Les antennes-relais de Free Mobile sont plus petites, moins
chères et plus adaptatives que celles de la concurrence. Le FAI sera
prêt pour la 4G bien avant les autres opérateurs.
Free Mobile va révéler son offre dans quelques
semaines, et devra couvrir au moins 25% de la population. Des détails
supplémentaires sur les technologies utilisées pour remplir cet objectif
émergent.
Nous savons déjà que ce sont Nokia Siemens Networks et Alcatel-Lucent qui construisent ce réseau et fournissent le matériel. Le réseau sera tout IP, basé sur la technologie I-HSPA (Internet High Speed Packet Access).
Mais aujourd’hui, des photos publiées sur le blog The IT Circle
montrent que les appareils achetés par Free pour équiper ses
antennes-relais sont les boitiers SingleRAN de Nokia Siemens Networks.
La description que le constructeur en donne est bien sûr dithyrambique.
Il vante ainsi la capacité de la plate-forme à offrir deux fois plus de couverture que les anciens modèles, ses hautes capacités (« 10 Gb/s en configuration avancée« ), sa petite taille, la haute flexibilité permise par une configuration logicielle, et bien sûr… sa compatibilité avec les technologies LTE qui vont succéder à la 3G+.
Un expert nous confirme que ces appareils sont plus petits que ceux, plus anciens, des opérateurs concurrents, et ont des coûts de fonctionnement moindres.
Et surtout, ils sont prêts pour la 4G. Free va donc s’économiser des investissements considérables dans les années qui viennent, que devront consentir ses concurrents.
En France, la LTE, ou 4G, et les enchères pour en obtenir les licences, ont déjà commencé, avec Free sur les rangs.
La 4G est encore en test en France, avec parfois quelques conflits et problèmes d’interactions, avec les signaux de la TNT et même ceux du GPS. Des problèmes qui devront être réglés avant un déploiement général, qui devrait commencer en 2012.
Source photos : Blog The IT Circle – Reproduction autorisée pour ITespresso.fr.
http://www.itespresso.fr/free-mobile-est-deja-pret-pour-la-4g-48380.html
Nous savons déjà que ce sont Nokia Siemens Networks et Alcatel-Lucent qui construisent ce réseau et fournissent le matériel. Le réseau sera tout IP, basé sur la technologie I-HSPA (Internet High Speed Packet Access).
La description que le constructeur en donne est bien sûr dithyrambique.
Il vante ainsi la capacité de la plate-forme à offrir deux fois plus de couverture que les anciens modèles, ses hautes capacités (« 10 Gb/s en configuration avancée« ), sa petite taille, la haute flexibilité permise par une configuration logicielle, et bien sûr… sa compatibilité avec les technologies LTE qui vont succéder à la 3G+.
Un expert nous confirme que ces appareils sont plus petits que ceux, plus anciens, des opérateurs concurrents, et ont des coûts de fonctionnement moindres.
Et surtout, ils sont prêts pour la 4G. Free va donc s’économiser des investissements considérables dans les années qui viennent, que devront consentir ses concurrents.
En France, la LTE, ou 4G, et les enchères pour en obtenir les licences, ont déjà commencé, avec Free sur les rangs.
La 4G est encore en test en France, avec parfois quelques conflits et problèmes d’interactions, avec les signaux de la TNT et même ceux du GPS. Des problèmes qui devront être réglés avant un déploiement général, qui devrait commencer en 2012.
Source photos : Blog The IT Circle – Reproduction autorisée pour ITespresso.fr.
http://www.itespresso.fr/free-mobile-est-deja-pret-pour-la-4g-48380.html
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