A lire sur: http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/75714.htm
Pour en savoir plus, contacts : - Présentation et méthodologie de l'Indicateur des capacités d'innovation de l'iit - http://www.iit-berlin.de/de/indikator
- Indicateur des capacités d'innovation de l'iit (résultats en version intégrale) - http://www.iit-berlin.de/de/indikator/@@idb-ranking
Code brève, ADIT : 75714
Sources : "Deutschland ist Spitzenklasse bei der Innovationsfahigkeit", dépêche idw, communiqué de presse de l'iit/VDI-VDE it - 07/04/2014 - http://idw-online.de/pages/en/news581511
Rédacteurs : Kenny Abbey, kenny.abbey@diplomatie.gouv.fr - http://www.science-allemagne.fr
Origine : BE Allemagne numéro 655 (17/04/2014) - Ambassade de France en Allemagne / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/75714.htm
A l'occasion de l'édition 2014 de la foire de Hanovre, l'Institut pour l'innovation et la technique (iit) de Berlin a présenté sa nouvelle publication, l'Indicateur des capacités d'innovation (iit-Innovationsfahigkeitsindikator). Cette étude évalue les potentialités en matière d'innovation de 25 pays européens, en se basant sur la comparaison de 42 indicateurs répartis dans 4 catégories. Il s'intéresse donc à la capacité des Etats à initier, développer et réaliser des processus et des produits innovants.
Outre la qualité de la formation, et notamment de la formation professionnelle continue, les auteurs de l'étude ont analysé le niveau de la recherche scientifique, ou encore les échanges existants entre recherche et entreprises. Une place importante de leur analyse est également accordée aux modes d'organisation interne des entreprises, et notamment aux possibilités qu'ont les employés de s'y former et de compléter leurs qualifications. L'un des apports de cette étude réside dans le fait que certains des indicateurs utilisés n'avaient que peu été employés dans les rapports sur l'innovation précédents.
L'Allemagne se place en quatrième position de ce classement, derrière les pays d'Europe du nord (Finlande, Suède, Danemark). Selon l'étude, les principaux atouts de l'économie allemande résideraient dans la performance de son système de formation continue, particulièrement valorisé au sein même des entreprises, les modes d'organisation du travail, ainsi que sa capacité à concevoir des produits complexes. La République fédérale serait en revanche pénalisée par le manque de coopérations qui existe entre ses entreprises innovantes et ses organismes de recherche publique.
La France arrive en huitième position, derrière le Royaume-Uni et devant la Belgique. Son principal point fort résiderait aussi dans une bonne intégration des dispositifs de formation continue au sein des entreprises. A l'inverse, la place trop faible accordée aux processus d'apprentissage informels [1] pénaliserait la capacité d'innovation française.
--
[1] Les apprentissages informels correspondent à l'ensemble des connaissances et savoir-faire acquis dans des activités de la vie quotidienne liées au travail, à la famille ou aux loisirs (lectures, activités bénévoles, participation à des conférences...). Il n'est pas organisé en termes d'objectifs, de temps ou de ressources. Le but de l'action initiale n'étant pas l'apprentissage, il n'est pas validé par un titre ou un diplôme
Outre la qualité de la formation, et notamment de la formation professionnelle continue, les auteurs de l'étude ont analysé le niveau de la recherche scientifique, ou encore les échanges existants entre recherche et entreprises. Une place importante de leur analyse est également accordée aux modes d'organisation interne des entreprises, et notamment aux possibilités qu'ont les employés de s'y former et de compléter leurs qualifications. L'un des apports de cette étude réside dans le fait que certains des indicateurs utilisés n'avaient que peu été employés dans les rapports sur l'innovation précédents.
L'Allemagne se place en quatrième position de ce classement, derrière les pays d'Europe du nord (Finlande, Suède, Danemark). Selon l'étude, les principaux atouts de l'économie allemande résideraient dans la performance de son système de formation continue, particulièrement valorisé au sein même des entreprises, les modes d'organisation du travail, ainsi que sa capacité à concevoir des produits complexes. La République fédérale serait en revanche pénalisée par le manque de coopérations qui existe entre ses entreprises innovantes et ses organismes de recherche publique.
La France arrive en huitième position, derrière le Royaume-Uni et devant la Belgique. Son principal point fort résiderait aussi dans une bonne intégration des dispositifs de formation continue au sein des entreprises. A l'inverse, la place trop faible accordée aux processus d'apprentissage informels [1] pénaliserait la capacité d'innovation française.
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[1] Les apprentissages informels correspondent à l'ensemble des connaissances et savoir-faire acquis dans des activités de la vie quotidienne liées au travail, à la famille ou aux loisirs (lectures, activités bénévoles, participation à des conférences...). Il n'est pas organisé en termes d'objectifs, de temps ou de ressources. Le but de l'action initiale n'étant pas l'apprentissage, il n'est pas validé par un titre ou un diplôme
Pour en savoir plus, contacts : - Présentation et méthodologie de l'Indicateur des capacités d'innovation de l'iit - http://www.iit-berlin.de/de/indikator
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Code brève, ADIT : 75714
Sources : "Deutschland ist Spitzenklasse bei der Innovationsfahigkeit", dépêche idw, communiqué de presse de l'iit/VDI-VDE it - 07/04/2014 - http://idw-online.de/pages/en/news581511
Rédacteurs : Kenny Abbey, kenny.abbey@diplomatie.gouv.fr - http://www.science-allemagne.fr
Origine : BE Allemagne numéro 655 (17/04/2014) - Ambassade de France en Allemagne / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/75714.htm
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