Après avoir annoncé son retrait du consortium de Cloud
français « Andromède », Dassault affirme qu'il compte présenter son
propre projet. De leur côté, Orange et Thales continuent de chercher un
nouveau partenaire.
En décembre dernier Dassault avait expliqué qu'il comptait sortir du projet de Cloud Andromède (partenariat public-privé) suite à des divergences de vues avec Orange. Selon des informations rapportées par Les Echos, l'éditeur reprochait à l'opérateur de pratiquer des tarifs trop peu concurrentiels par rapport aux autres offres présentes sur le marché. Les deux géants auraient également marqué leur opposition quant au nom du futur président de ce consortium.
Cette fois, le divorce est pleinement consommé puisque le groupe français Dassault Systèmes vient d'indiquer qu'il compte mettre sur pied un projet concurrent à celui déjà proposé par ses concurrents. Selon l'AFP, Bernard Charlès, directeur général du concepteur de logiciels de la firme française a expliqué qu'une nouvelle structure était « en gestation, avec d'autres acteurs, qui sera Andromède je l'espère. Il s'agira à l'Etat de décider du projet qu'il souhaite mettre en œuvre. Mais celui-ci sera compétitif ».
Pour rappel, la France a déjà participé à Andomède à hauteur de 135 millions d'euros dans cette structure quadripartite. Précisément, l'Etat détient par le biais de la Caisse des Dépôts un tiers des droits de vote. Le reste était, avant le départ de Dassault, réparti entre Orange et Dassault Systèmes qui disposaient de 26,7 % des parts. Enfin, Thales détenait 13,3 % des droits de vote.
De leur côté, Orange et Thales sont toujours à la recherche d'un troisième partenaire. La piste d'Atos avait été évoquée voilà quelques semaines mais depuis aucune nouvelle information n'est venue étayer cet éventuel rapprochement. En attendant, Dassault affirme que le lancement de son projet serait imminent…
En décembre dernier Dassault avait expliqué qu'il comptait sortir du projet de Cloud Andromède (partenariat public-privé) suite à des divergences de vues avec Orange. Selon des informations rapportées par Les Echos, l'éditeur reprochait à l'opérateur de pratiquer des tarifs trop peu concurrentiels par rapport aux autres offres présentes sur le marché. Les deux géants auraient également marqué leur opposition quant au nom du futur président de ce consortium.
Cette fois, le divorce est pleinement consommé puisque le groupe français Dassault Systèmes vient d'indiquer qu'il compte mettre sur pied un projet concurrent à celui déjà proposé par ses concurrents. Selon l'AFP, Bernard Charlès, directeur général du concepteur de logiciels de la firme française a expliqué qu'une nouvelle structure était « en gestation, avec d'autres acteurs, qui sera Andromède je l'espère. Il s'agira à l'Etat de décider du projet qu'il souhaite mettre en œuvre. Mais celui-ci sera compétitif ».
Pour rappel, la France a déjà participé à Andomède à hauteur de 135 millions d'euros dans cette structure quadripartite. Précisément, l'Etat détient par le biais de la Caisse des Dépôts un tiers des droits de vote. Le reste était, avant le départ de Dassault, réparti entre Orange et Dassault Systèmes qui disposaient de 26,7 % des parts. Enfin, Thales détenait 13,3 % des droits de vote.
De leur côté, Orange et Thales sont toujours à la recherche d'un troisième partenaire. La piste d'Atos avait été évoquée voilà quelques semaines mais depuis aucune nouvelle information n'est venue étayer cet éventuel rapprochement. En attendant, Dassault affirme que le lancement de son projet serait imminent…
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