Coup dur pour l’économie allemande : IBM envisagerait de
supprimer plusieurs milliers de postes, afin de réduire ses coûts. Les
actionnaires apprécieront. Les salariés moins.
Le marché de l’emploi allemand vient de connaitre son premier
revers de l’année 2012. IBM souhaiterait en effet à supprimer jusqu’à
8000 postes outre-Rhin, afin de réduire ses coûts de fonctionnement et
accroître ses bénéfices.
Un vaste plan d’économies qui aurait été baptisé « Liquid » par IBM (sic.) rapportent nos confrères d’ITespresso.fr. Une information qu’a confirmée à Reuters Christine Muhr, représentante syndicale siégeant au conseil de surveillance d’IBM. « Cela fait un moment que nous sommes au courant des projets de suppressions de postes d’IBM », a-t-elle expliqué.
Toutefois, le nombre de salariés qui seront licenciés n’est pas encore connu, ni même le calendrier prévu. Il se murmure néanmoins que de 7000 à 8000 postes pourraient être supprimés, soit environ 40 % des effectifs de Big Blue en Allemagne d’ici 2015, souligne le quotidien HandelsBlatt.
De son côté, le groupe d’Armonk, nouvellement dirigé par Virginia Rometty, n’a pas souhaité faire de commentaires officiels sur cette information.
Crédit photo : © Chlorophylle – Fotolia
Un vaste plan d’économies qui aurait été baptisé « Liquid » par IBM (sic.) rapportent nos confrères d’ITespresso.fr. Une information qu’a confirmée à Reuters Christine Muhr, représentante syndicale siégeant au conseil de surveillance d’IBM. « Cela fait un moment que nous sommes au courant des projets de suppressions de postes d’IBM », a-t-elle expliqué.
Toutefois, le nombre de salariés qui seront licenciés n’est pas encore connu, ni même le calendrier prévu. Il se murmure néanmoins que de 7000 à 8000 postes pourraient être supprimés, soit environ 40 % des effectifs de Big Blue en Allemagne d’ici 2015, souligne le quotidien HandelsBlatt.
Des arguments éculés
IBM souhaiterait réduire considérablement le nombre de ses collaborateurs à temps plein, pour gagner en souplesse et diminuer les coûts et ainsi faire appel à des travailleurs temporaires, capables de s’adapter aux besoins au coup par coup d’IBM. Des délocalisations vers des pays réputés moins chers, l’Europe de l’Est ou l’Inde seraient aussi prévues. Classique.De son côté, le groupe d’Armonk, nouvellement dirigé par Virginia Rometty, n’a pas souhaité faire de commentaires officiels sur cette information.
Crédit photo : © Chlorophylle – Fotolia
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