A lire sur: http://www.finyear.com/Enquete-secteur-bancaire-Une-gouvernance-critique-de-l-information-au-sein-des-banques_a28954.html
Pour 44% des organisations financières, la data gouvernance est une initiative du programme global de gouvernance de l’entreprise. Pour 39% des banques, les rôles et responsabilités concernant la gestion des données ne sont pas clairement définis au sein de l’organisation. 42% des « data managers » au sein des banques n’identifient pas les informations erronées au sein de leurs bases des données
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Selon une étude menée par Lepus, cabinet de recherche et de conseil pour l’industrie de la finance, pour le compte de Qlik (NASDAQ : QLIK), leader en matière de Business Intelligence conduite par l'utilisateur, le management des données au sein du secteur bancaire est critique.
Dans le cadre de l'enquête, le cabinet Lepus a interrogé 18 banques, dont 10 en Europe, 4 en Amérique du Nord, et 4 en Asie-Pacifique, pour connaître les initiatives prises par les institutions financières dans le nouvel environnement réglementaire, la structure de gouvernance et la mise au point du cadre de gouvernance des données. Les réponses soulignent la nécessité d’attribuer un rôle au niveau de la direction, afin de s'assurer que le cadre de la gouvernance des données répond aux objectifs métiers.
Alors que le nombre de données en entreprises explose, leur fiabilité sur le plan légal constitue une dimension de plus en plus critique : de nombreuses réglementations ont été mises en place pour gérer l’information, notamment les lois Sarbanes-Oxley, SEC-17a, Basel III, Solvency II et BCBS 239. Assurer une bonne gouvernance des données est un élément clef, capable de soutenir la croissance de l’entreprise. Les institutions financières ont dû mettre en place des pratiques standards pour l'architecture et la modélisation des données, pour lesquelles la gouvernance des données constitue une solution.
Les banques dépendent d’un échange quotidien de l’information concernant les différents marchés, mais environ deux tiers (63 %) des dirigeants du secteur financier ne considèrent pas la gouvernance des données comme l’une de leurs missions. Si la donnée a un poids prépondérant depuis la crise financière mondiale, elle demeure une richesse gérée par l’ensemble des collaborateurs au sein de l’entreprise, et non le privilège de la direction.
Dans le cadre de l'enquête, le cabinet Lepus a interrogé 18 banques, dont 10 en Europe, 4 en Amérique du Nord, et 4 en Asie-Pacifique, pour connaître les initiatives prises par les institutions financières dans le nouvel environnement réglementaire, la structure de gouvernance et la mise au point du cadre de gouvernance des données. Les réponses soulignent la nécessité d’attribuer un rôle au niveau de la direction, afin de s'assurer que le cadre de la gouvernance des données répond aux objectifs métiers.
Alors que le nombre de données en entreprises explose, leur fiabilité sur le plan légal constitue une dimension de plus en plus critique : de nombreuses réglementations ont été mises en place pour gérer l’information, notamment les lois Sarbanes-Oxley, SEC-17a, Basel III, Solvency II et BCBS 239. Assurer une bonne gouvernance des données est un élément clef, capable de soutenir la croissance de l’entreprise. Les institutions financières ont dû mettre en place des pratiques standards pour l'architecture et la modélisation des données, pour lesquelles la gouvernance des données constitue une solution.
Les banques dépendent d’un échange quotidien de l’information concernant les différents marchés, mais environ deux tiers (63 %) des dirigeants du secteur financier ne considèrent pas la gouvernance des données comme l’une de leurs missions. Si la donnée a un poids prépondérant depuis la crise financière mondiale, elle demeure une richesse gérée par l’ensemble des collaborateurs au sein de l’entreprise, et non le privilège de la direction.
La fonction principale d’un programme de gouvernance des données varie de manière significative selon les banques consultées. Alors que 44 % des personnes interrogées font de la réduction des risques une priorité, seuls 13 % d’entre eux considèrent la mise en place de réglementations comme une fonction principale de la gouvernance des données.
L’enquête révèle également que la mise en place d'une conformité réglementaire et la réduction des risques en matière de règlementation constituent, pour 94 % des dirigeants de banques, une mission inhérente aux métiers. Ces fonctions sont talonnées par la cohérence des données dans l'entreprise (88 %) et l'amélioration de la transparence des données et informations financières (63 %).
Pour plus d'informations, téléchargez le rapport sur la gouvernance des données : Streamlining and Enriching Data Across the Organization :
http://go.qlikview.com/UK_2013_Q3_FS_WhitePaper_PRG_Reg_LP.html
Pour plus d'informations, téléchargez le rapport sur la gouvernance des données : Streamlining and Enriching Data Across the Organization :
http://go.qlikview.com/UK_2013_Q3_FS_WhitePaper_PRG_Reg_LP.html
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