France : tablettes et smartphones raflent la mise, des miettes pour le reste de l'électronique
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par la rédaction, ZDNet France. Publié le 30 mai 2011
Tags: Ecrans plats, Smartphone, Tablette tactile, Chiffres, Console de jeu,
Stratégie - Appareils photo, consoles de jeu, lecteurs DVD ou Mp3, camescopes : les ventes de ces appareils sont en fort repli depuis le début de l'année selon GfK.
Le carton en France des smartphones et des tablettes a son revers. Le reste de l'électronique grand public subit en effet de grosses turbulences depuis le début de l'année, selon une étude de GfK relayée par Les Echos.
Les dépenses des Français ne sont pas extensibles et la crise favorise les arbitrages. La priorité va donc aux terminaux mobiles type smartphones et tablettes, quitte à sacrifier d'autres dépenses.
+100% pour les ventes de tablettes
On l'a vu, les ventes de PC en France se sont écroulées de 15% au premier trimestre même si évidemment ce repli ne peut évidemment être mis sur le dos des tablettes tactiles uniquement. Mais lorsqu'on observe les tendances du reste du secteur, on voit bien que certains segments de marché ont souffert de cette tendance.
Ainsi, de janvier à mai, des ventes de lecteurs de DVD se sont repliées de 16%, -15% pour les GPS, celles de lecteurs audio de 14%, les livraisons de camescopes reculent de 10%, -4% pour les appareils photos et -10% pour les consoles de jeu.
Pendant ce temps, les ventes de tablettes bondissent de 100% et celles de smartphones de 66%. Attention toutefois aux raccourcis hâtifs. Certains de ces marchés sont en recul depuis longtemps déjà (lecteurs MP3, lecteurs de DVD, GPS). Mais il semble bien que l'appétence pour les tablettes et les smartphones impactera longtemps le secteur.
Si les tablettes sont accusées de rogner sur le marché des PC, ce sont surtout les smartphones qui peuvent remplacer de nombreux autres appareils (baladeurs audio, vidéo et GPS). Compte tenu de leurs coûts et des abonnements associés, ils monopolisent donc les dépenses, serrées, des Français.
http://www.zdnet.fr/actualites/france-tablettes-et-smartphones-raflent-la-mise-des-miettes-pour-le-reste-de-l-electronique-39761248.htm#xtor=EPR-100
Les nouveaux usages d'aujourd'hui seront les business de demain. Revue de presse sur les tendances et évolutions technologiques utiles. http://theitwatcher.fr/.
mardi 31 mai 2011
Android Market : Près de 80% des applications Android payantes n'ont été téléchargées que 100 fois
Android Market : Près de 80% des applications Android payantes n'ont été téléchargées que 100 fois
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par la rédaction, businessMOBILE.fr. Publié le 30 mai 2011Tags: Android, Android Market, Chiffres, Business,
Application - Selon une étude menée par Distimo, les développeurs ont plus de mal à tirer des revenus de l’Android Market que de l’App Store.
Après avoir annoncé le mois dernier que le nombre d'applications sur l'Android Market croissait à un rythme tel qu'il pourrait lui permettre de dépasser l'App Store d'Apple d'ici la rentrée, Distimo a publié une étude qui révèle l'envers du décor.Ce spécialiste de l'audience des applications pour smartphones et tablettes s'est penché sur les volumes de téléchargements des applications gratuites et payantes de l'Android Market aux États-Unis.
Et le résultat est nettement moins prometteur. 51,8% des applications gratuites ont été téléchargées moins de 1 000 fois et 19,6% moins de 100 fois. L'application gratuite la plus populaire est Google Maps qui totalise 50 millions de téléchargements.
Paiement intégré, un espoir pour les développeurs ?Le constat est encore plus sévère du côté des applications payantes. Près de 80% de celles-ci ont été téléchargées moins de 100 fois. Seulement deux applications payantes ont dépassé les 500 000 téléchargements.
Par comparaison, 6 titres payants présents sur l'App Store ont atteint ce seuil en l'espace de 2 mois rien qu'aux États-Unis. Selon Distimo, ce phénomène peut expliquer pourquoi une majorité d'applications sont gratuites et pourquoi les développeurs ont recours à la publicité pour gagner de l'argent.L'étude cite l'exemple du jeu best-seller Angry Birds dont les différents opus sont vendus sur l'App Store d'Apple alors qu'ils sont proposés gratuitement sur l'Android Market mais contiennent de la publicité.
Distimo pense que le paiement intégré aux applications introduit récemment par Google devrait améliorer les choses en ouvrant les opportunités de monétisation pour les développeurs. (Eureka Presse)
http://www.businessmobile.fr/actualites/android-market-pres-de-80-des-applications-android-payantes-n-ont-ete-telechargees-que-100-fois-39761234.htm#xtor=EPR-100
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par la rédaction, businessMOBILE.fr. Publié le 30 mai 2011Tags: Android, Android Market, Chiffres, Business,
Application - Selon une étude menée par Distimo, les développeurs ont plus de mal à tirer des revenus de l’Android Market que de l’App Store.
Après avoir annoncé le mois dernier que le nombre d'applications sur l'Android Market croissait à un rythme tel qu'il pourrait lui permettre de dépasser l'App Store d'Apple d'ici la rentrée, Distimo a publié une étude qui révèle l'envers du décor.Ce spécialiste de l'audience des applications pour smartphones et tablettes s'est penché sur les volumes de téléchargements des applications gratuites et payantes de l'Android Market aux États-Unis.
Et le résultat est nettement moins prometteur. 51,8% des applications gratuites ont été téléchargées moins de 1 000 fois et 19,6% moins de 100 fois. L'application gratuite la plus populaire est Google Maps qui totalise 50 millions de téléchargements.
Paiement intégré, un espoir pour les développeurs ?Le constat est encore plus sévère du côté des applications payantes. Près de 80% de celles-ci ont été téléchargées moins de 100 fois. Seulement deux applications payantes ont dépassé les 500 000 téléchargements.
Par comparaison, 6 titres payants présents sur l'App Store ont atteint ce seuil en l'espace de 2 mois rien qu'aux États-Unis. Selon Distimo, ce phénomène peut expliquer pourquoi une majorité d'applications sont gratuites et pourquoi les développeurs ont recours à la publicité pour gagner de l'argent.L'étude cite l'exemple du jeu best-seller Angry Birds dont les différents opus sont vendus sur l'App Store d'Apple alors qu'ils sont proposés gratuitement sur l'Android Market mais contiennent de la publicité.
Distimo pense que le paiement intégré aux applications introduit récemment par Google devrait améliorer les choses en ouvrant les opportunités de monétisation pour les développeurs. (Eureka Presse)
http://www.businessmobile.fr/actualites/android-market-pres-de-80-des-applications-android-payantes-n-ont-ete-telechargees-que-100-fois-39761234.htm#xtor=EPR-100
Paiement mobile : Google Wallet en images
Paiement mobile : Google Wallet en images
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par la rédaction, businessMOBILE.fr. Publié le 30 mai 2011Tags: Android, Google, NFC, Paiement mobile,
Application - Le projet s'articule autour d'une application gratuite à installer sur un smartphone Android. Il suffit alors d'approcher son terminal d'un boîtier dédié (chez les commerçants participants) pour effectuer un achat. Mais le paiement mobile n'est pas la seule possibilité.
Le service, baptisé Google Wallet est lancée en partenariat avec le géant de la carte Mastercard, la banque Citigroup, l'opérateur Sprint et le spécialiste français des terminaux de paiement Ingenico.
Google Wallet sera accessible aux utilisateurs de smartphones de New York et San Francisco cet été, avant l'ensemble des Etats-Unis, puis à l'Europe et à l'Asie.
Par la rédaction, businessMOBILE.fr
http://www.businessmobile.fr/actualites/paiement-mobile-google-wallet-en-images-39761239.htm#xtor=EPR-100
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par la rédaction, businessMOBILE.fr. Publié le 30 mai 2011Tags: Android, Google, NFC, Paiement mobile,
Application - Le projet s'articule autour d'une application gratuite à installer sur un smartphone Android. Il suffit alors d'approcher son terminal d'un boîtier dédié (chez les commerçants participants) pour effectuer un achat. Mais le paiement mobile n'est pas la seule possibilité.
Le service, baptisé Google Wallet est lancée en partenariat avec le géant de la carte Mastercard, la banque Citigroup, l'opérateur Sprint et le spécialiste français des terminaux de paiement Ingenico.
Google Wallet sera accessible aux utilisateurs de smartphones de New York et San Francisco cet été, avant l'ensemble des Etats-Unis, puis à l'Europe et à l'Asie.
Par la rédaction, businessMOBILE.fr
http://www.businessmobile.fr/actualites/paiement-mobile-google-wallet-en-images-39761239.htm#xtor=EPR-100
Asus présente son « Padfone », un hybride smartphone-tablette
Asus présente son « Padfone », un hybride smartphone-tablette
par Pierrick Aubert, businessMOBILE.fr. Publié le 30 mai 2011Tags: Asus, Smartphone, Tablette tactile,
Technologie - En amont du salon annuel Computex, Asus dévoile sa dernière nouveauté. Baptisée "Padfone", il s’agit d’une tablette tactile de 10 pouces pouvant accueillir un smartphone. La compagnie reste toutefois silencieuse sur les caractéristiques techniques du produit.
Asus crée l'événement à la veille du Computex 2011. Le constructeur taïwanais a présenté son dernier concept : le Padfone. Après plusieurs jours de teasing, notamment sur sa page Facebook, la compagnie dévoile sa solution mobile hybride en combinant un smartphone et une tablette. Concrètement, un smartphone (un modèle spécifique qui reste encore mystérieux) à écran tactile de 4,3'' vient se loger dans un compartiment à l'arrière d'une tablette 10,1''.
Une fois connecté, le mobile partage sa connexion ainsi que ses données pour afficher ou utiliser les applications et contenus du téléphone sur la tablette. Outre son rôle d'écran supplémentaire 10 pouces, la tablette fait également office de seconde batterie. Une SIM pour deux appareilsAlors que les opérateurs proposent d'une part des forfaits mobiles 3G et de l'autre des forfaits dédiés aux tablettes, Asus dévoile un dispositif innovant où un seul abonnement suffi. En effet, le smartphone joue ici le rôle du « cerveau » et s'impose comme étant le moteur des deux appareils. Pour faire simple, le constructeur taïwanais joue aux poupées russes en glissant une carte SIM dans un mobile, qui à son tour se glisse dans une tablette. Selon les premières informations données par Asus, on comprend alors rapidement que la tablette seule est inutilisable.
et l'OS ?Si l'allure du produit n'a plus de secret pour les curieux, le mystère du système d'exploitation reste entier. A priori, le smartphone devrait fonctionner sous Android, mais, étant associé à une tablette, impossible qu'il s'agisse d'Honeycomb puisque l'écran de 4,3'' serait insuffisant. Aucune information n'a été divulguée à ce jour, mais le constructeur a habillement su semer le doute en présentant tantôt des copies d'écran Android, tantôt des images d'Internet Explorer.La configuration du Padfone et son OS restent inconnus, mais les regards se tournent désormais vers Microsoft. Alors que Windows 8 se précise, les rumeurs se font nombreuses. Du côté de Google, la prochaine mouture Ice Cream Sandwich d'Android devrait être en mesure de fonctionner sur les deux supports. Une date de sortie ?« Pas avant 2012 », déclare Asus. Après le lancement de l'EeePad : une tablette qui une fois connectée à un clavier devient littéralement un Netbook, la compagnie taïwanaise semble faire des technologies hybrides son cheval de bataille.Bien que le concept « smartphone-tablette tout en un » soit pour l'instant unique en son genre, l'idée n'est pas sans rappeler le dernier né de chez Motorola. Qualifié de « superphone », l'Atrix peut être associé en plug and play à un pc portable, grâce à son « Laptop Dock ».
http://www.businessmobile.fr/actualites/asus-presente-son-padfone-un-hybride-smartphone-tablette-39761253.htm#xtor=EPR-100
par Pierrick Aubert, businessMOBILE.fr. Publié le 30 mai 2011Tags: Asus, Smartphone, Tablette tactile,
Technologie - En amont du salon annuel Computex, Asus dévoile sa dernière nouveauté. Baptisée "Padfone", il s’agit d’une tablette tactile de 10 pouces pouvant accueillir un smartphone. La compagnie reste toutefois silencieuse sur les caractéristiques techniques du produit.
Asus crée l'événement à la veille du Computex 2011. Le constructeur taïwanais a présenté son dernier concept : le Padfone. Après plusieurs jours de teasing, notamment sur sa page Facebook, la compagnie dévoile sa solution mobile hybride en combinant un smartphone et une tablette. Concrètement, un smartphone (un modèle spécifique qui reste encore mystérieux) à écran tactile de 4,3'' vient se loger dans un compartiment à l'arrière d'une tablette 10,1''.
Une fois connecté, le mobile partage sa connexion ainsi que ses données pour afficher ou utiliser les applications et contenus du téléphone sur la tablette. Outre son rôle d'écran supplémentaire 10 pouces, la tablette fait également office de seconde batterie. Une SIM pour deux appareilsAlors que les opérateurs proposent d'une part des forfaits mobiles 3G et de l'autre des forfaits dédiés aux tablettes, Asus dévoile un dispositif innovant où un seul abonnement suffi. En effet, le smartphone joue ici le rôle du « cerveau » et s'impose comme étant le moteur des deux appareils. Pour faire simple, le constructeur taïwanais joue aux poupées russes en glissant une carte SIM dans un mobile, qui à son tour se glisse dans une tablette. Selon les premières informations données par Asus, on comprend alors rapidement que la tablette seule est inutilisable.
et l'OS ?Si l'allure du produit n'a plus de secret pour les curieux, le mystère du système d'exploitation reste entier. A priori, le smartphone devrait fonctionner sous Android, mais, étant associé à une tablette, impossible qu'il s'agisse d'Honeycomb puisque l'écran de 4,3'' serait insuffisant. Aucune information n'a été divulguée à ce jour, mais le constructeur a habillement su semer le doute en présentant tantôt des copies d'écran Android, tantôt des images d'Internet Explorer.La configuration du Padfone et son OS restent inconnus, mais les regards se tournent désormais vers Microsoft. Alors que Windows 8 se précise, les rumeurs se font nombreuses. Du côté de Google, la prochaine mouture Ice Cream Sandwich d'Android devrait être en mesure de fonctionner sur les deux supports. Une date de sortie ?« Pas avant 2012 », déclare Asus. Après le lancement de l'EeePad : une tablette qui une fois connectée à un clavier devient littéralement un Netbook, la compagnie taïwanaise semble faire des technologies hybrides son cheval de bataille.Bien que le concept « smartphone-tablette tout en un » soit pour l'instant unique en son genre, l'idée n'est pas sans rappeler le dernier né de chez Motorola. Qualifié de « superphone », l'Atrix peut être associé en plug and play à un pc portable, grâce à son « Laptop Dock ».
http://www.businessmobile.fr/actualites/asus-presente-son-padfone-un-hybride-smartphone-tablette-39761253.htm#xtor=EPR-100
93 % des Français préfèrent l'écrit au numérique
93 % des Français préfèrent l'écrit au numérique
Par Claude Alpi, 25/05/2011
“L'écrit fait de la résistance” face au livre numérique, selon les résultats d'un sondage Harris Interactive. 77 % des Français estiment qu'ils préféreront toujours l'écrit dans dix ans.
À lire aussi
Les Français toujours accros au papier
"Renforcer oui, légiférer non"
L'Ile-de-France passe au tout numérique
Médiamétrie : les Français gloutons des médias
"Renforcer notre puissance dans le domaine de l'impression quadri"
“Les paroles s'envolent, les écrits restent”. De cette maxime, que reste-t-il à l'heure du iPad et du numérique ? Apparemment, l’écrit fait de la résistance. Selon un sondage Harris Interactive, réalisé à l’occasion de la sortie du livre de Raymond Redding sur ce thème, 93 % des Français déclarent aujourd'hui trouver plus agréable et confortable de lire un livre sur papier qu'un livre numérique. Pour 77 % d’entre eux leur préférence ira toujours à l’écrit dans dix ans. Toujours d’après Harris Interactive, le papier constitue aussi le support privilégié pour recevoir différents documents personnels, du bulletin de paie (87 % des salariés) aux messages d'amour, d'amitié et familiaux (64 %). Le support numérique (e-mail) est privilégié pour des contenus peu personnalisés (publicité : 56 %).
Mots clés : Sondage Numérique Harris interactive
http://www.e-marketing.fr/Breves/93-des-Fran-ais-preferent-l-ecrit-au-numerique--39517.htm?xtor=EPR-4&XType=XTM&isn=31/05/2011
Par Claude Alpi, 25/05/2011
“L'écrit fait de la résistance” face au livre numérique, selon les résultats d'un sondage Harris Interactive. 77 % des Français estiment qu'ils préféreront toujours l'écrit dans dix ans.
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Mots clés : Sondage Numérique Harris interactive
http://www.e-marketing.fr/Breves/93-des-Fran-ais-preferent-l-ecrit-au-numerique--39517.htm?xtor=EPR-4&XType=XTM&isn=31/05/2011
Les mamans françaises sont des "iPhone moms"
Les mamans françaises sont des "iPhone moms"
Par Catherine HEURTEBISE, 27/05/2011
D'après l'Institut des mamans, près d'une maman française sur trois possède un smartphone et elles font preuve d'un intérêt manifeste pour ses fonctionnalités et applications.
À lire aussi
Internet : pratique pour les séniors, ludique pour les jeunes
Les mamans aiment Facebook
Comment les mamans utilisent Internet pour leurs achats
Ce que la crise a changé dans les comportements d'achats des mamans
Le phénomène des "iPhone moms", né aux États-Unis (le blog theiphonemom.com, avec son titre "because it’s not your husband’s iPhone", est éloquent ) n’est pas en reste en France. D'après l'Institut des mamans (*), près d'une mère française sur trois possède un smartphone (31%). Certaines se sont emparées de cette nouvelle technologie plus rapidement : les CSP+ (46%), ou de foyers CSP+ (42%), les revenus supérieurs (39%), enfin les mamans urbaines, vivant dans des agglomérations de plus de 100 000 habitants (45%), les Parisiennes (49%). On note aussi des taux d’équipement supérieurs, mais dans une moindre mesure, chez les mères plus jeunes : les moins de 30 ans (34%) et chez les primipares (35%). Le critère d’activité de la mère n’a pas d’impact (le taux de possession est stable, 32%, sur cette cible), preuve s’il en est que le smartphone n’est pas réservé à la sphère professionnelle… Les femmes l’utilisent pour gérer au quotidien une vie bien remplie, faisant de leur smartphone et donc de l’Internet mobile un allié précieux. Les mamans sont en effet très largement connectées via leur smartphone, puisque sept sur dix se connectent quotidiennement à Internet, une sur deux plusieurs fois par jour (52%).
L’essor des smartphones maintient aussi le téléchargement d’applications, gratuites ou payantes, à la hausse : aujourd’hui en France, sept mamans sur dix (71%), parmi celles qui possèdent un smartphone, ont déjà téléchargé des applications et parmi ces dernières, près d’une sur deux (44%) télécharge de façon régulière de nouvelles applis.
Les mères montrent d’ailleurs un intérêt manifeste pour les fonctionnalités et applications nouvelles s’adressant spécifiquement à elles et aux jeunes parents.Si l’on s’intéresse aux seules applications ciblant spécifiquement les mamans et parents de jeunes enfants, nous avons alors une mère sur cinq (21%) qui en a déjà téléchargé. Et parmi celles qui n’ont pas encore franchi le cap, 44% ont l’intention de le faire dans les six prochains mois …Les trois principales attentes des "iPhone moms" vis-à-vis de ces WebApps ciblées : bénéficier d’avantages - offres personnalisées, bons plans, bonnes affaires – (39%) ; recevoir des informations pratiques (28%) ; s’informer sur une thématique ou un sujet en particulier (15%). Elles sont peu nombreuses à exprimer, sur ce type d’applications, le besoin de jouer, de se divertir (7%) ou d’être en contact avec d’autres mamans, parents (2%).
Qu’en est-il des formats publicitaires mobiles ? Ils devraient connaître un certain succès à condition d'être utiles, d’apporter de vrais "plus" pour le shopping de nos "mobile moms". En effet, elles souhaitent surtout qu’une marque leur communique des offres promotionnelles, des cartes cadeaux, des coupons… en fonction de ses achats passés (près de trois mamans sur quatre, 71%). Plus de 40% aimeraient pouvoir avoir davantage d’informations sur un produit en scannant son code-barres lors de ses courses. Une maman sur quatre se montre intéressée pour recevoir des publicités personnalisées en passant à proximité du produit concerné…
(*) Étude Institut des mamans, terrain on line mars 2011, auprès d’un échantillon représentatif de 600 mères d’enfants de 0 à 36 mois.
http://www.e-marketing.fr/Breves/Les-mamans-fran-aises-sont-des-iPhone-moms-39550.htm?xtor=EPR-4&XType=XTM&isn=31/05/2011
Par Catherine HEURTEBISE, 27/05/2011
D'après l'Institut des mamans, près d'une maman française sur trois possède un smartphone et elles font preuve d'un intérêt manifeste pour ses fonctionnalités et applications.
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Internet : pratique pour les séniors, ludique pour les jeunes
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Comment les mamans utilisent Internet pour leurs achats
Ce que la crise a changé dans les comportements d'achats des mamans
Le phénomène des "iPhone moms", né aux États-Unis (le blog theiphonemom.com, avec son titre "because it’s not your husband’s iPhone", est éloquent ) n’est pas en reste en France. D'après l'Institut des mamans (*), près d'une mère française sur trois possède un smartphone (31%). Certaines se sont emparées de cette nouvelle technologie plus rapidement : les CSP+ (46%), ou de foyers CSP+ (42%), les revenus supérieurs (39%), enfin les mamans urbaines, vivant dans des agglomérations de plus de 100 000 habitants (45%), les Parisiennes (49%). On note aussi des taux d’équipement supérieurs, mais dans une moindre mesure, chez les mères plus jeunes : les moins de 30 ans (34%) et chez les primipares (35%). Le critère d’activité de la mère n’a pas d’impact (le taux de possession est stable, 32%, sur cette cible), preuve s’il en est que le smartphone n’est pas réservé à la sphère professionnelle… Les femmes l’utilisent pour gérer au quotidien une vie bien remplie, faisant de leur smartphone et donc de l’Internet mobile un allié précieux. Les mamans sont en effet très largement connectées via leur smartphone, puisque sept sur dix se connectent quotidiennement à Internet, une sur deux plusieurs fois par jour (52%).
L’essor des smartphones maintient aussi le téléchargement d’applications, gratuites ou payantes, à la hausse : aujourd’hui en France, sept mamans sur dix (71%), parmi celles qui possèdent un smartphone, ont déjà téléchargé des applications et parmi ces dernières, près d’une sur deux (44%) télécharge de façon régulière de nouvelles applis.
Les mères montrent d’ailleurs un intérêt manifeste pour les fonctionnalités et applications nouvelles s’adressant spécifiquement à elles et aux jeunes parents.Si l’on s’intéresse aux seules applications ciblant spécifiquement les mamans et parents de jeunes enfants, nous avons alors une mère sur cinq (21%) qui en a déjà téléchargé. Et parmi celles qui n’ont pas encore franchi le cap, 44% ont l’intention de le faire dans les six prochains mois …Les trois principales attentes des "iPhone moms" vis-à-vis de ces WebApps ciblées : bénéficier d’avantages - offres personnalisées, bons plans, bonnes affaires – (39%) ; recevoir des informations pratiques (28%) ; s’informer sur une thématique ou un sujet en particulier (15%). Elles sont peu nombreuses à exprimer, sur ce type d’applications, le besoin de jouer, de se divertir (7%) ou d’être en contact avec d’autres mamans, parents (2%).
Qu’en est-il des formats publicitaires mobiles ? Ils devraient connaître un certain succès à condition d'être utiles, d’apporter de vrais "plus" pour le shopping de nos "mobile moms". En effet, elles souhaitent surtout qu’une marque leur communique des offres promotionnelles, des cartes cadeaux, des coupons… en fonction de ses achats passés (près de trois mamans sur quatre, 71%). Plus de 40% aimeraient pouvoir avoir davantage d’informations sur un produit en scannant son code-barres lors de ses courses. Une maman sur quatre se montre intéressée pour recevoir des publicités personnalisées en passant à proximité du produit concerné…
(*) Étude Institut des mamans, terrain on line mars 2011, auprès d’un échantillon représentatif de 600 mères d’enfants de 0 à 36 mois.
http://www.e-marketing.fr/Breves/Les-mamans-fran-aises-sont-des-iPhone-moms-39550.htm?xtor=EPR-4&XType=XTM&isn=31/05/2011
lundi 30 mai 2011
Algorithme Panda de Google : en France dans les deux mois à venir
Algorithme Panda de Google : en France dans les deux mois à venir
Stratégie - En raison de certaines spécificités par rapport aux sites anglophones, le déploiement de l’algorithme Panda sur le moteur de Google ne concernera pas l'Europe, et les sites français, avant encore plusieurs semaines. Les effets de bords devraient être nuls ou minimes pour l’immense majorité des sites français juge le consultant en référencement Olivier Andrieu.
Le déploiement du nouvel algorithme de Google est suivi de très près. Cela s’explique par les changements majeurs apportés par le moteur dans le référencement des sites. Sa mise à œuvre, effective pour l'ensemble des requêtes anglophones, influe en effet directement sur le ranking et donc le trafic renvoyé par Google.
Les changements sont en particulier notables pour les sites basés sur le modèle des fermes de contenus, mais aussi les comparateurs de prix. En France les spécialistes du SEO surveillent et préparent déjà sa mise en fonction.
Une structure de liens spécifique en Pologne
Ils disposent toutefois encore de plusieurs semaines pour cela. Dans un chat sur Search Engine Land, Matt Cutts, le monsieur référencement de Google, explique que l’application de Panda aux requêtes non anglophones prendra un peu de temps, et devrait donc vraisemblablement intervenir dans les deux prochains mois.
Ce délai est nécessaire précise Matt Cutts pour prendre en compte certaines différences des sites Internet d'un pays à l'autre. « La structure des liens des sites en Pologne est très différente » de celle d’autres Etats, détaille-t-il ainsi.
Pour le consultant en référencement et éditeur d’Abondance.com, Olivier Andrieu, « l'immense majorité des sites web français ne subiront quasiment aucun impact à l'arrivée de Panda ».
Pas sans douleur pour agrégateurs, comparateurs et fermes de contenus
L’algorithme « vise en France des sites web de piètre qualité ou des sites en soi intéressants mais qui n'ont pas obligatoirement leur place dans les résultats naturels des moteurs de recherche » ajoute-t-il dans un billet.
Les conséquences devraient toutefois être bien réelles pour certaines catégories et sites bien identifiés. Le consultant cite ainsi les comparateurs de prix, les agrégateurs et fermes de contenus comme Wikio, par exemple.
« Créer une ferme de contenus en France en 2011, c'était se promettre à court terme un hara-kiri numérique de la plus belle des manières... Il ne fallait pas être un grand visionnaire pour se rendre compte que le phénomène serait éphémère et qu'il était déjà trop tard en France pour le lancer... » commente encore Olivier Andrieu sur Abondance.com.
par , ZDNet France. Publié le 27 mai 2011
Tags: Google, Moteur de recherche, Stratégie,
Stratégie - En raison de certaines spécificités par rapport aux sites anglophones, le déploiement de l’algorithme Panda
http://www.zdnet.fr/actualites/algorithme-panda-de-google-en-france-dans-les-deux-mois-a-venir-39761201.htm#xtor=EPR-100
Stratégie - En raison de certaines spécificités par rapport aux sites anglophones, le déploiement de l’algorithme Panda sur le moteur de Google ne concernera pas l'Europe, et les sites français, avant encore plusieurs semaines. Les effets de bords devraient être nuls ou minimes pour l’immense majorité des sites français juge le consultant en référencement Olivier Andrieu.
Le déploiement du nouvel algorithme de Google est suivi de très près. Cela s’explique par les changements majeurs apportés par le moteur dans le référencement des sites. Sa mise à œuvre, effective pour l'ensemble des requêtes anglophones, influe en effet directement sur le ranking et donc le trafic renvoyé par Google.
Les changements sont en particulier notables pour les sites basés sur le modèle des fermes de contenus, mais aussi les comparateurs de prix. En France les spécialistes du SEO surveillent et préparent déjà sa mise en fonction.
Une structure de liens spécifique en Pologne
Ils disposent toutefois encore de plusieurs semaines pour cela. Dans un chat sur Search Engine Land, Matt Cutts, le monsieur référencement de Google, explique que l’application de Panda aux requêtes non anglophones prendra un peu de temps, et devrait donc vraisemblablement intervenir dans les deux prochains mois.
Ce délai est nécessaire précise Matt Cutts pour prendre en compte certaines différences des sites Internet d'un pays à l'autre. « La structure des liens des sites en Pologne est très différente » de celle d’autres Etats, détaille-t-il ainsi.
Pour le consultant en référencement et éditeur d’Abondance.com, Olivier Andrieu, « l'immense majorité des sites web français ne subiront quasiment aucun impact à l'arrivée de Panda ».
Pas sans douleur pour agrégateurs, comparateurs et fermes de contenus
L’algorithme « vise en France des sites web de piètre qualité ou des sites en soi intéressants mais qui n'ont pas obligatoirement leur place dans les résultats naturels des moteurs de recherche » ajoute-t-il dans un billet.
Les conséquences devraient toutefois être bien réelles pour certaines catégories et sites bien identifiés. Le consultant cite ainsi les comparateurs de prix, les agrégateurs et fermes de contenus comme Wikio, par exemple.
« Créer une ferme de contenus en France en 2011, c'était se promettre à court terme un hara-kiri numérique de la plus belle des manières... Il ne fallait pas être un grand visionnaire pour se rendre compte que le phénomène serait éphémère et qu'il était déjà trop tard en France pour le lancer... » commente encore Olivier Andrieu sur Abondance.com.
par , ZDNet France. Publié le 27 mai 2011
Tags: Google, Moteur de recherche, Stratégie,
Stratégie - En raison de certaines spécificités par rapport aux sites anglophones, le déploiement de l’algorithme Panda
http://www.zdnet.fr/actualites/algorithme-panda-de-google-en-france-dans-les-deux-mois-a-venir-39761201.htm#xtor=EPR-100
Paiement mobile : Google lance Wallet sa solution NFC
Paiement mobile : Google lance Wallet sa solution NFC
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par Olivier Chicheportiche, businessMOBILE.fr. Publié le 27 mai 2011Tags: Google, NFC, Paiement mobile,
Business - Google Wallet sera accessible aux utilisateurs de smartphones de New York et San Francisco cet été, avant l'ensemble des Etats-Unis, puis à l'Europe et à l'Asie.
Comme prévu, Google vient de confirmer ses intentions dans le paiement mobile à travers la technologie NFC. Un domaine en pleine expansion. Le service, baptisé Google Wallet est lancée en partenariat avec les le géant de la carte Mastercard, de la banque Citigroup, de l'opérateur Sprint et du spécialiste français des terminaux de paiement Ingenico.
Rappelons que la dernière version d'Android supporte nativement cette technologie sans contact. Mais Google a expliqué que son application a vocation à être disponible sur tous les téléphones portables dotés d'un module NFC. La plupart des grands fabricants ont d'ailleurs annoncé que la plupart de leurs nouveaux modèles seront compatibles avec cette norme.
D'abord lancé en bêta, le service sera d'abord lancé à New York et San Francisco cet été, avant une extension à l'ensemble des Etats-Unis, puis à l'Europe et à l'Asie.
Concrètement, le projet s'articule autour d'une application gratuite à installer sur un smartphone Android. Il suffit alors d'approcher son terminal d'un boîtier dédié (chez les commerçants participants) pour effectuer un achat.
Sécurité
Il sera également possible de profiter d'offres spéciales offertes par des commerçants (Google Offers), et de valider des cartes de fidélité.L'offre s'appuie sur un réseau de terminaux de paiement sans fil qui existe déjà et fonctionne avec les cartes de paiement PayPass déployés par MasterCard. 124 000 commerçants sont déjà équipés de ces terminaux et 311 000 dans le monde.
Pour rassurer les utilisateurs, la sécurité a été mise en avant. Divers systèmes de cryptage protègent le système, notamment grâce à la technologie de la société First Data. Le système sera débranché chaque fois que l'écran est éteint, et en cas de perte, un coup de fil devrait suffire à désactiver toute la fonction paiement. La puce utilisée sera "aussi sécurisée que celles utilisées dans les passeports" et un code PIN sera nécessaire avant chaque paiement.
Et pour convaincre les commerçants de s'équiper, Google et ses partenaires subventionneront les modifications d'équipements nécessaires à l'acceptation des paiements par mobile."Nous pensons que 2011 et au-delà sera l'ère du 'Mo Lo'": le commerce LOcal avec l'internet MObile, a déclaré une responsable de Google, Stephanie Tilenius, patronne des activités de Google liées au commerce."C'est un problème de l'oeuf et de la poule. Nous pensons présenter des arguments convaincants pour que les gens s'y mettent", a déclaré un autre responsable de Google, Osama Bedier, un ancien de PayPal (groupe eBay) comme Mme Tilenius, devenu responsable des paiements chez le géant de l'internet.Dès le lancement de l'application, tous les mobinautes ayant l'application Google Wallet, avec ou sans NFC, pourront profiter des "Google Offers", des promotions spéciales proposées par des commerçants - notamment des chaînes partenaires comme les grands magasins Macy's, les sandwiches Subway, ou les vêtements American Eagle Outfitters.Du côté du modèle économique, Google percevra une commission sur les ventes réalisées, comme le font déjà les sites communautaires Facebook, Groupon ou Living Social.En revanche, Google ne prélèverait aucune commission sur les moyens de paiement eux-mêmes.
Rappelons qu'en Europe et notamment en France, les projets de NFC se multiplient. Bouygues Telecom, NRJ Mobile, Orange et SFR ont ainsi annoncé leur volonté de déployer massivement les mobiles NFC Cityzi qui ont d'abord été lancés avec succès à Nice. 9 villes seront concernées. Objectif : diffuser cette année plus d'un million de terminaux compatibles.
Au Royaume-Uni, un projet à grande échelle avec Orange et Barclays vient d'être lancé.
A lire, notre analyse : Pour décoller, le NFC ne devra pas se contenter du paiement sans contact
http://www.businessmobile.fr/actualites/paiement-mobile-google-lance-wallet-sa-solution-nfc-39761180.htm
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par Olivier Chicheportiche, businessMOBILE.fr. Publié le 27 mai 2011Tags: Google, NFC, Paiement mobile,
Business - Google Wallet sera accessible aux utilisateurs de smartphones de New York et San Francisco cet été, avant l'ensemble des Etats-Unis, puis à l'Europe et à l'Asie.
Comme prévu, Google vient de confirmer ses intentions dans le paiement mobile à travers la technologie NFC. Un domaine en pleine expansion. Le service, baptisé Google Wallet est lancée en partenariat avec les le géant de la carte Mastercard, de la banque Citigroup, de l'opérateur Sprint et du spécialiste français des terminaux de paiement Ingenico.
Rappelons que la dernière version d'Android supporte nativement cette technologie sans contact. Mais Google a expliqué que son application a vocation à être disponible sur tous les téléphones portables dotés d'un module NFC. La plupart des grands fabricants ont d'ailleurs annoncé que la plupart de leurs nouveaux modèles seront compatibles avec cette norme.
D'abord lancé en bêta, le service sera d'abord lancé à New York et San Francisco cet été, avant une extension à l'ensemble des Etats-Unis, puis à l'Europe et à l'Asie.
Concrètement, le projet s'articule autour d'une application gratuite à installer sur un smartphone Android. Il suffit alors d'approcher son terminal d'un boîtier dédié (chez les commerçants participants) pour effectuer un achat.
Sécurité
Il sera également possible de profiter d'offres spéciales offertes par des commerçants (Google Offers), et de valider des cartes de fidélité.L'offre s'appuie sur un réseau de terminaux de paiement sans fil qui existe déjà et fonctionne avec les cartes de paiement PayPass déployés par MasterCard. 124 000 commerçants sont déjà équipés de ces terminaux et 311 000 dans le monde.
Pour rassurer les utilisateurs, la sécurité a été mise en avant. Divers systèmes de cryptage protègent le système, notamment grâce à la technologie de la société First Data. Le système sera débranché chaque fois que l'écran est éteint, et en cas de perte, un coup de fil devrait suffire à désactiver toute la fonction paiement. La puce utilisée sera "aussi sécurisée que celles utilisées dans les passeports" et un code PIN sera nécessaire avant chaque paiement.
Et pour convaincre les commerçants de s'équiper, Google et ses partenaires subventionneront les modifications d'équipements nécessaires à l'acceptation des paiements par mobile."Nous pensons que 2011 et au-delà sera l'ère du 'Mo Lo'": le commerce LOcal avec l'internet MObile, a déclaré une responsable de Google, Stephanie Tilenius, patronne des activités de Google liées au commerce."C'est un problème de l'oeuf et de la poule. Nous pensons présenter des arguments convaincants pour que les gens s'y mettent", a déclaré un autre responsable de Google, Osama Bedier, un ancien de PayPal (groupe eBay) comme Mme Tilenius, devenu responsable des paiements chez le géant de l'internet.Dès le lancement de l'application, tous les mobinautes ayant l'application Google Wallet, avec ou sans NFC, pourront profiter des "Google Offers", des promotions spéciales proposées par des commerçants - notamment des chaînes partenaires comme les grands magasins Macy's, les sandwiches Subway, ou les vêtements American Eagle Outfitters.Du côté du modèle économique, Google percevra une commission sur les ventes réalisées, comme le font déjà les sites communautaires Facebook, Groupon ou Living Social.En revanche, Google ne prélèverait aucune commission sur les moyens de paiement eux-mêmes.
Rappelons qu'en Europe et notamment en France, les projets de NFC se multiplient. Bouygues Telecom, NRJ Mobile, Orange et SFR ont ainsi annoncé leur volonté de déployer massivement les mobiles NFC Cityzi qui ont d'abord été lancés avec succès à Nice. 9 villes seront concernées. Objectif : diffuser cette année plus d'un million de terminaux compatibles.
Au Royaume-Uni, un projet à grande échelle avec Orange et Barclays vient d'être lancé.
A lire, notre analyse : Pour décoller, le NFC ne devra pas se contenter du paiement sans contact
http://www.businessmobile.fr/actualites/paiement-mobile-google-lance-wallet-sa-solution-nfc-39761180.htm
dimanche 29 mai 2011
Des écrans de smartphones qui s’auto-réparent : c’est pour demain !
Des écrans de smartphones qui s’auto-réparent : c’est pour demain !
Un smartphone qui tombe, un écran qui se brise… nous avons tous ou presque déjà vécu cette situation fort désagréable. Mais cela risque de n’être bientôt qu’un mauvais souvenir. En effet, des scientifiques sont en train de mettre au point un écran qui se répare tout seul grâce à une simple exposition au soleil.
Une équipe de chercheurs de l’Université de Fribourg en Allemagne a mis au point un écran qui possède la faculté de s’auto-réparer. En effet, grâce à une nouvelle technologie, les écrans de smartphones ou de tablettes seraient capables de se régénérer eux-mêmes en moins d’une minute.
Comment ? Grâce à un nouveau matériau plastique fait de très petites chaînes qui, ensembles, forment de longues chaînes. Ce nouveau polymère contient des ions métalliques qui, exposés à la lumière, absorbent les rayons UV et convertissent leur énergie en chaleur.
Ainsi, le polymère se liquéfie et les déchirures de l’écran sont comblées en une minute seulement. Pour stopper le processus et rendre à l’écran son état solide, il suffit alors de le retirer de la lumière.
L’application aux écrans des smartphones et autres tablettes numériques n’est pour l’instant pas possible. Le matériau créé n’est en effet pas encore assez rigide, mais les universitaires poursuivent leurs recherches pour atteindre cet objectif.
http://www.synchrone-technologies.fr/blog/?p=618
Un smartphone qui tombe, un écran qui se brise… nous avons tous ou presque déjà vécu cette situation fort désagréable. Mais cela risque de n’être bientôt qu’un mauvais souvenir. En effet, des scientifiques sont en train de mettre au point un écran qui se répare tout seul grâce à une simple exposition au soleil.
Une équipe de chercheurs de l’Université de Fribourg en Allemagne a mis au point un écran qui possède la faculté de s’auto-réparer. En effet, grâce à une nouvelle technologie, les écrans de smartphones ou de tablettes seraient capables de se régénérer eux-mêmes en moins d’une minute.
Comment ? Grâce à un nouveau matériau plastique fait de très petites chaînes qui, ensembles, forment de longues chaînes. Ce nouveau polymère contient des ions métalliques qui, exposés à la lumière, absorbent les rayons UV et convertissent leur énergie en chaleur.
Ainsi, le polymère se liquéfie et les déchirures de l’écran sont comblées en une minute seulement. Pour stopper le processus et rendre à l’écran son état solide, il suffit alors de le retirer de la lumière.
L’application aux écrans des smartphones et autres tablettes numériques n’est pour l’instant pas possible. Le matériau créé n’est en effet pas encore assez rigide, mais les universitaires poursuivent leurs recherches pour atteindre cet objectif.
http://www.synchrone-technologies.fr/blog/?p=618
vendredi 27 mai 2011
Ergonomie : avantage à l'application
Ergonomie : avantage à l'application
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Le jeu "Real Racing GTI" développé pour Volkswagen ne pouvait pas exister sous forme de site © DR
"En termes d'ergonomie et d'expérience utilisateur, les applications mobiles permettent d'aller beaucoup plus loin que les sites", estime Loïc Le Moaligou de Mobilizers. Vidéos, éléments 3D, réalité augmentée... l'affichage de contenus riches liés aux capacités techniques du smartphone est en effet pour l'instant réservé aux applications. Les jeux par exemple, qui constituent les applications les plus
http://www.journaldunet.com/ebusiness/internet-mobile/applications-vs-sites-mobiles/ergonomie.shtml
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Le jeu "Real Racing GTI" développé pour Volkswagen ne pouvait pas exister sous forme de site © DR
"En termes d'ergonomie et d'expérience utilisateur, les applications mobiles permettent d'aller beaucoup plus loin que les sites", estime Loïc Le Moaligou de Mobilizers. Vidéos, éléments 3D, réalité augmentée... l'affichage de contenus riches liés aux capacités techniques du smartphone est en effet pour l'instant réservé aux applications. Les jeux par exemple, qui constituent les applications les plus
http://www.journaldunet.com/ebusiness/internet-mobile/applications-vs-sites-mobiles/ergonomie.shtml
Formation : Applications et sites mobiles performants
Formation : Applications et sites mobiles performants
Stratégie, conception et promotion Télécharger le programme Mots clés : Communication, e-Marketing, Mobile, Web 2.0
Avec un taux d'équipement qui dépasse largement celui du PC, l'explosion des ventes de smartphones (iPhone, Android, BlackBerry...), le haut débit mobile et aussi l'arrivée sur le marché des tablettes (type iPad), l'Internet en situation de mobilité a atteint une nouvelle dimension. D’ici quelques années, le nombre de mobinautes devrait même dépasser celui des internautes au niveau mondial !
Comment se développent les usages sur le mobile ? Comment choisir entre une application et un site mobile ? Apple, Android, BlackBerry, Ovi... Sur quelles plates-formes aller en fonction de ses objectifs et de son budget ? Comment animer et faire vivre son site ou son application mobile ? Quels sont les leviers du m-marketing à actionner pour drainer du trafic sur son service ? Dans quelle mesure monétiser son audience ? Quid de l'iPad ?
Outre un benchmark complet des acteurs déjà en place, cette formation présente les meilleures pratiques et des cas d'école. Elle se fonde sur de nombreux exemples, des témoignages d'entreprises ayant développé des sites / applications mobiles et des exercices pratiques.
A qui s'adresse cette formation ?Cette formation très opérationnelle s'adresse à tous les responsables marketing et Internet soucieux d'investir efficacement ce nouveau média. Elle s'adresse aussi bien aux marques, éditeurs, organismes financiers, distributeurs ou aux cabinets de conseils désireux de mettre à jour leurs compétences sur cette thématique.
La session des 30 et 31 mai est complète.
Les personnes qui souhaitent s’inscrire à cette même formation à Lyon peuvent se rendre sur Applications et sites mobiles performants (Lyon) .
Programme de la formation
PROGRAMME DU PREMIER JOUR : Inscrire sa stratégie mobile dans le nouvel écosystème
de 9h00 à 17h30
1. Internet mobile : comprendre les mutations de l'écosystèmea. L'état de l'art : les dernières études sur l'Internet mobile
- Taux d’équipement, parts de marché des OS mobiles, évolution
du trafic Internet mobile, SMS... Les chiffres clés à maîtriser
- 3G+, 4G, réseaux intelligents, LTE, cloud… Les technologies
d'aujourd'hui, celles à venir, et leurs applications possibles
- Les principaux usages et les carrefours d’audience, l’impact des
tablettes
- La place des terminaux mobiles à l'horizon 2015b. La nouvelle chaîne de valeur dans l’industrie mobile
- L’effet de substitution fixe/mobile et la place du mobile dans les usages
de demain
- Apple, Google, BlackBerry, Nokia, Microsoft, Samsung... Analyse de la
stratégie des différentes parties prenantes
2. Définir son "ambition mobile"a. Les méthodes pour définir sa stratégie mobile
- Calibrage du projet, choix des objectifs marketing, arbitrages... Les clés
pour décider
- Intégrer le mobile dans sa stratégie de communication 360b. Affiner sa tactique opérationnelle sur le mobile
- Site ou application mobile ?
- Les apports de l'HTML 5
- Les applications hybrides ou composites
- L'iPad et autres tablettes ? Faut-il y aller ? A quels coûts ?
- AppStore, Android, Ovi, AppWorld, Windows Phone… Quelles sont
les spécificités de ces plateformes ?
- Internaliser ou externaliser : quels sont les budgets à prévoir ?
- Les principaux arbitrages techniques
PROGRAMME DU DEUXIÈME JOUR : Concevoir et promouvoir ses services mobiles
de 9h00 à 17h30
1. Penser mobile pour sa marquea. Réfléchir à l'univers de sa marque et rester cohérent dans son approche mobile
- Définir l'univers de sa marque et être cohérent pour son projet mobile
- Acquisition, relation client et fidélisation : les meilleurs exemples
en France et à l'étrangerb. L’ergonomie sur mobile : les règles d'or
- La généralisation des interfaces tactiles : les impacts dans
la construction de son site ou application mobile
- Audit de son site ou application mobile (ou de ses concurrents):
identifier les forces et faiblesses et se fixer les priorités
- Rédiger un contenu adapté au mobile : les grandes règles de l'éditing
sur mobile
- Les spécificités des sites et applications éditoriales, de marques,
d'e-commerce et des organismes financiers
2. Drainer du trafic sur son site : les leviers m-marketinga. Les techniques d'auto-promotion
- Mettre en place des synergies entre les services Web et mobiles
- L'auto-promotion au sein de ses services mobilesb. Définir son plan de communication
- Techniques de SEO, push & pull marketing
- On/offportal, stores, push/pull, référencement, social
marketing... S’y retrouver dans la jungle des dispositifs
- Notifications, Qr Codes, NFC, push SMS... Coûts, forces et faiblesses
des différents leviers
- Store marketing : les enseignements pour gagner en visibilité
sur les AppStores
- Street marketing, buzz, Community management... Les techniques
“underground” pour s’appuyer sur les leaders d’opinion et diffuser
ses services mobile
- m-pub, cross-ad apps, partenariats de visibilité... Combien ca coute
et quels retours en attendre ?c. Freemium, m-commerce, abonnements... Monétiser son trafic
- A quel prix proposer son service premimum ? Quelles sont les
synergies possibles avec son site Internet ?
Freemium, in-app purchase, lite, abonnements, sponsoring... Analyse
comparée de la dizaine de modèles économiques possibles
m-pub : que peut-on en attendre ?
- m-commerce : les premiers retours d’expérience
3. Conclusions et réflexions : Le desktop est mort, vive le mobile cloud !
>>Découvrez également nos autres formations mobile
http://www.benchmark.fr/catalogue/formation/363-formation-applications-et-sites-mobiles-performants/?utm_content=text&f_partner=sponso&utm_source=benchmail&utm_medium=ML509&utm_campaign=E10199108&f_u=23951499
Stratégie, conception et promotion Télécharger le programme Mots clés : Communication, e-Marketing, Mobile, Web 2.0
Avec un taux d'équipement qui dépasse largement celui du PC, l'explosion des ventes de smartphones (iPhone, Android, BlackBerry...), le haut débit mobile et aussi l'arrivée sur le marché des tablettes (type iPad), l'Internet en situation de mobilité a atteint une nouvelle dimension. D’ici quelques années, le nombre de mobinautes devrait même dépasser celui des internautes au niveau mondial !
Comment se développent les usages sur le mobile ? Comment choisir entre une application et un site mobile ? Apple, Android, BlackBerry, Ovi... Sur quelles plates-formes aller en fonction de ses objectifs et de son budget ? Comment animer et faire vivre son site ou son application mobile ? Quels sont les leviers du m-marketing à actionner pour drainer du trafic sur son service ? Dans quelle mesure monétiser son audience ? Quid de l'iPad ?
Outre un benchmark complet des acteurs déjà en place, cette formation présente les meilleures pratiques et des cas d'école. Elle se fonde sur de nombreux exemples, des témoignages d'entreprises ayant développé des sites / applications mobiles et des exercices pratiques.
A qui s'adresse cette formation ?Cette formation très opérationnelle s'adresse à tous les responsables marketing et Internet soucieux d'investir efficacement ce nouveau média. Elle s'adresse aussi bien aux marques, éditeurs, organismes financiers, distributeurs ou aux cabinets de conseils désireux de mettre à jour leurs compétences sur cette thématique.
La session des 30 et 31 mai est complète.
Les personnes qui souhaitent s’inscrire à cette même formation à Lyon peuvent se rendre sur Applications et sites mobiles performants (Lyon) .
Programme de la formation
PROGRAMME DU PREMIER JOUR : Inscrire sa stratégie mobile dans le nouvel écosystème
de 9h00 à 17h30
1. Internet mobile : comprendre les mutations de l'écosystèmea. L'état de l'art : les dernières études sur l'Internet mobile
- Taux d’équipement, parts de marché des OS mobiles, évolution
du trafic Internet mobile, SMS... Les chiffres clés à maîtriser
- 3G+, 4G, réseaux intelligents, LTE, cloud… Les technologies
d'aujourd'hui, celles à venir, et leurs applications possibles
- Les principaux usages et les carrefours d’audience, l’impact des
tablettes
- La place des terminaux mobiles à l'horizon 2015b. La nouvelle chaîne de valeur dans l’industrie mobile
- L’effet de substitution fixe/mobile et la place du mobile dans les usages
de demain
- Apple, Google, BlackBerry, Nokia, Microsoft, Samsung... Analyse de la
stratégie des différentes parties prenantes
2. Définir son "ambition mobile"a. Les méthodes pour définir sa stratégie mobile
- Calibrage du projet, choix des objectifs marketing, arbitrages... Les clés
pour décider
- Intégrer le mobile dans sa stratégie de communication 360b. Affiner sa tactique opérationnelle sur le mobile
- Site ou application mobile ?
- Les apports de l'HTML 5
- Les applications hybrides ou composites
- L'iPad et autres tablettes ? Faut-il y aller ? A quels coûts ?
- AppStore, Android, Ovi, AppWorld, Windows Phone… Quelles sont
les spécificités de ces plateformes ?
- Internaliser ou externaliser : quels sont les budgets à prévoir ?
- Les principaux arbitrages techniques
PROGRAMME DU DEUXIÈME JOUR : Concevoir et promouvoir ses services mobiles
de 9h00 à 17h30
1. Penser mobile pour sa marquea. Réfléchir à l'univers de sa marque et rester cohérent dans son approche mobile
- Définir l'univers de sa marque et être cohérent pour son projet mobile
- Acquisition, relation client et fidélisation : les meilleurs exemples
en France et à l'étrangerb. L’ergonomie sur mobile : les règles d'or
- La généralisation des interfaces tactiles : les impacts dans
la construction de son site ou application mobile
- Audit de son site ou application mobile (ou de ses concurrents):
identifier les forces et faiblesses et se fixer les priorités
- Rédiger un contenu adapté au mobile : les grandes règles de l'éditing
sur mobile
- Les spécificités des sites et applications éditoriales, de marques,
d'e-commerce et des organismes financiers
2. Drainer du trafic sur son site : les leviers m-marketinga. Les techniques d'auto-promotion
- Mettre en place des synergies entre les services Web et mobiles
- L'auto-promotion au sein de ses services mobilesb. Définir son plan de communication
- Techniques de SEO, push & pull marketing
- On/offportal, stores, push/pull, référencement, social
marketing... S’y retrouver dans la jungle des dispositifs
- Notifications, Qr Codes, NFC, push SMS... Coûts, forces et faiblesses
des différents leviers
- Store marketing : les enseignements pour gagner en visibilité
sur les AppStores
- Street marketing, buzz, Community management... Les techniques
“underground” pour s’appuyer sur les leaders d’opinion et diffuser
ses services mobile
- m-pub, cross-ad apps, partenariats de visibilité... Combien ca coute
et quels retours en attendre ?c. Freemium, m-commerce, abonnements... Monétiser son trafic
- A quel prix proposer son service premimum ? Quelles sont les
synergies possibles avec son site Internet ?
Freemium, in-app purchase, lite, abonnements, sponsoring... Analyse
comparée de la dizaine de modèles économiques possibles
m-pub : que peut-on en attendre ?
- m-commerce : les premiers retours d’expérience
3. Conclusions et réflexions : Le desktop est mort, vive le mobile cloud !
>>Découvrez également nos autres formations mobile
http://www.benchmark.fr/catalogue/formation/363-formation-applications-et-sites-mobiles-performants/?utm_content=text&f_partner=sponso&utm_source=benchmail&utm_medium=ML509&utm_campaign=E10199108&f_u=23951499
jeudi 26 mai 2011
Applications et sites mobiles ne s'excluent pas, ils se complètent
Applications et sites mobiles ne s'excluent pas, ils se complètent
Plus les consommateurs accèdent à l'Internet mobile, plus ils téléchargent d'applications, et vice-versa affirme une étude de Forrester.
Publié le 26/05/2011
Entre site et application mobile, mieux vaut ne pas choisir. Alors que de nombreuses entreprises basent leur stratégie mobile sur l'une ou l'autre, une étude du cabinet Forrester relève que les mobinautes utilisent non seulement les deux, mais que le besoin d'une application n'exclue pas celui d'un site mobile et vice versa. Au contraire, "plus les consommateurs accèdent à l'Internet mobile, plus ils téléchargent d'applications, et inversement", estime Thomas Husson, analyste chez Forrester.
D'un côté, l'intérêt pour les applications ne se dément pas. Lors d'un renouvellement de terminal, la possibilité d'installer des applications tierces sur le téléphone est devenue un critère de choix important, derrière son poids et ses dimensions, sa marque et la performance de la caméra. 36% des Européens prévoyant de changer de téléphone voient ainsi les applications comme une caractéristique essentielle.
De l'autre, la consommation d'Internet via un mobile continue de croître. Entre 2009 et 2010 le taux de pénétration de l'Internet mobile en Europe est passé de 32% à 43%. Les mobinautes s'émancipent d'ailleurs des portails opérateurs au profit des moteurs de recherche : 26% utilisent au moins une fois par mois un moteur de recherche sur mobile, alors que seulement 6 se rendent sur le portail mobile de leur opérateur.
Surtout, les possesseurs de smartphones ont recours à la fois aux applications et aux sites. Selon Thomas Husson, l'usage des applications et des sites mobiles répondent à différents besoins. "Les consommateurs utilisent généralement des applications pour des contenus et services auxquels ils accèdent fréquemment". L'usage de l'Internet mobile, plus occasionnel sert à "accéder à la longue traîne des destinations du Web".
L'analyste de Forrester recommande de privilégier l'un ou l'autre de ces deux moyens de contact mobile en fonction de l'audience visée. "Concentrez-vous davantage sur les applications pour fournir un service optimal à la majorité précoce des utilisateurs de smartphones." Sinon, "concentrez-vous sur l'Internet mobile pour toucher une large audience".
Fréquence d'accès à l'Internet mobile depuis un téléphone © Capture d'écran / Forrester
Benoît Méli, Journal du Net
http://www.journaldunet.com/ebusiness/internet-mobile/application-ou-site-mobile.shtml?f_id_newsletter=5067&utm_source=benchmail&utm_medium=ML509&utm_campaign=E10199108&f_u=23951499
Plus les consommateurs accèdent à l'Internet mobile, plus ils téléchargent d'applications, et vice-versa affirme une étude de Forrester.
Publié le 26/05/2011
Entre site et application mobile, mieux vaut ne pas choisir. Alors que de nombreuses entreprises basent leur stratégie mobile sur l'une ou l'autre, une étude du cabinet Forrester relève que les mobinautes utilisent non seulement les deux, mais que le besoin d'une application n'exclue pas celui d'un site mobile et vice versa. Au contraire, "plus les consommateurs accèdent à l'Internet mobile, plus ils téléchargent d'applications, et inversement", estime Thomas Husson, analyste chez Forrester.
D'un côté, l'intérêt pour les applications ne se dément pas. Lors d'un renouvellement de terminal, la possibilité d'installer des applications tierces sur le téléphone est devenue un critère de choix important, derrière son poids et ses dimensions, sa marque et la performance de la caméra. 36% des Européens prévoyant de changer de téléphone voient ainsi les applications comme une caractéristique essentielle.
De l'autre, la consommation d'Internet via un mobile continue de croître. Entre 2009 et 2010 le taux de pénétration de l'Internet mobile en Europe est passé de 32% à 43%. Les mobinautes s'émancipent d'ailleurs des portails opérateurs au profit des moteurs de recherche : 26% utilisent au moins une fois par mois un moteur de recherche sur mobile, alors que seulement 6 se rendent sur le portail mobile de leur opérateur.
Surtout, les possesseurs de smartphones ont recours à la fois aux applications et aux sites. Selon Thomas Husson, l'usage des applications et des sites mobiles répondent à différents besoins. "Les consommateurs utilisent généralement des applications pour des contenus et services auxquels ils accèdent fréquemment". L'usage de l'Internet mobile, plus occasionnel sert à "accéder à la longue traîne des destinations du Web".
L'analyste de Forrester recommande de privilégier l'un ou l'autre de ces deux moyens de contact mobile en fonction de l'audience visée. "Concentrez-vous davantage sur les applications pour fournir un service optimal à la majorité précoce des utilisateurs de smartphones." Sinon, "concentrez-vous sur l'Internet mobile pour toucher une large audience".
Fréquence d'accès à l'Internet mobile depuis un téléphone © Capture d'écran / Forrester
Benoît Méli, Journal du Net
http://www.journaldunet.com/ebusiness/internet-mobile/application-ou-site-mobile.shtml?f_id_newsletter=5067&utm_source=benchmail&utm_medium=ML509&utm_campaign=E10199108&f_u=23951499
Les services mobiles, un marché en plein développement
Les services mobiles, un marché en plein développement
Par Astrid de MONTBEILLARD, 19/05/2011
Avec un poids économique de plus de 1,2 milliard d'euros en 2010, le marché français des services mobiles poursuit son développement. Bilan avec l'Association française du multimédia mobile.
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Selon l’étude de l’AFMM (Association française du multimédia mobile) réalisée par Solucom, cabinet de conseil indépendant en management et système d’information, le marché français des services mobiles s’est fortement développé ces dernières années pour atteindre un poids économique de plus de 1,2 milliard d’euros en 2010. Il se répartit entre les investissements dans la promotion et la relation client (430 millions d’euros) d’une part et la distribution de contenus et de services numériques (800 millions d’euros) d’autre part.
Aujourd’hui, la filière française compte 500 entreprises. Bien que très jeunes - 50 % ont moins de cinq ans- la majorité (80 %) d’entre elles est déjà rentable. Un tiers de ces jeunes sociétés parient même sur une croissance supérieure à 50 % en 2011. Aujourd’hui la filière est très dynamique, elle emploie plus de 10 000 salariés. Ses effectifs devraient croître de 25% avec la création de 1 500 nouveaux emplois sur les trois prochaines années. Cette dynamique s’explique par une volonté d’internationalisation. Clairement identifié comme une opportunité, un tiers des acteurs déclare avoir déjà des activités en dehors de la France.
Mais à qui profite cette croissance ? Hormis les éditeurs de services et de contenus mobiles, les régies publicitaires et agences de marketing profitent de cette dynamique. Les régies publicitaires enregistrent un chiffre d’affaire estimé à 30 millions d’euros. De leur côté, pour assurer leur développement, les agences de marketing mobile profitent de l’engouement pour les consultations sur le mobile et misent sur la complémentarité entre SMS et applications pour générer du trafic vers les marques et annonceurs. Bien sûr, les facilitateurs, sociétés créatrices d’applications, ne sont pas en reste et enregistrent un chiffre d’affaire d’environ 400 millions d’euros pour 2010.
MéthodologieL’étude a été conduite auprès de 113 entreprises (éditeurs de contenus et services mobiles, agence de marketing mobile, régies publicitaires mobiles, développeurs de sites et applications mobiles, fournisseurs de solutions techniques pour services mobiles). L’enquête a été administrée par Internet au premier trimestre 2011.
http://www.ecommercemag.fr/Breves/Les-services-mobiles-un-marche-en-plein-developpement-39379.htm?xtor=EPR-3&XType=XTM&isn=26/05/2011
Par Astrid de MONTBEILLARD, 19/05/2011
Avec un poids économique de plus de 1,2 milliard d'euros en 2010, le marché français des services mobiles poursuit son développement. Bilan avec l'Association française du multimédia mobile.
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Selon l’étude de l’AFMM (Association française du multimédia mobile) réalisée par Solucom, cabinet de conseil indépendant en management et système d’information, le marché français des services mobiles s’est fortement développé ces dernières années pour atteindre un poids économique de plus de 1,2 milliard d’euros en 2010. Il se répartit entre les investissements dans la promotion et la relation client (430 millions d’euros) d’une part et la distribution de contenus et de services numériques (800 millions d’euros) d’autre part.
Aujourd’hui, la filière française compte 500 entreprises. Bien que très jeunes - 50 % ont moins de cinq ans- la majorité (80 %) d’entre elles est déjà rentable. Un tiers de ces jeunes sociétés parient même sur une croissance supérieure à 50 % en 2011. Aujourd’hui la filière est très dynamique, elle emploie plus de 10 000 salariés. Ses effectifs devraient croître de 25% avec la création de 1 500 nouveaux emplois sur les trois prochaines années. Cette dynamique s’explique par une volonté d’internationalisation. Clairement identifié comme une opportunité, un tiers des acteurs déclare avoir déjà des activités en dehors de la France.
Mais à qui profite cette croissance ? Hormis les éditeurs de services et de contenus mobiles, les régies publicitaires et agences de marketing profitent de cette dynamique. Les régies publicitaires enregistrent un chiffre d’affaire estimé à 30 millions d’euros. De leur côté, pour assurer leur développement, les agences de marketing mobile profitent de l’engouement pour les consultations sur le mobile et misent sur la complémentarité entre SMS et applications pour générer du trafic vers les marques et annonceurs. Bien sûr, les facilitateurs, sociétés créatrices d’applications, ne sont pas en reste et enregistrent un chiffre d’affaire d’environ 400 millions d’euros pour 2010.
MéthodologieL’étude a été conduite auprès de 113 entreprises (éditeurs de contenus et services mobiles, agence de marketing mobile, régies publicitaires mobiles, développeurs de sites et applications mobiles, fournisseurs de solutions techniques pour services mobiles). L’enquête a été administrée par Internet au premier trimestre 2011.
http://www.ecommercemag.fr/Breves/Les-services-mobiles-un-marche-en-plein-developpement-39379.htm?xtor=EPR-3&XType=XTM&isn=26/05/2011
Le mobile banking rencontre un certain succès en Europe
Le mobile banking rencontre un certain succès en Europe
Par Dominique FEVRE, 13/05/2011
Les Européens, qui utilisent les services bancaires mobiles, sont de plus en plus nombreux, selon Forrester. Et la tendance devrait se confirmer dans les années à venir...
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Un nouveau pas vers la disparition des sacs en plastique ?
Crocs propose de jouer au Beach Soccer... en ligne
La nuit propice à l'Internet mobile
La Société Générale communique pour la banque de détail
L'Europe approuve le Fonds national d'amorçage français
Selon l’étude, “The State of Mobile Banking in Europe : 2011”, menée par Forrester dans sept pays européens (Allemagne, Espagne, France, Italie, Pays-Bas, Royaume-Uni et Suède), 18 % des adultes utilisent les services bancaires mobiles. Ils étaient à peine 13 % en 2010.
Autres enseignements de cette enquête réalisée sur les premiers mois de l’année auprès de 14 000 internautes : 13 % des consommateurs reçoivent des alertes SMS de leur banque et 7 % accèdent à des sites bancaires mobiles.
Enfin, 73 % des mobinautes vérifient le solde de leurs comptes et 43 % regardent leurs dernières transactions.
Alexander Hesse, analyste allemand de Forester, estime que le mouvement devrait s’amplifier dans les années à venir : « Bien que la banque mobile soit encore loin d’être le canal privilégié des consommateurs, l’utilisation des smartphones et l’augmentation de l’utilisation du Web mobile vont conduire à une croissance soutenue des usages occasionnels et informatifs dans la banque ».
Cette perspective pousse les banques à faire la course pour développer leur présence dans la sphère mobile. Pour l’heure, peu ont élaboré un business case clair sur le sujet.
Mais, les grands argentiers se posent la sempiternelle question : quel sera le retour sur investissement de la banque mobile ?
Dans un autre rapport, “The ROI of Mobile Banking”, Forrester considère que, seul, un effort considérable dans le domaine permettra de réaliser un ROI de 15,7 %, chiffre basé sur l’estimation des coûts et des bénéfices générés par la mise en place d’un service complet de banque mobile.
Alexande Hesse indique également : « Malgré un ROI relativement bas, de multiple facteurs, comme les paiements mobiles, permettront de donner de la valeur à l’offre de ce type de services dans les quelques années à venir ».
Créer un ROI mesurable dépendra aussi de la capacité de la banque à gérer la sécurité et les coûts tout en affichant une vraie valeur pour que les consommateurs prennent le virage du canal mobile.
Mots clés : Internet mobile Europe Forrester Banque Banque mobile
A lire aussi sur le thème «Veille et tendance»
A lire aussi sur le thème «Études»
http://www.e-marketing.fr/Breves/Le-mobile-banking-rencontre-un-certain-succes-en-Europe-39243.htm?xtor=EPR-602&XType=XTM&isn=26/05/2011
Par Dominique FEVRE, 13/05/2011
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Selon l’étude, “The State of Mobile Banking in Europe : 2011”, menée par Forrester dans sept pays européens (Allemagne, Espagne, France, Italie, Pays-Bas, Royaume-Uni et Suède), 18 % des adultes utilisent les services bancaires mobiles. Ils étaient à peine 13 % en 2010.
Autres enseignements de cette enquête réalisée sur les premiers mois de l’année auprès de 14 000 internautes : 13 % des consommateurs reçoivent des alertes SMS de leur banque et 7 % accèdent à des sites bancaires mobiles.
Enfin, 73 % des mobinautes vérifient le solde de leurs comptes et 43 % regardent leurs dernières transactions.
Alexander Hesse, analyste allemand de Forester, estime que le mouvement devrait s’amplifier dans les années à venir : « Bien que la banque mobile soit encore loin d’être le canal privilégié des consommateurs, l’utilisation des smartphones et l’augmentation de l’utilisation du Web mobile vont conduire à une croissance soutenue des usages occasionnels et informatifs dans la banque ».
Cette perspective pousse les banques à faire la course pour développer leur présence dans la sphère mobile. Pour l’heure, peu ont élaboré un business case clair sur le sujet.
Mais, les grands argentiers se posent la sempiternelle question : quel sera le retour sur investissement de la banque mobile ?
Dans un autre rapport, “The ROI of Mobile Banking”, Forrester considère que, seul, un effort considérable dans le domaine permettra de réaliser un ROI de 15,7 %, chiffre basé sur l’estimation des coûts et des bénéfices générés par la mise en place d’un service complet de banque mobile.
Alexande Hesse indique également : « Malgré un ROI relativement bas, de multiple facteurs, comme les paiements mobiles, permettront de donner de la valeur à l’offre de ce type de services dans les quelques années à venir ».
Créer un ROI mesurable dépendra aussi de la capacité de la banque à gérer la sécurité et les coûts tout en affichant une vraie valeur pour que les consommateurs prennent le virage du canal mobile.
Mots clés : Internet mobile Europe Forrester Banque Banque mobile
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Les ventes de smartphones ont grimpé de 85 % dans le monde en un an
Les ventes de smartphones ont grimpé de 85 % dans le monde en un an
Par Damien GROSSET, 20/05/2011
Selon le bureau d'études Gartner, l'augmentation du nombre de mobiles vendus dans le monde est en grande partie drainée par les smartphones.
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Le cabinet NES lance une offre d'audit et de sécurisation pour Smartphones
Nokia sort la première carte de fidélité NFC sur son dernier modèle avec Airtag
Pages Jaunes, La Chaîne Météo et Le Monde.fr sur le podium des applications mobiles
Les internautes infidèles aux marques
Créez vos applications iPad avec Mymozzo.net
428 millions. C'est, selon l'étude menée par la société Gartner, le nombre de portables vendus dans le monde au premier trimestre 2011, soit une augmentation de 19 % par rapport à l'an dernier.
Ce sont les smartphones qui assurent la bonne santé de ce secteur. En effet, s'ils représentent 23,6 % du marché c'est parce que les ventes ont augmenté de 85 % sur un an.
Autre point important que révèle l'étude : la chute de Nokia. En effet, si le Finlandais reste le leader mondial des téléphones mobiles avec 107,6 millions de terminaux vendus sur le trimestre, il perd aussi 5,5 points de parts de marché sur un an. C'est la plus basse depuis 14 ans.
Mots clés : Smartphone Nokia Gartner Smartphones
A lire aussi sur le thème «Études»
A lire aussi sur le thème «Résultats d'études»
http://www.e-marketing.fr/Breves/Les-ventes-de-smartphones-ont-grimpe-de-85-dans-le-monde-en-un-an--39394.htm?xtor=EPR-602&XType=XTM&isn=26/05/2011
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428 millions. C'est, selon l'étude menée par la société Gartner, le nombre de portables vendus dans le monde au premier trimestre 2011, soit une augmentation de 19 % par rapport à l'an dernier.
Ce sont les smartphones qui assurent la bonne santé de ce secteur. En effet, s'ils représentent 23,6 % du marché c'est parce que les ventes ont augmenté de 85 % sur un an.
Autre point important que révèle l'étude : la chute de Nokia. En effet, si le Finlandais reste le leader mondial des téléphones mobiles avec 107,6 millions de terminaux vendus sur le trimestre, il perd aussi 5,5 points de parts de marché sur un an. C'est la plus basse depuis 14 ans.
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L'audience des 50 premiers groupes français en avril 2011
L'audience des 50 premiers groupes français en avril 2011
En avril, la météo plombe l'audience de l'Internet français, à quelques exceptions près, dont Météo France.
Publié le 25/05/2011
Le Journal du Net publie le classement d'audience Internet mensuel établi par Médiamétrie//Netratings à l'aide du panel Nielsen//Netratings. Ce classement concerne l'audience des groupes (agrégat de sites détenus par une société).Cette mesure s'applique sur le panel "tous lieux de connexion" et prend en compte les applications Internet (par exemple la messagerie instantanée ou les logiciels de téléchargement).
Les 50 premiers groupes Internet d'avril 2011
Rang
Groupes
Visiteurs uniques
1
Google
35 837 000
2
Microsoft
32 206 000
3
Facebook
26 554 000
4
France Telecom
22 030 000
5
PagesJaunes
18 746 000
6
CCM Benchmark Group
17 371 000
7
Iliad
17 331 000
8
Groupe TF1
17 272 000
9
Wikimedia Foundation
16 389 000
10
Vivendi Universal
15 415 000
11
Yahoo!
15 395 000
12
Groupe Lagardère
15 307 000
13
PPR
13 765 000
14
Schibsted
12 764 000
15
WEB66
11 814 000
16
Groupe Crédit Agricole
11 360 000
17
eBay
11 284 000
18
Groupe Figaro
11 264 000
19
La Poste
10 484 000
20
M6
10 460 000
21
Apple
10 122 000
22
auFeminin
10 077 000
23
OTTO
9 814 000
24
Groupe Auchan
9 631 000
25
Prisma Presse
9 533 000
26
Amazon
9 067 000
27
Dailymotion
9 040 000
28
Association VideoLAN
8 581 000
29
PriceMinister
8 388 000
30
SNCF France
8 305 000
31
Groupe Casino
7 918 000
32
Groupon Inc.
7 740 000
33
Francetélévisions
7 731 000
34
Météo France
7 685 000
35
Michelin
7 533 000
36
Le Monde
6 665 000
37
Carrefour
6 618 000
38
Société Générale
6 533 000
39
InterActiveCorp
6 464 000
40
Scripps Networks Interactive
6 383 000
41
Gouvernement Francais
6 328 000
42
Ministère de l Education Nationale
6 326 000
43
AlloCine
6 284 000
44
Next Radio TV
6 080 000
45
Roularta
6 074 000
46
SPIR
5 829 000
47
Oredis
5 815 000
48
Adobe
5 658 000
49
Blogmusik.net
5 636 000
50
Skyrock
5 631 000
Source : Médiamétrie//Netratings
En avril, un grand nombre de sites ont vu leur audience reculer. Une baisse qui s'explique en partie par le beau temps qui a incité les Français à sortir. Une de seules catégories de sites à en avoir profité sont les services météo. Selon Médiamétrie, près de 12,7 millions d'internautes en ont consulté un au cours du mois, soit une hausse de 14 % sur un mois. Météo France (34ème) gagne d'ailleurs 1,5 million de visiteurs uniques et 14 places.
En haut du classement, plusieurs groupes Internet se tiennent dans un mouchoir de poche. C'est le cas de CCM-Benchmark (éditeur du Journal du Net), (6ème) Iliad (7ème) et TF1 (8ème), séparés par moins de 100 000 visiteurs uniques. En avril, Iliad double d'aileurs TF1. Plus loin, Yahoo prend la 11ème place à Lagardère. A noter la forte progression du Figaro, qui passe de la 24ème à la 18ème position, et l'arrivée de Blogmusik, éditeur de Deezer, dans le Top 50.
Baptiste Rubat du Mérac, Journal du Net
http://www.journaldunet.com/ebusiness/le-net/audience-internet.shtml?f_id_newsletter=5062&utm_source=benchmail&utm_medium=ML509&utm_campaign=E10199066&f_u=23951499
En avril, la météo plombe l'audience de l'Internet français, à quelques exceptions près, dont Météo France.
Publié le 25/05/2011
Le Journal du Net publie le classement d'audience Internet mensuel établi par Médiamétrie//Netratings à l'aide du panel Nielsen//Netratings. Ce classement concerne l'audience des groupes (agrégat de sites détenus par une société).Cette mesure s'applique sur le panel "tous lieux de connexion" et prend en compte les applications Internet (par exemple la messagerie instantanée ou les logiciels de téléchargement).
Les 50 premiers groupes Internet d'avril 2011
Rang
Groupes
Visiteurs uniques
1
35 837 000
2
Microsoft
32 206 000
3
26 554 000
4
France Telecom
22 030 000
5
PagesJaunes
18 746 000
6
CCM Benchmark Group
17 371 000
7
Iliad
17 331 000
8
Groupe TF1
17 272 000
9
Wikimedia Foundation
16 389 000
10
Vivendi Universal
15 415 000
11
Yahoo!
15 395 000
12
Groupe Lagardère
15 307 000
13
PPR
13 765 000
14
Schibsted
12 764 000
15
WEB66
11 814 000
16
Groupe Crédit Agricole
11 360 000
17
eBay
11 284 000
18
Groupe Figaro
11 264 000
19
La Poste
10 484 000
20
M6
10 460 000
21
Apple
10 122 000
22
auFeminin
10 077 000
23
OTTO
9 814 000
24
Groupe Auchan
9 631 000
25
Prisma Presse
9 533 000
26
Amazon
9 067 000
27
Dailymotion
9 040 000
28
Association VideoLAN
8 581 000
29
PriceMinister
8 388 000
30
SNCF France
8 305 000
31
Groupe Casino
7 918 000
32
Groupon Inc.
7 740 000
33
Francetélévisions
7 731 000
34
Météo France
7 685 000
35
Michelin
7 533 000
36
Le Monde
6 665 000
37
Carrefour
6 618 000
38
Société Générale
6 533 000
39
InterActiveCorp
6 464 000
40
Scripps Networks Interactive
6 383 000
41
Gouvernement Francais
6 328 000
42
Ministère de l Education Nationale
6 326 000
43
AlloCine
6 284 000
44
Next Radio TV
6 080 000
45
Roularta
6 074 000
46
SPIR
5 829 000
47
Oredis
5 815 000
48
Adobe
5 658 000
49
Blogmusik.net
5 636 000
50
Skyrock
5 631 000
Source : Médiamétrie//Netratings
En avril, un grand nombre de sites ont vu leur audience reculer. Une baisse qui s'explique en partie par le beau temps qui a incité les Français à sortir. Une de seules catégories de sites à en avoir profité sont les services météo. Selon Médiamétrie, près de 12,7 millions d'internautes en ont consulté un au cours du mois, soit une hausse de 14 % sur un mois. Météo France (34ème) gagne d'ailleurs 1,5 million de visiteurs uniques et 14 places.
En haut du classement, plusieurs groupes Internet se tiennent dans un mouchoir de poche. C'est le cas de CCM-Benchmark (éditeur du Journal du Net), (6ème) Iliad (7ème) et TF1 (8ème), séparés par moins de 100 000 visiteurs uniques. En avril, Iliad double d'aileurs TF1. Plus loin, Yahoo prend la 11ème place à Lagardère. A noter la forte progression du Figaro, qui passe de la 24ème à la 18ème position, et l'arrivée de Blogmusik, éditeur de Deezer, dans le Top 50.
Baptiste Rubat du Mérac, Journal du Net
http://www.journaldunet.com/ebusiness/le-net/audience-internet.shtml?f_id_newsletter=5062&utm_source=benchmail&utm_medium=ML509&utm_campaign=E10199066&f_u=23951499
mercredi 25 mai 2011
Google intègre le WebP à Gmail et Picasa
Google intègre le WebP à Gmail et Picasa
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par Pierrick Aubert, ZDNet France. Publié le 24 mai 2011
Tags: Google, Chrome, Email
Technologie - Lancé en 2010, Google souhaite déployer son format de compression destiné à remplacer le standard JPEG. Le moteur de recherche a annoncé récemment que sa boite mail et son service en ligne Picasa utilisaient désormais le WebP pour le traitement des images.
Surnommé « JPEG killer », le WebP est un format de compression d'image open-source lancé par Google en automne dernier. Ce vendredi 20 mai, le géant américain a dévoilé quelques améliorations de cette technologie pressentie pour remplacer le JPEG sur la Toile.
Déjà présent dans les navigateurs Chrome et Opera (pour sa fonction Turbo), le WebP se veut plus compact pour une qualité équivalente au format classique. Concrètement, la compagnie américaine reprend les techniques utilisées pour le codage vidéo en VP8 et les appliquent aux images. Le WebP traite alors un fichier par blocs de pixels en effectuant un codage basé sur la prédiction de la valeur des blocs voisins.
Google tente ainsi de diffuser son savoir faire en proposant un taux de compression image de près de 40%. De plus, le moteur de recherche précise que l'internaute pourra désormais décoder une image lors de son chargement en ligne. Gmail, Picasa et bientôt AppEngineDepuis peu, Gmail et Picasa Web Albums ont intégré la technologie WebP à leurs systèmes. Côté utilisateur, le moteur de recherche impose donc son format pour optimiser la navigation, ce qui lui permet de réduire les besoins en espace de stockage. Enfin, Google en profite pour faire du teasing et annonce l'arrivée prochaine du WebP dans AppEngine, son service en ligne pour les développeurs et l'hébergement d'applications web. En parallèle à cette mise à jour de Gmail et de Picasa, le moteur de recherche indique que de nombreux outils permettent de manipuler le WebP : « Pixelmator, ImageMagick, le plugin WebP pour Photoshop, et Java VP8 decoder ». Si pour l'instant seul Opera a opté pour le WebP, Mozilla Apple et Microsoft devront s'y intéresser tôt ou tard.
http://www.zdnet.fr/actualites/google-integre-le-webp-a-gmail-et-picasa-39761057.htm#xtor=EPR-100
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par Pierrick Aubert, ZDNet France. Publié le 24 mai 2011
Tags: Google, Chrome, Email
Technologie - Lancé en 2010, Google souhaite déployer son format de compression destiné à remplacer le standard JPEG. Le moteur de recherche a annoncé récemment que sa boite mail et son service en ligne Picasa utilisaient désormais le WebP pour le traitement des images.
Surnommé « JPEG killer », le WebP est un format de compression d'image open-source lancé par Google en automne dernier. Ce vendredi 20 mai, le géant américain a dévoilé quelques améliorations de cette technologie pressentie pour remplacer le JPEG sur la Toile.
Déjà présent dans les navigateurs Chrome et Opera (pour sa fonction Turbo), le WebP se veut plus compact pour une qualité équivalente au format classique. Concrètement, la compagnie américaine reprend les techniques utilisées pour le codage vidéo en VP8 et les appliquent aux images. Le WebP traite alors un fichier par blocs de pixels en effectuant un codage basé sur la prédiction de la valeur des blocs voisins.
Google tente ainsi de diffuser son savoir faire en proposant un taux de compression image de près de 40%. De plus, le moteur de recherche précise que l'internaute pourra désormais décoder une image lors de son chargement en ligne. Gmail, Picasa et bientôt AppEngineDepuis peu, Gmail et Picasa Web Albums ont intégré la technologie WebP à leurs systèmes. Côté utilisateur, le moteur de recherche impose donc son format pour optimiser la navigation, ce qui lui permet de réduire les besoins en espace de stockage. Enfin, Google en profite pour faire du teasing et annonce l'arrivée prochaine du WebP dans AppEngine, son service en ligne pour les développeurs et l'hébergement d'applications web. En parallèle à cette mise à jour de Gmail et de Picasa, le moteur de recherche indique que de nombreux outils permettent de manipuler le WebP : « Pixelmator, ImageMagick, le plugin WebP pour Photoshop, et Java VP8 decoder ». Si pour l'instant seul Opera a opté pour le WebP, Mozilla Apple et Microsoft devront s'y intéresser tôt ou tard.
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L'iPad séduit les directions générales
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© Secret Side_24079502
D'ici 2012, près de 70% des entreprises comptent déployer les tablettes tactiles. L'iPad est la plate-forme la plus utilisée, et répond aux attentes des forces de ventes.
Réalisé par Dominique FILIPPONE, Journal du Net
Publié le 23/05/2011
http://www.journaldunet.com/solutions/systemes-reseaux/adoption-des-tablettes-tactiles-en-entreprises-etude-dimensional-research/?f_id_newsletter=5048&utm_source=benchmail&utm_medium=ML509&utm_campaign=E10198963&f_u=23951499
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© Secret Side_24079502
D'ici 2012, près de 70% des entreprises comptent déployer les tablettes tactiles. L'iPad est la plate-forme la plus utilisée, et répond aux attentes des forces de ventes.
Réalisé par Dominique FILIPPONE, Journal du Net
Publié le 23/05/2011
http://www.journaldunet.com/solutions/systemes-reseaux/adoption-des-tablettes-tactiles-en-entreprises-etude-dimensional-research/?f_id_newsletter=5048&utm_source=benchmail&utm_medium=ML509&utm_campaign=E10198963&f_u=23951499
mardi 24 mai 2011
Google lance son AdSense pour mobile dans 15 nouveaux pays
Google lance son AdSense pour mobile dans 15 nouveaux pays
Google étend son service de liens sponsorisés pour sites mobiles à 15 nouveaux pays.
Publié le 23/05/2011, 15h57
Google vient de lancer la déclinaison mobile de son programme de liens sponsorisés AdSense dans une quinzaine de nouveaux pays : Argentine, Brésil, Chili, Colombie, Hong-Kong, Indonésie, Malaisie, Mexique, Nigeria, Nouvelle-Zélande, Philippines, République tchèque, Slovénie, Thaïlande et Turquie. Le service existe déjà en France.
AdSense pour les pages de contenus mobile propose aux éditeurs de sites Web mobiles de monétiser leur contenu en affichant des publicités contextuelles. Ce service n'est disponible que pour les sites Web mobiles, son utilisation n'étant pas autorisée dans les applications. Google propose en effet déjà ce service aux éditeurs d'applications via sa régie AdMob.
La rédaction, Journal du Net
http://www.journaldunet.com/ebusiness/internet-mobile/adsense-mobile-0511.shtml?utm_source=benchmail&utm_medium=ML509&utm_campaign=E10198891&f_u=23951499
Google étend son service de liens sponsorisés pour sites mobiles à 15 nouveaux pays.
Publié le 23/05/2011, 15h57
Google vient de lancer la déclinaison mobile de son programme de liens sponsorisés AdSense dans une quinzaine de nouveaux pays : Argentine, Brésil, Chili, Colombie, Hong-Kong, Indonésie, Malaisie, Mexique, Nigeria, Nouvelle-Zélande, Philippines, République tchèque, Slovénie, Thaïlande et Turquie. Le service existe déjà en France.
AdSense pour les pages de contenus mobile propose aux éditeurs de sites Web mobiles de monétiser leur contenu en affichant des publicités contextuelles. Ce service n'est disponible que pour les sites Web mobiles, son utilisation n'étant pas autorisée dans les applications. Google propose en effet déjà ce service aux éditeurs d'applications via sa régie AdMob.
La rédaction, Journal du Net
http://www.journaldunet.com/ebusiness/internet-mobile/adsense-mobile-0511.shtml?utm_source=benchmail&utm_medium=ML509&utm_campaign=E10198891&f_u=23951499
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LaPoste Mobile veut faire la différence sur des offres sans engagement
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par Pierrick Aubert, ZDNet France. Publié le 23 mai 2011
Tags: MVNO, Mobile, Téléphonie
Business - LaPoste vient de lever le voile sur son service de téléphonie mobile. Des cartes prépayées aux forfaits bloqués en passant par l'illimité SMS et Web, le nouvel opérateur virtuel promet des offres « sans engagement et sans surcoût ».
LaPoste officialise son statut d'opérateur mobile virtuel. Sur un site dédié, le service postal a dévoilé, ce lundi 23 mai, l'ensemble de ses forfaits mobiles. Le nouvel MVNO (Mobile Virtual Network Operator) définit ses objectifs en trois points : accessibilité, transparence et confiance. Après Virgin, NRJ, Auchan, Carrefour et bien d'autres, c'est au tour de LaPoste Mobile de se lancer sur un marché déjà très actif où la concurrence est rude. Pour rappel, l'opérateur virtuel est une coentreprise détenue à 51% par LaPoste et à 49% par SFR. LaPoste Mobile : des offres facturées de 5 à 49€ par mois Avec des forfaits sans engagement ni surcoût, LaPoste souhaite faire la différence. Au total, l'opérateur propose sept cartes prépayées à partir de 5€ soit 15 minutes d'appel, quatre formules bloquées à partir de 19€, quatre forfaits à partir de 13€, et enfin quatre forfaits SMS & Web à partir de 21€ par mois. Dans un premier temps, des recharges seront disponibles dans 10 000 bureaux de poste, dont 4000 proposeront des packs en libre service. Le déploiement sera ensuite progressif, pour toucher l'ensemble du pays.Objectif "social"A partir du mois de juillet, LaPoste Mobile devrait présenter une offre "sociale" basée sur « le tarif mobile » défini par le gouvernement en avril dernier. C'est-à-dire : « une formule à 10 euros par mois pour 45 minutes de communications et 60 SMS », déclare l'entreprise. Fort de son partenariat technique et financier avec SFR, qui a investit près de 98 millions d'euros dans ce développement MVNO, LaPoste Mobile semble confiante et fait preuve d'un grand optimisme en prévoyant d'acquérir près de 2 millions de clients d'ici 2016.
Bien que cette fois personne n'ait parlé de "révolution", les tarifs avancés par le MVNO restent très attractifs. Ainsi, LaPoste tente de se faire une place avant l'arrivée de Free Mobile et ses futurs forfaits aux tarifs annoncés comme "agressifs".
http://www.zdnet.fr/actualites/laposte-mobile-veut-faire-la-difference-sur-des-offres-sans-engagement-39761022.htm#xtor=EPR-100
LaPoste Mobile veut faire la différence sur des offres sans engagement
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par Pierrick Aubert, ZDNet France. Publié le 23 mai 2011
Tags: MVNO, Mobile, Téléphonie
Business - LaPoste vient de lever le voile sur son service de téléphonie mobile. Des cartes prépayées aux forfaits bloqués en passant par l'illimité SMS et Web, le nouvel opérateur virtuel promet des offres « sans engagement et sans surcoût ».
LaPoste officialise son statut d'opérateur mobile virtuel. Sur un site dédié, le service postal a dévoilé, ce lundi 23 mai, l'ensemble de ses forfaits mobiles. Le nouvel MVNO (Mobile Virtual Network Operator) définit ses objectifs en trois points : accessibilité, transparence et confiance. Après Virgin, NRJ, Auchan, Carrefour et bien d'autres, c'est au tour de LaPoste Mobile de se lancer sur un marché déjà très actif où la concurrence est rude. Pour rappel, l'opérateur virtuel est une coentreprise détenue à 51% par LaPoste et à 49% par SFR. LaPoste Mobile : des offres facturées de 5 à 49€ par mois Avec des forfaits sans engagement ni surcoût, LaPoste souhaite faire la différence. Au total, l'opérateur propose sept cartes prépayées à partir de 5€ soit 15 minutes d'appel, quatre formules bloquées à partir de 19€, quatre forfaits à partir de 13€, et enfin quatre forfaits SMS & Web à partir de 21€ par mois. Dans un premier temps, des recharges seront disponibles dans 10 000 bureaux de poste, dont 4000 proposeront des packs en libre service. Le déploiement sera ensuite progressif, pour toucher l'ensemble du pays.Objectif "social"A partir du mois de juillet, LaPoste Mobile devrait présenter une offre "sociale" basée sur « le tarif mobile » défini par le gouvernement en avril dernier. C'est-à-dire : « une formule à 10 euros par mois pour 45 minutes de communications et 60 SMS », déclare l'entreprise. Fort de son partenariat technique et financier avec SFR, qui a investit près de 98 millions d'euros dans ce développement MVNO, LaPoste Mobile semble confiante et fait preuve d'un grand optimisme en prévoyant d'acquérir près de 2 millions de clients d'ici 2016.
Bien que cette fois personne n'ait parlé de "révolution", les tarifs avancés par le MVNO restent très attractifs. Ainsi, LaPoste tente de se faire une place avant l'arrivée de Free Mobile et ses futurs forfaits aux tarifs annoncés comme "agressifs".
http://www.zdnet.fr/actualites/laposte-mobile-veut-faire-la-difference-sur-des-offres-sans-engagement-39761022.htm#xtor=EPR-100
2007-2011 : les évolutions de Firefox sur mobile et smartphone
2007-2011 : les évolutions de Firefox sur mobile et smartphone
par la rédaction, businessMOBILE.fr. Publié le 1 avril 2011Tags: Firefox, Smartphone, Navigateurs,
Application - Que de chemin parcouru par la Fondation Mozilla jusqu'à la version définitive de Firefox 4 Mobile pour Android lancée il y a quelques jours. Rétrospective en images.
« Précédent
1 sur 9
Suivant »
Août 2007
Bien avant de parler de Firefox Mobile, la Fondation Mozilla a commencé à travailler sur une version mobile de son navigateur baptisée Minimo. Cette version était compatible avec les terminaux animés par Windows Mobile 5 et 6.
On notera que la navigation par onglets, la première innovation de Mozilla, était déjà possible.
Par la rédaction, businessMOBILE.fr
http://www.businessmobile.fr/actualites/2007-2011-les-evolutions-de-firefox-sur-mobile-et-smartphone-39759600.htm
par la rédaction, businessMOBILE.fr. Publié le 1 avril 2011Tags: Firefox, Smartphone, Navigateurs,
Application - Que de chemin parcouru par la Fondation Mozilla jusqu'à la version définitive de Firefox 4 Mobile pour Android lancée il y a quelques jours. Rétrospective en images.
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Août 2007
Bien avant de parler de Firefox Mobile, la Fondation Mozilla a commencé à travailler sur une version mobile de son navigateur baptisée Minimo. Cette version était compatible avec les terminaux animés par Windows Mobile 5 et 6.
On notera que la navigation par onglets, la première innovation de Mozilla, était déjà possible.
Par la rédaction, businessMOBILE.fr
http://www.businessmobile.fr/actualites/2007-2011-les-evolutions-de-firefox-sur-mobile-et-smartphone-39759600.htm
Comment Gerbeaud.com fidélise son audience
Comment Gerbeaud.com fidélise son audience
[ 23/05/11 - 15H06 - Les Echos Entrepreneur ]
Le site de jardinage s’appuie essentiellement sur une newsletter dont le taux d’ouverture atteint les 40 %.
Gerbeaud.com est un site grand public d’informations sur le jardinage. Le nerf de la guerre pour développer et fidéliser l’audience (en moyenne un million de visiteurs unique par mois) : une newsletter comptant actuellement 140 000 abonnés. Une base qui a beaucoup progressé depuis que le site a mis en avant la zone d’inscription, désormais identifiable immédiatement par le visiteur. Un message clair, un emplacement visible sur toutes les pages du site, des modalités d’inscription simples et rapides… le nombre d’abonnés a bondi de 20 %. Pour déterminer sa périodicité, le site a tout simplement réalisé un mini-sondage en ligne. Résultat, la newsletter est envoyée à un rythme bimensuel, la fréquence qui a remporté de loin le plus de votes. Ainsi, les abonnés, soumis à la pression qu’ils ont choisie, sont beaucoup plus réceptifs. Le taux de désabonnement est extrêmement faible, de 1 pour 1 000, selon le fondateur du site Xavier Gerbeaud. Autre facteur important de fidélisation, la newsletter est toujours adressée les mêmes jours, en l’occurrence, le jeudi et le vendredi. Ce n’est pas un hasard. Il fallait que tous les abonnés l’aient reçu avant le vendredi soir, le jardinage étant un loisir très pratiqué le week-end. Si la newsletter contribue à doper l’audience du site, c’est aussi grâce à un contenu dense avec de nombreux liens renvoyant aux sujets d’actualité ou aux dossiers du site. Présentation sobre et priorité à l’éditorial mettant à l’honneur les fiches pratiques, ce qui intéresse le plus les internautes. Résultat, les mails sont ouverts à 40 % en moyenne, un taux largement supérieur aux standards habituels.
Bruno Askenazi
http://entrepreneur.lesechos.fr/entreprise/developpement/dossiers/e_mailing_les_nouvelles_cles_du_succes/comment-gerbeaud-com-fidelise-son-audience-113299.php
[ 23/05/11 - 15H06 - Les Echos Entrepreneur ]
Le site de jardinage s’appuie essentiellement sur une newsletter dont le taux d’ouverture atteint les 40 %.
Gerbeaud.com est un site grand public d’informations sur le jardinage. Le nerf de la guerre pour développer et fidéliser l’audience (en moyenne un million de visiteurs unique par mois) : une newsletter comptant actuellement 140 000 abonnés. Une base qui a beaucoup progressé depuis que le site a mis en avant la zone d’inscription, désormais identifiable immédiatement par le visiteur. Un message clair, un emplacement visible sur toutes les pages du site, des modalités d’inscription simples et rapides… le nombre d’abonnés a bondi de 20 %. Pour déterminer sa périodicité, le site a tout simplement réalisé un mini-sondage en ligne. Résultat, la newsletter est envoyée à un rythme bimensuel, la fréquence qui a remporté de loin le plus de votes. Ainsi, les abonnés, soumis à la pression qu’ils ont choisie, sont beaucoup plus réceptifs. Le taux de désabonnement est extrêmement faible, de 1 pour 1 000, selon le fondateur du site Xavier Gerbeaud. Autre facteur important de fidélisation, la newsletter est toujours adressée les mêmes jours, en l’occurrence, le jeudi et le vendredi. Ce n’est pas un hasard. Il fallait que tous les abonnés l’aient reçu avant le vendredi soir, le jardinage étant un loisir très pratiqué le week-end. Si la newsletter contribue à doper l’audience du site, c’est aussi grâce à un contenu dense avec de nombreux liens renvoyant aux sujets d’actualité ou aux dossiers du site. Présentation sobre et priorité à l’éditorial mettant à l’honneur les fiches pratiques, ce qui intéresse le plus les internautes. Résultat, les mails sont ouverts à 40 % en moyenne, un taux largement supérieur aux standards habituels.
Bruno Askenazi
http://entrepreneur.lesechos.fr/entreprise/developpement/dossiers/e_mailing_les_nouvelles_cles_du_succes/comment-gerbeaud-com-fidelise-son-audience-113299.php
Mesurer la performance des e-mails, un passage obligé
Mesurer la performance des e-mails, un passage obligé
[ 23/05/11 - 15H04 - Les Echos Entrepreneur ]
Pourcentage d’ouverture, taux de clics, désabonnements… autant d’indicateurs à surveiller constamment pour repérer vos lacunes et améliorer l’impact de vos campagnes.
« L'analyse des résultats est la clé du succès, insiste Diane Revillard, dirigeante de Di&mark. Cela permet d'améliorer l'impact de ses messages dans le temps. S'imaginer qu'une campagne suffira est une erreur ». Une fois vos e-mails envoyés, il faudra donc surveiller les réactions de vos destinataires. Les sociétés de routage vous fourniront les principaux indicateurs. Le pourcentage d'ouverture des mails et le taux de messages ayant fait l'objet de clics seront déterminants. Idéalement, il faudra repérer quel lien a été cliqué en priorité pour évaluer plus finement les attentes des destinataires. Autre indicateur très important, selon Vincent Fournout, directeur associé de Message Business, « le taux de réactivité qui est le ratio messages ouverts sur messages cliqués. Par exemple, peu d'ouvertures mais beaucoup de clics signifie que votre offre a eu beaucoup d'impact. Vous avez touché dans le mille mais il reste à améliorer l'objet du mail pour booster les ouvertures ». Côté négatif, vous devrez surveiller le taux de mails inactifs, le taux de désabonnement et la proportion de NPAI. Trop peu d'entreprises tiennent compte du taux de plaintes alors que c'est un facteur important. Sur les marchés BtoC, en moyenne, le taux de réception est de 91 %, le taux d'ouverture de 24 % et le taux de messages cliqués de 5 %. En BtoB, l'efficacité est généralement moindre avec un taux d'ouverture moyen de 15 %. Des chiffres à prendre avec précaution. Il est en effet difficile de comparer les taux pour des bases de taille très diverse. « Ce qu'il faut surtout mesurer, c'est l'évolution de ces taux dans le temps pour savoir si vos résultats s'améliorent ou pas », insiste Jean-Paul Lieux, directeur associé de Dolist. En analysant les performances de votre campagne, vous pourrez en effet concevoir des pistes d'amélioration puis jauger ensuite l'efficacité de ces changements sur la vague suivante. Il sera aussi possible de rebondir sur les résultats en utilisant d'autres canaux de communication. Par exemple, relancer par téléphone ou par courrier ceux qui ont cliqué dans le message sans pour autant réaliser l'achat ou répondu à l'offre.
Bruno Askenazi
http://entrepreneur.lesechos.fr/entreprise/developpement/dossiers/e_mailing_les_nouvelles_cles_du_succes/mesurer-la-performance-des-e-mails-un-passage-oblige-113298.php
[ 23/05/11 - 15H04 - Les Echos Entrepreneur ]
Pourcentage d’ouverture, taux de clics, désabonnements… autant d’indicateurs à surveiller constamment pour repérer vos lacunes et améliorer l’impact de vos campagnes.
« L'analyse des résultats est la clé du succès, insiste Diane Revillard, dirigeante de Di&mark. Cela permet d'améliorer l'impact de ses messages dans le temps. S'imaginer qu'une campagne suffira est une erreur ». Une fois vos e-mails envoyés, il faudra donc surveiller les réactions de vos destinataires. Les sociétés de routage vous fourniront les principaux indicateurs. Le pourcentage d'ouverture des mails et le taux de messages ayant fait l'objet de clics seront déterminants. Idéalement, il faudra repérer quel lien a été cliqué en priorité pour évaluer plus finement les attentes des destinataires. Autre indicateur très important, selon Vincent Fournout, directeur associé de Message Business, « le taux de réactivité qui est le ratio messages ouverts sur messages cliqués. Par exemple, peu d'ouvertures mais beaucoup de clics signifie que votre offre a eu beaucoup d'impact. Vous avez touché dans le mille mais il reste à améliorer l'objet du mail pour booster les ouvertures ». Côté négatif, vous devrez surveiller le taux de mails inactifs, le taux de désabonnement et la proportion de NPAI. Trop peu d'entreprises tiennent compte du taux de plaintes alors que c'est un facteur important. Sur les marchés BtoC, en moyenne, le taux de réception est de 91 %, le taux d'ouverture de 24 % et le taux de messages cliqués de 5 %. En BtoB, l'efficacité est généralement moindre avec un taux d'ouverture moyen de 15 %. Des chiffres à prendre avec précaution. Il est en effet difficile de comparer les taux pour des bases de taille très diverse. « Ce qu'il faut surtout mesurer, c'est l'évolution de ces taux dans le temps pour savoir si vos résultats s'améliorent ou pas », insiste Jean-Paul Lieux, directeur associé de Dolist. En analysant les performances de votre campagne, vous pourrez en effet concevoir des pistes d'amélioration puis jauger ensuite l'efficacité de ces changements sur la vague suivante. Il sera aussi possible de rebondir sur les résultats en utilisant d'autres canaux de communication. Par exemple, relancer par téléphone ou par courrier ceux qui ont cliqué dans le message sans pour autant réaliser l'achat ou répondu à l'offre.
Bruno Askenazi
http://entrepreneur.lesechos.fr/entreprise/developpement/dossiers/e_mailing_les_nouvelles_cles_du_succes/mesurer-la-performance-des-e-mails-un-passage-oblige-113298.php
Les huit règles d’or pour un e-mailing efficace
Les huit règles d’or pour un e-mailing efficace
[ 23/05/11 - 14H59 - Les Echos Entrepreneur ]
Dans un contexte de saturation de messages, rendre ses e-mails commerciaux efficients nécessite beaucoup de rigueur et de persévérance. E-mailing, mode d’emploi.
Constituez vous-même votre base d'adresses
Le meilleur moyen d'obtenir un fichier d'adresses fiables consistera à recueillir régulièrement de nouvelles adresses en mode Opt-In. Cela signifie que vos contacts ont préalablement donné leur accord pour recevoir des offres par e-mail. S'ils s'attendent à réceptionner vos messages, ils y seront plus réceptifs. Dans le cas contraire, il y a de bonnes chances pour que vos mails ne soient jamais ouverts ou atterrissent dans la corbeille. Méthode classique pour recruter des contacts: sur votre site, faîtes en sorte que l'on puisse s'inscrire facilement à votre newsletter. En BtoC, pensez à organiser un jeu concours. Si vous avez un magasin, proposez systématiquement aux clients ou simples visiteurs de laisser leur adresse mail pour profiter de promos ou d'invitations à des ventes privées.
Méfiez-vous des fichiers à louer
Pour gagner du temps, vous pouvez aussi louer ponctuellement un fichier d'adresses. Mais dans ce cas « prudence, conseille Jean-Paul Lieux, directeur associé de Dolist, entreprise spécialisée en e-mail marketing. Les bases à louer sont pléthoriques et de qualité très inégale. Quant à l'achat, il est à proscrire. La même base a été achetée plusieurs fois et les destinataires ont déjà été très sollicités. Le rendement sera très mauvais ».
Segmentez votre base de contacts
Parmi vos nombreux contacts, distinguez bien les prospects des clients. Et parmi ces derniers, les acheteurs réguliers de ceux restés inactifs depuis plusieurs mois. L'objectif est d'adresser des messages ciblés à chacune de ces catégories. Indispensable pour maximiser les retours de vos abonnés. L'envoi en masse du même mail à une base louée au petit bonheur la chance, ça ne marche plus ! Idéalement, essayez de segmenter vos contacts par typologie de consommateurs. Dès la collecte de l'adresse, remerciez votre nouveau contact puis envoyez-lui un petit questionnaire pour en savoir plus sur ce qu'il attend de vous : des infos, des prix, des ventes privées ? Cela vous aidera à concevoir des messages plus efficaces.
Nettoyez le fichier régulièrement
Enfin, n'hésitez pas à éliminer les adresses erronées (NPAI) qui encombrent inutilement votre fichier. « Attention, avec une base de mauvaise qualité comptant plus de 20 % de NPAI, votre fournisseur d'accès Internet risque de vous bloquer en mettant votre serveur sur liste noire », prévient Diane Revillard, dirigeante de Di&mark (marketing sur internet).
Soignez l'objet du message
C'est bien souvent l'objet du mail qui va déclencher son ouverture. « Faîtes court, maximum 40 signes et pas compliqué, conseille Vincent Fournout, directeur de Message Business, une plate-forme de routage pour PME. Par ailleurs, les objets trop orientés prix ou promos fonctionnent maintenant moins bien. Et surtout, faîtes en sorte que la promesse de l'objet soit tenu dans le message ». « N'hésitez pas à tester trois objets sur un nombre limité d'adresses avant de généraliser celui qui fonctionne le mieux au reste de la base, ajoute Jean-Paul Lieux (Dolist). Le taux d'ouverture peut varier de 20 à 30 % selon que la pertinence de l'objet ».
Equilibrez texte et image
Sur le contenu du mail, veillez au bon équilibre entre image et éditorial (50/50). Trop d'images et vous serez bloqués par les filtres anti-spams des fournisseurs d'accès. De même, pour passer ce barrage, optimisez le codage Html du message. Par exemple, les balises Alt et la dimension des images doivent être bien renseignées. Evitez aussi les mots « gratuit » ou « shopping ». En BtoB, privilégiez le texte : une info ou une analyse qui doit apporter de la valeur ajoutée à son destinataire. En BtoC, vous pouvez être plus créatif sur le plan graphique sans pour autant y consacrer un budget énorme. On peut très bien créer un gabarit qui va servir pour plusieurs campagnes. L'intérêt du message par rapport à la cible sera capital. D'après une récente enquête du Syndicat national de la communication directe (SNCD), le désintérêt pour les messages commerciaux provoque avant tout - à 40 % - l'envie de se désinscrire.Dernier conseil avant d'envoyer : testez le message sur les web mails (Gmail, Yahoo!, Hotmail…) et les différentes versions d'Outlook pour vérifier s'il s'affiche correctement dans tous les cas. En recevant un e-mail dont les images n'apparaissent pas, près des trois quarts des internautes l'efface ou l'ignore constamment ou presque (SNCD).
Choisissez le bon moment
Réfléchissez bien au timing de l'envoi. Le meilleur moment ? Celui où votre destinataire est censé être le plus réceptif. En la matière, il n'y a pas de règles absolues. Tout dépendra du profil de votre cible, grand public ou professionnelle. Méfiez vous tout de même des clichés. Les périodes de faible activité, l'été par exemple, ne sont pas forcément les moins favorables. Au contraire, vos prospects sont à ces moments creux peu sollicités, donc plus disponibles et votre mail aura moins de chance d'être noyé dans la masse. N'hésitez pas à faire régulièrement des essais, le choix du jour peut faire varier le taux d'ouverture de 20 %. « Idéalement, les newsletters doivent être envoyées à jour et à heure fixe, précise Vincent Fournout (Message Business). Tenir ces rendez-vous régulièrement facilitera la fidélisation ».
Imaginez des scénarios d'envoi
Pour une newsletter professionnelle, la fréquence attendue par la grande majorité des destinataires est au moins hebdomadaire. Si vous avez opté pour une périodicité aussi rapprochée, assurez-vous que le contenu soit à chaque fois pertinent. Mieux vaut ne rien envoyer du tout que d'adresser un message mal ficelé. Votre destinataire risque de vous en tenir rigueur et se désabonner. En BtoC, la moitié des internautes souhaitent recevoir à un rythme hebdomadaire diverses offres de marques et autres « bons plans », selon l'enquête du SNCD. Au-delà de six semaines sans message, le lien avec votre contact sera cassé. Enfin, l'envoi d'un message peut se produire automatiquement en fonction de scénarios préétablis. Aux clients commandant pour la première fois, adressez un mail de félicitation accompagné d'un code de réduction par exemple. Idem à la date anniversaire de vos abonnés. Imparable pour développer la fidélisation.
Bruno Askenazi
Sommaire de «E-mailing : les nouvelles clés du succès»
> E-mailing : les nouvelles clés du succès
> Les huit règles d’or pour un e-mailing efficace
> Mesurer la performance des e-mails, un passage obligé
> Comment Gerbeaud.com fidélise son audience
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[ 23/05/11 - 14H59 - Les Echos Entrepreneur ]
Dans un contexte de saturation de messages, rendre ses e-mails commerciaux efficients nécessite beaucoup de rigueur et de persévérance. E-mailing, mode d’emploi.
Constituez vous-même votre base d'adresses
Le meilleur moyen d'obtenir un fichier d'adresses fiables consistera à recueillir régulièrement de nouvelles adresses en mode Opt-In. Cela signifie que vos contacts ont préalablement donné leur accord pour recevoir des offres par e-mail. S'ils s'attendent à réceptionner vos messages, ils y seront plus réceptifs. Dans le cas contraire, il y a de bonnes chances pour que vos mails ne soient jamais ouverts ou atterrissent dans la corbeille. Méthode classique pour recruter des contacts: sur votre site, faîtes en sorte que l'on puisse s'inscrire facilement à votre newsletter. En BtoC, pensez à organiser un jeu concours. Si vous avez un magasin, proposez systématiquement aux clients ou simples visiteurs de laisser leur adresse mail pour profiter de promos ou d'invitations à des ventes privées.
Méfiez-vous des fichiers à louer
Pour gagner du temps, vous pouvez aussi louer ponctuellement un fichier d'adresses. Mais dans ce cas « prudence, conseille Jean-Paul Lieux, directeur associé de Dolist, entreprise spécialisée en e-mail marketing. Les bases à louer sont pléthoriques et de qualité très inégale. Quant à l'achat, il est à proscrire. La même base a été achetée plusieurs fois et les destinataires ont déjà été très sollicités. Le rendement sera très mauvais ».
Segmentez votre base de contacts
Parmi vos nombreux contacts, distinguez bien les prospects des clients. Et parmi ces derniers, les acheteurs réguliers de ceux restés inactifs depuis plusieurs mois. L'objectif est d'adresser des messages ciblés à chacune de ces catégories. Indispensable pour maximiser les retours de vos abonnés. L'envoi en masse du même mail à une base louée au petit bonheur la chance, ça ne marche plus ! Idéalement, essayez de segmenter vos contacts par typologie de consommateurs. Dès la collecte de l'adresse, remerciez votre nouveau contact puis envoyez-lui un petit questionnaire pour en savoir plus sur ce qu'il attend de vous : des infos, des prix, des ventes privées ? Cela vous aidera à concevoir des messages plus efficaces.
Nettoyez le fichier régulièrement
Enfin, n'hésitez pas à éliminer les adresses erronées (NPAI) qui encombrent inutilement votre fichier. « Attention, avec une base de mauvaise qualité comptant plus de 20 % de NPAI, votre fournisseur d'accès Internet risque de vous bloquer en mettant votre serveur sur liste noire », prévient Diane Revillard, dirigeante de Di&mark (marketing sur internet).
Soignez l'objet du message
C'est bien souvent l'objet du mail qui va déclencher son ouverture. « Faîtes court, maximum 40 signes et pas compliqué, conseille Vincent Fournout, directeur de Message Business, une plate-forme de routage pour PME. Par ailleurs, les objets trop orientés prix ou promos fonctionnent maintenant moins bien. Et surtout, faîtes en sorte que la promesse de l'objet soit tenu dans le message ». « N'hésitez pas à tester trois objets sur un nombre limité d'adresses avant de généraliser celui qui fonctionne le mieux au reste de la base, ajoute Jean-Paul Lieux (Dolist). Le taux d'ouverture peut varier de 20 à 30 % selon que la pertinence de l'objet ».
Equilibrez texte et image
Sur le contenu du mail, veillez au bon équilibre entre image et éditorial (50/50). Trop d'images et vous serez bloqués par les filtres anti-spams des fournisseurs d'accès. De même, pour passer ce barrage, optimisez le codage Html du message. Par exemple, les balises Alt et la dimension des images doivent être bien renseignées. Evitez aussi les mots « gratuit » ou « shopping ». En BtoB, privilégiez le texte : une info ou une analyse qui doit apporter de la valeur ajoutée à son destinataire. En BtoC, vous pouvez être plus créatif sur le plan graphique sans pour autant y consacrer un budget énorme. On peut très bien créer un gabarit qui va servir pour plusieurs campagnes. L'intérêt du message par rapport à la cible sera capital. D'après une récente enquête du Syndicat national de la communication directe (SNCD), le désintérêt pour les messages commerciaux provoque avant tout - à 40 % - l'envie de se désinscrire.Dernier conseil avant d'envoyer : testez le message sur les web mails (Gmail, Yahoo!, Hotmail…) et les différentes versions d'Outlook pour vérifier s'il s'affiche correctement dans tous les cas. En recevant un e-mail dont les images n'apparaissent pas, près des trois quarts des internautes l'efface ou l'ignore constamment ou presque (SNCD).
Choisissez le bon moment
Réfléchissez bien au timing de l'envoi. Le meilleur moment ? Celui où votre destinataire est censé être le plus réceptif. En la matière, il n'y a pas de règles absolues. Tout dépendra du profil de votre cible, grand public ou professionnelle. Méfiez vous tout de même des clichés. Les périodes de faible activité, l'été par exemple, ne sont pas forcément les moins favorables. Au contraire, vos prospects sont à ces moments creux peu sollicités, donc plus disponibles et votre mail aura moins de chance d'être noyé dans la masse. N'hésitez pas à faire régulièrement des essais, le choix du jour peut faire varier le taux d'ouverture de 20 %. « Idéalement, les newsletters doivent être envoyées à jour et à heure fixe, précise Vincent Fournout (Message Business). Tenir ces rendez-vous régulièrement facilitera la fidélisation ».
Imaginez des scénarios d'envoi
Pour une newsletter professionnelle, la fréquence attendue par la grande majorité des destinataires est au moins hebdomadaire. Si vous avez opté pour une périodicité aussi rapprochée, assurez-vous que le contenu soit à chaque fois pertinent. Mieux vaut ne rien envoyer du tout que d'adresser un message mal ficelé. Votre destinataire risque de vous en tenir rigueur et se désabonner. En BtoC, la moitié des internautes souhaitent recevoir à un rythme hebdomadaire diverses offres de marques et autres « bons plans », selon l'enquête du SNCD. Au-delà de six semaines sans message, le lien avec votre contact sera cassé. Enfin, l'envoi d'un message peut se produire automatiquement en fonction de scénarios préétablis. Aux clients commandant pour la première fois, adressez un mail de félicitation accompagné d'un code de réduction par exemple. Idem à la date anniversaire de vos abonnés. Imparable pour développer la fidélisation.
Bruno Askenazi
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> E-mailing : les nouvelles clés du succès
> Les huit règles d’or pour un e-mailing efficace
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