07 novembre 2011 |
La dernière modification de Caffeine, le système d’indexation de Google, devrait changer les résultats de 35 % des requêtes lancées par ses utilisateurs.
Annoncée en fin de semaine dernière sur
son blog, la dernière mise à jour du moteur de Google a pour objet
d'offrir une meilleure visibilité aux données les plus récentes
disponibles sur le Net. Dès lors, si la notoriété d'une page restera un
critère important pour sa sélection dans une liste de résultats, sa
fraîcheur sera un des principaux gages de sa présence en haut de
classement. Une nouvelle règle du jeu que les responsables de Google
considèrent comme une simple réponse aux besoins d'immédiateté et de
réactivité qui font le succès des réseaux sociaux et préfigurent, pour
nombre d'analystes, les usages de demain. Concrètement, ce nouveau mode
de sélection devrait favoriser les sites de presse, les blogs actifs et
abondamment commentés ou les échanges publiés sur des réseaux sociaux
indexés. En revanche, les contenus encyclopédiques et les sites
institutionnels d'entreprises ou d'administration risquent de
disparaître des premières pages des résultats de Google.
Mise en place l'été dernier en Europe, la dernière modification de l'algorithme de Google n'a pas laissé que des bons souvenirs. Déployé pour lutter contre les fermes de contenus (sites qui utilisent leur contenu éditorial pour « tromper » le système d'indexation de Google), le système « Panda » a affecté de nombreux sites dont le fonctionnement n'était pas discutable et mis en péril les entreprises qui les possédaient. Une situation que certains entrepreneurs du web craignent de voir ressurgir et qui relance le débat sur le quasi-monopole exercé sur la recherche en ligne par le géant américain.
Le spectre de Panda
Mise en place l'été dernier en Europe, la dernière modification de l'algorithme de Google n'a pas laissé que des bons souvenirs. Déployé pour lutter contre les fermes de contenus (sites qui utilisent leur contenu éditorial pour « tromper » le système d'indexation de Google), le système « Panda » a affecté de nombreux sites dont le fonctionnement n'était pas discutable et mis en péril les entreprises qui les possédaient. Une situation que certains entrepreneurs du web craignent de voir ressurgir et qui relance le débat sur le quasi-monopole exercé sur la recherche en ligne par le géant américain.
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