce traditionnel, le défi à relever est donc de taille. Oubliant les simples points de vente fixes, elles doivent rendre leurs vendeurs plus mobiles. Equipés d’appareils portatifs, ces vendeurs peuvent vérifier la disponibilité d'un produit en magasin et sur tous les canaux de distribution, réserver des articles pour un retrait sur place ou une livraison à domicile, et surtout, garantir le meilleur prix. Seule une relation étroite avec le client permet au personnel de rivaliser dans cet environnement riche en informations.

Les distributeurs doivent déployer des outils technologiques afin que leur personnel en magasin puisse suivre l'état des stocks et exécuter les commandes. Les enseignes doivent s’adapter à cette mutation rapide du paysage commercial. Les entreprises capables de suivre l’état de leurs stocks sur tous les canaux et en tous lieux, d’optimiser la gestion des commandes, et d'exécuter ces dernières avec flexibilité, conformément aux souhaits du client seront les mieux placées pour bénéficier des multiples opportunités à venir.
http://www.itrnews.com/articles/121840/5-tendances-2011-commerce-detail.html?key=862d53eea2c1d2fe

Les géants japonais de la high-tech inquiets de l'évolution de la demande mondiale

28/07 | 18:20 | mis à jour à 18:47 | Yann Rousseau

Sony, Panasonic, Toshiba et Sharp ont surmonté plus rapidement que prévu la crise logistique qui a suivi le tsunami du 11 mars. Pourtant peu touché par la catastrophe, Nintendo souffre lui des très mauvaises ventes de sa console 3DS.

Ecrit par
Yann ROUSSEAU
Correspondant à Tokyo

Les cadres de Sony, Panasonic, Toshiba ou Sharp n'ont plus les yeux fixés sur la reconstruction de leurs usines ou la réparation des routes, mais sur les statistiques de la demande mondiale. Moins de cinq mois après la catastrophe du 11 mars, la reprise se fait attendre. Les groupes, qui dévoilaient aujourd'hui leurs derniers résultats trimestriels, n'ont pas profondément modifié, malgré l'amplitude des bouleversements constatés jusqu'au mois de mai, les estimations de leurs performances annuelles et la plupart pensent encore pouvoir dégager des profits sur l'ensemble de l'exercice fiscal. Tous ont toutefois noté qu'ils s'inquiétaient désormais du faible appétit des consommateurs pour certains de leurs produits phares.

Chez Sony, c'est, une nouvelle fois, l'activité « téléviseur » qui inquiète la direction. Après avoir enregistré, pendant sept années d'affilée, des pertes dans cette division, Sony avait laissé entendre en début d'année qu'il allait enfin réussir à dégager des profits, même limités, dans cette unité. Mais la nouvelle baisse des prix dans les magasins et la chute des ventes d'écrans plats risque encore de faire souffrir le groupe sur l'ensemble de l'exercice fiscal. La société, qui a baissé ses prévisions de ventes mondiales de téléviseurs de 27 millions à 22 millions d'unités sur l'ensemble de l'année, a rappelé qu'elle allait aussi souffrir dans les prochains mois de la force du yen par rapport au dollar et à l'euro. Le groupe a déjà fermé plusieurs de ses usines dans l'archipel et a laissé entendre qu'il allait encore devoir accélérer la délocalisation de certaines de ses productions.

Malgré ces difficultés et une perte nette de 15,5 milliards de yens lors du dernier trimestre, Sony espère toujours terminer l'exercice en mars 2012 en dégageant un bénéfice net, qui trancherait avec les pertes de l'an dernier. Ce profit pourrait toutefois n'atteindre que 60 milliards de yens et non plus 80 milliards comme l'espérait encore la société au printemps.

Des profits à la fin de l'année

Handicapé comme son concurrent par la baisse généralisée du prix des grands écrans plats et par les pertes liées à la relance de ses chaînes de production après le séisme et le tsunami, Sharp a lui aussi enregistré une perte nette de 49,28 milliards de yens (444 millions d'euros) entre avril et juin. En reconcentrant une partie de son appareil productif sur la fabrication de petits écrans LCD, le groupe espère pouvoir se redresser dans les neuf prochains mois et terminer l'année fiscale avec un profit net de 6 milliards de yens (54 millions d'euros), en recul toutefois de 69% par rapport au bénéfice enregistré un an plus tôt.

Un peu moins concerné par les performances de ses téléviseurs qui ne représentent qu'une partie de son large portefeuille de productions comprenant des autocuiseurs de riz, des composants, des ordinateurs portables mais aussi des centrales nucléaires, Toshiba a réussi à sauver, au premier trimestre, 470 millions de yens (4 millions d'euros) de bénéfices nets. Il redoute maintenant la poussée du yen qui continue d'entamer ses marges à l'étranger, le groupe croit pouvoir dégager un profit net en hausse de 1,6% sur douze mois, à 140 milliards de yens.

S'ils ont salué aujourd'hui la bonne tenue de ces grands groupes nippons, les analystes ont en revanche sévèrement jugé les performances de Nintendo qui n'avait pas autant souffert que ses homologues des conséquences du drame du 11 mars. Plombé par les mauvaises ventes de sa nouvelle console 3DS qui ne parvient pas à compenser la baisse programmée des ventes de Wii et de DS, le groupe de Kyoto a dévoilé une perte nette de 25,5 milliards de yens sur la période avril-juin et baissé de 80% l'estimation de son bénéfice sur l'année. Pour « créer un nouveau momentum et accélérer la pénétration » de sa 3DS, Nintendo va officialiser à la mi-août une baisse de plus de 30% du prix de vente de sa console sur les grands marchés.

Photo : REUTERS/Toru Hanai

Yann Rousseau
A TOKYO
http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/tech-medias/actu/0201537044660-les-geants-japonais-de-la-high-tech-inquiets-de-l-evolution-de-la-demande-mondiale-199771.php?xtor=EPR-1500-[la_une_matin]-20110729-[s=461370_n=3_c=304_]-361033@1

Google doit revoir sa défense face à Oracle

11:20 - jeudi 28 juillet 2011 par Matthieu Lamelot -
source: WSJ/AllThingsD

Zoom

Google et Oracle se livrent depuis le début de l'année une bataille juridique, le second accusant le premier d'exploiter dans Android des technologies Java sans licence. La ligne de défense adoptée par Google jusqu'à maintenant n'est pas de contester l'utilisation des technologies Java mais de prétendre n'avoir pas violer des brevets Oracle volontairement. Une ligne mise à mal par plusieurs documents.

Le juge William Alsup en charge de l'affaire a exhibé plusieurs email prouvant que Google était conscient de la nécessité de négocier une licence d'utilisation auprès d'Oracle. Dans un message adressé en 2010 à Andy Rubin, vice président de Google en charge du développement d'Android, Tim Lindholm, ingénieur Java précédemment employé par Sun, explique : «La tâche qui nous a été confiée (par Larry et Sergey) est d'étudier les alternatives techniques à Java pour Android et Chrome. Nous en avons passé un paquet en revue, et nous pensons qu'elles sont toutes nulles. Nous en concluons que nous devons négocier une licence pour Java selon les termes dont nous avons besoin. » Le juge Alsup a clairement donné son avis aux avocats d'Oracle : « C'est vraiment un bon document pour vous. »

http://www.presence-pc.com/actualite/Google-java-android-oracle-brevets-44483/

Les bénéfices de Samsung chutent de 18 %

07:10 - vendredi 29 juillet 2011 par David Civera -
source: Wall Street Journal

ZoomSamsung vient de publier ses résultats financiers pour le deuxième trimestre 2011 et dans l’ensemble, ils sont plutôt bons. Son chiffre d’affaires a atteint 26 milliards d’euros, soit une hausse de 4 % par rapport à l’année dernière, tandis que son bénéfice est descendu de 2,84 milliards d’euros au deuxième trimestre 2010 à 2,33 milliards d’euros. Cette baisse s’explique principalement par une chute des prix de vente de composants en raison d’un surplus. Sa division smartphone continue d’exceller et de tirer les résultats de la compagnie vers le haut.

En effet, son département télécommunication a vu ses bénéfices grimper de 420 millions d’euros à 1,1 milliard d’euros, soit une hausse de 165 %. Nokia semble encore dominer le marché des téléphones portables, mais Samsung aurait déjà dépassé le Finlandais sur celui des smartphones. Il est aussi très proche d’Apple, ses terminaux Galaxy S continuant de remporter un franc succès. Ce marché a d’ailleurs permis de grandement limiter les dégâts liés aux surplus de composants. Sa division LCD fut néanmoins la plus sévèrement touchée puisqu’elle accuse d’une perte de 140 millions d’euros, alors que l’année dernière, elle jouissait d’un bénéfice de 580 millions d’euros.

Samsung réalise la majorité de son chiffre d’affaires sur la vente de produits grand public, tels que les téléviseurs, ordinateurs ou gadgets. Les résultats publiés hier montrent que la firme a rectifié la tendance négative qui avait plombée 2010. Ce secteur retrouve le chemin des bénéfices après six mois de pertes. Samsung parle d’un profit de 340 millions d’euros.

http://www.presence-pc.com/actualite/Galaxy-S-44494/

The iPhone 5 is coming! AT&T vs. Verizon: Which carrier loves you more?

Thursday July 28, 2011, Courtney Boyd Myers Screen shot 2011-07-28 at 4.35.18 PM

We wrote about FastCustomer this morning, a productivity app that has saved its users 220,000 minutes on hold. The iOS and Android mobile app (Free) will actually call any company’s call center or any department you want and wait on hold for you. Productivity indeed. The app saves you time and eliminates having to deal with awful elevator music as well as figuring out which department to try and find. Check out our full story on the app here.

In anticipation for the iPhone 5 (is this it?!), FastCustomer made this fun website today called “Which Carrier Do You Love?” with some awesome stats on Verizon vs. AT&T. Turns out that AT&T customers wait on hold 4 times longer than Verizon customers and AT&T drops nearly twice as many calls but Verizon iPhone customers are only slightly more satisfied than AT&T’s. The only winning record for AT&T? The company rocks at reaching out on Twitter. The data was pulled from FastCustomer’s own usage data, research from Changewave, CNN Tech, TG Daily, and by counting each Twitter account’s responses during one 24-hour business day.

Don’t miss FastCustomer’s site to cast your vote for which carrier you love more. Right now, Verizon is in the lead 216-167.

Sources: Image Credit
http://thenextweb.com/apps/2011/07/28/the-iphone-5-is-coming-att-vs-verizon-which-carrier-loves-you-more/

Twitter adds an NSFW flag for sensitive Tweets

Starting today, Twitter has announced that developers will have access to a new field in the Twitter API called “possibly_sensitive”. This field will eventually allow developers to build an option into their clients that allows users to flag links or pictures that they post on twitter as NSFW or “Not Safe For Work”.

Currently if users post questionable content, they can be reported by other Twitter users. Once reported, Twitter follows a procedure to review the content:

We label the media as being possibly sensitivechange your account setting to “Mark my media as containing potentially sensitive content” so that future uploads are marked accordinglyYou will receive an email letting you know that we’ve labeled your media and changed your media setting. You will be able to change your media settings on your account settings page, though this image and any other images that have been labeled will remain marked as “possibly sensitive”.

If you’re a Twitter user that posts content that may be sensitive, then you do have the option of preemptively changing your account settings to reflect that what you post is sensitive.

If developers adopt this new flag, and the additional API’s that will take advantage of it, it will allow users of their client to toggle individual posts as sensitive more easily. Any images marked as sensitive will have a warning message inserted that any user clicking on it will see first, before viewing the image. If you’ve changed your account settings to show you sensitive content, you’ll be able to see it without the warning message.

http://thenextweb.com/twitter/2011/07/29/twitter-plans-to-add-an-nsfw-flag-for-sensitive-tweets/

France : 18 millions adeptes de l'Internet Mobile, les géants du Web rois de l'audience

Avis d'expert - Pour sa 4e vague de mesure, Mediametrie fait le point sur l'audience de l'Internet mobile français. En un trimestre, l'Internet Mobile a séduit 10% d'utilisateurs en plus.

Toujours porté par le succès des smartphones et des forfaits d'abondance, l'usage de l'Internet Mobile ne faiblit pas. Selon le quatrième bilan Mediamtrie/NetRatings, on comptait à fin juin 17,7 millions d'utilisateurs, soit 10% de plus en un trimestre.

"Plus nombreux, ils sont également plus assidus : le surf mobile s'ancre dans le quotidien des Français avec 70,7% des mobinautes qui se connectent à l'internet mobile tous
les jours ou presque. Ils étaient un peu moins de 2 sur 3 au 1er trimestre 2011", commente Mediametrie.

Par ailleurs, 94,4% des mobinautes ont consulté au moins un site - optimisé ou non pour le mobile - accessible depuis le navigateur internet de l'ensemble des téléphones mobiles, en passant par le réseau 3G des opérateurs. Cela représente une progression de 3 points par rapport au 3ème trimestre 2010.

Google premier dans toutes les catégories

Enfin, 48,8% des mobinautes ont consulté au moins une application mobile connectée à partir de leur smartphone, soit une progression de plus de 17 points par rapport au 3ème trimestre 2010.

Mais c'est surtout sur l'audience des sites mobiles que l'étude de Mediametrie est attendue. Référence absolue et incontournable de la mesure de l'audience TV, Mediametrie entend apporter la même expertise sur le mobile et ainsi rassurer les annonceurs qui souhaitent se lancer dans la publicité sur ce support.

Car malgré le succès de la téléphonie mobile et une pénétration supérieure à 95% dans la plupart des pays industrialisés, la publicité sur ce support peine à se développer.

Précisions que ce classement est basé sur deux types de données. Les données de connexion des opérateurs (logs), qui donnent des indications sur le parcours des mobinautes sur tel ou tel site et le temps passé et un panel de 10 000 utilisateurs de l'Internet mobile (en 3G, pas encore en WiFi) représentatifs de la société française, destiné à qualifier l'audience.

A noter cependant que ces résultats ne sont pas complets. En effet, les mesures de Mediametrie ne prennent pas en compte la navigation depuis les MVNO, les BlackBerry, le navigateur Opera et les sites en https...

En haut du classement 'Groupes' du 2e trimestre 2011, on retrouve sans surprises les mêmes, à savoir les géants du Web. Google poursuit sa domination avec 12,7 millions de visiteurs uniques contre 10,8 millions au 4e trimestre 2010. Le moteur profite évidemment de sa position privilégiée dans les smartphones Android qui se vendent comme des petits pains.

Facebook conserve sa médaille d'argent avec 11,4 millions de VU, devant les sites d'Orange avec 9,8 millions de VU.


Par sites, le classement est assez proche. Google se classe premier avec 11,3 millions de visiteurs uniques, talonné par Facebook (11,2 millions) et Orange (8,4 millions). YouTube est 5e (6,6 millions), confirmant l'engouement pour la vidée streamée sur mobile.

Du côté des applications, Google est encore devant (7,6 millions de visiteurs uniques) devant YouTube (6,6 millions), iTunes (5,3 millions) et Facebook (4 millions).A noter, la bonne performance de l'application Deezer (976 000 VU).


http://www.businessmobile.fr/actualites/france-18-millions-adeptes-de-l-internet-mobile-les-geants-du-web-rois-de-l-audience-39762743.htm#xtor=EPR-100

Nintendo brade déjà la 3DS

Nintendo brade déjà la 3DSBusiness - Face à des ventes décevantes et à des résultats globaux en chute, le géant nippon a décidé de prendre le taureau par les cornes.

La recette miracle de Nintendo a-t-elle du plomb dans l'aile ? On peut le croire à la lecture des derniers trimestriels de la firme, très décevants. Pour la première fois de son histoire, le fabricant a essuyé une perte trimestrielle.

Pour la période d'avril à juin, NIntendo a accusé une perte d'exploitation de 37,7 milliards de yens (338 millions d'euros), alors que les analystes tablaient sur un bénéfice.

-40% au Japon

Principal vecteur de cette chute : les ventes médiocres de la nouvelle 3DS. Malgré un bon démarrage (440 000 unités en une semaine sur le marché américain), les chiffres globaux plus de 4 mois après son lancement mondial sont décevants (710 000 unités sur le dernier trimestre).

Nintendo a donc décidé de prendre le taureau par les cornes et annonce une baisse de prix immédiate et massive de sa dernière née : -40% au Japon et -33% aux Etats-Unis. Pas de quoi faire rebondir l'action du nippon qui a perdu près de 30% ces trois derniers mois.

Concrètement, à partir du 11 août prochain, la console permettant d'afficher des jeux en trois dimensions sera commercialisée environ 134 euros contre 224 euros auparavant au Japon et 170 dollars (118 euros) contre 250 dollars (174 euros) aux Etats-Unis. Une baisse similaire devrait être appliquée en Europe.

C'est la première fois que le fabricant baisse de manière aussi significative le prix d'un produit, moins de six mois à peine après son lancement. De quoi ulcérer les premiers acheteurs de la console. Mais Nintendo a prévu un lot de consolation en leur offrant 20 jeux gratuits à télécharger.
http://www.zdnet.fr/actualites/nintendo-brade-deja-la-3ds-39762756.htm#xtor=EPR-100

France Télécom va quitter la Suisse et s'interroge sur sa présence en Autriche et au Portugal

France Télécom va quitter la Suisse et s'interroge sur sa présence en Autriche et au PortugalStratégie - La vente de la participation de l'opérateur historique dans Orange Suisse pourrait lui rapporter 1,5 milliard d'euros.

Depuis quelques mois, France Télécom s'interroge sur sa stratégie et ses actifs. Soumis à un environnement concurrentiel acharné et à une régulation toujours plus forte, confronté à des investissements massifs, le groupe doit faire des choix stratégiques.

L'opérateur avait alors annoncé sa volonté de se désengager de participations non stratégiques tout en mettant l'accent sur les pays émergents avec des prises de participation multiples notamment en Afrique.

A l'occasion de la publication de ses résultats semestriels, France Télécom a donc précisé ses plans. Comme prévu, certains actifs européens seront cédés, notamment en Suisse.

Stéphane Richard, p-dg du groupe souligne qu'Orange Suisse végète en troisième position sur le marché helvétique. Il dénonce surtout le veto du gendarme local de la concurrence en avril 2010 qui a bloqué la fusion entre Orange Suisse et Sunrise, le numéro deux du marché.

Les syndicats opposés

"La bonne réponse pour avoir un compétiteur vraiment performant face au numéro un, Swisscom, aurait été de rapprocher le deuxième et le troisième opérateur", a expliqué Stéphane Richard. "Nous en tirons aujourd'hui les conséquences en cédant nos activités dans ce pays".

Selon des analystes, l'opération pourrait rapporter 1,5 milliard d'euros dont la moitié pourrait être reversée aux actionnaires.Une perspective qui n'est pas du goût des syndicats. Dans un communiqué, la CFE-CGC/UNSA et l’ADEAS se déclarent opposés à la cession d’Orange Suisse.

"France Télécom s’est déjà désengagée de certains pays d’Europe comme aux Pays-Bas en 2008, au profit de Deutsche Telekom, et dans cette logique purement financière entravant la construction d’une marque globale", expliquent-ils.

Reste que l'opérateur entend aller plus dans ces cessions. Selon Stéphane Richard, France Télécom va trier ses actifs entre "les pays où (il) est opérateur et ceux où (il) est un actionnaire minoritaire: l'Autriche et le Portugal".

Le groupe, qui détient 35% du capital de l'autrichien One et 20% du portugais Sonaecom, compte donc "se rapprocher des actionnaires de contrôle pour voir dans quelles conditions (il) peut en sortir".

http://www.zdnet.fr/actualites/france-telecom-va-quitter-la-suisse-et-s-interroge-sur-sa-presence-en-autriche-et-au-portugal-39762758.htm#xtor=EPR-100

Google teste une nouvelle interface pour son moteur

google logo sq gb
Alors que Google met à jour l'interface utilisateur de ses différents services web, la firme de Mountain View semble vouloir repenser l'ergonomie de son moteur de recherche.

En parallèle du lancement du réseau Google+, la firme californienne en avait profité pour offrir un lifting à ses différents sites Internet. Outre un thème d'évaluation pour Gmail, les graphistes ont ainsi dévoilé une nouvelle interface pour Google Search, Maps, Agenda, Translate ou encore Actualités. Pourtant, le département de la recherche ne semble pas véritablement satisfait et pourrait envisager de changer l'ergonomie du moteur.

Le blogueur Amit Agarwal a en effet repéré un aperçu des travaux en cours. Pour Google il s'agirait de simplifier davantage la page des résultats de recherche, une initiative qui passe par un nouvel agencement des filtres de la requête, une mise en page plus aérée des résultats ainsi qu'une navigation des pages simplifiée.

Reste à savoir cette nouvelle interface sera retenue par les testeurs.

Google search
google

La suite sur Clubic.com : Google teste une nouvelle interface pour son moteur http://www.clubic.com/internet/google/actualite-437828-googe-teste-interface-moteur.html#ixzz1TUahe4V1

http://www.clubic.com/internet/google/actualite-437828-googe-teste-interface-moteur.html

Test Corsair Force 3 120 Go : un concurrent pour l'Agility 3

Publié par Frédéric Cuvelier le Jeudi 28 Juillet 2011

Corsair SSD Force 3 Series 120 Go
Annoncée au CES en début d'année, la gamme Force 3 de Corsair nous arrive enfin, après un important retard et surtout un lancement marqué par un rappel début juin pour certains modèles 120 Go. Ce dernier est-il désormais abouti ? C'est ce que nous allons voir !

Mais avant cela, revenons un instant sur les causes de ces problèmes. Le retard est principalement dû au choix de Corsair d'associer le nouveau contrôleur SF2281 de SandForce avec des puces mémoire IMFT (Intel / Micron) gravées en 25 nm. Certains, comme Patriot pour son Wildfire, ont préféré renoncer à la mémoire IMFT au profit de puces Toshiba.

Quant à l'origine du rappel des modèles 120 Go (CSSD-F120GB3-BK, les versions 60 et 240 Go ne sont pas touchées par le problème), elle est conservée secrète par Corsair, qui précise simplement que « l'examen a permis d'identifier qu'un pourcentage significatif de ces disques ne délivraient pas des performances en accord avec les spécifications ».

Si les causes de ce cafouillage restent donc inconnues, il convient tout de même de saluer Corsair pour sa réactivité, alors que tous les retours sont évidemment à la charge du constructeur, l'échange s'effectuant sous dix jours ouvrés d'après Corsair.

Corsair Force 3

Pour en revenir au SSD en lui-même, rappelons donc qu'il est équipé du SF2281, tout comme les Vertex 3 et Agility 3 d'OCZ, le Patriot Wildire et le... Corsair Force GT, déclinaison de la gamme Force déjà testée dans nos lignes (voir Test Corsair Force GT 120 Go : un Force 3 en mieux ?). Quelle est donc la différence entre ces deux SSD ? Elle n'est pas visible sur la fiche technique, qui annonce 550 Mo/s en lecture séquentielle, 520 Mo/s en écriture, contre 555 et 525 Mo/s pour la version GT, avec des données compressées. Comme son cousin, le Force 3 est également capable de gérer 85 000 IOPS en lecture aléatoire. Il bénéficie, comme le GT, de 8 Go de mémoire dédiés à l'over-provisioning et des finesses du contrôleur SandForce (chiffrement AES 128 et 256 bits, TRIM, NCQ...). Et évidemment, c'est une interface SATA 6 Gbps qui équipe le Force 3, comme sur le GT. Ne serait-ce finalement qu'une question de coloris du disque ? Non, c'est plutôt du côté des puces mémoire qu'il faudra chercher ce qui sépare le Force 3 du Force GT.

Corsair Force 3
Corsair Force 3

En effet, alors que le dernier utilise des puces au fonctionnement synchrone, comme sur le Vertex 3 d'OCZ, le Force 3 est équipé de modules asynchrones, tout comme l'Agility 3. Pour rappel, ce choix implique une limitation à 50 Mo/s sur chacun des canaux gérés par le contrôleur, contre 200 Mo/s sur un Vertex 3 par exemple. Peut-on s'attendre à la même différence de performances entre la version GT et le Force 3 qu'entre les deux modèles de chez OCZ ? Les tests qui suivent vous le diront !

Corsair Force 3
Corsair Force 3


Compteur performance

Tests synthétiques et pratiques


Que donne ce SSD face à un logiciel de test comme Everest ? Quels résultats dans des tests pratiques de transferts de données ? Vous trouverez des résultats chiffrés et comparés dans les pages suivantes :

Garantis 3 ans et pour un MTBF d'un million d'heures, les Corsair Force Series 3 sont déclinés en capacités de 60, 120 et 240 Go. On les trouve actuellement aux prix de 108,90 €, 187,90 € et 433,90 €, respectivement.

Les plus

  • Performances de lancement d'applications
  • Le prix

Les moins

  • Performances générales en transfert
  • Puces NAND asynchrones

Corsair Force 3

Moyen

  • Performances synthétiques
  • Performances pratiques
  • Performances / prix



La suite sur Clubic.com : Test Corsair Force 3 120 Go : un concurrent pour l'Agility 3 http://www.clubic.com/disque-dur-memoire/disques-durs-ssd/article-437474-1-corsair-force-3.html#ixzz1TUaB7h8s

http://www.clubic.com/disque-dur-memoire/disques-durs-ssd/article-437474-1-corsair-force-3.html

La Cnil autorise l'étude de la frappe au clavier

La Commission Informatique et Libertés autorisera les sociétés qui le désirent à étudier, à des fins de démonstration, une donnée biométrique comportementale particulière : la manière de taper au clavier. La dextérité des sondés sera donc décortiquée.

Comparatif claviers 07 - Frappe
La Cnil va permettre à certaines sociétés d'installer un « dispositif biométrique reposant sur la reconnaissance de la frappe au clavier ». Concrètement, les éventuelles études porteront sur les variations de durées séparant la frappe de deux touches d'un clavier. De tels écarts peuvent alors servir d'élément d'authentification en plus des traditionnels mots de passe et identifiants.

Par contre, la commission présidée par Alex Türk précise que ces études devront uniquement être réalisées dans le cadre de démonstrations du fonctionnement du dispositif à de potentiels clients. Il ne serait donc pas question de permettre aux professionnels d'autoriser la collecte de telles données à des fins commerciales.

La Cnil tient à préciser qu'elle attachera une attention particulière aux demandes d'études qui lui seront envoyées. En effet, des malwares comme les keyloggers (mouchards capables d'enregistrer quelles touches sont utilisées) sont monnaie courante, et une utilisation frauduleuse de l'étude des frappes au clavier pourrait se répandre.

Enfin, trois conditions devront être remplies avant toute autorisation de collecte de ce type d'informations. Les fichiers contenant les résultats devront être chiffrés, la base de données du démonstrateur sera hébergée par la société démonstratrice et non par un prestataire. De même, aucun dispositif ne devra être installé à l'insu d'une personne.

La suite sur Clubic.com : La Cnil autorise l'étude de la frappe au clavier http://pro.clubic.com/legislation-loi-internet/cnil/actualite-437822-cnil-autorise-etude-frappe-clavier.html#ixzz1TUYonOyO

http://pro.clubic.com/legislation-loi-internet/cnil/actualite-437822-cnil-autorise-etude-frappe-clavier.html

Consumérisation : buzzword ou défi technologique ?

La consumérisation, voilà un nouveau leitmotiv de l’univers de l’informatique, et tellement nouveau que votre traitement de texte le considère en tant qu’erreur typographique. Reste à déterminer si cette notion est un effet de mode ou une tendance durable… et bien sûr quelles sont ses implications en matière d’informatique d’entreprise. Rik Ferguson, expert sécurité de Trend Micro fait le point pour nous.

La consumérisation ne se résume par pour les entreprises à devoir gérer des équipements personnels apportés par les collaborateurs au bureau. Cette tendance du « Bring your own PC » révèle que l’innovation technologique touche en premier lieu nos vies personnelles avant de s’immiscer et d’être adopté dans le monde du travail. Cette migration tient à 4 raisons clés : aspirations des utilisateurs, visibilité, convivialité et flexibilité.


De grandes ambitions

Internet fait naturellement partie de nos vies quotidiennes. De 7 à 77 ans, chacun y consacre une partie de sa journée. Les services de messagerie gratuits tels qu’Excite (l'original) Hotmail et Yahoo ! ont presque 20 ans aujourd’hui, tout comme les messageries instantanées. Depuis 1989, date de lancement d’AOL, les réseaux sociaux font partie de notre vie d’une façon ou d’une autre. Le boom des fournisseurs de services applicatifs (ASP) remonte à l'ère du « dot COM », tandis que les équipements informatiques ne cessent d’être plus compacts.

Depuis quelques années, les jeunes diplômés ont grandi dans un monde interconnecté leur permettant d’être toujours en contact, tandis que leurs vies ont évolué autour de tous ces outils. S'attendre à ce qu'une nouvelle recrue travaille aujourd’hui sans accès au Web 2.0 revient à lui demander de travailler sans accès à des moyens de communication de base comme le téléphone ou l’email. D’ailleurs, pour nombre d’entre nous, nous pourrions plus facilement travailler sans ces deux derniers outils plutôt que sans Internet.
Pourquoi la consumérisation aujourd’hui ?

Tout est question de visibilité, de convivialité et de flexibilité. Historiquement, l’évolution des offres, leur attractivité et leur déploiement à plus large échelle relevaient d’une question de coût. Qu’il s’agisse d’écouteurs, de tablettes multimédia ou de renchérissement de la bande passante, le coût a toujours été un frein. Dans le passé, la décision d’acheter une technologie et d’en contrôler l’utilisation était donc du ressort des entreprises.

Les innovations technologiques récentes ont changé la donne. Le coût d’accès au haut-débit et à la 3G a chuté, et les offres illimitées sont dorénavant la norme. L’avènement de l’iPhone a transformé l’achat d’un produit en un « Coup de Cœur » du grand public et le succès de l’Androïd a renforcé cette évolution. Le succès de l’iPad a relégué le PC portable à l’équivalent d’un PC fixe. Les services « in-the Cloud » tels que Twitter, Facebook, Google Apps, Amazon Web Services, et le nouvel iCloud d’Apple ont porté les frontières des plateformes collaboratives hors du périmètre de l’entreprise, et mis l’utilisateur en position de contrôle.
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Nous exigeons de notre environnement de travail qu’il soit disponible à la demande et accessible en tout lieu et quel que soit le matériel informatique utilisé. Les services de partage de fichiers, la disponibilité des serveurs virtuels, les réseaux sociaux, les blogs, les wikis, les hotspots publics de connexion, l’Internet mobile à prix réduit, les équipements informatiques haute-performance, tout montre que la frontière entre environnements externe et interne d’une entreprise s’estompe. D’ailleurs, en associant ces différents services grand public, il est possible d’être présent au sein de son entreprise, et de disposer de toutes les informations et applications nécessaires à un travail efficace… sans jamais avoir à se connecter au réseau corporate !


Quelle visibilité pour l’entreprise ?

L’entreprise peut-elle gérer la connexion d’un collaborateur à ses emails via une clé 3G ou une interface Web, son utilisation d’un service grand public de partage pour synchroniser ses fichiers, sa mobilité qui est de plus en plus importante, ou encore sa connexion aux réseaux sociaux pour des raisons professionnelles ?

À vrai dire, une stratégie de consumérisation pertinente nécessite d’établir des règles pour gérer toutes les connexions externes au réseau de l’entreprise, via des liens publics 3G par exemple. Remédier temporairement à ces besoins ne suffit plus. Il devient critique de savoir différencier à distance les contenus personnels et professionnels sur les équipements personnels des collaborateurs, pour que ces derniers n’outrepassent pas leurs limites. Il devient également essentiel de comprendre que la consumérisation ne se résume pas aux équipements que les collaborateurs ont choisi d’utiliser. L’accès à l’information et aux services de l’entreprise en interne ou en externe doit être totalement repensé!

Il est important que les entreprises se rendent compte de la réalité de la consumérisation et qu’elles s’engagent à adapter leurs pratiques et règles de sécurité. Comme le souligne une étude menée par l’Economist Intelligence Unit : « Pour assurer une plus grande liberté technologique sans porter dommage à l’entreprise, il s’agit de miser sur plus de formation et de prévention… Les entreprises qui s’attacheront à relever ce défi tôt seront celles qui tireront le plus rapidement avantage de cette nouvelle approche démocratique en matière de choix technologique ».
http://www.itrnews.com/articles/121882/consumerisation-buzzword-defi-technologique.html?key=862d53eea2c1d2fe