Le commerce en ligne garde encore un fort potentiel de croissance surtout en termes de fréquence d’achat, d’après une étude de PwC.
En France, 23 % des
web-acheteurs ont effectué leur premier achat au cours des 12 derniers
mois, selon une étude* du cabinet d’audit et de conseil PwC. Cela révèle
donc un potentiel de croissance inexploité pour les acteurs du
e-commerce. L’enquête vient également confirmer le caractère
incontournable des achats en ligne puisque les deux tiers des
internautes passent commande au moins une fois par mois. Alors que 10 %
seulement sont des acheteurs occasionnels.
La France se situe donc « dans la moyenne européenne » des pays étudiés. Moins « mature » par exemple que les Etats-Unis où 54 % des web-acheteurs achètent en ligne depuis au moins cinq ans (52 % outre-manche).
En ce qui concerne la fréquence d’achat, la Chine, malgré la jeunesse de son marché, arrive en tête avec 39 % de e-consommateurs qui achètent plusieurs fois par semaine. C’est beaucoup plus qu’aux Etats-Unis (21 %) et qu’en France (8 %).
L’étude se penche également sur les réseaux sociaux. Conclusion : leur utilisation marchande reste encore marginale. En France, si près de la moitié des web-acheteurs les fréquentent, seuls 5 % se disent influencés dans leurs achats via ces derniers. Une proportion identique dans toute l’Europe.
Enfin, les pures players, comme eBay ou Amazon, sont les favoris des internautes. En France, ils séduisent 81 % des web acheteurs mais les fabricants de marques parviennent à tirer leur épingle du jeu en touchant directement le tiers des sondés.
* Etude réalisée en août et septembre 2011 auprès de 7 000 web acheteurs dans sept pays (France, Etats-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Pays-Bas, Suisse et Chine)
La France se situe donc « dans la moyenne européenne » des pays étudiés. Moins « mature » par exemple que les Etats-Unis où 54 % des web-acheteurs achètent en ligne depuis au moins cinq ans (52 % outre-manche).
En ce qui concerne la fréquence d’achat, la Chine, malgré la jeunesse de son marché, arrive en tête avec 39 % de e-consommateurs qui achètent plusieurs fois par semaine. C’est beaucoup plus qu’aux Etats-Unis (21 %) et qu’en France (8 %).
L’étude se penche également sur les réseaux sociaux. Conclusion : leur utilisation marchande reste encore marginale. En France, si près de la moitié des web-acheteurs les fréquentent, seuls 5 % se disent influencés dans leurs achats via ces derniers. Une proportion identique dans toute l’Europe.
Enfin, les pures players, comme eBay ou Amazon, sont les favoris des internautes. En France, ils séduisent 81 % des web acheteurs mais les fabricants de marques parviennent à tirer leur épingle du jeu en touchant directement le tiers des sondés.
* Etude réalisée en août et septembre 2011 auprès de 7 000 web acheteurs dans sept pays (France, Etats-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Pays-Bas, Suisse et Chine)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire