Les applications mobiles constituent un enjeu important pour les marques et les annonceurs. Mais quels sont les facteurs clés de succès pour la promotion de votre application mobile?
(23/06/2011)
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Les applications mobiles constituent un enjeu important pour les marques et les annonceurs, notamment lié à la très forte augmentation de l'équipement et de l'usage des Smartphones. Ces applications constituent un excellent moyen d'accroître vos revenus ou générer de l'audience vers vos produits ou services.
Il est cependant nécessaire d'émerger au milieu de centaines de milliers d'autres applications. Il faut également rester disponible pour l'utilisateur sachant qu'il n'utilise régulièrement que quelques dizaines d'applications sur son mobile. A l'heure ou le mobile prend une place de plus en plus importante dans la stratégie de communication des marques et des annonceurs, les agences de marketing mobile se structurent pour répondre à ces questions et apporter des solutions innovantes et efficaces.
Pour comprendre les facteurs clés du succès pour votre application mobile, Il est nécessaire d'intégrer le plus tôt possible les spécificités de la promotion des applications sur mobile.
Pour aider nos clients à créer de la récurrence d'usage et à favoriser le téléchargement de leurs applications mobiles, nous actionnons pour eux quatre grands leviers :
Référencement mobile : « vous trouver si on vous cherche... »
Le « Mobile Store Optimisation » (MSO) permet d'optimiser la présence de votre application quand les utilisateurs la cherchent. Cette approche inclut les magasins d'applications (type Apple Store), les portails opérateurs, les portails spécialisés et le Web. Afficher de manière dynamique, un renvoi vers votre application mobile depuis votre site Web ou vos campagnes d'emailing, améliore aussi considérablement son référencement.
Relations presses digitales via les influenceurs : « la force de la recommandation »
La réussite du lancement de votre application sera déterminante pour la vie de votre application. Pour toucher votre cible et améliorer votre présence dans les magasins d'application (Top des téléchargements), le bouche à oreille et les recommandations seront déterminantes. Les « influenceurs » digitaux (bloggeurs, réseaux sociaux, « early adopteurs »...) garantissent un lancement rapide de votre application ainsi qu'un meilleur engagement de vos utilisateurs.
Savoir anticiper, organiser et amplifier cette influence digitale ne s'improvise pas et nécessite un réel savoir faire de la part de votre agence de marketing mobile.
L'achat d'espace mobile : « un porte voix sur le mobile »
Plus classique mais néanmoins très efficace, l'achat d'espace sur les sites ou les applications mobiles permet d'améliorer considérablement le téléchargement de votre application. C'est un levier d'optimisation sans comparaison car il permet de cibler par OS (iPhone, Android...), par critères sociodémographiques ou géographiques.
L'achat d'espace sur mobile permet de toucher votre cible en optimisant l'affinité avec une marque ou avec du contenu spécifique. Vous pouvez également privilégier l'efficacité en rémunérant votre achat d'espace à la performance.
Le marketing à la performance : « booster les téléchargements »
Grâce à de nouveaux leviers marketing, il est désormais possible de garantir un volume de téléchargements ou une position dans le Top des téléchargements des Stores d'applications. Ces nouvelles techniques visent à pousser un panel d'utilisateurs à effectuer une action : télécharger l'application, tester l'application ou même répondre à un petit questionnaire portant sur votre application.
Utilisé pour des objectifs Marketing identifiés et maitrisés, ce « marketing à la performance » sur mobile peut être redoutablement efficace.
En Synthèse :
Trop souvent négligé ou sous-estimé, le budget de promotion d'une application mobile est essentiel. Anticiper les actions de promotion et de communication en amont du développement est de plus en plus important notamment au regard de l'encombrement grandissant dans les magasins d'applications et de l'Apple Store en particulier.
Que ce soit en amont de la sortie de l'application, en relais du lancement, ou pour accompagner la vie de l'application mobile, les leviers à mettre en oeuvre seront évidemment très différents en fonction de vos objectifs de communication.
Afin d'optimiser et d'améliorer vos actions de promotion, il est nécessaire d'inclure la mise en place d'outils de tracking afin de mesurer l'usage de votre application et ne pas vous contenter des simples volumes de téléchargements....
Bertrand Jonquois
http://www.journaldunet.com/ebusiness/expert/49979/la-promotion-des-applications-mobiles---un-enjeu-essentiel--pour-les-annonceurs.shtml?utm_source=benchmail&utm_medium=ML7&utm_campaign=E10201669&f_u=23951499
Les nouveaux usages d'aujourd'hui seront les business de demain. Revue de presse sur les tendances et évolutions technologiques utiles. http://theitwatcher.fr/.
jeudi 30 juin 2011
"Priceminister va devenir comparable à une galerie marchande d'hypermarché"
Priceminister fait évoluer son modèle économique pour développer le volume d'affaires des marchands professionnels, comme sa maison-mère Rakuten. Explications de son PDG.
Publié le 29/06/2011
JDN. Un an après son rachat par Rakuten, quelle est l'actualité de Priceminister ?
Pierre Kosciusko-Morizet. Nous sommes en train de faire évoluer le modèle économique de Priceminister. Nous continuons bien sûr à développer la vente entre particuliers, mais nous mettons aussi en place des outils spécifiques pour les marchands professionnels. C'est une spécialité de Rakuten, c'était donc très précisément la raison du rachat de Priceminister. Notre objectif aujourd'hui est "l'empowerment" - pardon pour l'anglicisme - des vendeurs pro. Nous voulons leur donner la capacité de faire grossir leur business sur Priceminister. Pour l'instant les vendeurs pro représentent un peu plus de 45 % de notre volume d'affaires. A terme, nous visons plutôt 60 %.
Nous allons passer progressivement d'une place de marché "product-based" à une place de marché "shop-based" où l'on recherche toujours par produit mais pour aller ensuite dans l'univers d'un marchand. A terme, Priceminister sera comparable à une galerie marchande d'hypermarché, avec plusieurs dizaines de milliers de marchands. Ils seront indépendants les uns des autres, mais les acheteurs bénéficieront pour leur part de la garantie qu'apporte Priceminister, d'un panier commun, etc.
Concrètement, qu'allez-vous apporter aux marchands pro ?
Nous développons la personnalisation des boutique : logo, marque, navigation, fiches produits... nous voulons que tout cela puisse être spécifique à chaque boutique. C'est actuellement en test et ce sera déployé sur tout Priceminister à partir de septembre.
"Nous allons recruter une centaine de consultants e-commerce"
Plus largement, nous voulons que les marchands se sentent plus impliqués par rapport aux clients. Nous allons donc leur proposer des outils de CRM leur permettant d'envoyer des relances, des newsletters... Ils auront aussi à leur disposition des outils d'analytics - pages vues, taux de conversion...- afin qu'ils voient tout ce qui se passe sur leur boutique aussi bien que s'il s'agissait de leur site marchand. Voire que leur boutique devienne leur site marchand. A terme, nous voudrions qu'ils achètent du trafic qui redirige vers leur boutique.
Faites-vous également évoluer votre commission ?
Nous passons d'une commission variable à une commission fixe avec un variable plus bas. Ainsi, les marchands auront envie de réaliser leurs ventes marginales chez nous plutôt qu'ailleurs. Rakuten a véritablement décollé lorsqu'il a donné des outils aux marchands et baissé sa commission. Nous faisons donc de même. Nous baissons la commission car nous entrons dans une stratégie de volume.
Cette nouvelle stratégie ne repose pas uniquement sur des outils apportés aux marchands...
Le risque, si l'on se borne à mettre à leur disposition des outils, est que seule une minorité de marchands en utilise beaucoup mais qu'une majorité passe à côté d'un grand nombre d'outils intéressants. D'où l'autre changement majeur dans notre stratégie : nous allons recruter une centaine de consultants e-commerce. Ils seront en contact avec les marchands pour les conseiller en matière de marketing, de CRM, de présentation de l'offre, d'utilisation de nos outils, ceci pour les aider à vendre plus. Nous allons beaucoup investir sur les marchands, pour qu'ils s'impliquent davantage et nous consacrent plus de temps.
Nous voulons aussi aller chercher les PME qui ne vendent pas encore sur Internet et ont besoin de conseils. Nous allons en outre créer un système d'université où nous allons leur dispenser des formations pour leur apprendre à vendre.
Quelle légitimité avez-vous à apprendre aux marchands à vendre, vous qui ne vendez pas en propre ?
Nous avons une très bonne connaissance de la vente en ligne : c'est nous qui mettons en avant les marchands sur Priceminister, ce qui fait de nous l'un des plus gros e-commerçants de France. Mais jusqu'ici, nous ne faisions pas bénéficier les marchands de cette expérience acquise. En outre, comme nous ne vendons pas nous-mêmes, nous ne sommes pas concurrents des vendeurs pro de notre marketplace. Contrairement aux autres places de marché, qui peuvent se servir des marchands comme de lièvres puis vendre les meilleurs produits elles-mêmes. Pour notre part, il n'y a donc aucun conflit d'intérêt à avoir cette position de consultant.
"Je vois eBay comme un canal de vente complémentaire, Rakuten comme un canal de vente principal"
Après, il est vrai que ce rôle est nouveau pour nous. Mais autant il n'existe pas vraiment en France, autant il est tout à fait dans l'esprit de Rakuten, qui compte 400 consultants pour ses 37 000 marchands. Beaucoup d'acteurs du Web sont dans une logique d'automatiser au maximum et de limiter les contacts humains. Sur les marketplaces, cela peut se traduire par une approche du type " voilà les formats que vos fichiers doivent avoir, maintenant débrouillez-vous ". Il est par exemple souvent difficile de les avoir au téléphone. Rakuten a une approche complètement différente, en étant pourtant rentable. C'est vers ce modèle que nous tendons.
Cela fait plusieurs mois qu'eBay multiplie les mesures en faveur des vendeurs pro, dans le cadre de son programme Accélération Pro 2011. Qu'est-ce qui distingue votre approche de la leur ?
Sur le fond, nous courons effectivement sur le même marché. Mais notre approche se concentre sur l'empowerment des marchands, notamment en leur permettant d'avoir une boutique personnalisée. Je vois davantage eBay comme un canal de vente complémentaire à un site marchand, alors qu'une boutique sur Rakuten est un canal de vente principal, avec plus d'outils et moins de commissions.
D'autres nouveautés vont-elles voir le jour prochainement ?
Nous sommes en train de mettre en place un système de points de fidélité. Il a le même nom que sur Rakuten : les SuperPoints. A chaque fois qu'un client achète sur la galerie marchande de Priceminister, il gagne des points qui lui permettront de payer moins cher son prochain achat. Cela constituera pour les marchands un outil d'animation des ventes. Il est déjà en test et nous accélérerons en fin d'année. Les SuperPoints ont joué un rôle clé dans le succès de Rakuten, donc nous allons leur consacrer beaucoup d'attention.
"Nous mettons en place le système de points de fidélité de Rakuten : les SuperPoints"
Quels objectifs vous êtes-vous fixés ? Combien de marchands voulez-vous attirer par cette nouvelle approche ?
Au-delà du nombre de marchands, nous voulons surtout qu'ils soient très actifs. Priceminister en compte déjà 20 000 contre "seulement" 37 000 pour Rakuten. Notre objectif est donc avant tout de faire grossir les marchands actuels, comme l'a fait Rakuten.
Ensuite, nous voulons multiplier plusieurs fois notre chiffre d'affaires dans les années à venir. Rakuten enregistre un volume d'affaires de plus de 10 milliards de dollars, soit à peu près un tiers de l'e-commerce japonais ! Nous voudrions que le volume d'affaires de nos vendeurs pro croisse de 50% par an.
Où en sont vos projets européens ?Nous venons de signer la location de nos bureaux à Londres, où nous aurons entre 30 et 40 collaborateurs d'ici la fin de l'année. Le lancement sous la marque Rakuten y est prévu pour septembre. Nous avons lancé l'Espagne depuis Paris sous la marque Priceminister et y ouvrirons des bureaux en fin d'année ou en début d'année prochaine. Quant à l'Allemagne, il est impossible d'attaquer ce marché sans être sur place. Nous n'avons donc pas ouvert depuis Paris mais nous nous implanterons là-bas à la fin de l'année. Priceminister se charge de la coordination de l'activité européenne, mais nous implémentons directement les méthodes de Rakuten. A part en France, où la marque Priceminister est forte, et pour le moment en Espagne, c'est la marque Rakuten que nous utiliserons ailleurs.
A lire ailleurs
La fiche de Rakuten sur Wikipedia
Rakuten fait l'acquisition de la société brésilienne Ikeda
Pierre Kosciusko-Morizet, diplômé de HEC en 1999, lance sa première entreprise en 1998, la société de conseil en distribution Visualis. A la sortie de l'école parisienne, il intègre le département marketing et finance de Capital One, société de crédit sur Internet aux Etats-Unis. C'est en poste chez Capital One que lui vient l'idée d'un site d'achat-vente entre particuliers. Il rentre en France travailler sur son projet et lance Priceminister.com en janvier 2001 sur le modèle de l'américain Half.com. En juin 2010, Priceminister est racheté par le Japonais Rakuten pour 200 millions d'euros. Pierre Kosciusko-Morizet est le président de l'Association pour le commerce et les services en ligne (Acsel) depuis juillet 2008 et le co-président de l'Association des services Internet communautaires (Asic) depuis sa création en décembre 2007. Il est également cofondateur du fonds d'investissement ISAI.
Flore Fauconnier, Journal du Net
http://www.journaldunet.com/ebusiness/commerce/pierre-kosciusko-morizet-pierre-kosciusko-morizet.shtml?f_id_newsletter=5285&utm_source=benchmail&utm_medium=ML7&utm_campaign=E10201669&f_u=23951499
Publié le 29/06/2011
JDN. Un an après son rachat par Rakuten, quelle est l'actualité de Priceminister ?
Pierre Kosciusko-Morizet. Nous sommes en train de faire évoluer le modèle économique de Priceminister. Nous continuons bien sûr à développer la vente entre particuliers, mais nous mettons aussi en place des outils spécifiques pour les marchands professionnels. C'est une spécialité de Rakuten, c'était donc très précisément la raison du rachat de Priceminister. Notre objectif aujourd'hui est "l'empowerment" - pardon pour l'anglicisme - des vendeurs pro. Nous voulons leur donner la capacité de faire grossir leur business sur Priceminister. Pour l'instant les vendeurs pro représentent un peu plus de 45 % de notre volume d'affaires. A terme, nous visons plutôt 60 %.
Nous allons passer progressivement d'une place de marché "product-based" à une place de marché "shop-based" où l'on recherche toujours par produit mais pour aller ensuite dans l'univers d'un marchand. A terme, Priceminister sera comparable à une galerie marchande d'hypermarché, avec plusieurs dizaines de milliers de marchands. Ils seront indépendants les uns des autres, mais les acheteurs bénéficieront pour leur part de la garantie qu'apporte Priceminister, d'un panier commun, etc.
Concrètement, qu'allez-vous apporter aux marchands pro ?
Nous développons la personnalisation des boutique : logo, marque, navigation, fiches produits... nous voulons que tout cela puisse être spécifique à chaque boutique. C'est actuellement en test et ce sera déployé sur tout Priceminister à partir de septembre.
"Nous allons recruter une centaine de consultants e-commerce"
Plus largement, nous voulons que les marchands se sentent plus impliqués par rapport aux clients. Nous allons donc leur proposer des outils de CRM leur permettant d'envoyer des relances, des newsletters... Ils auront aussi à leur disposition des outils d'analytics - pages vues, taux de conversion...- afin qu'ils voient tout ce qui se passe sur leur boutique aussi bien que s'il s'agissait de leur site marchand. Voire que leur boutique devienne leur site marchand. A terme, nous voudrions qu'ils achètent du trafic qui redirige vers leur boutique.
Faites-vous également évoluer votre commission ?
Nous passons d'une commission variable à une commission fixe avec un variable plus bas. Ainsi, les marchands auront envie de réaliser leurs ventes marginales chez nous plutôt qu'ailleurs. Rakuten a véritablement décollé lorsqu'il a donné des outils aux marchands et baissé sa commission. Nous faisons donc de même. Nous baissons la commission car nous entrons dans une stratégie de volume.
Cette nouvelle stratégie ne repose pas uniquement sur des outils apportés aux marchands...
Le risque, si l'on se borne à mettre à leur disposition des outils, est que seule une minorité de marchands en utilise beaucoup mais qu'une majorité passe à côté d'un grand nombre d'outils intéressants. D'où l'autre changement majeur dans notre stratégie : nous allons recruter une centaine de consultants e-commerce. Ils seront en contact avec les marchands pour les conseiller en matière de marketing, de CRM, de présentation de l'offre, d'utilisation de nos outils, ceci pour les aider à vendre plus. Nous allons beaucoup investir sur les marchands, pour qu'ils s'impliquent davantage et nous consacrent plus de temps.
Nous voulons aussi aller chercher les PME qui ne vendent pas encore sur Internet et ont besoin de conseils. Nous allons en outre créer un système d'université où nous allons leur dispenser des formations pour leur apprendre à vendre.
Quelle légitimité avez-vous à apprendre aux marchands à vendre, vous qui ne vendez pas en propre ?
Nous avons une très bonne connaissance de la vente en ligne : c'est nous qui mettons en avant les marchands sur Priceminister, ce qui fait de nous l'un des plus gros e-commerçants de France. Mais jusqu'ici, nous ne faisions pas bénéficier les marchands de cette expérience acquise. En outre, comme nous ne vendons pas nous-mêmes, nous ne sommes pas concurrents des vendeurs pro de notre marketplace. Contrairement aux autres places de marché, qui peuvent se servir des marchands comme de lièvres puis vendre les meilleurs produits elles-mêmes. Pour notre part, il n'y a donc aucun conflit d'intérêt à avoir cette position de consultant.
"Je vois eBay comme un canal de vente complémentaire, Rakuten comme un canal de vente principal"
Après, il est vrai que ce rôle est nouveau pour nous. Mais autant il n'existe pas vraiment en France, autant il est tout à fait dans l'esprit de Rakuten, qui compte 400 consultants pour ses 37 000 marchands. Beaucoup d'acteurs du Web sont dans une logique d'automatiser au maximum et de limiter les contacts humains. Sur les marketplaces, cela peut se traduire par une approche du type " voilà les formats que vos fichiers doivent avoir, maintenant débrouillez-vous ". Il est par exemple souvent difficile de les avoir au téléphone. Rakuten a une approche complètement différente, en étant pourtant rentable. C'est vers ce modèle que nous tendons.
Cela fait plusieurs mois qu'eBay multiplie les mesures en faveur des vendeurs pro, dans le cadre de son programme Accélération Pro 2011. Qu'est-ce qui distingue votre approche de la leur ?
Sur le fond, nous courons effectivement sur le même marché. Mais notre approche se concentre sur l'empowerment des marchands, notamment en leur permettant d'avoir une boutique personnalisée. Je vois davantage eBay comme un canal de vente complémentaire à un site marchand, alors qu'une boutique sur Rakuten est un canal de vente principal, avec plus d'outils et moins de commissions.
D'autres nouveautés vont-elles voir le jour prochainement ?
Nous sommes en train de mettre en place un système de points de fidélité. Il a le même nom que sur Rakuten : les SuperPoints. A chaque fois qu'un client achète sur la galerie marchande de Priceminister, il gagne des points qui lui permettront de payer moins cher son prochain achat. Cela constituera pour les marchands un outil d'animation des ventes. Il est déjà en test et nous accélérerons en fin d'année. Les SuperPoints ont joué un rôle clé dans le succès de Rakuten, donc nous allons leur consacrer beaucoup d'attention.
"Nous mettons en place le système de points de fidélité de Rakuten : les SuperPoints"
Quels objectifs vous êtes-vous fixés ? Combien de marchands voulez-vous attirer par cette nouvelle approche ?
Au-delà du nombre de marchands, nous voulons surtout qu'ils soient très actifs. Priceminister en compte déjà 20 000 contre "seulement" 37 000 pour Rakuten. Notre objectif est donc avant tout de faire grossir les marchands actuels, comme l'a fait Rakuten.
Ensuite, nous voulons multiplier plusieurs fois notre chiffre d'affaires dans les années à venir. Rakuten enregistre un volume d'affaires de plus de 10 milliards de dollars, soit à peu près un tiers de l'e-commerce japonais ! Nous voudrions que le volume d'affaires de nos vendeurs pro croisse de 50% par an.
Où en sont vos projets européens ?Nous venons de signer la location de nos bureaux à Londres, où nous aurons entre 30 et 40 collaborateurs d'ici la fin de l'année. Le lancement sous la marque Rakuten y est prévu pour septembre. Nous avons lancé l'Espagne depuis Paris sous la marque Priceminister et y ouvrirons des bureaux en fin d'année ou en début d'année prochaine. Quant à l'Allemagne, il est impossible d'attaquer ce marché sans être sur place. Nous n'avons donc pas ouvert depuis Paris mais nous nous implanterons là-bas à la fin de l'année. Priceminister se charge de la coordination de l'activité européenne, mais nous implémentons directement les méthodes de Rakuten. A part en France, où la marque Priceminister est forte, et pour le moment en Espagne, c'est la marque Rakuten que nous utiliserons ailleurs.
A lire ailleurs
La fiche de Rakuten sur Wikipedia
Rakuten fait l'acquisition de la société brésilienne Ikeda
Pierre Kosciusko-Morizet, diplômé de HEC en 1999, lance sa première entreprise en 1998, la société de conseil en distribution Visualis. A la sortie de l'école parisienne, il intègre le département marketing et finance de Capital One, société de crédit sur Internet aux Etats-Unis. C'est en poste chez Capital One que lui vient l'idée d'un site d'achat-vente entre particuliers. Il rentre en France travailler sur son projet et lance Priceminister.com en janvier 2001 sur le modèle de l'américain Half.com. En juin 2010, Priceminister est racheté par le Japonais Rakuten pour 200 millions d'euros. Pierre Kosciusko-Morizet est le président de l'Association pour le commerce et les services en ligne (Acsel) depuis juillet 2008 et le co-président de l'Association des services Internet communautaires (Asic) depuis sa création en décembre 2007. Il est également cofondateur du fonds d'investissement ISAI.
Flore Fauconnier, Journal du Net
http://www.journaldunet.com/ebusiness/commerce/pierre-kosciusko-morizet-pierre-kosciusko-morizet.shtml?f_id_newsletter=5285&utm_source=benchmail&utm_medium=ML7&utm_campaign=E10201669&f_u=23951499
MySpace : grandeur et décadence
Star de l'Internet communautaire autrefois, racheté à prix d'or par News Corp, le réseau social ringardisé par Facebook est aujourd'hui à vendre. De son ascension à sa dégringolade, le JDN revient sur l'évolution du business de MySpace.
Réalisé par Baptiste Rubat du Mérac et Benoît Méli, Journal du Net
Publié le 04/01/2011
http://www.journaldunet.com/ebusiness/le-net/declin-myspace/?utm_source=benchmail&utm_medium=ML7&utm_campaign=E10201669&f_u=23951499
Réalisé par Baptiste Rubat du Mérac et Benoît Méli, Journal du Net
Publié le 04/01/2011
http://www.journaldunet.com/ebusiness/le-net/declin-myspace/?utm_source=benchmail&utm_medium=ML7&utm_campaign=E10201669&f_u=23951499
Réussir ses campagnes e-mail sur mobile
Malgré le développement des smartphones, l'adaptation des e-mailings au mobile reste rare. Si cette pratique entraîne quelques contraintes, elle offre pourtant de nouvelles opportunités aux annonceurs. Voici quelques conseils pour adapter sa stratégie d'e-mail marketing au mobile.
Réalisé par Benoît Méli, Journal du Net
Publié le 29/06/2011
La consultation des mails sur mobile en hausse
Précédente
Suivante
La consultation d'e-mail en mobilité se développe. Aux Etats-Unis, Comscore a déjà noté un déclin de l'usage des webmails au profit de la consultation du courrier électronique sur mobile. Entre novembre 2009 et novembre 2010, le nombre de visiteurs uniques s'étant connectés à un webmail (153 millions) a baissé de 6 %. Cette baisse est particulièrement marquée chez les hommes (-12 %) et les 12-17 ans (-24 %). Au cours de la même période, plus de 70 millions d'Américains ont consulté leur messagerie électronique sur leur mobile, soit une progression de 70 % sur un an. En France la consultation du courrier électronique est déjà le troisième usage le plus répandu sur mobile, pratiqué par 48 % des mobinautes, selon l'Association française du Multimédia mobile (AFMM).
La part de la consultation d'e-mails sur mobile reste encore faible par rapport à l'Internet fixe, mais devrait à terme devenir de plus en plus conséquente. "D'ici trois à quatre ans, l'usage du Web aura réellement basculé sur les écrans nomades, il faut s'y préparer dès maintenant", explique Jean-Paul Lieux, directeur associé de Dolist. Jean-Philippe Baert, directeur général d'Experian Marketing Services – CheetahMail France fait le même constat. "Selon une étude que nous avons réalisée aux Etats-Unis, d'ici 2015, 95 % des téléphones en circulation seront des smartphones et 60 % des internautes consulteront leurs e-mails sur mobile."
De nombreux annonceurs n'en sont pas encore forcément conscients. Selon une étude réalisée par Dolist en début d'année auprès de 400 annonceurs, seuls 15 % des annonceurs e-mailing ont déjà optimisé leurs campagnes pour une consultation sur mobile. Près de 21 % ont intégré ce point dans leurs projets pour 2011. Jean-Philippe Baert estime qu'environ un tiers des 30 principaux clients d'Experian Marketing Services – CheetahMail France mènent une réflexion sur ce canal. "Il s'agit pour la plupart d'acteurs qui sont arrivés à une certaine maturité de réflexion sur le mobile en général", estime-t-il.
http://www.journaldunet.com/ebusiness/crm-marketing/e-mail-mobile/?f_id_newsletter=5285&utm_source=benchmail&utm_medium=ML7&utm_campaign=E10201669&f_u=23951499
Réalisé par Benoît Méli, Journal du Net
Publié le 29/06/2011
La consultation des mails sur mobile en hausse
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La consultation d'e-mail en mobilité se développe. Aux Etats-Unis, Comscore a déjà noté un déclin de l'usage des webmails au profit de la consultation du courrier électronique sur mobile. Entre novembre 2009 et novembre 2010, le nombre de visiteurs uniques s'étant connectés à un webmail (153 millions) a baissé de 6 %. Cette baisse est particulièrement marquée chez les hommes (-12 %) et les 12-17 ans (-24 %). Au cours de la même période, plus de 70 millions d'Américains ont consulté leur messagerie électronique sur leur mobile, soit une progression de 70 % sur un an. En France la consultation du courrier électronique est déjà le troisième usage le plus répandu sur mobile, pratiqué par 48 % des mobinautes, selon l'Association française du Multimédia mobile (AFMM).
La part de la consultation d'e-mails sur mobile reste encore faible par rapport à l'Internet fixe, mais devrait à terme devenir de plus en plus conséquente. "D'ici trois à quatre ans, l'usage du Web aura réellement basculé sur les écrans nomades, il faut s'y préparer dès maintenant", explique Jean-Paul Lieux, directeur associé de Dolist. Jean-Philippe Baert, directeur général d'Experian Marketing Services – CheetahMail France fait le même constat. "Selon une étude que nous avons réalisée aux Etats-Unis, d'ici 2015, 95 % des téléphones en circulation seront des smartphones et 60 % des internautes consulteront leurs e-mails sur mobile."
De nombreux annonceurs n'en sont pas encore forcément conscients. Selon une étude réalisée par Dolist en début d'année auprès de 400 annonceurs, seuls 15 % des annonceurs e-mailing ont déjà optimisé leurs campagnes pour une consultation sur mobile. Près de 21 % ont intégré ce point dans leurs projets pour 2011. Jean-Philippe Baert estime qu'environ un tiers des 30 principaux clients d'Experian Marketing Services – CheetahMail France mènent une réflexion sur ce canal. "Il s'agit pour la plupart d'acteurs qui sont arrivés à une certaine maturité de réflexion sur le mobile en général", estime-t-il.
http://www.journaldunet.com/ebusiness/crm-marketing/e-mail-mobile/?f_id_newsletter=5285&utm_source=benchmail&utm_medium=ML7&utm_campaign=E10201669&f_u=23951499
Paiement mobile : Square se donne les moyens de ses ambitions
par la rédaction, businessMOBILE.fr. Publié le 29 juin 2011Tags: Paiement mobile,
Business - La plate-forme de Jack Dorsey (Twitter) vient de lever la coquette somme de 100 millions de dollars pour accompagner son développement.
A l'heure où les projets de paiement mobile via la technologie NFC se multiplient et alors que les terminaux dotés de modules compatibles vont bientôt inonder les magasins, les spécialistes des solutions alternatives ne baissent pas les bras.
C'est le cas de Square, la start-up de Jack Dorsey (fondateur Twitter). Rappelons que cette plate-forme est un service de micro-paiement, destiné à fonctionner sur les terminaux mobile (iPhone et Android) et fixe connectés à Internet.
L'acte d'achat se fait via un petit boîtier (le Square reader) branché sur la prise jack et embarquant un lecteur de cartes bancaires pour des transactions d'un montant maximum de 60 dollars.
4 millions de dollars de transactions
L'utilisateur doit télécharger une application permettant la transmission, la sécurisation des données ainsi que l'émission de reçus envoyés par e-mail et SMS. Autres innovations du service : l'utilisateur peut être identifié par sa photo et utiliser son smartphone avec écran tactile pour signer l'autorisation de la transaction.
En avril dernier, alors que son mini-lecteur de carte bancaire a été référencé dans les 235 Apple Store américains ainsi que sur la boutique en ligne US, la start-up a reçu le soutien déterminant de Visa.
Le géant de la carte bancaire est entré au capital de Square pour un montant non divulgué et a obtenu en échange un siège au conseil consultatif de l'entreprise. Pour Square, le soutien de Visa va lui apporter la caution nécessaire pour conquérir un plus grand nombre de clients et notamment les 27 millions de TPE américaines qui n'acceptent pas les cartes bancaires.
Aujourd'hui, Square annonce une nouvelle levée de fonds de 100 millions de dollars auprès du fonds d'investissement Kleiner Perkins, de quoi valoriser la start-up à hauteur de plus d'un milliard de dollars.
Il faut dire que la firme a besoin de moyens pour pérenniser son offre avec d'un côté la vague NFC (avec notamment Wallet de Google) et de l'autre la multitude d'offres concurrentes comme celle de PayPal. A ce jour, Square revendique 4 millions de dollars de transactions par jour contre 2 millions il y a quelques mois.
Depuis sa création en février 2009, l'entreprise californienne a ainsi levé 165 millions de dollars, auprès d'investisseurs divers dont le Français Xavier Niel, patron d'Iliad (Free).
Outre ces nouveaux moyens, il est à noter que Larry Summers, ex-conseiller du Président Barack Obama, a été nommé au conseil d'administration.
A voir : Google Wallet en images
http://www.businessmobile.fr/actualites/paiement-mobile-square-se-donne-les-moyens-de-ses-ambitions-39762077.htm#xtor=EPR-100
Business - La plate-forme de Jack Dorsey (Twitter) vient de lever la coquette somme de 100 millions de dollars pour accompagner son développement.
A l'heure où les projets de paiement mobile via la technologie NFC se multiplient et alors que les terminaux dotés de modules compatibles vont bientôt inonder les magasins, les spécialistes des solutions alternatives ne baissent pas les bras.
C'est le cas de Square, la start-up de Jack Dorsey (fondateur Twitter). Rappelons que cette plate-forme est un service de micro-paiement, destiné à fonctionner sur les terminaux mobile (iPhone et Android) et fixe connectés à Internet.
L'acte d'achat se fait via un petit boîtier (le Square reader) branché sur la prise jack et embarquant un lecteur de cartes bancaires pour des transactions d'un montant maximum de 60 dollars.
4 millions de dollars de transactions
L'utilisateur doit télécharger une application permettant la transmission, la sécurisation des données ainsi que l'émission de reçus envoyés par e-mail et SMS. Autres innovations du service : l'utilisateur peut être identifié par sa photo et utiliser son smartphone avec écran tactile pour signer l'autorisation de la transaction.
En avril dernier, alors que son mini-lecteur de carte bancaire a été référencé dans les 235 Apple Store américains ainsi que sur la boutique en ligne US, la start-up a reçu le soutien déterminant de Visa.
Le géant de la carte bancaire est entré au capital de Square pour un montant non divulgué et a obtenu en échange un siège au conseil consultatif de l'entreprise. Pour Square, le soutien de Visa va lui apporter la caution nécessaire pour conquérir un plus grand nombre de clients et notamment les 27 millions de TPE américaines qui n'acceptent pas les cartes bancaires.
Aujourd'hui, Square annonce une nouvelle levée de fonds de 100 millions de dollars auprès du fonds d'investissement Kleiner Perkins, de quoi valoriser la start-up à hauteur de plus d'un milliard de dollars.
Il faut dire que la firme a besoin de moyens pour pérenniser son offre avec d'un côté la vague NFC (avec notamment Wallet de Google) et de l'autre la multitude d'offres concurrentes comme celle de PayPal. A ce jour, Square revendique 4 millions de dollars de transactions par jour contre 2 millions il y a quelques mois.
Depuis sa création en février 2009, l'entreprise californienne a ainsi levé 165 millions de dollars, auprès d'investisseurs divers dont le Français Xavier Niel, patron d'Iliad (Free).
Outre ces nouveaux moyens, il est à noter que Larry Summers, ex-conseiller du Président Barack Obama, a été nommé au conseil d'administration.
A voir : Google Wallet en images
http://www.businessmobile.fr/actualites/paiement-mobile-square-se-donne-les-moyens-de-ses-ambitions-39762077.htm#xtor=EPR-100
Les développeurs se détourneraient de la plate-forme BlackBerry
par Olivier Chicheportiche, businessMOBILE.fr. Publié le 29 juin 2011Tags: BlackBerry, Chiffres, Développement, Application,
Business - Selon Bloomberg, la perte de vitesse des terminaux canadiens combinée à la difficulté de développement d'applications due à la fragmentation de l'OS, expliquent cette tendance.
Attention, pente très glissante pour RIM et ses BlackBerry. Harcelé par la concurrence, le roi canadien perd de sa superbe depuis plusieurs trimestres, tant au niveau des parts de marché qu'au niveau financier.
Depuis trois mois, le titre du fabricant a ainsi perdu près de 50 % de sa valeur. Et au premier trimestre, la part de RIM sur le marché des smartphones s'est écroulée de 6,8 points à 12,9%, au profit d'Android.
Conséquence directe, les développeurs et les agences spécialisées commenceraient à déserter l'éco-système BlackBerry. Selon Bloomberg, l'écart entre le nombre d'applications disponibles pour les téléphones de RIM et les appareils de ses concurrents risque donc de s'accentuer.
Ratio ressources/croissanceOutre l'attrait pour une concurrence économiquement plus viable, les professionnels épinglent également les difficultés pour développer sous RIM OS. Avec une multitude de versions différentes en circulation, sans compter la fragmentation due aux tailles d'écran, le travail est de plus en plus coûteux et complexe. Le jeu en vaut-il encore la chandelle ?
Toujours selon l'agence de presse, des développeurs d'applications comme Seesmic ou Mobile Roadie ont décidé de cesser d'adapter leurs produits pour les BlackBerry et le PlayBook.
« Nous devons mettre nos ressources où la croissance se trouve », a expliqué à Bloomberg le patron de la firme Seesmic, le français Loic Le Meur. Il a ajouté que les appareils iPhone ou fonctionnant sous Android connaissent une « croissance explosive ». À compter du 30 juin, Seesmic ne sera donc plus proposé sur BlackBerry.
De son côté, la firme Purple Forg précise qu'elle offrira des applications pour les appareils de RIM seulement si les clients en font la demande. "A partir du moment où RIM a lancé des terminaux combinant écran tactile, bille de navigation, clavier et touches de raccourcis, les choses sont vraiment devenues très difficiles et coûteuses pour développer sur tous les appareils".
Ces spécialistes préfèrent aujourd'hui concentrer leurs efforts sur Android, iOS et dans une moindre mesure Windows Phone 7. De son côté, RIM met en avant la progression constante du nombre d'applications disponibles (35 000 contre 25 000 il y a trois mois) et la transition vers un OS unique et homogène basé sur QNX (utilisé sur la tablette Playbook). Suffisant ?
http://www.businessmobile.fr/actualites/les-developpeurs-se-detourneraient-de-la-plate-forme-blackberry-39762064.htm#xtor=EPR-100
Business - Selon Bloomberg, la perte de vitesse des terminaux canadiens combinée à la difficulté de développement d'applications due à la fragmentation de l'OS, expliquent cette tendance.
Attention, pente très glissante pour RIM et ses BlackBerry. Harcelé par la concurrence, le roi canadien perd de sa superbe depuis plusieurs trimestres, tant au niveau des parts de marché qu'au niveau financier.
Depuis trois mois, le titre du fabricant a ainsi perdu près de 50 % de sa valeur. Et au premier trimestre, la part de RIM sur le marché des smartphones s'est écroulée de 6,8 points à 12,9%, au profit d'Android.
Conséquence directe, les développeurs et les agences spécialisées commenceraient à déserter l'éco-système BlackBerry. Selon Bloomberg, l'écart entre le nombre d'applications disponibles pour les téléphones de RIM et les appareils de ses concurrents risque donc de s'accentuer.
Ratio ressources/croissanceOutre l'attrait pour une concurrence économiquement plus viable, les professionnels épinglent également les difficultés pour développer sous RIM OS. Avec une multitude de versions différentes en circulation, sans compter la fragmentation due aux tailles d'écran, le travail est de plus en plus coûteux et complexe. Le jeu en vaut-il encore la chandelle ?
Toujours selon l'agence de presse, des développeurs d'applications comme Seesmic ou Mobile Roadie ont décidé de cesser d'adapter leurs produits pour les BlackBerry et le PlayBook.
« Nous devons mettre nos ressources où la croissance se trouve », a expliqué à Bloomberg le patron de la firme Seesmic, le français Loic Le Meur. Il a ajouté que les appareils iPhone ou fonctionnant sous Android connaissent une « croissance explosive ». À compter du 30 juin, Seesmic ne sera donc plus proposé sur BlackBerry.
De son côté, la firme Purple Forg précise qu'elle offrira des applications pour les appareils de RIM seulement si les clients en font la demande. "A partir du moment où RIM a lancé des terminaux combinant écran tactile, bille de navigation, clavier et touches de raccourcis, les choses sont vraiment devenues très difficiles et coûteuses pour développer sur tous les appareils".
Ces spécialistes préfèrent aujourd'hui concentrer leurs efforts sur Android, iOS et dans une moindre mesure Windows Phone 7. De son côté, RIM met en avant la progression constante du nombre d'applications disponibles (35 000 contre 25 000 il y a trois mois) et la transition vers un OS unique et homogène basé sur QNX (utilisé sur la tablette Playbook). Suffisant ?
http://www.businessmobile.fr/actualites/les-developpeurs-se-detourneraient-de-la-plate-forme-blackberry-39762064.htm#xtor=EPR-100
Android : 500 000 terminaux activés par jour
par la rédaction, businessMOBILE.fr. Publié le 29 juin 2011Tags: Android, Chiffres, Smartphone,
Chiffres - Andy Rubin, le patron d’Android en a fait l’annonce sur Twitter en précisant que ce chiffre progresse de 4,4% par semaine.
Google a relancé la guerre des chiffres autour du nombre d'activations de terminaux Android. Hier sur Twitter, Andy Rubin a annoncé que 500 000 smartphones Android sont activés chaque jour.
Armada
Enfonçant le clou, il a ajouté que ce chiffre progresse de 4,4% par semaine. Apple ne communique pas sur le nombre de terminaux iOS activés quotidiennement. Mais sachant que 108 millions d'iPhone ont été vendus entre mars 2010 et mars 2011, on tombe sur un peu moins de 300 000 iPhones activés chaque jour. L'armada Android et ses dizaines de modèles différents ont donc pris le dessus sur le smartphone d'Apple. Reste que la comparaison a ses limites puisque l'on parle d'un seul terminal face à de nombreux modèles différents.
Certains observateurs y voient en tout cas la preuve qu'il est nécessaire pour Apple de lancer un iPhone bon marché afin de résister à la déferlante Android. (Eureka Presse)
http://www.businessmobile.fr/actualites/android-500-000-terminaux-actives-par-jour-39762060.htm#xtor=EPR-100
Chiffres - Andy Rubin, le patron d’Android en a fait l’annonce sur Twitter en précisant que ce chiffre progresse de 4,4% par semaine.
Google a relancé la guerre des chiffres autour du nombre d'activations de terminaux Android. Hier sur Twitter, Andy Rubin a annoncé que 500 000 smartphones Android sont activés chaque jour.
Armada
Enfonçant le clou, il a ajouté que ce chiffre progresse de 4,4% par semaine. Apple ne communique pas sur le nombre de terminaux iOS activés quotidiennement. Mais sachant que 108 millions d'iPhone ont été vendus entre mars 2010 et mars 2011, on tombe sur un peu moins de 300 000 iPhones activés chaque jour. L'armada Android et ses dizaines de modèles différents ont donc pris le dessus sur le smartphone d'Apple. Reste que la comparaison a ses limites puisque l'on parle d'un seul terminal face à de nombreux modèles différents.
Certains observateurs y voient en tout cas la preuve qu'il est nécessaire pour Apple de lancer un iPhone bon marché afin de résister à la déferlante Android. (Eureka Presse)
http://www.businessmobile.fr/actualites/android-500-000-terminaux-actives-par-jour-39762060.htm#xtor=EPR-100
Le danger des ebooks
Publié le mercredi 29 juin 2011
« À une époque où le business domine nos gouvernements et dicte nos lois, chaque avancée technologique fournit aux entreprises le moyen d’imposer de nouvelles restrictions au public », ainsi débutent les réflexions de Richard Stallman, pape et gourou du logiciel libre, dans un de ses articles intitulé « The danger of ebooks ». Il y est question de libertés comparées entre ouvrages papier et livres numériques.
Stallman est catégorique, il faut proscrire l’ebook et son cortège de DRM tant que ceux-ci ne respectent pas notre liberté. Parmi ses arguments, le livre traditionnel est un produit que l’on peut se procurer anonymement, qui vous appartient sans nécessiter de licence d’usage, que vous pouvez prêter, louer, donner et même numériser pour en faire une copie, alors que chez Amazon, nommément cité, l’indentification est obligatoire, l’ouvrage acheté n’est pas toujours détenu, le format reste propriétaire, le partage quasi impossible et la copie à oublier. Stallmann évoque aussi la possibilité pour Amazon de détruire à distance les ebooks qu’il vend en rappelant que le géant de la librairie en ligne avait déjà signé en 2009 la mort numérique de milliers de copies de 1984 de Georges Orwell.
A ce qu’il juge être un abus de pouvoir de la part de l’industrie, Stallman propose une alternative : « distribuer des fonds aux auteurs sur la base de la côte de popularité de chaque auteur », tout en mettant en place un système de « mécénat anonyme » à travers lequel les lecteurs pourront payer volontairement les auteurs.
http://www.zdnet.fr/blogs/doc-print/le-danger-des-ebooks-39762056.htm#xtor=EPR-100
« À une époque où le business domine nos gouvernements et dicte nos lois, chaque avancée technologique fournit aux entreprises le moyen d’imposer de nouvelles restrictions au public », ainsi débutent les réflexions de Richard Stallman, pape et gourou du logiciel libre, dans un de ses articles intitulé « The danger of ebooks ». Il y est question de libertés comparées entre ouvrages papier et livres numériques.
Stallman est catégorique, il faut proscrire l’ebook et son cortège de DRM tant que ceux-ci ne respectent pas notre liberté. Parmi ses arguments, le livre traditionnel est un produit que l’on peut se procurer anonymement, qui vous appartient sans nécessiter de licence d’usage, que vous pouvez prêter, louer, donner et même numériser pour en faire une copie, alors que chez Amazon, nommément cité, l’indentification est obligatoire, l’ouvrage acheté n’est pas toujours détenu, le format reste propriétaire, le partage quasi impossible et la copie à oublier. Stallmann évoque aussi la possibilité pour Amazon de détruire à distance les ebooks qu’il vend en rappelant que le géant de la librairie en ligne avait déjà signé en 2009 la mort numérique de milliers de copies de 1984 de Georges Orwell.
A ce qu’il juge être un abus de pouvoir de la part de l’industrie, Stallman propose une alternative : « distribuer des fonds aux auteurs sur la base de la côte de popularité de chaque auteur », tout en mettant en place un système de « mécénat anonyme » à travers lequel les lecteurs pourront payer volontairement les auteurs.
http://www.zdnet.fr/blogs/doc-print/le-danger-des-ebooks-39762056.htm#xtor=EPR-100
Biz Stone et Evan Williams (Twitter) relancent Obvious
Par La rédaction, ZDNet France. Publié le 29 jun 2011
Tags: Twitter, Réseau social,
Stratégie - Les co-fondateurs du site de micro blogging vont prendre leur distance pour relancer l’incubateur technologique dont est issu Twitter.
Biz Stone et Evan Williams, les deux co-fondateurs de Twitter ont annoncé un retour aux sources avec leur intention de relancer Obvious. Il s’agit de l’incubateur technologique qu’ils avaient créé en 2006 et dont est sorti Twitter.
Stone et Williams ne quittent pas complètement le site de micro blogging auquel ils continueront d'apporter leur contribution sur les questions stratégiques, mais l’essentiel de leur temps sera désormais dédié à Obvious.
Ils sont rejoints par Jason Goldman, un autre vétéran de l’aventure Twitter. Ils n’ont pas précisé exactement quels seront leurs projets avec Obvious.
Voici ce que l’on peut lire sur le site web de l’incubateur : « Obvious Corporation conçoit des systèmes qui aident les gens à travailler ensemble pour améliorer le monde ». À suivre donc… (Eureka Presse)
http://www.zdnet.fr/actualites/biz-stone-et-evan-williams-twitter-relancent-obvious-39762055.htm#xtor=EPR-100
Tags: Twitter, Réseau social,
Stratégie - Les co-fondateurs du site de micro blogging vont prendre leur distance pour relancer l’incubateur technologique dont est issu Twitter.
Biz Stone et Evan Williams, les deux co-fondateurs de Twitter ont annoncé un retour aux sources avec leur intention de relancer Obvious. Il s’agit de l’incubateur technologique qu’ils avaient créé en 2006 et dont est sorti Twitter.
Stone et Williams ne quittent pas complètement le site de micro blogging auquel ils continueront d'apporter leur contribution sur les questions stratégiques, mais l’essentiel de leur temps sera désormais dédié à Obvious.
Ils sont rejoints par Jason Goldman, un autre vétéran de l’aventure Twitter. Ils n’ont pas précisé exactement quels seront leurs projets avec Obvious.
Voici ce que l’on peut lire sur le site web de l’incubateur : « Obvious Corporation conçoit des systèmes qui aident les gens à travailler ensemble pour améliorer le monde ». À suivre donc… (Eureka Presse)
http://www.zdnet.fr/actualites/biz-stone-et-evan-williams-twitter-relancent-obvious-39762055.htm#xtor=EPR-100
Réseau social : Google veut se mesurer à Facebook avec Google+
par La rédaction, ZDNet France. Publié le 29 jun 2011
Tags: Google Wave, Google, Réseau social, Facebook,
Technologie - Google a présenté mardi soir son réseau social qui veut se distinguer du tout puissant Facebook en permettant aux utilisateurs de mieux cloisonner leurs échanges. Google+ sera accessible sur invitation dans un premier temps.
Google a dévoilé hier son « Projet Google+ », sa tentative la plus aboutie pour rivaliser avec Facebook. Il s’agit donc d’un réseau social qui se compose de « briques ».
« Sur le web, dire la bonne chose à la bonne personne ne devrait pas être un casse-tête. Partager ce que vous voulez avec qui vous voulez ne devrait pas être une épreuve » écrit Google.
Des fonctions groupes, recommandation, chat vidéo et photos
Tout commence avec les Cercles qui permettent de répartir les contacts selon ses affinités. On sélectionne des contacts que l’on fait ensuite glisser vers un cercle dont on définit le profil : amis proches, connaissances, voisins, famille, collègues… Une fonction que propose Facebook via les Groupes mais qui dans le cas de Google+ semble plus ergonomique.
Il y a ensuite ce que Google appelle les Déclics que l’on pourrait qualifier de système de recommandation de contenu basé sur les centres d’intérêts définis par un membre. Avec les Bulles, Google+ propose une fonction de chat vidéo improvisé qui peut rassembler jusqu’à 10 personnes.
Les membres d’un cercle signalent leur disponibilité pour participer à un chat vidéo et sont avertis si une session est en cours. Viennent enfin deux « briques » pour les mobiles avec Instant Upload, un système de mise en ligne automatique des photos et Clique qui transforme des échanges par SMS entre membres d’un cercle en discussion de groupe.
Google+ sur mobile est déjà disponible sur l’Android Market et il est annoncé pour bientôt sur l’App Store. Mais le réseau social n’est pour le moment accessible que sur invitation. (Eureka Presse)
http://www.zdnet.fr/actualites/reseau-social-google-veut-se-mesurer-a-facebook-avec-google-39762054.htm#xtor=EPR-100
Tags: Google Wave, Google, Réseau social, Facebook,
Technologie - Google a présenté mardi soir son réseau social qui veut se distinguer du tout puissant Facebook en permettant aux utilisateurs de mieux cloisonner leurs échanges. Google+ sera accessible sur invitation dans un premier temps.
Google a dévoilé hier son « Projet Google+ », sa tentative la plus aboutie pour rivaliser avec Facebook. Il s’agit donc d’un réseau social qui se compose de « briques ».
« Sur le web, dire la bonne chose à la bonne personne ne devrait pas être un casse-tête. Partager ce que vous voulez avec qui vous voulez ne devrait pas être une épreuve » écrit Google.
Des fonctions groupes, recommandation, chat vidéo et photos
Tout commence avec les Cercles qui permettent de répartir les contacts selon ses affinités. On sélectionne des contacts que l’on fait ensuite glisser vers un cercle dont on définit le profil : amis proches, connaissances, voisins, famille, collègues… Une fonction que propose Facebook via les Groupes mais qui dans le cas de Google+ semble plus ergonomique.
Il y a ensuite ce que Google appelle les Déclics que l’on pourrait qualifier de système de recommandation de contenu basé sur les centres d’intérêts définis par un membre. Avec les Bulles, Google+ propose une fonction de chat vidéo improvisé qui peut rassembler jusqu’à 10 personnes.
Les membres d’un cercle signalent leur disponibilité pour participer à un chat vidéo et sont avertis si une session est en cours. Viennent enfin deux « briques » pour les mobiles avec Instant Upload, un système de mise en ligne automatique des photos et Clique qui transforme des échanges par SMS entre membres d’un cercle en discussion de groupe.
Google+ sur mobile est déjà disponible sur l’Android Market et il est annoncé pour bientôt sur l’App Store. Mais le réseau social n’est pour le moment accessible que sur invitation. (Eureka Presse)
http://www.zdnet.fr/actualites/reseau-social-google-veut-se-mesurer-a-facebook-avec-google-39762054.htm#xtor=EPR-100
Cisco lance sa tablette Cius à destination des entreprises
par Olivier Chicheportiche, ZDNet France. Publié le 29 jun 2011
Tags: Android, Cisco, Tablette tactile,
Business - Sous Android, la tablette est associée à une boutique d'applications dédiées (AppHQ) et fait la part belle aux fonctions collaboratives et de virtualisation.
Si les tablettes tactiles grand public se multiplient comme les petits pains, le marché Entreprises n'est pas oublié. Après la Playbook de RIM et avant la TouchPad d'HP, Cisco vient de dévoiler sa Cius qui vise spécifiquement les pros.
Animée par Android 2.2 et par un processeur Atom d'Intel Z615 cadencé à 1,2 GHz, elle est dotée d’un écran de 7 pouces, et permettra notamment aux salariés d’utiliser les outils existants de Cisco dans le domaine du travail collaboratif, comme par exemple la solution de Webconférence de WebEx, Quad, Jabber et Teleprésence de Cisco. Le tout dans environ 700 grammes.
Les entreprises pourront déployer leurs propres boutiques
IP Trade qui développe et produit des solutions de communication de VoIP surtout pour les salles de marché équipera la Cius de sa nouvelle application IPTConnect.
Côté connectivité, la Cius supportera la 4G, le Wi-Fi (802.11a/b/g/n), et le Bluetooth. Elle pourra également être connectée à un clavier et un écran et même à un téléphone Cisco qui fera office de dock.
Son prix : autour des 750 dollars (promotion à 700 dollars avec l'opération Triple V : voix, vidéo et virtualisation). Elle devrait être disponible dans les prochaines semaines. Une mise à jour vers Android 3.0 (Honeycomb) sera possible mais Cisco n'a pas donné de calendrier.
La Cius sera associée à une nouvelle boutique d'applications dédiée baptisée AppHQ. Conçue sur le modèle de l'AppStore d'Apple, elle sera évidemment ouverte aux applications développées par Cisco mais aussi à des outils tiers. Ces derniers devront être validés avant d'être publiés.
Au lancement, 250 applications seront disponibles, certaines développées par Cisco sont censées s'interfacer avec les produits collaboratifs du géant, les autres, conçues par des partenaires. L'accès à l'Android Market sera également disponible.
Nouveauté intéressante, les entreprises pourront déployer leur propre boutique d'applications hébergée au sein d'AppHQ. L'environnement sera personnalisable aux couleurs de celle-ci.
Aux Etats-Unis, plusieurs grandes entreprises testent déjà la tablette en interne. Cisco a ainsi cité les hôpitaux de Nottingham, CDW, Nervecentre Software, Palomar Pomerado Health, l'Université du Wisconsin-Whitewater et Verizon.
http://www.zdnet.fr/actualites/cisco-lance-sa-tablette-cius-a-destination-des-entreprises-39762084.htm#xtor=EPR-100
Tags: Android, Cisco, Tablette tactile,
Business - Sous Android, la tablette est associée à une boutique d'applications dédiées (AppHQ) et fait la part belle aux fonctions collaboratives et de virtualisation.
Si les tablettes tactiles grand public se multiplient comme les petits pains, le marché Entreprises n'est pas oublié. Après la Playbook de RIM et avant la TouchPad d'HP, Cisco vient de dévoiler sa Cius qui vise spécifiquement les pros.
Animée par Android 2.2 et par un processeur Atom d'Intel Z615 cadencé à 1,2 GHz, elle est dotée d’un écran de 7 pouces, et permettra notamment aux salariés d’utiliser les outils existants de Cisco dans le domaine du travail collaboratif, comme par exemple la solution de Webconférence de WebEx, Quad, Jabber et Teleprésence de Cisco. Le tout dans environ 700 grammes.
Les entreprises pourront déployer leurs propres boutiques
IP Trade qui développe et produit des solutions de communication de VoIP surtout pour les salles de marché équipera la Cius de sa nouvelle application IPTConnect.
Côté connectivité, la Cius supportera la 4G, le Wi-Fi (802.11a/b/g/n), et le Bluetooth. Elle pourra également être connectée à un clavier et un écran et même à un téléphone Cisco qui fera office de dock.
Son prix : autour des 750 dollars (promotion à 700 dollars avec l'opération Triple V : voix, vidéo et virtualisation). Elle devrait être disponible dans les prochaines semaines. Une mise à jour vers Android 3.0 (Honeycomb) sera possible mais Cisco n'a pas donné de calendrier.
La Cius sera associée à une nouvelle boutique d'applications dédiée baptisée AppHQ. Conçue sur le modèle de l'AppStore d'Apple, elle sera évidemment ouverte aux applications développées par Cisco mais aussi à des outils tiers. Ces derniers devront être validés avant d'être publiés.
Au lancement, 250 applications seront disponibles, certaines développées par Cisco sont censées s'interfacer avec les produits collaboratifs du géant, les autres, conçues par des partenaires. L'accès à l'Android Market sera également disponible.
Nouveauté intéressante, les entreprises pourront déployer leur propre boutique d'applications hébergée au sein d'AppHQ. L'environnement sera personnalisable aux couleurs de celle-ci.
Aux Etats-Unis, plusieurs grandes entreprises testent déjà la tablette en interne. Cisco a ainsi cité les hôpitaux de Nottingham, CDW, Nervecentre Software, Palomar Pomerado Health, l'Université du Wisconsin-Whitewater et Verizon.
http://www.zdnet.fr/actualites/cisco-lance-sa-tablette-cius-a-destination-des-entreprises-39762084.htm#xtor=EPR-100
HTC Sensation : un vrai rival pour le Galaxy SII
par Nicolas Alamone, businessMOBILE.fr. Publié le 28 juin 2011Tags: Test, Smartphone, HTC, Android,
Test - Après avoir mis à jour des terminaux déjà existants, HTC livre un vrai nouveau smartphone sous Android, le Sensation. Et le nom semble parfaitement trouvé ! Android 2.3 est épaulé par la toute dernière version de Sense qui s’impose encore un peu plus comme la meilleure surcouche logicielle pour le système d’exploitation de Google.
Un clavier virtuel confortableLes constructeurs font de nombreux efforts pour améliorer le confort des claviers virtuels. Celui du HTC Sensation est ergonomique à souhait. Il est préférable de passer en mode paysage pour jouir de touches plus larges. Le système de saisie prédictive est très efficace.
Même si vous commettez une erreur dans le mot, le terminal vous propose les mots se rapprochant le plus de celui que vous avez tapé. Il vous suffit de sélectionner le bon et le mot sera reconnu par la suite, même s’il est mal orthographié. Tous les symboles et signes de ponctuation sont disponibles sur plusieurs claviers. Pour les accents, il suffit d’un appui long sur la touche souhaitée. Notez que vous pourrez copier/coller des morceaux de message très simplement en restant appuyé sur le passage à utiliser.
Un système de saisie vocale est intégré. Le procédé est très efficace et le terminal reconnaît presque parfaitement les phrases que vous énoncez. Gain de temps garanti !
Par Nicolas Alamone, businessMOBILE.fr
http://www.businessmobile.fr/smartphones/htc-sensation-un-vrai-rival-pour-le-galaxy-sii-39761969.htm#xtor=EPR-10010
Test - Après avoir mis à jour des terminaux déjà existants, HTC livre un vrai nouveau smartphone sous Android, le Sensation. Et le nom semble parfaitement trouvé ! Android 2.3 est épaulé par la toute dernière version de Sense qui s’impose encore un peu plus comme la meilleure surcouche logicielle pour le système d’exploitation de Google.
Un clavier virtuel confortableLes constructeurs font de nombreux efforts pour améliorer le confort des claviers virtuels. Celui du HTC Sensation est ergonomique à souhait. Il est préférable de passer en mode paysage pour jouir de touches plus larges. Le système de saisie prédictive est très efficace.
Même si vous commettez une erreur dans le mot, le terminal vous propose les mots se rapprochant le plus de celui que vous avez tapé. Il vous suffit de sélectionner le bon et le mot sera reconnu par la suite, même s’il est mal orthographié. Tous les symboles et signes de ponctuation sont disponibles sur plusieurs claviers. Pour les accents, il suffit d’un appui long sur la touche souhaitée. Notez que vous pourrez copier/coller des morceaux de message très simplement en restant appuyé sur le passage à utiliser.
Un système de saisie vocale est intégré. Le procédé est très efficace et le terminal reconnaît presque parfaitement les phrases que vous énoncez. Gain de temps garanti !
Par Nicolas Alamone, businessMOBILE.fr
http://www.businessmobile.fr/smartphones/htc-sensation-un-vrai-rival-pour-le-galaxy-sii-39761969.htm#xtor=EPR-10010
Un iPhone 5 et un iPhone 4S prévus en septembre ?
par la rédaction, businessMOBILE.fr. Publié le 28 juin 2011Tags: Apple, iPhone,
Business - Selon un analyste de la Deutsche Bank, Apple ne sortira pas un mais deux modèles d’iPhone à la rentrée afin de s’ouvrir le segment milieu de gamme avec un iPhone 4S non verrouillé vendu avec des forfaits prépayés sans engagement.
Voilà plusieurs mois que deux hypothèses s'opposent à propos du prochain iPhone. Certains observateurs parlent d'un iPhone 5 dont le design serait entièrement nouveau tandis que d'autres assurent qu'Apple se contentera d'une mise à jour de l'iPhone 4.
Chris Whitmore , analyste pour la Deutsche Bank, met tout le monde d'accord en prédisant la sortie à la rentrée d'un iPhone 5 et d'un iPhone 4S.
Stratégie agressiveD'après lui, la firme de Cupertino voudrait profiter des difficultés actuelles que rencontrent RIM et Nokia pour « pénétrer agressivement » le segment milieu de gamme entre 300 et 500 dollars. Et l'arme de cette conquête serait donc un iPhone 4S, une mise à jour à minima mais non verrouillée vendue 349 dollars avec des forfaits prépayés sans engagement.
Selon l'analyse de la Deutsche Bank, nombreux sont les pays en Asie, Afrique et Amérique latine où l'iPhone n'est que peu présent car les consommateurs plébiscitent les formules prépayées au détriment des terminaux subventionnés par les opérateurs. Apple aurait donc une grosse carte à jouer. Si rien ne vient pour l'instant accréditer la thèse de Chris Whitmore on sait en tout cas que la rumeur d'un iPhone plus abordable circule depuis longtemps et qu'elle est même encouragée par de nombreux observateurs. (Eureka Presse)
http://www.businessmobile.fr/actualites/un-iphone-5-et-un-iphone-4s-prevus-en-septembre-39762018.htm#xtor=EPR-10010
Business - Selon un analyste de la Deutsche Bank, Apple ne sortira pas un mais deux modèles d’iPhone à la rentrée afin de s’ouvrir le segment milieu de gamme avec un iPhone 4S non verrouillé vendu avec des forfaits prépayés sans engagement.
Voilà plusieurs mois que deux hypothèses s'opposent à propos du prochain iPhone. Certains observateurs parlent d'un iPhone 5 dont le design serait entièrement nouveau tandis que d'autres assurent qu'Apple se contentera d'une mise à jour de l'iPhone 4.
Chris Whitmore , analyste pour la Deutsche Bank, met tout le monde d'accord en prédisant la sortie à la rentrée d'un iPhone 5 et d'un iPhone 4S.
Stratégie agressiveD'après lui, la firme de Cupertino voudrait profiter des difficultés actuelles que rencontrent RIM et Nokia pour « pénétrer agressivement » le segment milieu de gamme entre 300 et 500 dollars. Et l'arme de cette conquête serait donc un iPhone 4S, une mise à jour à minima mais non verrouillée vendue 349 dollars avec des forfaits prépayés sans engagement.
Selon l'analyse de la Deutsche Bank, nombreux sont les pays en Asie, Afrique et Amérique latine où l'iPhone n'est que peu présent car les consommateurs plébiscitent les formules prépayées au détriment des terminaux subventionnés par les opérateurs. Apple aurait donc une grosse carte à jouer. Si rien ne vient pour l'instant accréditer la thèse de Chris Whitmore on sait en tout cas que la rumeur d'un iPhone plus abordable circule depuis longtemps et qu'elle est même encouragée par de nombreux observateurs. (Eureka Presse)
http://www.businessmobile.fr/actualites/un-iphone-5-et-un-iphone-4s-prevus-en-septembre-39762018.htm#xtor=EPR-10010
Juillet sera le mois des smartphones en 3D avec HTC et LG
par Olivier Chicheportiche, businessMOBILE.fr. Publié le 28 juin 2011Tags: 3D, Smartphone, HTC, LG,
Technologie - Les deux fabricants lancent leurs smartphones qui permettent de visualiser et de capturer des contenus en trois dimensions. Gadget ou vraie attente ?
Hasard du calendrier ou stratégie de parasitisme bien pensée..., HTC et LG annoncent quasiment en même temps la disponibilité de leurs smartphones 3D dévoilés il y a quelques mois. Les deux terminaux seront lancés en France dans le courant du mois de juillet.
Ces deux superphones permettent donc de visualiser et de capturer des contenus en trois dimensions, sans l'utilisation de lunettes grâce à la technologie stéréoscopique (comme sur la Nintendo 3DS).
Pour proposer cette technologie, les deux mobiles sont évidemment des bêtes de courses. Le HTC EVO 3D sous Android 2.3 (et Sense 3.0) est motorisé par un processeur Qualcomm double coeur Snapdragon cadencé à 1,2 GHz, présente un écran qHD 4,3 pouces en 960 x 540 pixels et une mémoire interne de 4 Go complétée par une micro SD 8 Go.
Il s'appuie largement sur les spécifications du Sensation que nous avons récemment testé.
Contenus ?
Il est possible de filmer en1080p en 2D et en 720p en 3D. On trouve également un capteur en façade de 1,3 million de pixels.
Le LG Optimus 3D embarque de son côté l'OMAP4 fourni par Texas Instrument (prémices d'un retour en force du fondeur ?) cadencé qu'à 1 GHz. Il est doté d'un écran WVGA de 4,3 pouces et d'une mémoire interne de 8 Go. Il est animé par Android 2.2.
Les prix de ces terminaux n'ont pas été communiqués. Les subventions devront être agressives car on peut se demander si, au-delà de l'effet gadget, la 3D a vraiment un intérêt sur les smartphones.
Outre la capture d'images ou de films, les contenus ont leur importance. Or, ils sont encore rares, ce qui explique d'ailleurs l'échec relatif des TV 3D actuellement. D'un autre côté, les jeux pourraient représenter un levier de croissance important pour ce type d'appareils.
Nintendo est d'ailleurs en train d'essuyer les plâtres avec sa 3DS lancée il y a quelques semaines. Si le succès est au rendez-vous, les premiers chiffres de vente sont néanmoins inférieurs aux précédents lancements de la firme...
http://www.businessmobile.fr/actualites/juillet-sera-le-mois-des-smartphones-en-3d-avec-htc-et-lg-39762041.htm#xtor=EPR-10010
Technologie - Les deux fabricants lancent leurs smartphones qui permettent de visualiser et de capturer des contenus en trois dimensions. Gadget ou vraie attente ?
Hasard du calendrier ou stratégie de parasitisme bien pensée..., HTC et LG annoncent quasiment en même temps la disponibilité de leurs smartphones 3D dévoilés il y a quelques mois. Les deux terminaux seront lancés en France dans le courant du mois de juillet.
Ces deux superphones permettent donc de visualiser et de capturer des contenus en trois dimensions, sans l'utilisation de lunettes grâce à la technologie stéréoscopique (comme sur la Nintendo 3DS).
Pour proposer cette technologie, les deux mobiles sont évidemment des bêtes de courses. Le HTC EVO 3D sous Android 2.3 (et Sense 3.0) est motorisé par un processeur Qualcomm double coeur Snapdragon cadencé à 1,2 GHz, présente un écran qHD 4,3 pouces en 960 x 540 pixels et une mémoire interne de 4 Go complétée par une micro SD 8 Go.
Il s'appuie largement sur les spécifications du Sensation que nous avons récemment testé.
Contenus ?
Il est possible de filmer en1080p en 2D et en 720p en 3D. On trouve également un capteur en façade de 1,3 million de pixels.
Le LG Optimus 3D embarque de son côté l'OMAP4 fourni par Texas Instrument (prémices d'un retour en force du fondeur ?) cadencé qu'à 1 GHz. Il est doté d'un écran WVGA de 4,3 pouces et d'une mémoire interne de 8 Go. Il est animé par Android 2.2.
Les prix de ces terminaux n'ont pas été communiqués. Les subventions devront être agressives car on peut se demander si, au-delà de l'effet gadget, la 3D a vraiment un intérêt sur les smartphones.
Outre la capture d'images ou de films, les contenus ont leur importance. Or, ils sont encore rares, ce qui explique d'ailleurs l'échec relatif des TV 3D actuellement. D'un autre côté, les jeux pourraient représenter un levier de croissance important pour ce type d'appareils.
Nintendo est d'ailleurs en train d'essuyer les plâtres avec sa 3DS lancée il y a quelques semaines. Si le succès est au rendez-vous, les premiers chiffres de vente sont néanmoins inférieurs aux précédents lancements de la firme...
http://www.businessmobile.fr/actualites/juillet-sera-le-mois-des-smartphones-en-3d-avec-htc-et-lg-39762041.htm#xtor=EPR-10010
Guerre des brevets : Apple attaque Samsung sur son terrain
par Olivier Chicheportiche, businessMOBILE.fr. Publié le 28 juin 2011Tags: Juridique, Apple, Samsung,
Juridique - Apple repart à l'offensive contre son concurrent et aurait déposé une nouvelle plainte en Corée du Sud, patrie de Samsung...
Enième rebondissement dans la guerre des brevets qui oppose Apple et Samsung. Loin de vouloir calmer le jeu, la pomme jette de l'huile sur le feu en attaquant son concurrent sur ses propres terres.
Ainsi, selon Bloomberg et Reuters, la pomme aurait déposé une nouvelle plainte contre Samsung en Corée du Sud, patrie du fabricant. La teneur de cette nouvelle attaque n'est pas connue. Un porte-parole d'Apple Corée s'est refusé à commenter l'information, s'en tenant à la position de la marque à la pomme.
Parler d'escalade est un euphémisme. Depuis plusieurs mois, le conflit entre les deux géants prend une ampleur jamais vue. Il faut dire que les enjeux sont énormes : le succès planétaire de l'iPhone est aujourd'hui menacé par la montée en puissance des terminaux Android du coréen.
Escalade
En Europe occidentale, Samsung serait d'ailleurs d'ores et déjà le premier vendeur de smartphones. Si Apple a toujours préféré jouer la carte de l'innovation pour battre ses concurrents, cette fois, il semble bien que l'objectif est de faire plier Samsung sur le terrain juridique. Une approche longue, difficile et à hauts risques en termes d'images.
Cette nouvelle plainte rejoint ainsi le dossier déjà épais des contentieux entre les deux groupes. C'est Apple qui a tiré le premier en avril dernier, accusant de Samsung de plagiat avec ses produits Galaxy.
Quelques semaines plus tard, Samsung contre-attaque et dépose une série de plaintes concernant la violation de brevets technologiques. Fin mai, Apple remporte une première victoire.
Samsung est obligé par la justice de fournir à Apple des exemplaires de ses smartphones et tablettes afin que la pomme (en fait ses avocats) puisse les expertiser et juger si oui ou non ils violent certains de ses brevets.
Samsung exige alors la réciprocité de cette mesure. Le fabricant pose donc une réclamation afin de pouvoir lui aussi accéder aux futurs terminaux d'Apple : iPad 3 et iPhone 5 (ou 4S). Un comble pour Apple qui garde si jalousement ses secrets et qui parle de "harcèlement".
Mais la juge en charge de cette affaire estime que cette demande "allait trop loin". Pour autant, elle a également débouté Apple qui demandait l'interdiction pure et simple de la commercialisation des produits Samsung incriminés aux Etats-Unis.
La magistrate a en effet expliqué que les produits visés par Apple "seraient bientôt dépassés". Conséquence, la demande d'Apple n'est pas recevable. Mais rien n'empêchera la justice de demander l'expertise des futurs produits Samsung pour vérifier s'ils constituent ou pas un plagiat.
En attendant, la juge Lucy Koh, visiblement lassée par cette guéguerre aurait selon Reuters plaidé pour un accord à l'amiable entre les deux groupes (procédure classique dans ce type de dossiers). Apple aurait d'ailleurs indiqué que des discussions directes sont en cours. Une déclaration démentie officiellement par Samsung.
La dernière offensive d'Apple prouve en effet bien que les deux groupes (qui sont aussi partenaires) ne se parlent plus.
http://www.businessmobile.fr/actualites/guerre-des-brevets-apple-attaque-samsung-sur-son-terrain-39762021.htm#xtor=EPR-10010
Juridique - Apple repart à l'offensive contre son concurrent et aurait déposé une nouvelle plainte en Corée du Sud, patrie de Samsung...
Enième rebondissement dans la guerre des brevets qui oppose Apple et Samsung. Loin de vouloir calmer le jeu, la pomme jette de l'huile sur le feu en attaquant son concurrent sur ses propres terres.
Ainsi, selon Bloomberg et Reuters, la pomme aurait déposé une nouvelle plainte contre Samsung en Corée du Sud, patrie du fabricant. La teneur de cette nouvelle attaque n'est pas connue. Un porte-parole d'Apple Corée s'est refusé à commenter l'information, s'en tenant à la position de la marque à la pomme.
Parler d'escalade est un euphémisme. Depuis plusieurs mois, le conflit entre les deux géants prend une ampleur jamais vue. Il faut dire que les enjeux sont énormes : le succès planétaire de l'iPhone est aujourd'hui menacé par la montée en puissance des terminaux Android du coréen.
Escalade
En Europe occidentale, Samsung serait d'ailleurs d'ores et déjà le premier vendeur de smartphones. Si Apple a toujours préféré jouer la carte de l'innovation pour battre ses concurrents, cette fois, il semble bien que l'objectif est de faire plier Samsung sur le terrain juridique. Une approche longue, difficile et à hauts risques en termes d'images.
Cette nouvelle plainte rejoint ainsi le dossier déjà épais des contentieux entre les deux groupes. C'est Apple qui a tiré le premier en avril dernier, accusant de Samsung de plagiat avec ses produits Galaxy.
Quelques semaines plus tard, Samsung contre-attaque et dépose une série de plaintes concernant la violation de brevets technologiques. Fin mai, Apple remporte une première victoire.
Samsung est obligé par la justice de fournir à Apple des exemplaires de ses smartphones et tablettes afin que la pomme (en fait ses avocats) puisse les expertiser et juger si oui ou non ils violent certains de ses brevets.
Samsung exige alors la réciprocité de cette mesure. Le fabricant pose donc une réclamation afin de pouvoir lui aussi accéder aux futurs terminaux d'Apple : iPad 3 et iPhone 5 (ou 4S). Un comble pour Apple qui garde si jalousement ses secrets et qui parle de "harcèlement".
Mais la juge en charge de cette affaire estime que cette demande "allait trop loin". Pour autant, elle a également débouté Apple qui demandait l'interdiction pure et simple de la commercialisation des produits Samsung incriminés aux Etats-Unis.
La magistrate a en effet expliqué que les produits visés par Apple "seraient bientôt dépassés". Conséquence, la demande d'Apple n'est pas recevable. Mais rien n'empêchera la justice de demander l'expertise des futurs produits Samsung pour vérifier s'ils constituent ou pas un plagiat.
En attendant, la juge Lucy Koh, visiblement lassée par cette guéguerre aurait selon Reuters plaidé pour un accord à l'amiable entre les deux groupes (procédure classique dans ce type de dossiers). Apple aurait d'ailleurs indiqué que des discussions directes sont en cours. Une déclaration démentie officiellement par Samsung.
La dernière offensive d'Apple prouve en effet bien que les deux groupes (qui sont aussi partenaires) ne se parlent plus.
http://www.businessmobile.fr/actualites/guerre-des-brevets-apple-attaque-samsung-sur-son-terrain-39762021.htm#xtor=EPR-10010
lundi 27 juin 2011
Internet représente 12,8% du mix média publicitaire en mai
Plus de 326 millions d'euros bruts ont été investis dans le display en mai, notamment par les acteurs de la culture et des loisirs, qui ont augmenté leurs dépenses de 64%.
Publié le 24/06/2011
Sur plus de 2,5 milliards d'euros bruts investis en publicité au cours du mois de mai, 326,2 millions d'euros l'ont été dans la publicité en ligne (display uniquement), selon Kantar Media. Les investissements dans l'e-pub progressent de 12,7 % sur un an et de 15 % par rapport au mois d'avril. Internet représentait 12,8 % du mix média publicitaire en mai, une part stable par rapport à mai 2010. Depuis le début de l'année, les investissements publicitaires en ligne s'élèvent à 1,3 milliard d'euros soit +10 % comparé à la même période en 2010.
Avec 38 millions d'euros bruts investis dans le Web, les acteurs de la culture et des loisirs constituent le premier secteur annonceur sur Internet en avril. Leurs dépenses ont explosé de près de 64% en un an. Viennent ensuite le secteur de la banque-assurance (33,1 millions d'euros), en progression de 6,1% et ceux de l'automobile et des transports (31,8 millions), également en forte croissance de 26,9%.
A lire ailleurs
La taxe sur les publicités en ligne jetée aux oubliettes
Google dépasse Yahoo dans la publicité en ligne
Quatre secteurs ont plus que doublé leurs investissements en ligne sur un an : l'agriculture et le jardinage (+389%), l'industrie (+306%), l'enseignement et la formation (+120,6 %) et l'ameublement et la décoration (+97 %). Ces secteurs restent cependant encore timides en display, avec des investissements respectifs de 0,9, 1,8, 2 et 2,2 millions d'euros.
La rédaction, Journal du Net
http://www.journaldunet.com/ebusiness/publicite/adex-report-mai-2011.shtml?f_id_newsletter=5244&utm_source=benchmail&utm_medium=ML7&utm_campaign=E10201375&f_u=23951499
Publié le 24/06/2011
Sur plus de 2,5 milliards d'euros bruts investis en publicité au cours du mois de mai, 326,2 millions d'euros l'ont été dans la publicité en ligne (display uniquement), selon Kantar Media. Les investissements dans l'e-pub progressent de 12,7 % sur un an et de 15 % par rapport au mois d'avril. Internet représentait 12,8 % du mix média publicitaire en mai, une part stable par rapport à mai 2010. Depuis le début de l'année, les investissements publicitaires en ligne s'élèvent à 1,3 milliard d'euros soit +10 % comparé à la même période en 2010.
Avec 38 millions d'euros bruts investis dans le Web, les acteurs de la culture et des loisirs constituent le premier secteur annonceur sur Internet en avril. Leurs dépenses ont explosé de près de 64% en un an. Viennent ensuite le secteur de la banque-assurance (33,1 millions d'euros), en progression de 6,1% et ceux de l'automobile et des transports (31,8 millions), également en forte croissance de 26,9%.
A lire ailleurs
La taxe sur les publicités en ligne jetée aux oubliettes
Google dépasse Yahoo dans la publicité en ligne
Quatre secteurs ont plus que doublé leurs investissements en ligne sur un an : l'agriculture et le jardinage (+389%), l'industrie (+306%), l'enseignement et la formation (+120,6 %) et l'ameublement et la décoration (+97 %). Ces secteurs restent cependant encore timides en display, avec des investissements respectifs de 0,9, 1,8, 2 et 2,2 millions d'euros.
La rédaction, Journal du Net
http://www.journaldunet.com/ebusiness/publicite/adex-report-mai-2011.shtml?f_id_newsletter=5244&utm_source=benchmail&utm_medium=ML7&utm_campaign=E10201375&f_u=23951499
34% du trafic Internet mobile en France est généré par l'iPhone
34% du trafic Internet mobile en France est généré par l'iPhone
Comscore montre ce que représentent les smartphones et les tablettes dans l'Internet mobile.
Publié le 24/06/2011
ComScore vient de publier une étude qui montre la répartition du trafic par système d'exploitation mobile selon les pays. Sans surprise, les deux principaux OS sont ceux d'Apple et de Google. Cette étude permet de constater que l'iPad domine outrageusement le marché des tablettes puisqu'à elle seule l'iPad génère plus de 80% du trafic en provenance des tablettes. Android, l'OS de Google, reste à la traine sur les tablettes, mais à l'inverse, talonne Apple sur le marché des Smartphones.
L'étude réalisée par Comscore montre que le Canada a le plus fort taux d'utilisation de l'iPad puisque 33,5% du trafic Internet généré sur des terminaux mobile passe par la tablette d'Apple. En France, 26,9% du trafic Internet mobile passe par l'iPad, et 34,3 % via l'iPhone contre 17,1% pour Android.
Trafic Internet mobile généré par les smartphones selon les pays (Mai 2011)
Pays
iPhone
Android
Autres smartphones
Feature Phone
Canada
34.6%
8.2%
3.6%
1.5%
Brazil
21.0%
11.7%
11.3%
17.3%
Germany
35.1%
16.2%
4.6%
2.8%
Spain
34.2%
22.1%
7.2%
2.7%
France
34.3%
17.1%
5.7%
5.5%
Singapore
51.9%
10.0%
3.9%
1.5%
Australia
50.0%
10.5%
3.8%
1.8%
U.S.
23.5%
35.6%
6.7%
2.4%
UK
29.9%
15.1%
15.0%
8.2%
Chile
45.2%
13.9%
11.6%
9.1%
Argentina
12.5%
23.2%
16.8%
27.5%
Japan
49.5%
30.6%
0.2%
2.6%
India
2.8%
6.0%
14.1%
71.9%
Source : Comscore
Trafic Internet mobile généré par les tablettes selon les pays (Mai 2011)
Pays
iPad
Android
Autres tablettes
Canada
33.5%
0.4%
1.3%
Brazil
31.8%
1.6%
0.0%
Germany
29.4%
0.9%
0.0%
Spain
27.4%
0.8%
0.0%
France
26.9%
0.6%
0.0%
Singapore
26.2%
1.4%
0.1%
Australia
25.9%
0.5%
0.0%
U.S.
21.8%
0.6%
0.1%
UK
21.3%
0.3%
0.0%
Chile
12.9%
0.6%
0.0%
Argentina
12.4%
0.4%
0.0%
Japan
11.3%
0.0%
0.0%
India
4.0%
0.5%
0.0%
Source : Comscore
La rédaction, Journal du Net
http://www.journaldunet.com/ebusiness/le-net/etude-comscore-apple-domine-le-marche-des-tablettes.shtml?f_id_newsletter=5244&utm_source=benchmail&utm_medium=ML7&utm_campaign=E10201375&f_u=23951499
Comscore montre ce que représentent les smartphones et les tablettes dans l'Internet mobile.
Publié le 24/06/2011
ComScore vient de publier une étude qui montre la répartition du trafic par système d'exploitation mobile selon les pays. Sans surprise, les deux principaux OS sont ceux d'Apple et de Google. Cette étude permet de constater que l'iPad domine outrageusement le marché des tablettes puisqu'à elle seule l'iPad génère plus de 80% du trafic en provenance des tablettes. Android, l'OS de Google, reste à la traine sur les tablettes, mais à l'inverse, talonne Apple sur le marché des Smartphones.
L'étude réalisée par Comscore montre que le Canada a le plus fort taux d'utilisation de l'iPad puisque 33,5% du trafic Internet généré sur des terminaux mobile passe par la tablette d'Apple. En France, 26,9% du trafic Internet mobile passe par l'iPad, et 34,3 % via l'iPhone contre 17,1% pour Android.
Trafic Internet mobile généré par les smartphones selon les pays (Mai 2011)
Pays
iPhone
Android
Autres smartphones
Feature Phone
Canada
34.6%
8.2%
3.6%
1.5%
Brazil
21.0%
11.7%
11.3%
17.3%
Germany
35.1%
16.2%
4.6%
2.8%
Spain
34.2%
22.1%
7.2%
2.7%
France
34.3%
17.1%
5.7%
5.5%
Singapore
51.9%
10.0%
3.9%
1.5%
Australia
50.0%
10.5%
3.8%
1.8%
U.S.
23.5%
35.6%
6.7%
2.4%
UK
29.9%
15.1%
15.0%
8.2%
Chile
45.2%
13.9%
11.6%
9.1%
Argentina
12.5%
23.2%
16.8%
27.5%
Japan
49.5%
30.6%
0.2%
2.6%
India
2.8%
6.0%
14.1%
71.9%
Source : Comscore
Trafic Internet mobile généré par les tablettes selon les pays (Mai 2011)
Pays
iPad
Android
Autres tablettes
Canada
33.5%
0.4%
1.3%
Brazil
31.8%
1.6%
0.0%
Germany
29.4%
0.9%
0.0%
Spain
27.4%
0.8%
0.0%
France
26.9%
0.6%
0.0%
Singapore
26.2%
1.4%
0.1%
Australia
25.9%
0.5%
0.0%
U.S.
21.8%
0.6%
0.1%
UK
21.3%
0.3%
0.0%
Chile
12.9%
0.6%
0.0%
Argentina
12.4%
0.4%
0.0%
Japan
11.3%
0.0%
0.0%
India
4.0%
0.5%
0.0%
Source : Comscore
La rédaction, Journal du Net
http://www.journaldunet.com/ebusiness/le-net/etude-comscore-apple-domine-le-marche-des-tablettes.shtml?f_id_newsletter=5244&utm_source=benchmail&utm_medium=ML7&utm_campaign=E10201375&f_u=23951499
Pourquoi l'audience de Wikio explose alors que celle de TF1 dégringole
TF1 s'effondre au classement Médiamétrie//Netratings des principaux groupes français quand l'audience de Wikio explose. Explications.
Publié le 24/06/2011
Rarement le classement Médiamétrie//Netratings ne réserve de telle surprise. Hier, le groupe Wikio jusque-là très loin du top 50 de l'audience Web des groupes français intégrait le classement directement à la quatorzième place. Dans le même temps, TF1 dégringolait à la seizième, alors qu'il était huitième position en avril (lire l'article : L'audience des 50 premiers groupes français en mai 2011, du 23/06/11). Une seule modification est responsable de ces deux variations : Overblog, et ses 11 millions de visiteurs uniques jusqu'ici comptabilisé dans l'audience du groupe TF1 est désormais intégré à Wikio, son propriétaire. Si le jeu des vases communiquant donne une réelle visibilité sur le marché à Wikio, elle entraîne TF1 loin du cercle des groupes français les plus puissants en audience sur Internet.
Mais pourquoi ce changement ? Jusqu'à présent, TF1 pouvait intégrer l'audience d'Overblog à la sienne en tant que premier actionnaire (autour de 13 %) du groupe Wikio. La pratique est autorisée par Médiamétrie. Mais suite à un plan d'achat d'options prévu de longue date et exercé par Pierre Chappaz, le président de Wikio est devenu premier actionnaire, tout juste devant TF1.
"Ce changement a le mérite de faire correspondre l'audience de TF1 et de Wikio à leur chiffre d'affaires respectif", explique Olivier Abecassis, directeur général d'eTF1, qui explique ne pas avoir voulu faire un chèque pour conserver sa place au classement Médiamétrie//Netratings. Celui-ci préfère mettre en avant les audiences individuelles des sites du groupe pour commercialiser son offre. "On ne veut pas faire de gonflette dans Médiamétrie, j'ai d'ailleurs toujours été contre les jeux-concours, et nos chiffres me vont très bien", explique-t-il. Même s'il reconnaît l'intérêt du classement des groupes Web de Médiamétrie en termes de "communication financière".
A lire ailleurs
Site de Médiamétrie
Site de Wikio Group
Ce changement a au moins l'avantage de donner à Wikio une visibilité qu'il n'avait pas jusqu'à présent. La société peut désormais justifier son ambition internationale en mettant en avant sa position de quatorzième groupe du Web français avec 13 millions de visiteurs uniques en mai (500 000 de plus que TF1). La société, qui emploie 154 personnes, vise cette année un chiffre d'affaires de 20 millions d'euros, soit le double de l'année dernière. Pour accélérer son développement, elle cherche actuellement à lever une dizaine de millions d'euros. Wikio s'est fixé une date butoir pour clore l'opération : fin juillet.
La rédaction, Journal du Net
http://www.journaldunet.com/ebusiness/le-net/audience-wikio.shtml?f_id_newsletter=5244&utm_source=benchmail&utm_medium=ML7&utm_campaign=E10201375&f_u=23951499
Publié le 24/06/2011
Rarement le classement Médiamétrie//Netratings ne réserve de telle surprise. Hier, le groupe Wikio jusque-là très loin du top 50 de l'audience Web des groupes français intégrait le classement directement à la quatorzième place. Dans le même temps, TF1 dégringolait à la seizième, alors qu'il était huitième position en avril (lire l'article : L'audience des 50 premiers groupes français en mai 2011, du 23/06/11). Une seule modification est responsable de ces deux variations : Overblog, et ses 11 millions de visiteurs uniques jusqu'ici comptabilisé dans l'audience du groupe TF1 est désormais intégré à Wikio, son propriétaire. Si le jeu des vases communiquant donne une réelle visibilité sur le marché à Wikio, elle entraîne TF1 loin du cercle des groupes français les plus puissants en audience sur Internet.
Mais pourquoi ce changement ? Jusqu'à présent, TF1 pouvait intégrer l'audience d'Overblog à la sienne en tant que premier actionnaire (autour de 13 %) du groupe Wikio. La pratique est autorisée par Médiamétrie. Mais suite à un plan d'achat d'options prévu de longue date et exercé par Pierre Chappaz, le président de Wikio est devenu premier actionnaire, tout juste devant TF1.
"Ce changement a le mérite de faire correspondre l'audience de TF1 et de Wikio à leur chiffre d'affaires respectif", explique Olivier Abecassis, directeur général d'eTF1, qui explique ne pas avoir voulu faire un chèque pour conserver sa place au classement Médiamétrie//Netratings. Celui-ci préfère mettre en avant les audiences individuelles des sites du groupe pour commercialiser son offre. "On ne veut pas faire de gonflette dans Médiamétrie, j'ai d'ailleurs toujours été contre les jeux-concours, et nos chiffres me vont très bien", explique-t-il. Même s'il reconnaît l'intérêt du classement des groupes Web de Médiamétrie en termes de "communication financière".
A lire ailleurs
Site de Médiamétrie
Site de Wikio Group
Ce changement a au moins l'avantage de donner à Wikio une visibilité qu'il n'avait pas jusqu'à présent. La société peut désormais justifier son ambition internationale en mettant en avant sa position de quatorzième groupe du Web français avec 13 millions de visiteurs uniques en mai (500 000 de plus que TF1). La société, qui emploie 154 personnes, vise cette année un chiffre d'affaires de 20 millions d'euros, soit le double de l'année dernière. Pour accélérer son développement, elle cherche actuellement à lever une dizaine de millions d'euros. Wikio s'est fixé une date butoir pour clore l'opération : fin juillet.
La rédaction, Journal du Net
http://www.journaldunet.com/ebusiness/le-net/audience-wikio.shtml?f_id_newsletter=5244&utm_source=benchmail&utm_medium=ML7&utm_campaign=E10201375&f_u=23951499
Les 10 plus gros plantages de Google
Google a beau être l'acteur le plus incontournable du Web, il n'est pas pour autant infaillible. Des questions-réponses au travail collaboratif en passant par les réseaux sociaux, voici dix erreurs commises par le géant du Web qui le prouvent.
Echecs Google
Dodgeball
Audio Ads, Print Ads
Google Wave
Jaiku
Google Answers
Google Page Creator
Suivante
Publié le 24/06/2011
http://www.journaldunet.com/ebusiness/le-net/echecs-google/?f_id_newsletter=5244
Echecs Google
Dodgeball
Audio Ads, Print Ads
Google Wave
Jaiku
Google Answers
Google Page Creator
Suivante
Publié le 24/06/2011
http://www.journaldunet.com/ebusiness/le-net/echecs-google/?f_id_newsletter=5244
Samsung lance son Chromebook Série 5
par la rédaction, ZDNet France. Publié le 23 jun 2011
Tags: Google, Samsung, Chrome OS, Netbook,
Technologie - Signé Samsung, le premier netbook sous Chrome OS débarque en France. Il est vendu en ligne par Amazon au prix de 399 euros pour la version WiFi.
Samsung a annoncé hier la sortie de son Chromebook Série 5, le premier netbook utilisant le système d’exploitation Google Chrome OS. Il est disponible dès à présent en précommande auprès d’Amazon pour une disponibilité à partir du 24 juin. Seul le modèle WiFi est proposé pour le moment à 399 euros.
Le Série 5 est doté d’un écran 12,1 pouces (1280 x 800 pixels) et animé d’un processeur Intel Atom N570 double cœur avec 2 Go de RAM et 16 Go de disque dur. Il est équipé d’une webcam HD, de 2 ports USB et d’un lecteur de cartes mémoire SD, SDHC et MMC. Samsung le crédite d’une autonomie de 8,5 heures avec une batterie pouvant supporter jusqu’à 1 000 cycles. Le Série existe aussi en version 3G à 449 euros mais il n’est pour le moment pas proposé en France.
Acer doit également lancer son Chromebook 11,6 pouces dont les caractéristiques sont assez proches du modèle de Samsung. (Eureka Presse)
http://www.zdnet.fr/actualites/samsung-lance-son-chromebook-serie-5-39761887.htm#xtor=EPR-100
Tags: Google, Samsung, Chrome OS, Netbook,
Technologie - Signé Samsung, le premier netbook sous Chrome OS débarque en France. Il est vendu en ligne par Amazon au prix de 399 euros pour la version WiFi.
Samsung a annoncé hier la sortie de son Chromebook Série 5, le premier netbook utilisant le système d’exploitation Google Chrome OS. Il est disponible dès à présent en précommande auprès d’Amazon pour une disponibilité à partir du 24 juin. Seul le modèle WiFi est proposé pour le moment à 399 euros.
Le Série 5 est doté d’un écran 12,1 pouces (1280 x 800 pixels) et animé d’un processeur Intel Atom N570 double cœur avec 2 Go de RAM et 16 Go de disque dur. Il est équipé d’une webcam HD, de 2 ports USB et d’un lecteur de cartes mémoire SD, SDHC et MMC. Samsung le crédite d’une autonomie de 8,5 heures avec une batterie pouvant supporter jusqu’à 1 000 cycles. Le Série existe aussi en version 3G à 449 euros mais il n’est pour le moment pas proposé en France.
Acer doit également lancer son Chromebook 11,6 pouces dont les caractéristiques sont assez proches du modèle de Samsung. (Eureka Presse)
http://www.zdnet.fr/actualites/samsung-lance-son-chromebook-serie-5-39761887.htm#xtor=EPR-100
Développeurs, Android se dote (enfin) d’un éditeur visuel complet !
Publié le dimanche 26 juin 2011
Tags: Android, Android Market, Développement,
L’un des griefs récurrents portés à l’encontre des applications Android est leur aspect, souvent en retrait face à leurs équivalents iOS ou WP7. Une situation que Google semble bien décidé à changer.
Depuis l’édition 2010 de Google I/O, Google choie les développeurs. Par des ajouts conjoints à l’environnement de développement d’Android (amélioration constante de l'Android Development Tools) et à l’Android Market (localisation des prix, bouton de promotion...), l’expérience s’améliore nettement, même si elle reste loin de la perfection.
L’une des demandes récurrentes des développeurs est l’ajout d’un vrai éditeur visuel pour créer des interfaces. Face aux outils dont disposent les développeurs iOS et Windows Phone, l’offre d’Android est quelque peu... restreinte. Sortis de la création d’interfaces en XML, point de salut.
Dans la configuration recommandée par Google, à savoir l’éditeur de code Eclipse équipé de l’Android Development Tools (ADT), le mode “Graphical Layout” permet de visualiser et éditer la création en cours. Une visualisation qui semble d’ailleurs retourner des erreurs plus que de raison. Difficile, dans ces conditions, de construire des interfaces réellement attirantes.
Comme promis lors de la conférence développeurs d’I/O 2011, Google a ajouté les améliorations tant réclamées à ADT 11, sorti début juin. De quoi visualiser un agencement sur toute version d’Android (de 1.6 à 3.1 pour l’instant), orientation et taille d’écran en quelques clics, mais aussi d’éditer plus facilement des dispositions pour chacun de ces paramètres. Sa présentation (en anglais) par ses créateurs est d’ailleurs passionnante.
XML contre WYSIWYG
Sauf que dans le cas d’Android, l’utilisation d’un tel outil n’est pas évidente, compte tenu des énormes différences logicielles et matérielles entre les appareils. En septembre dernier, deux membres de l’équipe d’Android ont débattu par blogs interposés des mérites des deux approches : XML seul ou assisté par un éditeur visuel.
Dans son billet “Pourquoi vous ne voulez pas vraiment d’un éditeur WYSIWYG pour Android”, Roman Nurik explique que les problèmes d’attractivité et d’utilisabilité des applications Android ne viennent pas d’un manque d’outil mais de valeurs et de modèles par défaut dans les outils existants, ainsi que par la jeunesse et le manque d’expérience avec les logiques d’interfaces Android de la communauté des développeurs.
Pour lui, un éditeur visuel amènerait les mêmes problèmes qu’avaient les éditeurs HTML à la Frontpage et Dreamweaver : un code sale et une inadaptation complète à la variété des résolutions et des densités des écrans sur lesquels est affiché Android. Autre défaut : on y perd en ergonomie (issue d’un code ordonné) ce qu’on y gagne en esthétique.
Ce à quoi son collègue Reto Meier répond dans “Pourquoi vous voudriez bien d’un éditeur WYSIWYG pour Android”. Pour lui, un éditeur visuel peut produire un code propre, aisément éditable et adapté à tout type d’écran.
Il rappelle d’ailleurs la réussite des outils de développement pour Windows (qui répondent aux mêmes problématiques) et le succès de l’Android App Inventor, un outil d’initiation au développement avec une interface en glisser-déposer, qui brise les barrières tout en proposant facilement toutes les options disponibles.
Le logiciel final semble avoir tenu compte de toutes ces réclamations, et ce n’est que le début. L’éditeur, même s’il est utilisable par lui-même, ouvre de nombreuses portes vers le code, pour un contrôle rapide de ses actions. La 12ème version d’ADT, actuellement disponible en preview, apporte de grandes améliorations pour la création d’interfaces “relatives”, donc auto-adaptables à des types très différents d’écrans.
http://www.zdnet.fr/blogs/androblog/developpeurs-android-se-dote-enfin-d-un-editeur-visuel-complet-39761970.htm#xtor=EPR-100
Tags: Android, Android Market, Développement,
L’un des griefs récurrents portés à l’encontre des applications Android est leur aspect, souvent en retrait face à leurs équivalents iOS ou WP7. Une situation que Google semble bien décidé à changer.
Depuis l’édition 2010 de Google I/O, Google choie les développeurs. Par des ajouts conjoints à l’environnement de développement d’Android (amélioration constante de l'Android Development Tools) et à l’Android Market (localisation des prix, bouton de promotion...), l’expérience s’améliore nettement, même si elle reste loin de la perfection.
L’une des demandes récurrentes des développeurs est l’ajout d’un vrai éditeur visuel pour créer des interfaces. Face aux outils dont disposent les développeurs iOS et Windows Phone, l’offre d’Android est quelque peu... restreinte. Sortis de la création d’interfaces en XML, point de salut.
Dans la configuration recommandée par Google, à savoir l’éditeur de code Eclipse équipé de l’Android Development Tools (ADT), le mode “Graphical Layout” permet de visualiser et éditer la création en cours. Une visualisation qui semble d’ailleurs retourner des erreurs plus que de raison. Difficile, dans ces conditions, de construire des interfaces réellement attirantes.
Comme promis lors de la conférence développeurs d’I/O 2011, Google a ajouté les améliorations tant réclamées à ADT 11, sorti début juin. De quoi visualiser un agencement sur toute version d’Android (de 1.6 à 3.1 pour l’instant), orientation et taille d’écran en quelques clics, mais aussi d’éditer plus facilement des dispositions pour chacun de ces paramètres. Sa présentation (en anglais) par ses créateurs est d’ailleurs passionnante.
XML contre WYSIWYG
Sauf que dans le cas d’Android, l’utilisation d’un tel outil n’est pas évidente, compte tenu des énormes différences logicielles et matérielles entre les appareils. En septembre dernier, deux membres de l’équipe d’Android ont débattu par blogs interposés des mérites des deux approches : XML seul ou assisté par un éditeur visuel.
Dans son billet “Pourquoi vous ne voulez pas vraiment d’un éditeur WYSIWYG pour Android”, Roman Nurik explique que les problèmes d’attractivité et d’utilisabilité des applications Android ne viennent pas d’un manque d’outil mais de valeurs et de modèles par défaut dans les outils existants, ainsi que par la jeunesse et le manque d’expérience avec les logiques d’interfaces Android de la communauté des développeurs.
Pour lui, un éditeur visuel amènerait les mêmes problèmes qu’avaient les éditeurs HTML à la Frontpage et Dreamweaver : un code sale et une inadaptation complète à la variété des résolutions et des densités des écrans sur lesquels est affiché Android. Autre défaut : on y perd en ergonomie (issue d’un code ordonné) ce qu’on y gagne en esthétique.
Ce à quoi son collègue Reto Meier répond dans “Pourquoi vous voudriez bien d’un éditeur WYSIWYG pour Android”. Pour lui, un éditeur visuel peut produire un code propre, aisément éditable et adapté à tout type d’écran.
Il rappelle d’ailleurs la réussite des outils de développement pour Windows (qui répondent aux mêmes problématiques) et le succès de l’Android App Inventor, un outil d’initiation au développement avec une interface en glisser-déposer, qui brise les barrières tout en proposant facilement toutes les options disponibles.
Le logiciel final semble avoir tenu compte de toutes ces réclamations, et ce n’est que le début. L’éditeur, même s’il est utilisable par lui-même, ouvre de nombreuses portes vers le code, pour un contrôle rapide de ses actions. La 12ème version d’ADT, actuellement disponible en preview, apporte de grandes améliorations pour la création d’interfaces “relatives”, donc auto-adaptables à des types très différents d’écrans.
http://www.zdnet.fr/blogs/androblog/developpeurs-android-se-dote-enfin-d-un-editeur-visuel-complet-39761970.htm#xtor=EPR-100
dimanche 26 juin 2011
Google fait le plein de nouveautés
Google a annoncé il y a quelques jours la mise en place de nouveaux services sur son moteur de recherche. Au programme : recherche par images, recherche vocale et augmentation de la vitesse de chargement des pages.
Toujours à la recherche des fonctionnalités qui révolutionneraient la recherche sur le Web, Google vient de mettre en ligne deux nouvelles méthodes de requête, déjà proposées en applications mobiles.
Tout d’abord, Search by Images permet, à partir de Google Images (icône appareil photo), de réaliser une recherche à partir d’un visuel. Le principe : vous chargez une image depuis votre ordinateur ou copiez-collez l’URL d’un visuel, Google se charge alors, après analyse, de trouver des images similaires.
C’est ensuite la recherche vocale, déjà présente sur l’application mobile de Google, qui arrive sur la version « classique » du moteur de recherche. Uniquement disponible en anglais et sur le navigateur Google Chrome pour l’instant, cette application serait capable de reconnaître 230 milliards de requêtes orales.
Par ailleurs, Google a annoncé la venue de Instant Pages, système permettant d’accélérer le chargement de la page après une recherche. Le principe : les premières pages-résultats de la recherche sont pré-chargées en tâche de fond, elles s’affichent donc plus rapidement lors du clic de l’internaute. Cette fonctionnalité est encore en cours de test, elle devrait être intégrée aux prochaines versions de Chrome.
Vidéo de présentation de Search by Images :
Posté le 24/06/2011
http://www.synchrone-technologies.fr/blog/?p=715
Toujours à la recherche des fonctionnalités qui révolutionneraient la recherche sur le Web, Google vient de mettre en ligne deux nouvelles méthodes de requête, déjà proposées en applications mobiles.
Tout d’abord, Search by Images permet, à partir de Google Images (icône appareil photo), de réaliser une recherche à partir d’un visuel. Le principe : vous chargez une image depuis votre ordinateur ou copiez-collez l’URL d’un visuel, Google se charge alors, après analyse, de trouver des images similaires.
C’est ensuite la recherche vocale, déjà présente sur l’application mobile de Google, qui arrive sur la version « classique » du moteur de recherche. Uniquement disponible en anglais et sur le navigateur Google Chrome pour l’instant, cette application serait capable de reconnaître 230 milliards de requêtes orales.
Par ailleurs, Google a annoncé la venue de Instant Pages, système permettant d’accélérer le chargement de la page après une recherche. Le principe : les premières pages-résultats de la recherche sont pré-chargées en tâche de fond, elles s’affichent donc plus rapidement lors du clic de l’internaute. Cette fonctionnalité est encore en cours de test, elle devrait être intégrée aux prochaines versions de Chrome.
Vidéo de présentation de Search by Images :
Posté le 24/06/2011
http://www.synchrone-technologies.fr/blog/?p=715
mardi 21 juin 2011
Firefox 5 est dans les bacs
par la rédaction, ZDNet France. Publié le 20 jun 2011
Tags: Firefox, Navigateurs,
Mise à jour - Contrairement aux apparences, il ne s'agit pas d'une évolution majeure du navigateur mais plutôt d'une mise à jour de la version 4.
Comme prévu, et même avec 24 heures d'avance, Mozilla a mis en ligne la version 5.0 de son navigateur star. Le nouveau Firefox peut être téléchargé pour les environnements Windows, Mac et Linux.
Contrairement aux apparences, ce changement de numérotation ne se traduit pas par une évolution majeure du browser. Mozilla a en effet décidé de modifier sa stratégie de 'versioning'. L’idée de base est claire : accélérer la sortie et la diffusion des futures versions de Firefox.
Firefox 6 en août
Firefox 6 et 7 devraient ainsi voir le jour cette année. Objectif : " produire un navigateur Web qui sera à la fois un succès sur le marché et une représentation de notre vision du web". Fini la "rupture technologique", dorénavant le délai entre deux nouvelles moutures du logiciel devrait être réduite à 16 ou 18 semaines sans avoir à attendre le train d'une version majeure.
Avec de nouvelles mises à jour à intervalles de temps rapprochées, Mozilla adopte une ligne de conduite similaire à Google pour le développement de son navigateur Chrome.
En accélérant considérablement son mode de fonctionnement, la fondation continue d’occuper le devant de la scène au moment où Chrome connaît la croissance la plus rapide. Espérons toutefois que vitesse ne rime pas avec précipitation.
Côté nouveautés, Firefox 5 ne présente aucune nouveauté 'visibles'. Les ajouts sont sous le capot avec entre autres, la mise en place d'un système commun (où les applications Desktop, Mobile et Web pourront être exécutées), l'intégration d’applications Web et des réseaux sociaux.
L’optimisation de la lecture de contenus en ligne figure n’a pas été oubliée avec l’ajout d’un lecteur PDF et l’utilisation des standards WebM et WebP. Le support des animations CSS est effectif, ainsi qu'une meilleure prise en charge d'HTML5.
On notera également l'optimisation des performances générales, de la stabilité et la réduction de la consommation de mémoire vive, un point de plus en plus critiqué par les adeptes du Panda roux.
Téléchargez Firefox 5 pour WindowsTéléchargez Firefox 5 pour LinuxTéléchargez Firefox 5 pour Mac
http://www.zdnet.fr/actualites/firefox-5-est-dans-les-bacs-39761794.htm#xtor=EPR-100
Tags: Firefox, Navigateurs,
Mise à jour - Contrairement aux apparences, il ne s'agit pas d'une évolution majeure du navigateur mais plutôt d'une mise à jour de la version 4.
Comme prévu, et même avec 24 heures d'avance, Mozilla a mis en ligne la version 5.0 de son navigateur star. Le nouveau Firefox peut être téléchargé pour les environnements Windows, Mac et Linux.
Contrairement aux apparences, ce changement de numérotation ne se traduit pas par une évolution majeure du browser. Mozilla a en effet décidé de modifier sa stratégie de 'versioning'. L’idée de base est claire : accélérer la sortie et la diffusion des futures versions de Firefox.
Firefox 6 en août
Firefox 6 et 7 devraient ainsi voir le jour cette année. Objectif : " produire un navigateur Web qui sera à la fois un succès sur le marché et une représentation de notre vision du web". Fini la "rupture technologique", dorénavant le délai entre deux nouvelles moutures du logiciel devrait être réduite à 16 ou 18 semaines sans avoir à attendre le train d'une version majeure.
Avec de nouvelles mises à jour à intervalles de temps rapprochées, Mozilla adopte une ligne de conduite similaire à Google pour le développement de son navigateur Chrome.
En accélérant considérablement son mode de fonctionnement, la fondation continue d’occuper le devant de la scène au moment où Chrome connaît la croissance la plus rapide. Espérons toutefois que vitesse ne rime pas avec précipitation.
Côté nouveautés, Firefox 5 ne présente aucune nouveauté 'visibles'. Les ajouts sont sous le capot avec entre autres, la mise en place d'un système commun (où les applications Desktop, Mobile et Web pourront être exécutées), l'intégration d’applications Web et des réseaux sociaux.
L’optimisation de la lecture de contenus en ligne figure n’a pas été oubliée avec l’ajout d’un lecteur PDF et l’utilisation des standards WebM et WebP. Le support des animations CSS est effectif, ainsi qu'une meilleure prise en charge d'HTML5.
On notera également l'optimisation des performances générales, de la stabilité et la réduction de la consommation de mémoire vive, un point de plus en plus critiqué par les adeptes du Panda roux.
Téléchargez Firefox 5 pour WindowsTéléchargez Firefox 5 pour LinuxTéléchargez Firefox 5 pour Mac
http://www.zdnet.fr/actualites/firefox-5-est-dans-les-bacs-39761794.htm#xtor=EPR-100
Voitures connectées : Volkswagen prépare ses systèmes d'information à la nouvelle ère de l'automobile
par Andrew Nusca, ZDNet France. Publié le 20 jun 2011
Stratégie - Pour Warren Ritchie, DSI de Volkswagen aux Etats-Unis, le développement du marché des véhicules connectés implique une modification profonde de l'organisation des systèmes d'information et de la fonction informatique chez le constructeur.
Le véhicule électrique connecté intelligent est déjà arrivé. Toutefois, derrière les statistiques prometteuses sur les émissions générées et les technologies écologiques fascinantes se cache une activité informatique en pleine évolution qui s’efforce de s’adapter à un monde dont elle n’aurait jamais osé rêver.S’exprimant à l’occasion du forum IT 2011 de Forrester, Warren Ritchie, DSI de Volkswagen of America, a donné quelques informations sur son entreprise, dont il assure qu’elle progresse à grands pas vers son objectif de devenir le bras innovateur du constructeur de la célèbre Coccinelle.
Lire la suite de Les véhicules connectés marquent le début d’une nouvelle ère pour l’informatique chez notre partenaire SmartPlanet.fr
http://www.zdnet.fr/actualites/voitures-connectees-volkswagen-prepare-ses-systemes-d-information-a-la-nouvelle-ere-de-l-automobile-39761795.htm#xtor=EPR-100
Stratégie - Pour Warren Ritchie, DSI de Volkswagen aux Etats-Unis, le développement du marché des véhicules connectés implique une modification profonde de l'organisation des systèmes d'information et de la fonction informatique chez le constructeur.
Le véhicule électrique connecté intelligent est déjà arrivé. Toutefois, derrière les statistiques prometteuses sur les émissions générées et les technologies écologiques fascinantes se cache une activité informatique en pleine évolution qui s’efforce de s’adapter à un monde dont elle n’aurait jamais osé rêver.S’exprimant à l’occasion du forum IT 2011 de Forrester, Warren Ritchie, DSI de Volkswagen of America, a donné quelques informations sur son entreprise, dont il assure qu’elle progresse à grands pas vers son objectif de devenir le bras innovateur du constructeur de la célèbre Coccinelle.
Lire la suite de Les véhicules connectés marquent le début d’une nouvelle ère pour l’informatique chez notre partenaire SmartPlanet.fr
http://www.zdnet.fr/actualites/voitures-connectees-volkswagen-prepare-ses-systemes-d-information-a-la-nouvelle-ere-de-l-automobile-39761795.htm#xtor=EPR-100
Tablettes tactiles : Cisco et Huawei entrent dans la danse
Tablettes tactiles : Cisco et Huawei entrent dans la danse
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par Olivier Chicheportiche, ZDNet France. Publié le 20 jun 2011
Tags: Cisco, Tablette tactile,
Business - Le premier vise frontalement BlackBerry avec Cius, une tablette destinée aux professionnels. Le second visera le grand public avec un énième modèle sous Android.
L'été sera décidément très chaud pour le marché des tablettes tactiles. Alors que les sorties des modèles de RIM et de HP font couler beaucoup d'encre, c'est au tour de Cisco et de Huawei de confirmer leurs ambitions dans ce segment.
Des menaces pour Apple et son iPad qui contrôlent encore plus de 75% du marché malgré une pluie de concurrents ? Il est encore trop tôt pour le dire mais une chose est sûre, l'alternative à la pomme est aujourd'hui variée et solide.
Client léger
Du côté de Cisco, la Cius vise naturellement le marché Entreprises et concurrencera donc frontalement la PlayBook de RIM qui a été lancée il y a quelques jours en France.
La tablette sera officiellement dévoilée à la presse le 29 juin prochain et devrait être lancée dans la foulée. Elle est présentée comme un outil collaboratif pour les professionnels.
Dotée d’un écran de 7 pouces, elle permettra notamment aux salariés d’utiliser les outils existants de Cisco dans le domaine du travail collaboratif, comme par exemple la solution de Webconférence de WebEx.
Pour répondre à ces usages, dont la visioconférence, Cius sera équipée d’une caméra frontale de 5 mégapixels. Le terminal offrira la haute définition (720 p). Grâce aux autres informations techniques fournies par Cisco, on sait que Cius intégrera à un processeur Atom d’Intel et qu’elle pourra être connectée à un clavier et un écran.
Côté OS, Cisco a fait confiance à Android plutôt qu’à Windows, vraisemblablement pour la légèreté de la plate-forme. Si Cisco espère par cette annonce précoce motiver les développeurs à concevoir des applications destinées aux pros, il ne tire pas pour autant un trait sur l’univers applicatif Windows.
En effet, le constructeur américain prévoit d’intégrer des outils de virtualisation à son terminal. Un moyen donc par exemple d’exécuter des applications Windows distantes, transformant Cius en client léger.
La question de la distribution de cette tablette reste en suspens. Prix et disponibilité n'ont pas été précisées.
De son côté, le chinois Huawei va venir grossir les rangs des iPad like avec le MediaPad, clairement à visée grand public "Avec le Huawei MediaPad, nous voulons mettre à la portée de tous design, fonctionnalité et performance", a déclaré dans un communiqué Victor Xu, responsable du marketing de Huawei Device.
Le MediaPad fonctionnera sous Android 3.2 (un dérivé d'Honeycomb pour le format 7 pouces). Il disposera d'un écran de 7 pouces et d'un processeur double coeur conçu par Qualcomm à 1,2 GHz. Les applications Facebook et Twitter seront préinstallées, pour un poids de 310 grammes. Elle devrait être lancée à l'automne.
En outre, Victor Xu a déclaré dans un entretien à Reuters que Huawei travaillait à la conception d'une autre tablette, disposant cette fois d'un écran de 10 pouces, que le groupe espère lancer cette année.
http://www.zdnet.fr/actualites/tablettes-tactiles-cisco-et-huawei-entrent-dans-la-danse-39761785.htm#xtor=EPR-100
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par Olivier Chicheportiche, ZDNet France. Publié le 20 jun 2011
Tags: Cisco, Tablette tactile,
Business - Le premier vise frontalement BlackBerry avec Cius, une tablette destinée aux professionnels. Le second visera le grand public avec un énième modèle sous Android.
L'été sera décidément très chaud pour le marché des tablettes tactiles. Alors que les sorties des modèles de RIM et de HP font couler beaucoup d'encre, c'est au tour de Cisco et de Huawei de confirmer leurs ambitions dans ce segment.
Des menaces pour Apple et son iPad qui contrôlent encore plus de 75% du marché malgré une pluie de concurrents ? Il est encore trop tôt pour le dire mais une chose est sûre, l'alternative à la pomme est aujourd'hui variée et solide.
Client léger
Du côté de Cisco, la Cius vise naturellement le marché Entreprises et concurrencera donc frontalement la PlayBook de RIM qui a été lancée il y a quelques jours en France.
La tablette sera officiellement dévoilée à la presse le 29 juin prochain et devrait être lancée dans la foulée. Elle est présentée comme un outil collaboratif pour les professionnels.
Dotée d’un écran de 7 pouces, elle permettra notamment aux salariés d’utiliser les outils existants de Cisco dans le domaine du travail collaboratif, comme par exemple la solution de Webconférence de WebEx.
Pour répondre à ces usages, dont la visioconférence, Cius sera équipée d’une caméra frontale de 5 mégapixels. Le terminal offrira la haute définition (720 p). Grâce aux autres informations techniques fournies par Cisco, on sait que Cius intégrera à un processeur Atom d’Intel et qu’elle pourra être connectée à un clavier et un écran.
Côté OS, Cisco a fait confiance à Android plutôt qu’à Windows, vraisemblablement pour la légèreté de la plate-forme. Si Cisco espère par cette annonce précoce motiver les développeurs à concevoir des applications destinées aux pros, il ne tire pas pour autant un trait sur l’univers applicatif Windows.
En effet, le constructeur américain prévoit d’intégrer des outils de virtualisation à son terminal. Un moyen donc par exemple d’exécuter des applications Windows distantes, transformant Cius en client léger.
La question de la distribution de cette tablette reste en suspens. Prix et disponibilité n'ont pas été précisées.
De son côté, le chinois Huawei va venir grossir les rangs des iPad like avec le MediaPad, clairement à visée grand public "Avec le Huawei MediaPad, nous voulons mettre à la portée de tous design, fonctionnalité et performance", a déclaré dans un communiqué Victor Xu, responsable du marketing de Huawei Device.
Le MediaPad fonctionnera sous Android 3.2 (un dérivé d'Honeycomb pour le format 7 pouces). Il disposera d'un écran de 7 pouces et d'un processeur double coeur conçu par Qualcomm à 1,2 GHz. Les applications Facebook et Twitter seront préinstallées, pour un poids de 310 grammes. Elle devrait être lancée à l'automne.
En outre, Victor Xu a déclaré dans un entretien à Reuters que Huawei travaillait à la conception d'une autre tablette, disposant cette fois d'un écran de 10 pouces, que le groupe espère lancer cette année.
http://www.zdnet.fr/actualites/tablettes-tactiles-cisco-et-huawei-entrent-dans-la-danse-39761785.htm#xtor=EPR-100
lundi 20 juin 2011
Android : Oracle veut obtenir des milliards de dollars de Google
par Christophe Auffray, ZDNet France. Publié le 17 jun 2011
Tags: Android, Google, Oracle, Propriété intellectuelle,
Juridique - Des milliards sinon rien. Oracle évalue en effet à plusieurs milliards de dollars le préjudice subi par la violation de ses brevets par l’OS mobile de Google, Android. L’éditeur exige notamment des royalties sur les revenus publicitaires réalisés sur Android.
Le procès pour violation de brevets Java par Android n’est pas encore ouvert. Néanmoins, en amont, Google et Oracle s’échangent déjà des coups. Les deux entreprises se disputent notamment sur le calcul des éventuels dommages et intérêts.
Des documents, analysés par Florian Mueller, et remis par les deux firmes à la justice, il ressort ainsi qu’Oracle s’efforce d’ouvrir la voie à une indemnisation qui se chiffrerait en milliards de dollars, exigeant pour cela que le calcul prenne en compte les recettes publicitaires de Google sur le mobile.
Brevets et rentabilisation du rachat de Java
Oracle espère bien aboutir à un résultat équivalent à celui rendu par la justice en 2010 dans une affaire qui l’opposait à SAP : près de 1,6 milliard de dollars de dommages et Intérêts.
L’éditeur estimait son préjudice à 4 milliards de dollars, environ. Pour sa plainte contre Google, Oracle a d’ailleurs conservé la même équipe de juristes du cabinet Schiller & Flexner LLP.
Si le tribunal donnait tort à Google, la firme de Mountain View pourrait bien alors devoir s’acquitter d’importantes sommes d’argent, sans compter les royalties sur chaque terminal Anroid vendu. Or, pour y parvenir, Oracle a des atouts en main selon l’analyste de JMP Securities, Patrick Walravens. Et en particulier ses brevets.
« Nous estimons qu’Oracle détient plus de 20.000 brevets. Une analyse de la base de données de l’office des brevets suggère qu’Oracle est titulaire de 12.000 brevets en son nom, auxquels s’ajoutent 7000 de Sun Microsystems et plus de 1000 autres fruits de diverses acquisitions. A titre de comparaison, Google est le cessionnaire de seulement 689 brevets » commente Patrick Walravens sur ZDNet.com.
Ce désavantage, Google tente en partie d’y remédier en concourant à l’acquisition de la propriété intellectuelle de l’ex-équipementier canadien, Nortel. A la clé, et en échange d’une offre pour l’heure de 900 millions de dollars : 7000 brevets, notamment sur des technologies sans fil et mobile.
http://www.zdnet.fr/actualites/android-oracle-veut-obtenir-des-milliards-de-dollars-de-google-39761750.htm#xtor=EPR-100
Tags: Android, Google, Oracle, Propriété intellectuelle,
Juridique - Des milliards sinon rien. Oracle évalue en effet à plusieurs milliards de dollars le préjudice subi par la violation de ses brevets par l’OS mobile de Google, Android. L’éditeur exige notamment des royalties sur les revenus publicitaires réalisés sur Android.
Le procès pour violation de brevets Java par Android n’est pas encore ouvert. Néanmoins, en amont, Google et Oracle s’échangent déjà des coups. Les deux entreprises se disputent notamment sur le calcul des éventuels dommages et intérêts.
Des documents, analysés par Florian Mueller, et remis par les deux firmes à la justice, il ressort ainsi qu’Oracle s’efforce d’ouvrir la voie à une indemnisation qui se chiffrerait en milliards de dollars, exigeant pour cela que le calcul prenne en compte les recettes publicitaires de Google sur le mobile.
Brevets et rentabilisation du rachat de Java
Oracle espère bien aboutir à un résultat équivalent à celui rendu par la justice en 2010 dans une affaire qui l’opposait à SAP : près de 1,6 milliard de dollars de dommages et Intérêts.
L’éditeur estimait son préjudice à 4 milliards de dollars, environ. Pour sa plainte contre Google, Oracle a d’ailleurs conservé la même équipe de juristes du cabinet Schiller & Flexner LLP.
Si le tribunal donnait tort à Google, la firme de Mountain View pourrait bien alors devoir s’acquitter d’importantes sommes d’argent, sans compter les royalties sur chaque terminal Anroid vendu. Or, pour y parvenir, Oracle a des atouts en main selon l’analyste de JMP Securities, Patrick Walravens. Et en particulier ses brevets.
« Nous estimons qu’Oracle détient plus de 20.000 brevets. Une analyse de la base de données de l’office des brevets suggère qu’Oracle est titulaire de 12.000 brevets en son nom, auxquels s’ajoutent 7000 de Sun Microsystems et plus de 1000 autres fruits de diverses acquisitions. A titre de comparaison, Google est le cessionnaire de seulement 689 brevets » commente Patrick Walravens sur ZDNet.com.
Ce désavantage, Google tente en partie d’y remédier en concourant à l’acquisition de la propriété intellectuelle de l’ex-équipementier canadien, Nortel. A la clé, et en échange d’une offre pour l’heure de 900 millions de dollars : 7000 brevets, notamment sur des technologies sans fil et mobile.
http://www.zdnet.fr/actualites/android-oracle-veut-obtenir-des-milliards-de-dollars-de-google-39761750.htm#xtor=EPR-100
Smart grid: déjà cinq millions de compteurs aux Etats-Unis
par Thierry Noisette, Smartplanet.fr, ZDNet France. Publié le 17 jun 2011
Tags: Grid computing,
Technologie - Plus de cinq millions de « smart meters », une des briques clés des réseaux électriques intelligents, sont déjà installés aux États-Unis. Notamment en Floride et au Texas.
Le ministre américain de l’Energie, Steven Chu, a annoncé le 13 juin que plus de cinq millions de compteurs « intelligents » (smart meters) ont été installés à travers les Etats-Unis. Ces compteurs informeront en temps réel les fournisseurs d’électricité sur la consommation de leurs clients, et ces derniers pourront prendre des décisions bien informées sur leur usage, affirme le ministre:
Lire la suite de Smart grid: cinq millions de compteurs électriques communicants aux Etats-Unis chez notre partenaire SmartPlanet.fr
http://www.zdnet.fr/actualites/smart-grid-deja-cinq-millions-de-compteurs-aux-etats-unis-39761748.htm#xtor=EPR-100
Tags: Grid computing,
Technologie - Plus de cinq millions de « smart meters », une des briques clés des réseaux électriques intelligents, sont déjà installés aux États-Unis. Notamment en Floride et au Texas.
Le ministre américain de l’Energie, Steven Chu, a annoncé le 13 juin que plus de cinq millions de compteurs « intelligents » (smart meters) ont été installés à travers les Etats-Unis. Ces compteurs informeront en temps réel les fournisseurs d’électricité sur la consommation de leurs clients, et ces derniers pourront prendre des décisions bien informées sur leur usage, affirme le ministre:
Lire la suite de Smart grid: cinq millions de compteurs électriques communicants aux Etats-Unis chez notre partenaire SmartPlanet.fr
http://www.zdnet.fr/actualites/smart-grid-deja-cinq-millions-de-compteurs-aux-etats-unis-39761748.htm#xtor=EPR-100
Panasonic va décliner sa gamme Toughbook en tablette tactile pour les pros
par Olivier Chicheportiche, businessMOBILE.fr. Publié le 17 juin 2011Tags: Tablette tactile, Entreprise,
Technologie - Sous Android, cette tablette met l'accent sur sa coque renforcé et ses usages en milieux difficiles ou extrêmes.
Les entreprises adoptent de plus en plus les tablettes tactiles, formidables outils de travail ou de présentation. Et des modèles dédiés aux pros comme la PlayBook de RIM commencent à faire leur apparition.
Mais comme pour les smartphones, ces tablettes grand public ne font pas le poids pour des professionnels évoluant dans des milieux difficiles comme les chantiers. Pour cette cible, les terminaux durcis peuvent constituer une bonne alternative.
En matière de tablettes, on connaissait déjà les modèles de Motion Computing, sous Windows. Cette fois, c'est Panasonic qui entre dans la danse en déclinant son concept Toughbook (ordinateurs portables durcis) à une tablette tactile.
Connectique 3G en option
Cette dernière proposera donc un indice de protection comparable à ceux des autres appareils renforcés de la marque (résistance aux chocs, chutes et projection d'eau).
Animée par Android, cette tablette (dont la date de sortie n'est pas encore connu) "viendra combler un vide sur le marché des tablettes professionnelles renforcées et fera la part belle à la sécurité, aux fonctionnalités et à la fiabilité", affirme le fabricant.
Côté fonctionnalités, le terminal privilégie un écran mat haute luminosité (10,1 pouces à 1024x768 pixel) au lieu des écrans brillants utilisés sur les modèles grand public "pratiquement illisible à l'extérieur".
Elle sera également équipée d'un stylet actif permettant aux professionnels nomades de capturer les signatures de leurs clients, d'un GPS, et, en option, la connexion au réseau mobile 3G. Panasonic indique que sa machine profitera d'une autonomie pour une journée de travail complète.
Son prix n'a pas été communiqué.
http://www.businessmobile.fr/actualites/panasonic-va-decliner-sa-gamme-toughbook-en-tablette-tactile-pour-les-pros-39761741.htm#xtor=EPR-100
Technologie - Sous Android, cette tablette met l'accent sur sa coque renforcé et ses usages en milieux difficiles ou extrêmes.
Les entreprises adoptent de plus en plus les tablettes tactiles, formidables outils de travail ou de présentation. Et des modèles dédiés aux pros comme la PlayBook de RIM commencent à faire leur apparition.
Mais comme pour les smartphones, ces tablettes grand public ne font pas le poids pour des professionnels évoluant dans des milieux difficiles comme les chantiers. Pour cette cible, les terminaux durcis peuvent constituer une bonne alternative.
En matière de tablettes, on connaissait déjà les modèles de Motion Computing, sous Windows. Cette fois, c'est Panasonic qui entre dans la danse en déclinant son concept Toughbook (ordinateurs portables durcis) à une tablette tactile.
Connectique 3G en option
Cette dernière proposera donc un indice de protection comparable à ceux des autres appareils renforcés de la marque (résistance aux chocs, chutes et projection d'eau).
Animée par Android, cette tablette (dont la date de sortie n'est pas encore connu) "viendra combler un vide sur le marché des tablettes professionnelles renforcées et fera la part belle à la sécurité, aux fonctionnalités et à la fiabilité", affirme le fabricant.
Côté fonctionnalités, le terminal privilégie un écran mat haute luminosité (10,1 pouces à 1024x768 pixel) au lieu des écrans brillants utilisés sur les modèles grand public "pratiquement illisible à l'extérieur".
Elle sera également équipée d'un stylet actif permettant aux professionnels nomades de capturer les signatures de leurs clients, d'un GPS, et, en option, la connexion au réseau mobile 3G. Panasonic indique que sa machine profitera d'une autonomie pour une journée de travail complète.
Son prix n'a pas été communiqué.
http://www.businessmobile.fr/actualites/panasonic-va-decliner-sa-gamme-toughbook-en-tablette-tactile-pour-les-pros-39761741.htm#xtor=EPR-100
Des détails sur le prochain Nexus sous Android 4.0
par la rédaction, businessMOBILE.fr. Publié le 17 juin 2011Tags: Android, Google, Smartphone,
Technologie - Le prochain smartphone de référence signé Google sera équipé d’un écran HD 720 p de grande taille sans boutons physiques, d’un processeur double cœur et de la version 4.0 d’Android.
Le site Boy Genius Report affirme avoir obtenu des informations détaillées sur la prochaine version du Nexus qui pourrait prendre le nom de Nexus 4G.
Il sera pourvu d'un écran de grande taille délivrant une résolution HD 720p, d'un processeur double coeur 1,2 ou 1,5 GHz Omap (Texas Instruments) ou Snapdragon (Qualcomm), de 1Go de RAM, d'un apn 5 mégapixels (capteur ultra performant en basse luminosité), d'une caméra frontale de 1 mégapixels.
Mix entre Honeycomb et Gingerbread
Il supportera les réseaux 4G ainsi que la lecture/enregistrement de vidéos full HD 1080p.En dehors de cette configuration musclée, la grande nouveauté sera l'absence de boutons physiques rendue possible par l'intégration d'Android 4.0 alias Ice Cream Sandwich.
Cette version de l'OS réconcilie l'édition pour tablettes Honeycomb et l'édition smartphones Gingerbread. C'est HTC qui pourrait se charger de la fabrication avec une date de sortie prévue à l'automne pour Thanksgiving. (Eureka Presse)
http://www.businessmobile.fr/actualites/des-details-sur-le-prochain-nexus-sous-android-40-39761721.htm
Technologie - Le prochain smartphone de référence signé Google sera équipé d’un écran HD 720 p de grande taille sans boutons physiques, d’un processeur double cœur et de la version 4.0 d’Android.
Le site Boy Genius Report affirme avoir obtenu des informations détaillées sur la prochaine version du Nexus qui pourrait prendre le nom de Nexus 4G.
Il sera pourvu d'un écran de grande taille délivrant une résolution HD 720p, d'un processeur double coeur 1,2 ou 1,5 GHz Omap (Texas Instruments) ou Snapdragon (Qualcomm), de 1Go de RAM, d'un apn 5 mégapixels (capteur ultra performant en basse luminosité), d'une caméra frontale de 1 mégapixels.
Mix entre Honeycomb et Gingerbread
Il supportera les réseaux 4G ainsi que la lecture/enregistrement de vidéos full HD 1080p.En dehors de cette configuration musclée, la grande nouveauté sera l'absence de boutons physiques rendue possible par l'intégration d'Android 4.0 alias Ice Cream Sandwich.
Cette version de l'OS réconcilie l'édition pour tablettes Honeycomb et l'édition smartphones Gingerbread. C'est HTC qui pourrait se charger de la fabrication avec une date de sortie prévue à l'automne pour Thanksgiving. (Eureka Presse)
http://www.businessmobile.fr/actualites/des-details-sur-le-prochain-nexus-sous-android-40-39761721.htm
Smartphone, Internet Mobile : la France dans le peloton de tête mondial selon Google
par Olivier Chicheportiche, businessMOBILE.fr. Publié le 17 juin 2011Tags: Chiffres, Google, Smartphone, Internet mobile,
Chiffres - Selon une étude du moteur de recherche, le taux de pénétration de l’internet mobile en France atteint 27%.
Le bond de l'Internet Mobile en France n'est pas une nouveauté. Les études soulignant l'explosion de cet usage à travers les smartphones se multiplient comme les petits pains et parviennent à la même conclusion.
De son côté, Google s'est lui aussi penché sur la question mais en comparant les pays entre eux. Ainsi, avec 14 millions de smartphones actifs en France, le taux de pénétration de l'Internet Mobile dans notre pays atteint les 27%.
Usage multiple
73% des personnes interrogées déclarent posséder pour la première fois un smartphone, un achat qui a lieu dans 59% des cas il y a moins d'un an.
La France se place donc dans le peloton de tête mondial (30 pays étudiés), souligne le moteur de recherche. Elle se situe derrière l'Australie (37% de pénétration), la Suisse (34%), l'Espagne et la Norvège (33%). Et curieusement loin devant le Japon qui afficherait un taux de 6%. Surprenant.
59% des Français se connectent au Web mobile de manière quotidienne (50% regardent de la vidéo en ligne, 42% pour leurs achats...) contre 55% en Grande-Bretagne et 45% en Allemagne. Un usage intensif donc.
Un usage qui est multiple. Confirmant d'autres études, notamment celles de GroupM avec SFR, l'usage d'un smartphone se fait souvent en complément d'un autre média, notamment la télévision (52%) ou la musique.
Du côté du terminal en lui même, l'étude de Google montre qu'iOS (iPhone) arrive en tête (35% des répondants), devant Android (24%) et BlackBerry (11%). Ces smartphones contiennent en moyenne 28 applications dont 5 payantes. Une dizaine est réellement utilisée sur un mois.
Du côté des entreprises, la situation montre des disparités. Seule une fraction des entreprises dans les cinq pays déclarent avoir des sites optimisés pour le mobile : Etats-Unis 33%, Royaume-Uni 17%, France 12%, Allemagne 37%, Japon 43%.
Par ailleurs, peu d'entreprises ont une application mobile : États-Unis 19%, Royaume-Uni 15%, France 18%, Allemagne 26%, Japon 10%.
http://www.businessmobile.fr/actualites/smartphone-internet-mobile-la-france-dans-le-peloton-de-tete-mondial-selon-google-39761718.htm#xtor=EPR-100
Chiffres - Selon une étude du moteur de recherche, le taux de pénétration de l’internet mobile en France atteint 27%.
Le bond de l'Internet Mobile en France n'est pas une nouveauté. Les études soulignant l'explosion de cet usage à travers les smartphones se multiplient comme les petits pains et parviennent à la même conclusion.
De son côté, Google s'est lui aussi penché sur la question mais en comparant les pays entre eux. Ainsi, avec 14 millions de smartphones actifs en France, le taux de pénétration de l'Internet Mobile dans notre pays atteint les 27%.
Usage multiple
73% des personnes interrogées déclarent posséder pour la première fois un smartphone, un achat qui a lieu dans 59% des cas il y a moins d'un an.
La France se place donc dans le peloton de tête mondial (30 pays étudiés), souligne le moteur de recherche. Elle se situe derrière l'Australie (37% de pénétration), la Suisse (34%), l'Espagne et la Norvège (33%). Et curieusement loin devant le Japon qui afficherait un taux de 6%. Surprenant.
59% des Français se connectent au Web mobile de manière quotidienne (50% regardent de la vidéo en ligne, 42% pour leurs achats...) contre 55% en Grande-Bretagne et 45% en Allemagne. Un usage intensif donc.
Un usage qui est multiple. Confirmant d'autres études, notamment celles de GroupM avec SFR, l'usage d'un smartphone se fait souvent en complément d'un autre média, notamment la télévision (52%) ou la musique.
Du côté du terminal en lui même, l'étude de Google montre qu'iOS (iPhone) arrive en tête (35% des répondants), devant Android (24%) et BlackBerry (11%). Ces smartphones contiennent en moyenne 28 applications dont 5 payantes. Une dizaine est réellement utilisée sur un mois.
Du côté des entreprises, la situation montre des disparités. Seule une fraction des entreprises dans les cinq pays déclarent avoir des sites optimisés pour le mobile : Etats-Unis 33%, Royaume-Uni 17%, France 12%, Allemagne 37%, Japon 43%.
Par ailleurs, peu d'entreprises ont une application mobile : États-Unis 19%, Royaume-Uni 15%, France 18%, Allemagne 26%, Japon 10%.
http://www.businessmobile.fr/actualites/smartphone-internet-mobile-la-france-dans-le-peloton-de-tete-mondial-selon-google-39761718.htm#xtor=EPR-100
Google étudie les comportements des mobinautes dans le monde
Une étude de Google a analysé les comportements des mobinautes dans plus de trente pays et les implications pour les marques.
Publié le 17/06/2011
C'est dans le cadre du Mobile Marketing Forum qui s'est tenu à New York sous l'égide de la Mobile Marketing Association que Google a présenté les résultats de son étude mondiale menée conjointement avec Ipsos et TNS Infratest dans plus de 30 pays.
L'objectif était de mieux comprendre les usages des mobinautes à travers le monde et leurs implications pour les entreprises et le positionnement de leurs marques.Le volet concernant la France a été publié le 16 juin (voir archives).Cette étude repose sur deux enquêtes. La première a recueilli les témoignages de milliers d'utilisateurs de smartphones dans 30 pays. La seconde a interrogé plus de 1000 annonceurs (directeurs et décideurs marketing) dans cinq pays différents (Etats-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Japon et France).
Les principales tendances globales se dégagent côté utilisateurs :
- Les smartphones sont fréquemment utilisés comme passerelle vers le web.
-Un grand nombre d'utilisateurs ont accédé à Internet via leur smartphone chaque jour pendant les sept derniers jours : Etats-Unis 58%, Royaume-Uni 55%, France 59%, Allemagne 45%, Japon 78%.
-Ils sont également nombreux à le faire plusieurs fois par jour : Etats-Unis 53%, Royaume-Uni 49%, France 47%, Allemagne 42%, Japon 68%.
- Les mobinautes utilisent leurs smartphones pour toutes sortes d'activités
-Ils cherchent des informations locales sur leurs appareils mobiles : Etats-Unis 90%, Royaume-Uni 81%, France 83%, Allemagne 85%, Japon 90%.
-Le smartphone joue un rôle important dans le processus d'achat.
-Dans l'ensemble, les consommateurs l'utilisent dans les magasins : États-Unis 82%, Royaume-Uni 68%, France 82%, Allemagne 65%, Japon 75%.
-Ils font aussi des achats directement sur leur appareil mobile : États-Unis 29%, Royaume-Uni 28%, France 17%, Allemagne 28%, Japon 45%.
L'étude a aussi permis d'acquérir une meilleure visibilité des stratégies et activités mobiles des décideurs marketing :
-Seule une fraction des entreprises dans les cinq pays déclarent avoir des sites optimisés pour le mobile : Etats-Unis 33%, Royaume-Uni 17%, France 12%, Allemagne 37%, Japon 43% ; peu d'entreprises ont une application mobile : États-Unis 19%, Royaume-Uni 15%, France 18%, Allemagne 26%, Japon 10%.
-Les entreprises consultées déclarent pour la plupart (65%) que leur stratégie mobile vise la phase de recherche du processus d'achat.
-Les entreprises consultées déclarent pour la plupart (65%) que leur stratégie mobile vise la phase de recherche du processus d'achat.
En savoir plus sur Offremedia.com
Offremedia.com pour le JDN
http://www.journaldunet.com/ebusiness/internet-mobile/etude-google-mobinautes.shtml?f_id_newsletter=5205&utm_source=benchmail&utm_medium=ML7&utm_campaign=E10200289&f_u=23951499
Publié le 17/06/2011
C'est dans le cadre du Mobile Marketing Forum qui s'est tenu à New York sous l'égide de la Mobile Marketing Association que Google a présenté les résultats de son étude mondiale menée conjointement avec Ipsos et TNS Infratest dans plus de 30 pays.
L'objectif était de mieux comprendre les usages des mobinautes à travers le monde et leurs implications pour les entreprises et le positionnement de leurs marques.Le volet concernant la France a été publié le 16 juin (voir archives).Cette étude repose sur deux enquêtes. La première a recueilli les témoignages de milliers d'utilisateurs de smartphones dans 30 pays. La seconde a interrogé plus de 1000 annonceurs (directeurs et décideurs marketing) dans cinq pays différents (Etats-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Japon et France).
Les principales tendances globales se dégagent côté utilisateurs :
- Les smartphones sont fréquemment utilisés comme passerelle vers le web.
-Un grand nombre d'utilisateurs ont accédé à Internet via leur smartphone chaque jour pendant les sept derniers jours : Etats-Unis 58%, Royaume-Uni 55%, France 59%, Allemagne 45%, Japon 78%.
-Ils sont également nombreux à le faire plusieurs fois par jour : Etats-Unis 53%, Royaume-Uni 49%, France 47%, Allemagne 42%, Japon 68%.
- Les mobinautes utilisent leurs smartphones pour toutes sortes d'activités
-Ils cherchent des informations locales sur leurs appareils mobiles : Etats-Unis 90%, Royaume-Uni 81%, France 83%, Allemagne 85%, Japon 90%.
-Le smartphone joue un rôle important dans le processus d'achat.
-Dans l'ensemble, les consommateurs l'utilisent dans les magasins : États-Unis 82%, Royaume-Uni 68%, France 82%, Allemagne 65%, Japon 75%.
-Ils font aussi des achats directement sur leur appareil mobile : États-Unis 29%, Royaume-Uni 28%, France 17%, Allemagne 28%, Japon 45%.
L'étude a aussi permis d'acquérir une meilleure visibilité des stratégies et activités mobiles des décideurs marketing :
-Seule une fraction des entreprises dans les cinq pays déclarent avoir des sites optimisés pour le mobile : Etats-Unis 33%, Royaume-Uni 17%, France 12%, Allemagne 37%, Japon 43% ; peu d'entreprises ont une application mobile : États-Unis 19%, Royaume-Uni 15%, France 18%, Allemagne 26%, Japon 10%.
-Les entreprises consultées déclarent pour la plupart (65%) que leur stratégie mobile vise la phase de recherche du processus d'achat.
-Les entreprises consultées déclarent pour la plupart (65%) que leur stratégie mobile vise la phase de recherche du processus d'achat.
En savoir plus sur Offremedia.com
Offremedia.com pour le JDN
http://www.journaldunet.com/ebusiness/internet-mobile/etude-google-mobinautes.shtml?f_id_newsletter=5205&utm_source=benchmail&utm_medium=ML7&utm_campaign=E10200289&f_u=23951499
Mathieu Weill directeur général et Isabel Toutaud directrice juridique (Afnic)
Le directeur général, Mathieu Weill et la directice juridique de l'Afnic, Isabel Toutaud, se sont prêtés au jeu des questions/réponses pour faire le bilan des changements apportés par la nouvelle loi sur les noms de domaine.
Comment vont être mis sur le marché les termes bloqués ?
La nouvelle loi sur les noms de domaine, du 22 mars 2011, va permettre de déposer des noms de domaine jusque-là protégés, ou interdits. Lire
Quelle est la situation des noms de communes ?
Parmi les termes protégés, on trouve notamment les noms des plus de 36 000 communes de France. Que vont-ils devenir ? Lire
Qu'est-ce qui change dans le processus de règlement des litiges ?
Les procédures de règlement des litiges sur les noms de domaine ont été annulées par la loi. Lire
Quid de la procédure de l'OMPI et de l'Afnic ?
Y-aura-t-il un jour une nouvelle procédure auprès de l'OMPI ? L'Afnic entend y travailler. Mais dans un premier temps, elle préfère travailler sur la sienne. Lire
Qelles sont les modalités de l'ouverture du dépôt du .fr en Europe ?
La nouvelle loi impose aussi à l'Afnic d'autoriser l'achat de .fr au reste de l'Europe, pour les particuliers comme pour les entreprises. Lire
Quel sera l'impact de la loi sur les noms de domaine ultra-marins ?
Comment les noms de domaine ultra-marins que gère l'Afnic vont ils être impactés par cette nouvelle loi ? Lire
Le prix du .fr va-t-il baisser ?
Le prix médian d'un .fr est de 12 euros par an, soit à peu près autant qu'un .com. Va-t-il baisser ? Lire
Réalisé par La rédaction, Journal du Net
Publié le 17/06/2011
http://www.journaldunet.com/ebusiness/le-net/mathieu-weill-directeur-general-et-isabel-toutaud-directrice-juridique-nouvelle-loi-noms-de-domaine/?f_id_newsletter=5205&utm_source=benchmail&utm_medium=ML7&utm_campaign=E10200289&f_u=23951499
Comment vont être mis sur le marché les termes bloqués ?
La nouvelle loi sur les noms de domaine, du 22 mars 2011, va permettre de déposer des noms de domaine jusque-là protégés, ou interdits. Lire
Quelle est la situation des noms de communes ?
Parmi les termes protégés, on trouve notamment les noms des plus de 36 000 communes de France. Que vont-ils devenir ? Lire
Qu'est-ce qui change dans le processus de règlement des litiges ?
Les procédures de règlement des litiges sur les noms de domaine ont été annulées par la loi. Lire
Quid de la procédure de l'OMPI et de l'Afnic ?
Y-aura-t-il un jour une nouvelle procédure auprès de l'OMPI ? L'Afnic entend y travailler. Mais dans un premier temps, elle préfère travailler sur la sienne. Lire
Qelles sont les modalités de l'ouverture du dépôt du .fr en Europe ?
La nouvelle loi impose aussi à l'Afnic d'autoriser l'achat de .fr au reste de l'Europe, pour les particuliers comme pour les entreprises. Lire
Quel sera l'impact de la loi sur les noms de domaine ultra-marins ?
Comment les noms de domaine ultra-marins que gère l'Afnic vont ils être impactés par cette nouvelle loi ? Lire
Le prix du .fr va-t-il baisser ?
Le prix médian d'un .fr est de 12 euros par an, soit à peu près autant qu'un .com. Va-t-il baisser ? Lire
Réalisé par La rédaction, Journal du Net
Publié le 17/06/2011
http://www.journaldunet.com/ebusiness/le-net/mathieu-weill-directeur-general-et-isabel-toutaud-directrice-juridique-nouvelle-loi-noms-de-domaine/?f_id_newsletter=5205&utm_source=benchmail&utm_medium=ML7&utm_campaign=E10200289&f_u=23951499
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