A lire sur: http://www.gizmodo.fr/2013/10/26/meilleure-connexion-internet-monde-extraterrestre.html
Le record de vitesse de téléchargement
Internet vient d’être battu. Il est désormais de 622 Mb/s. Le plus
dingue, c’est que cette connexion ne se trouve pas sur Terre ! Et pour
titiller votre curiosité, je peux aussi vous dire que cette connexion à
quelque chose à voir avec cette grenouille de l’espace ! Vous y êtes ?
Une des chouettes contreparties quand on travaille à la NASA, c’est de pouvoir tirer en direction de la Lune avec un laser. Ils ne se sont pas gênés quand il y avait le programme Apollo ainsi que pour la nuit internationale d’observation de la Lune en 2010. Et le dernier tir laser est venu des ingénieurs de mission du LADEE, (Lunar Atmosphere and Dust Environment Explorer, une sonde qui va analyser la poussière et l’atmosphère lunaire).
Si vous vous souvenez, lors du lancement du LADEE, une gentille grenouille kamikaze a joué à Icare en voulant trop s’approcher d’une fusée Minotaur V. Le LADEE entrait dans l’histoire avant même d’être dans l’espace.
Ainsi, le 17 octobre, des scientifiques du Goddard Space Flight Center ont lancé leurs premiers tests de communications. Ils ont transmis de données à 385000 km de distance entre leur station terrestre et le LADEE à une vitesse de 622 Mbits/s. Ainsi la connexion Internet la plus rapide du monde n’est pas de ce monde, elle se trouve enfermée dans un rayon laser entre la Terre et la Lune.
Ainsi, 3 stations terrestres suivent en permanence le déplacement de la sonde et scanne sont chemin orbital autour de la Lune. Le LLCD (Lunar Laser Communication Demonstrator) du MIT se trouve au sommet du LADEE et il s’active quand il capte le signal pour renvoyer son propre rayon. Ce n’est pas simple de se trouver dans le noir.
C’est le début d’une nouvelle ère pour la communication spatiale haut-débit. Pour l’instant, dans la Station spatiale internationale, l’équipage a accès à une connexion de 10Mbits/s en donwload et de 3 Mbits/s en upload. Et forcément, il nous faudra une meilleure connexion si on veut aller au-delà de l’orbite terrestre basse.
Le plus amusant, c’est que j’écrivais cet article en 2011 et qu’aujourd’hui, nous avons la suite. C’est passionnant de voir, petit à petit, toutes les avancées qui nous permettront un jour d’explorer l’univers, au-delà de la Lune.
Une des chouettes contreparties quand on travaille à la NASA, c’est de pouvoir tirer en direction de la Lune avec un laser. Ils ne se sont pas gênés quand il y avait le programme Apollo ainsi que pour la nuit internationale d’observation de la Lune en 2010. Et le dernier tir laser est venu des ingénieurs de mission du LADEE, (Lunar Atmosphere and Dust Environment Explorer, une sonde qui va analyser la poussière et l’atmosphère lunaire).
Si vous vous souvenez, lors du lancement du LADEE, une gentille grenouille kamikaze a joué à Icare en voulant trop s’approcher d’une fusée Minotaur V. Le LADEE entrait dans l’histoire avant même d’être dans l’espace.
Ainsi, le 17 octobre, des scientifiques du Goddard Space Flight Center ont lancé leurs premiers tests de communications. Ils ont transmis de données à 385000 km de distance entre leur station terrestre et le LADEE à une vitesse de 622 Mbits/s. Ainsi la connexion Internet la plus rapide du monde n’est pas de ce monde, elle se trouve enfermée dans un rayon laser entre la Terre et la Lune.
Ainsi, 3 stations terrestres suivent en permanence le déplacement de la sonde et scanne sont chemin orbital autour de la Lune. Le LLCD (Lunar Laser Communication Demonstrator) du MIT se trouve au sommet du LADEE et il s’active quand il capte le signal pour renvoyer son propre rayon. Ce n’est pas simple de se trouver dans le noir.
C’est le début d’une nouvelle ère pour la communication spatiale haut-débit. Pour l’instant, dans la Station spatiale internationale, l’équipage a accès à une connexion de 10Mbits/s en donwload et de 3 Mbits/s en upload. Et forcément, il nous faudra une meilleure connexion si on veut aller au-delà de l’orbite terrestre basse.
Le plus amusant, c’est que j’écrivais cet article en 2011 et qu’aujourd’hui, nous avons la suite. C’est passionnant de voir, petit à petit, toutes les avancées qui nous permettront un jour d’explorer l’univers, au-delà de la Lune.
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