OVH continue de développer ses offres de « Cloud
Computing » et vient d'officialiser son service « Public Cloud »,
disponible depuis peu, qui remplace ses « miniCloud » et « devCloud » .
Celui-ci permet aux développeurs de disposer d'un nombre de machines
virtuellement infini, avec une facturation basée uniquement sur les
ressources effectivement consommées.
Pour fonctionner, vous devez commencer par choisir une « instance » : un terme sous lequel l'hébergeur regroupe une combinaison comprenant un ou plusieurs processeurs, de la mémoire vive ainsi que d'un espace de stockage non persistant. Notez que, comme son nom l'indique, ce dernier sera automatiquement effacé si vous archivez ou détruisez votre « instance ». Les données seront par contre conservées si vous ne faites que la redémarrer.
OVH propose également la location d'un espace de stockage persistant, et qui ne sera donc pas effacée si vous stoppez vos « instances ». Bien évidemment, il faudra le payer un supplément de 0.0006 € / Go et par heure, ce qui nous donne un peu plus de 5 € pour 1 Go sur une année.
Contrairement aux offres « Private Cloud » qui existent depuis déjà presque un an, vous n'avez pas à vous soucier des taches d'administrations : tout est directement prêt à l'emploi. Vous avez le choix entre quatre systèmes d'exploitation, mais d'autres devraient suivre rapidement :
Chaque « instance » peut être allumée, éteinte, clonée ou supprimée à volonté et indépendamment les unes des autres. De plus, vous êtes uniquement facturé à la durée d'utilisations et non pas en fonction du nombre de requêtes ou de la bande passante consommée. Une « instance » éteinte ne vous coûte absolument rien. Aucuns frais de résiliation ou autres ne sont ponctionnés par OVH.
Un service qui n'est donc pas sans rappeler ce que propose déjà Amazon avec EC2 ou Microsoft avec Azure. Une concurrence qui est la bienvenue par rapport aux mastodontes américains. Reste à voir si le français réussi à se démarquer dans la pratique.
Pour fonctionner, vous devez commencer par choisir une « instance » : un terme sous lequel l'hébergeur regroupe une combinaison comprenant un ou plusieurs processeurs, de la mémoire vive ainsi que d'un espace de stockage non persistant. Notez que, comme son nom l'indique, ce dernier sera automatiquement effacé si vous archivez ou détruisez votre « instance ». Les données seront par contre conservées si vous ne faites que la redémarrer.
OVH propose également la location d'un espace de stockage persistant, et qui ne sera donc pas effacée si vous stoppez vos « instances ». Bien évidemment, il faudra le payer un supplément de 0.0006 € / Go et par heure, ce qui nous donne un peu plus de 5 € pour 1 Go sur une année.
Contrairement aux offres « Private Cloud » qui existent depuis déjà presque un an, vous n'avez pas à vous soucier des taches d'administrations : tout est directement prêt à l'emploi. Vous avez le choix entre quatre systèmes d'exploitation, mais d'autres devraient suivre rapidement :
- Debian 5 64 bits
- Ubuntu 10.04 64 bits
- CentOS 5 64 bits
- Windows 2008 SP2 64 bits
Chaque « instance » peut être allumée, éteinte, clonée ou supprimée à volonté et indépendamment les unes des autres. De plus, vous êtes uniquement facturé à la durée d'utilisations et non pas en fonction du nombre de requêtes ou de la bande passante consommée. Une « instance » éteinte ne vous coûte absolument rien. Aucuns frais de résiliation ou autres ne sont ponctionnés par OVH.
Un service qui n'est donc pas sans rappeler ce que propose déjà Amazon avec EC2 ou Microsoft avec Azure. Une concurrence qui est la bienvenue par rapport aux mastodontes américains. Reste à voir si le français réussi à se démarquer dans la pratique.
Sébastien Gavois
le 20 décembre 2011 à 17:45
http://www.pcinpact.com/news/67784-ovh-private-cloud-instance-nuage.htm
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