A lire sur: http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/75460.htm
Ifremer - Marion Le Foll et Thomas Isaak : tél. : + 33 (0)1 46 48 22 40/42 email : presse@ifremer.fr
Code brève
ADIT : 75460
Rédacteurs :
ADIT - Jean-François Desessard - email : jfd@adit.fr
Origine : BE France numéro 289 (20/03/2014) - ADIT / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/75460.htm
Co-financé par le programme Systerra de l'Agence Nationale de la Recherche (ANR), COMANCHE s'achèvera en juillet prochain. Lancé en 2011, ce projet qui associe des équipes de l'Ifremer, du CNRS et de plusieurs universités françaises (Université de Bretagne Occidentale de Brest, Université de Caen Basse-Normandie, Université Pierre et Marie Curie), est le premier en matière de recherche pluridisciplinaire entièrement dédié à la coquille Saint-Jacques Pecten maximus, une espèce très recherchée des gastronomes, mais également très étudiée par la communauté scientifique. COMANCHE a vocation à améliorer les connaissances sur la dynamique des populations de coquilles Saint-Jacques à travers cette approche pluri-thématique allant de l'écologie fondamentale à l'économie des filières.
C'est dans le cadre de ce projet que le Laboratoire de Détection, Capteurs et Mesures du Centre Ifremer de Bretagne, a développé la Phytochip, une biopuce à ADN capable de détecter les micro-algues toxiques dans l'eau de mer. Rappelons que ces dernières ont un impact important sur l'activité de pêche puisque leur prolifération peut entraîner des fermetures de zones pendant parfois plusieurs semaines, la coquille Saint-Jacques se nourrissant en effet d'une trentaine d'espèces d'algues, dont certaines peuvent produire des toxines qui la rendent impropre à la consommation pour l'homme. Aussi est-il capital de pouvoir détecter très rapidement la présence dans l'eau de ces micro-algues. Or avec la Phytochip, le résultat est obtenu en moins de 4 heures. Qui plus est, cette méthode est robuste et peu coûteuse.
Pour en savoir plus, contacts : C'est dans le cadre de ce projet que le Laboratoire de Détection, Capteurs et Mesures du Centre Ifremer de Bretagne, a développé la Phytochip, une biopuce à ADN capable de détecter les micro-algues toxiques dans l'eau de mer. Rappelons que ces dernières ont un impact important sur l'activité de pêche puisque leur prolifération peut entraîner des fermetures de zones pendant parfois plusieurs semaines, la coquille Saint-Jacques se nourrissant en effet d'une trentaine d'espèces d'algues, dont certaines peuvent produire des toxines qui la rendent impropre à la consommation pour l'homme. Aussi est-il capital de pouvoir détecter très rapidement la présence dans l'eau de ces micro-algues. Or avec la Phytochip, le résultat est obtenu en moins de 4 heures. Qui plus est, cette méthode est robuste et peu coûteuse.
Ifremer - Marion Le Foll et Thomas Isaak : tél. : + 33 (0)1 46 48 22 40/42 email : presse@ifremer.fr
Code brève
ADIT : 75460
Rédacteurs :
ADIT - Jean-François Desessard - email : jfd@adit.fr
Origine : BE France numéro 289 (20/03/2014) - ADIT / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/75460.htm
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