Toujours
en conflit avec Samsung concernant la violation présumée de plusieurs
technologies brevetées, Apple vient d'obtenir un nouveau brevet qui
risque de ne pas arranger les affaires de la concurrence, puisqu'il
porte sur le « slide to unlock » utilisé par l'iPhone, l'iPad… et une
myriade d'autres appareils.
Le « slide to unlock », en français « glisser pour déverrouiller » est, comme son nom l'indique, une méthode permettant d'accéder aux fonctionnalités d'un appareil en faisant glisser son doigt de gauche à droite sur un écran tactile. Un élément intégré à iOS depuis 2007, et qu'Apple vient de breveter auprès du United States Patent & Trademark Office, qui a validé la demande.
La demande de dépôt datait de 2005, mais le bureau américain vient seulement de la valider : depuis, plusieurs systèmes d'exploitation mobiles ont mis en place cette méthode dans leur interface. C'est notamment le cas d'Android 2.1, qui pourrait faire face à des poursuites judiciaires pour violation de brevet. Mais le brevet en lui-même s'avère particulièrement générique, et désigne le déblocage « dans le cas d'un contact avec l'écran, correspondant à un geste prédéfini pour déverrouiller l'appareil » : cela pourrait offrir un champ de manœuvre plus large à Apple pour attaquer la concurrence, tout du moins sur le sol américain puisque le brevet n'est, pour le moment, valable qu'aux USA.
Concernant le reste du monde, la partie n'est pas gagnée pour Apple : la justice néerlandaise a rejeté une demande de dépôt de brevet similaire en août dernier, en plein cœur de l'affaire opposant la firme de Cupertino à Samsung.
Le « slide to unlock », en français « glisser pour déverrouiller » est, comme son nom l'indique, une méthode permettant d'accéder aux fonctionnalités d'un appareil en faisant glisser son doigt de gauche à droite sur un écran tactile. Un élément intégré à iOS depuis 2007, et qu'Apple vient de breveter auprès du United States Patent & Trademark Office, qui a validé la demande.
La demande de dépôt datait de 2005, mais le bureau américain vient seulement de la valider : depuis, plusieurs systèmes d'exploitation mobiles ont mis en place cette méthode dans leur interface. C'est notamment le cas d'Android 2.1, qui pourrait faire face à des poursuites judiciaires pour violation de brevet. Mais le brevet en lui-même s'avère particulièrement générique, et désigne le déblocage « dans le cas d'un contact avec l'écran, correspondant à un geste prédéfini pour déverrouiller l'appareil » : cela pourrait offrir un champ de manœuvre plus large à Apple pour attaquer la concurrence, tout du moins sur le sol américain puisque le brevet n'est, pour le moment, valable qu'aux USA.
Concernant le reste du monde, la partie n'est pas gagnée pour Apple : la justice néerlandaise a rejeté une demande de dépôt de brevet similaire en août dernier, en plein cœur de l'affaire opposant la firme de Cupertino à Samsung.
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