le 28 octobre 2011
Voici la deuxième et dernière partie de notre article traitant des cinq principales innovations choisies par les chercheurs des laboratoires HP. Vous pouvez relire la première partie ici.
Comme Wikipedia le mentionne, “le social computing concerne le fait de soutenir toute sorte de comportements sociaux dans ou par l’intermédiaire de systèmes informatiques. Il se base sur la création ou la re-création de conventions et de contextes sociaux par l’utilisation du logiciel et de la technologie.”
Charlie Bess décrit le social computing en termes behavioristes et sociologiques. “Auparavant, l’information constituait le pouvoir et nous la gardions sous contrôle. À l’heure actuelle, c’est le partage de l’information qui détermine notre degré d’influence”, affirme Charlie Bess.
Les réseaux sociaux évoluent
Les réseaux sociaux issus de la technologie du social computing sont récents. Leur mode d’évolution reste à découvrir. En suggérant un nouveau royaume de découverte du social computing, Charlie Bess mentionne l’essor de la recherche sur les réseaux sociaux pour “savoir qui parle à qui, à quel propos et s’ils ne parlent pas, ce qu’il faut faire pour les rassembler.”
Vu le nombre immense de personnes présentes sur les réseaux sociaux et la quantité astronomique d’informations partagées, toute tentative d’optimisation est à coup sûr intéressante.
Pour le grand public, un service “cloud” ne diffère pas vraiment beaucoup des autres services ou applications basées sur le Web. Mais pour la petite ou moyenne entreprise, cette technologie représente une révolution conceptuelle pertinente dans la façon dont l’informatique est consommée, délivrée et gérée.
“Le cloud permet aux organisations de moins s’occuper de l’informatique et de concentrer leur énergie et leurs ressources sur leur métier principal”, déclare Alistair Veitch, directeur des recherches sur les plates-formes de gestion du stockage et de l’information aux HP Labs. Au lieu de devoir acheter, gérer et maintenir tous les éléments d’un service informatique (serveur, stockage et logiciel), les organisations peuvent les louer en tant que service à travers le cloud.
Permettre de grandes économies d’échelle
Le cloud computing est habituellement basé sur des ressources virtualisées et sur un modèle “payez ce que vous utilisez”. Les organisations pourront réaliser des économies de coûts sur l’informatique brute. Et vu qu’un service cloud peut être partagé facilement entre les différentes unités commerciales ou les différents départements d’une entreprise ou d’une grande administration publique, il peut permettre de grandes économies d’échelle.
Selon Alistair Veitch, un des autres principaux avantages du cloud est la vitesse à laquelle il peut mettre en production un service informatique. “Les organisations sont en mesure de littéralement ‘mettre sur pied’ un service cloud en quelques minutes et ceci crée des ruptures pour les organisations informatiques qui avaient souvent besoin de plusieurs semaines, voire plusieurs mois, pour déployer un nouveau service informatique”, affirme Alistair Veitch. En conséquence, de nombreuses organisations informatiques créent leur propre cloud privé de façon à concurrencer les services cloud publics.
Alistair Veitch remarque la façon dont les informations sont devenues les actifs les plus précieux d’une entreprise et qu’il est donc naturel que la puissance de calcul se déplace vers les systèmes de stockage. “Dans quelques années, il sera inimaginable d’avoir des systèmes de stockage sans capacité de recherche, en particulier pour les entreprises actives dans des secteurs très règlementés ou orientés sur la sécurité”, déclare Alistair Veitch.
Le stockage intelligent permet une analyse des données plus efficace
Selon Alistair Veitch, les systèmes de stockage intelligents permettront aux organisations d’analyser, de rechercher, de récupérer, de supprimer et d’archiver les informations plus efficacement. Les entreprises qui ont intégré ces capacités dans leur stockage auront l’avantage d’être en mesure de réaliser ces choses plus rapidement et avec un personnel réduit.
Alistair Veitch déclare que le stockage intelligent permettra aux entreprises de traiter et d’analyser rapidement les informations, ce qui leur permettra de tirer profit des tendances des “big data”, un terme utilisé pour décrire une analyse complexe et à grande échelle des informations. Les “Big data” impliquent d’intégrer, d’analyser et d’agir sur de grands ensembles de données pour prédire aussi bien des tendances de comportement d’achat, que l’imminence d’un tremblement de terre.
La marque d’une technologie aboutie est le constat que nous ne pourrions pas facilement vivre sans elle. Nous avons demandé à quelques chercheurs de HP Labs qui développent les innovations pour demain de sélectionner les développements les plus marquants des 20 dernières années. |
Voici la deuxième et dernière partie de notre article traitant des cinq principales innovations choisies par les chercheurs des laboratoires HP. Vous pouvez relire la première partie ici.
#3 Social computing
Aucune liste des principales innovations technologiques de la dernière décennie ne serait complète sans la présence du social computing. Il s’agit de la technologie qui sous-tend des outils sociaux tels que Facebook, Twitter, LinkedIn et désormais Google+. “Le Social computing a fondamentalement transformé notre vie professionnelle et personnelle”, affirme Charlie Bess, un collaborateur de HP Labs.Comme Wikipedia le mentionne, “le social computing concerne le fait de soutenir toute sorte de comportements sociaux dans ou par l’intermédiaire de systèmes informatiques. Il se base sur la création ou la re-création de conventions et de contextes sociaux par l’utilisation du logiciel et de la technologie.”
Charlie Bess décrit le social computing en termes behavioristes et sociologiques. “Auparavant, l’information constituait le pouvoir et nous la gardions sous contrôle. À l’heure actuelle, c’est le partage de l’information qui détermine notre degré d’influence”, affirme Charlie Bess.
Les réseaux sociaux évoluent
Les réseaux sociaux issus de la technologie du social computing sont récents. Leur mode d’évolution reste à découvrir. En suggérant un nouveau royaume de découverte du social computing, Charlie Bess mentionne l’essor de la recherche sur les réseaux sociaux pour “savoir qui parle à qui, à quel propos et s’ils ne parlent pas, ce qu’il faut faire pour les rassembler.”
Vu le nombre immense de personnes présentes sur les réseaux sociaux et la quantité astronomique d’informations partagées, toute tentative d’optimisation est à coup sûr intéressante.
#4 Cloud computing
Maintenant que pratiquement tout le monde sait à quoi le cloud computing se rapporte, cette technologie est en passe d’être adoptée par les acheteurs informatiques traditionnels. Des entreprises comme Amazon, HP, Salesforce.com ou Apple ont toutes lancé des services cloud grand public et d’entreprise à entreprise. Il existe également des centaines d’entreprises moins connues offrant des services basés sur le cloud.Pour le grand public, un service “cloud” ne diffère pas vraiment beaucoup des autres services ou applications basées sur le Web. Mais pour la petite ou moyenne entreprise, cette technologie représente une révolution conceptuelle pertinente dans la façon dont l’informatique est consommée, délivrée et gérée.
“Le cloud permet aux organisations de moins s’occuper de l’informatique et de concentrer leur énergie et leurs ressources sur leur métier principal”, déclare Alistair Veitch, directeur des recherches sur les plates-formes de gestion du stockage et de l’information aux HP Labs. Au lieu de devoir acheter, gérer et maintenir tous les éléments d’un service informatique (serveur, stockage et logiciel), les organisations peuvent les louer en tant que service à travers le cloud.
Permettre de grandes économies d’échelle
Le cloud computing est habituellement basé sur des ressources virtualisées et sur un modèle “payez ce que vous utilisez”. Les organisations pourront réaliser des économies de coûts sur l’informatique brute. Et vu qu’un service cloud peut être partagé facilement entre les différentes unités commerciales ou les différents départements d’une entreprise ou d’une grande administration publique, il peut permettre de grandes économies d’échelle.
Selon Alistair Veitch, un des autres principaux avantages du cloud est la vitesse à laquelle il peut mettre en production un service informatique. “Les organisations sont en mesure de littéralement ‘mettre sur pied’ un service cloud en quelques minutes et ceci crée des ruptures pour les organisations informatiques qui avaient souvent besoin de plusieurs semaines, voire plusieurs mois, pour déployer un nouveau service informatique”, affirme Alistair Veitch. En conséquence, de nombreuses organisations informatiques créent leur propre cloud privé de façon à concurrencer les services cloud publics.
#5 Stockage intelligent
Le stockage intelligent est une innovation naissante susceptible de se développer à mesure que les organisations produisent de plus en plus d’informations tout en demandant des capacités pour les gérer. Imaginez-le simplement comme un stockage avec une puissance de calcul intégré pour délivrer toute la performance requise, même avec un volume d’informations à traiter gigantesque.Alistair Veitch remarque la façon dont les informations sont devenues les actifs les plus précieux d’une entreprise et qu’il est donc naturel que la puissance de calcul se déplace vers les systèmes de stockage. “Dans quelques années, il sera inimaginable d’avoir des systèmes de stockage sans capacité de recherche, en particulier pour les entreprises actives dans des secteurs très règlementés ou orientés sur la sécurité”, déclare Alistair Veitch.
Le stockage intelligent permet une analyse des données plus efficace
Selon Alistair Veitch, les systèmes de stockage intelligents permettront aux organisations d’analyser, de rechercher, de récupérer, de supprimer et d’archiver les informations plus efficacement. Les entreprises qui ont intégré ces capacités dans leur stockage auront l’avantage d’être en mesure de réaliser ces choses plus rapidement et avec un personnel réduit.
Alistair Veitch déclare que le stockage intelligent permettra aux entreprises de traiter et d’analyser rapidement les informations, ce qui leur permettra de tirer profit des tendances des “big data”, un terme utilisé pour décrire une analyse complexe et à grande échelle des informations. Les “Big data” impliquent d’intégrer, d’analyser et d’agir sur de grands ensembles de données pour prédire aussi bien des tendances de comportement d’achat, que l’imminence d’un tremblement de terre.
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