SAP a confirmé mercredi les prévisions de résultat communiquées
mi-octobre : l'allemand signe un troisième trimestre solide, maintient
ses prévisions pour la fin de l'année, et dit envisager un programme de
rachat d'actions.
SAP boucle le trimestre sur les chapeaux de roue, avec un bénéfice net qui s'établit à 1,25 milliards d'euros, contre 501 millions un an plus tôt. Les ventes de licences progressent de 28% sur un an pour atteindre 841 millions d'euros, tandis que les activités de service et de support enregistrent une croissance de 13%, à 1,757 milliard d'euros.
Dopé par la réduction des prévisions liées au règlement du litige qui l'oppose à Oracle dans l'affaire Tomoroownow, SAP finit les neuf premiers mois de l'année avec un cash flow de quelque 3 milliards de dollars. Ces liquidités importantes conduisent l'éditeur à envisager de lancer un nouveau programme de rachat d'actions, évoqué dans la communication aux actionnaires.
Si l'opération peut parfois se révéler périlleuse, SAP s'appuie sur la progression soutenue des ventes (3,4 milliards d'euros de chiffre d'affaires, +16% sur un an) ainsi que sur la richesse de son catalogue produit pour la justifier. C'est donc tout naturellement que Bill McDermott, co-CEO de l'éditeur, se plait à appuyer sur les capacités d'innovation font fait preuve SAP.
« Les revenus de SAP sur le troisième trimestre ont progressé au rythme le plus élevé enregistré sur dix ans parce que les clients basculent leurs investissements vers le logiciel qui les aide à croître et à innover », se félicite-t-il dans un communiqué. « Nos fortes performances et notre gain de parts de marché montrent clairement que notre stratégie d'innovation centrée sur le client est victorieuse », ajoute son homologue, Jim Hagemann Snabe.
SAP boucle le trimestre sur les chapeaux de roue, avec un bénéfice net qui s'établit à 1,25 milliards d'euros, contre 501 millions un an plus tôt. Les ventes de licences progressent de 28% sur un an pour atteindre 841 millions d'euros, tandis que les activités de service et de support enregistrent une croissance de 13%, à 1,757 milliard d'euros.
Dopé par la réduction des prévisions liées au règlement du litige qui l'oppose à Oracle dans l'affaire Tomoroownow, SAP finit les neuf premiers mois de l'année avec un cash flow de quelque 3 milliards de dollars. Ces liquidités importantes conduisent l'éditeur à envisager de lancer un nouveau programme de rachat d'actions, évoqué dans la communication aux actionnaires.
Si l'opération peut parfois se révéler périlleuse, SAP s'appuie sur la progression soutenue des ventes (3,4 milliards d'euros de chiffre d'affaires, +16% sur un an) ainsi que sur la richesse de son catalogue produit pour la justifier. C'est donc tout naturellement que Bill McDermott, co-CEO de l'éditeur, se plait à appuyer sur les capacités d'innovation font fait preuve SAP.
« Les revenus de SAP sur le troisième trimestre ont progressé au rythme le plus élevé enregistré sur dix ans parce que les clients basculent leurs investissements vers le logiciel qui les aide à croître et à innover », se félicite-t-il dans un communiqué. « Nos fortes performances et notre gain de parts de marché montrent clairement que notre stratégie d'innovation centrée sur le client est victorieuse », ajoute son homologue, Jim Hagemann Snabe.
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