A lire sur: http://www.zdnet.fr/actualites/internet-au-bureau-58-de-surf-personnel-facebook-en-tete-39800099.htm
Avis d'expert : Merci patron... Selon les chiffres d'Olfeo, un employé passe 1h48 par jour sur Internet au bureau, soit 11 minutes de plus qu'en 2012.
Le "frenchbashing" de nos amis anglo-saxons va pouvoir continuer... Après la fausse polémique de la coupure de mail après 18h, on pourra toujours commenter en long et en large la propension des salariés français à surfer au bureau pour des raisons personnelles.
Selon l'étude annuelle d'Olfeo, les employés passent 1h48 par jour sur Internet au bureau, c'est 11 minutes de plus qu'en 2012 (+11%). Mais ce qui pourra effrayer nos gentils patrons, ce sont les 58% de ce temps consacré à du surf personnel..., soit 57 minutes par jour contre 53 il y a un an.
"Additionné, le temps passé sur Internet au bureau à des fins personnelles, représente 31,5 jours par an", soit une baisse de 14% de la productivité note l'éditeur de solutions de filtrage qui entend bien vendre ses outils aux directions effrayées par cette montée en puissance... Un taux difficilement vérifiable.
"D’un point de vue financier, ce coût pour un employé de bureau représente près de 2,7 mois de salaire. Cela représente une perte annuelle de 5 589 € pour un ouvrier, 5 333 € pour un employé et 14 394 € pour un cadre", ajoute Olfeo.
Perte de productivité
Facebook, YouTube et Wikipédia sont évidemment les plus utilisés au bureau. Mais les sites de e-commerce refont une nette apparition (+4%) alors que les visites de sites d’actualité sont en recul (-6%). le Bon Coin arrive ainsi en 4e position, devant Yahoo Actu.
"Le phénomène BYOD se poursuit puisque le nombre d’accès via le WiFi a été multiplié par deux, 75% de ces connexions étant destinées à du surf personnel. Notre étude met d’ailleurs en exergue des différences significatives sur les types de sites consultés en filaire et en WiFi. Les enjeux pour l’entreprise qui met à disposition une connexion sans fil restent néanmoins identiques et comme nous l’avons récemment relevé dans notre étude sur les hotspots WiFi, un grand nombre d’organisations n’ont toujours pas pris conscience ou ignorent les risques qui pèsent sur elles en matière de conformité juridique", commente Alexandre Souillé, président d’Olfeo.
"Les employés se connectent à Internet surtout à leur arrivée au bureau, durant la pause déjeuner et en fin d’après-midi », précise Alexandre Souillé. "Le surf personnel intervient surtout pendant le déjeuner mais le problème peut se poursuivre souvent bien au-delà. Il est donc important de mettre en place des solutions permettant d’encadrer les employés et de fixer des règles quant à l’utilisation du Net", ajoute-t-il.
"Le phénomène BYOD se poursuit puisque le nombre d’accès via le WiFi a été multiplié par deux, 75% de ces connexions étant destinées à du surf personnel. Notre étude met d’ailleurs en exergue des différences significatives sur les types de sites consultés en filaire et en WiFi. Les enjeux pour l’entreprise qui met à disposition une connexion sans fil restent néanmoins identiques et comme nous l’avons récemment relevé dans notre étude sur les hotspots WiFi, un grand nombre d’organisations n’ont toujours pas pris conscience ou ignorent les risques qui pèsent sur elles en matière de conformité juridique", commente Alexandre Souillé, président d’Olfeo.
"Les employés se connectent à Internet surtout à leur arrivée au bureau, durant la pause déjeuner et en fin d’après-midi », précise Alexandre Souillé. "Le surf personnel intervient surtout pendant le déjeuner mais le problème peut se poursuivre souvent bien au-delà. Il est donc important de mettre en place des solutions permettant d’encadrer les employés et de fixer des règles quant à l’utilisation du Net", ajoute-t-il.
Olfeo rappelle d'ailleurs opportunément que le dirigeant, le salarié ainsi que le responsable informatique peuvent voir leurs responsabilités engagées lorsque des actes illicites sont réalisés en ligne par le salarié tout en précisant que l’usage d’Internet à des fins personnelles doit être autorisé dans les limites du "raisonnable"
Le marketing de la peur a de beaux jours devant lui...
Le marketing de la peur a de beaux jours devant lui...
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