Après la publication d'informations évoquant le départ de
Dassault du consortium de Cloud français, son concurrent Atos réagit. La
société pourrait donc se joindre à Thales, Orange et la Caisse des
Dépôts et consignations dans ce projet.
Le projet Andromède est un consortium regroupant investisseurs privés et publics en matière de Cloud computing. La France a déjà participé à hauteur de 135 millions d'euros dans cette structure quadripartite. Précisément, l'Etat détient par le biais de la Caisse des Dépôts un tiers des droits de vote. Le reste était réparti entre Orange et Dassault Systèmes qui disposent de 26,7 % des parts. Enfin, Thales détient 13,3 % des droits de vote.
Suite aux annonces de départ de Dassault, le p-dg d'Atos a dévoilé son intention de remplacer à pied levé son concurrent. Thierry Breton a donc expliqué à BFM Business qu'il était ouvert à toute discussion avec l'Etat : « C'est notre rôle. Si on nous le demande, on l'assumera », précise-t-il. De son côté, le ministre de l'Economie numérique entendra les arguments de chacun lors d'un rendez-vous avec les acteurs concernés le 20 janvier prochain. Selon Le Monde.fr, il s'agira de faire « un point d'étape » au sujet de ce projet Andromède.
Lors de cette réunion, les acteurs publics et privés de ce consortium devront tirer au clair les accusations présumées de Dassault à l'encontre d'Orange. En effet, les deux entités se seraient opposées sur de nombreux points. Par exemple, l'éditeur reprocherait à l'opérateur de pratiquer des tarifs trop peu concurrentiels par rapport aux autres offres présentes sur le marché...
Le projet Andromède est un consortium regroupant investisseurs privés et publics en matière de Cloud computing. La France a déjà participé à hauteur de 135 millions d'euros dans cette structure quadripartite. Précisément, l'Etat détient par le biais de la Caisse des Dépôts un tiers des droits de vote. Le reste était réparti entre Orange et Dassault Systèmes qui disposent de 26,7 % des parts. Enfin, Thales détient 13,3 % des droits de vote.
Suite aux annonces de départ de Dassault, le p-dg d'Atos a dévoilé son intention de remplacer à pied levé son concurrent. Thierry Breton a donc expliqué à BFM Business qu'il était ouvert à toute discussion avec l'Etat : « C'est notre rôle. Si on nous le demande, on l'assumera », précise-t-il. De son côté, le ministre de l'Economie numérique entendra les arguments de chacun lors d'un rendez-vous avec les acteurs concernés le 20 janvier prochain. Selon Le Monde.fr, il s'agira de faire « un point d'étape » au sujet de ce projet Andromède.
Lors de cette réunion, les acteurs publics et privés de ce consortium devront tirer au clair les accusations présumées de Dassault à l'encontre d'Orange. En effet, les deux entités se seraient opposées sur de nombreux points. Par exemple, l'éditeur reprocherait à l'opérateur de pratiquer des tarifs trop peu concurrentiels par rapport aux autres offres présentes sur le marché...
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