
Il détecte à distance le rythme cardiaque, le rythme respiratoire, la température de la peau et les expressions faciales fugitives et déterminer ainsi si les intentions de la personne sont bonnes ou mauvaises.
Pour y arriver, le système utilise divers capteurs (il y a un peu de tout, ça va de la simple caméra, à la caméra infrarouge aux radars laser sans danger pour les yeux) et ces données sont croisées pour vérifier si les marqueurs biologiques trahissent de mauvaises intentions. A l’époque, des volontaires devaient agir de manière suspecte et le système avait un taux de réponses justes de 78%. Le but du système étant d’aider les policiers à déterminer s’ils doivent interroger une personne, la fouiller dans un espace public peuplé tels les aéroports, sites touristiques etc…
Aujourd’hui, FAST a le droit de « récupérer, analyser et garder les informations » sur des personnes extérieures au projet. Pour l’instant, il ne s’agit que d’employés volontaires du Département de la sécurité intérieur (DHS). Robert Middleton, Jr., le dirigeant du programme FAST, a dit que pendant ces nouveaux tests : « les capteurs vont récupérer de manière non-intrusive des images vidéos, des enregistrements audio, et des mesusres psychophysiologique des employées. »
Un pas de plus vient d’être franchi vers Minority Report, et ce système n’exige pas l’utilisation de precogs. [CBS]
http://www.gizmodo.fr/2011/10/11/fast-le-systeme-de-detection-des-pensees-hostiles-s%e2%80%99en-prend-a-des-volontaires.html?utm_source=Newsletter+Gizmodo&utm_campaign=b761cb06ca-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email
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