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Ancré dans un consortium, Fairfax Financial Holdings s’empare de la
firme télécoms canadienne qui rencontre des soucis financiers et qui
mène une restructuration.
Ancré dans un consortium, Fairfax Financial Holdings s’empare de la
firme télécoms canadienne qui rencontre des soucis financiers et qui
mène une restructuration.
24 septembre 2013
La transformation de BlackBerry s’accélère avec sa cession à un consortium, mené par le fonds d’investissement canadien Fairfax Financial Holdings.
Celui-ci compte s’emparer de la firme télécoms dirigée par Thorsten Heins.
Montant de l’investissement : 4,7 milliards de dollars.
Le consortium, dont tous les membres ne sont pas encore identifiés, compte racheter les actions BlackBerry 9 dollars l’unité (+3% par rapport au cours d’ouverture de lundi).
La société, dont le siège social se situe à Waterloo (Province de l’Ontario, Canada), pourrait quitter la Bourse dès le début du mois de novembre.
Face à des difficultés financières sérieuses, BlackBerry avait déjà annoncé qu’il comptait enclencher une restructuration qui va aboutir à la suppression de 4500 postes et qu’il allait se recentrer sur les solutions BtoB.
Le conseil d’administration de BlackBerry accepte le principe de la cession, selon le communiqué.
Néanmoins, le consortium chercherait encore les moyens pour fnancer ce rachat auprès Bank of America Merril Lynch et BMO Capital Markets.
Actionnaire à hauteur de 10% de la firme télécoms, Fairfax est conscient de la situation.
Un comité spécial avait été mis en place en interne pour trouver une « voie alternative » au développement de BlackBerry.
A la mi-août, Prem Watsa, P-DG de Fairfax (que l’on surnomme le « Warren Buffett du Canada »), avait donné sa démission du conseil d’administration de BlackBerry pour éviter « d’éventuels conflits d’intérêt » selon l’AFP.
« Cette transaction va ouvrir un nouveau chapitre palpitant pour BlackBerry, ses clients, ses opérateurs et ses employés », tient à rassurer Prem Watsa qui évoque « une stratégie à long terme ».
Néanmoins, on peut se demander si la situation va se stabiliser. Ou s’il ne s’agit que d’une étape intermédiaire aboutissant à une revente à un autre fabricant ou une cession des actifs par appartements.
Dans une volonté de faire bouger les lignes sur le marché de la mobilité, Lenovo (Chine) ou Dell (USA) pourraient regarder le dossier. Mais cela reste très aléatoire.
La transformation de BlackBerry s’accélère avec sa cession à un consortium, mené par le fonds d’investissement canadien Fairfax Financial Holdings.
Celui-ci compte s’emparer de la firme télécoms dirigée par Thorsten Heins.
Montant de l’investissement : 4,7 milliards de dollars.
Le consortium, dont tous les membres ne sont pas encore identifiés, compte racheter les actions BlackBerry 9 dollars l’unité (+3% par rapport au cours d’ouverture de lundi).
La société, dont le siège social se situe à Waterloo (Province de l’Ontario, Canada), pourrait quitter la Bourse dès le début du mois de novembre.
Face à des difficultés financières sérieuses, BlackBerry avait déjà annoncé qu’il comptait enclencher une restructuration qui va aboutir à la suppression de 4500 postes et qu’il allait se recentrer sur les solutions BtoB.
Le conseil d’administration de BlackBerry accepte le principe de la cession, selon le communiqué.
Néanmoins, le consortium chercherait encore les moyens pour fnancer ce rachat auprès Bank of America Merril Lynch et BMO Capital Markets.
Actionnaire à hauteur de 10% de la firme télécoms, Fairfax est conscient de la situation.
Un comité spécial avait été mis en place en interne pour trouver une « voie alternative » au développement de BlackBerry.
A la mi-août, Prem Watsa, P-DG de Fairfax (que l’on surnomme le « Warren Buffett du Canada »), avait donné sa démission du conseil d’administration de BlackBerry pour éviter « d’éventuels conflits d’intérêt » selon l’AFP.
« Cette transaction va ouvrir un nouveau chapitre palpitant pour BlackBerry, ses clients, ses opérateurs et ses employés », tient à rassurer Prem Watsa qui évoque « une stratégie à long terme ».
Néanmoins, on peut se demander si la situation va se stabiliser. Ou s’il ne s’agit que d’une étape intermédiaire aboutissant à une revente à un autre fabricant ou une cession des actifs par appartements.
Dans une volonté de faire bouger les lignes sur le marché de la mobilité, Lenovo (Chine) ou Dell (USA) pourraient regarder le dossier. Mais cela reste très aléatoire.
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