A lire sur: http://www.lemagit.fr/article/securite-big-data-analytics/11570/1/l-analytique-big-data-peut-reduire-les-cyber-risques-selon-isf/?utm_source=essentielIT&utm_medium=email&utm_content=new&utm_campaign=20120809&xtor=ES-6
Le 07 août 2012 (09:36) - par Searchdatamanagement.com
Nos partenaires de SearchDatamanagement se sont arrêtés sur une étude
de Information Security Forum qui indique que les entreprises
sous-estiment la puissance de l’analyse des Big Data dans la sécurité de
l’information.
L’analytique Big Data a la capacité de réduire le nombre de risques
liés aux cyber-attaques et d’augmenter l’agilité métier, affirme un
rapport du l’Information Security Forum (ISF). Selon une étude baptisée
Data Analytics for Information Security, l’importance du Big Data et de
l’analytique n’a jamais été aussi grande, poussée notamment par un
volume de données sans cesse en progression qui atteint quelque 2,5
millions de teraoctets par jour.
Les chercheurs de l'ISF estiment que la capacité à analyser les larges volumes de données hétérogènes et complexes liées aux cyber-menaces, aux risques et aux incidents peut aider les dirigeants d’entreprise ainsi que les décideurs à mieux comprendre et gérer le précieux équilibre risque / récompense dans le cyberespace.
Une telle visibilité, affirment-ils, peut contribuer à mieux sécuriser l’information, à gagner en agilité structurelle et à améliorer la cyber résilience. Toutefois, admettent ces mêmes chercheurs, en dépit d’un large potentiel, l’analytique Big Data dans la sécurité de l’information est encore immature et sous-exploité.
Seulement la moitié des entreprises interrogées par l’ISF utilisent quelque forme d’analytique pour la prévention de la fraude, ou l’analyse du trafic réseau alors que moins de 20% l’exploitent pour identifier des informations au coeur des préoccupations clés, anticiper les pannes matérielles, s’assurer de l’intégrité des données ou vérifier la classification des données. «Peu d’entreprises reconnaissent les gains en matière de sécurité de l’information. Pourtant, certaines d’entre elles utilisent l’analytique pour soutenir leurs activités coeur de métier», affirme Michael de Crespigny, patron de l’ISF. «Avec des menaces toujours plus nombreuses, auxquelles s’ajoutent la prédominance des menaces combinées, les entreprises se doivent de passer d’un stade retrospectif et réactif à un stade proactif et préventif», ajoute-t-il.
Plutôt que de se noyer dans les données, l’ISF pense que les fonctions de sécurité de l’information peuvent profiter d’une vue d’ensemble et complète des risques, à la fois interne et externe, et s’inspirer également des usages existants de l’analytique, comme la détection de fraude, la lutte contre le blanchiment d’argent dans les services financiers et l’analyse des données clients dans le retail.
«Nous admettons certes qu’il existe certains enjeux inhérents à l’analyse des Big Data - le volume des données et la nécessité de disposer d’importantes capacités de traitement informatiques et d’outils spécialisés -. De plus, la valeur est souvent enfouie dans une somme importante de résultats. Mais nous croyons aussi que cela est gérable et qu’il existe des outils, des services et des solutions pour répondre à ces enjeux et permettre aux entreprises de capter ces résultats très rapidement», conclut De Crespigny.
Traduit de l'anglais par la rédaction
Les chercheurs de l'ISF estiment que la capacité à analyser les larges volumes de données hétérogènes et complexes liées aux cyber-menaces, aux risques et aux incidents peut aider les dirigeants d’entreprise ainsi que les décideurs à mieux comprendre et gérer le précieux équilibre risque / récompense dans le cyberespace.
Une telle visibilité, affirment-ils, peut contribuer à mieux sécuriser l’information, à gagner en agilité structurelle et à améliorer la cyber résilience. Toutefois, admettent ces mêmes chercheurs, en dépit d’un large potentiel, l’analytique Big Data dans la sécurité de l’information est encore immature et sous-exploité.
Seulement la moitié des entreprises interrogées par l’ISF utilisent quelque forme d’analytique pour la prévention de la fraude, ou l’analyse du trafic réseau alors que moins de 20% l’exploitent pour identifier des informations au coeur des préoccupations clés, anticiper les pannes matérielles, s’assurer de l’intégrité des données ou vérifier la classification des données. «Peu d’entreprises reconnaissent les gains en matière de sécurité de l’information. Pourtant, certaines d’entre elles utilisent l’analytique pour soutenir leurs activités coeur de métier», affirme Michael de Crespigny, patron de l’ISF. «Avec des menaces toujours plus nombreuses, auxquelles s’ajoutent la prédominance des menaces combinées, les entreprises se doivent de passer d’un stade retrospectif et réactif à un stade proactif et préventif», ajoute-t-il.
Plutôt que de se noyer dans les données, l’ISF pense que les fonctions de sécurité de l’information peuvent profiter d’une vue d’ensemble et complète des risques, à la fois interne et externe, et s’inspirer également des usages existants de l’analytique, comme la détection de fraude, la lutte contre le blanchiment d’argent dans les services financiers et l’analyse des données clients dans le retail.
«Nous admettons certes qu’il existe certains enjeux inhérents à l’analyse des Big Data - le volume des données et la nécessité de disposer d’importantes capacités de traitement informatiques et d’outils spécialisés -. De plus, la valeur est souvent enfouie dans une somme importante de résultats. Mais nous croyons aussi que cela est gérable et qu’il existe des outils, des services et des solutions pour répondre à ces enjeux et permettre aux entreprises de capter ces résultats très rapidement», conclut De Crespigny.
Traduit de l'anglais par la rédaction
Chiffres -
Android est l'OS mobile le plus diffusé au 2e trimestre selon
IDC. En volumes cumulés, Android et iOS raflent 85% des parts du marché
des smartphones. Windows Phone a fortement progressé et pourrait bientôt
détrôner BlackBerry au rang de troisième plateforme du marché.
Business
- La carte du métro parisien ainsi que de nombreuses autres
informations deviennent ainsi libres de droit. Un revirement complet
pour le gestionnaire, qui n’a jamais vu l’exploitation de ses données
d’un bon oeil.
L'accès
aux sites et applications marchands par Smartphone a doublé l'année
dernière dans l'Europe des 5. Tel est le constat dressé par comScore qui
vient de publier un bilan des comportements d’achats sur mobile
(m-commerce) en France, Allemagne, Italie, Espagne et Royaume-Uni.
L'étude indique qu'un utilisateur de Smartphone sur 6 accéde à des sites
de vente en ligne depuis son téléphone. Par ailleurs, 1 utilisateur de
Smartphone sur 8 dans l'Europe des 5 a réalisé un achat avec son mobile.






Alors
que Apple et Samsung s'affrontent devant la justice en Californie, le
géant coréen veut éclipser l'annonce prochaine de l'iPhone via son
nouveau modèle de smartphone Galaxy Note.
Business
- Le nouveau terminal du canadien apporte donc le très haut débit
mobile (pour les nord-américains) et un processeur plus puissant.
Samsung
Electronics vient d'annoncer un bénéfice opérationnel record de l'ordre
de 5,9 milliards de dollars (4,8 milliards d'euros) pour le deuxième
trimestre de l'année. Soit une hausse de 79%, par rapport à la période
correspondante de 2011, et de 15% par rapport au précédent record de 5
850 milliards de wons établi au cours du premier trimestre. On comprend
mieux le courroux d'Apple qui voit d'un mauvais oeil le succès
grandissant de son principal fournisseur en composants au point de lui
réclamer la somme de 2,5 milliards de dollars (2 milliards d’euros),
soit 30 dollars par chaque terminal Samsung vendu sur une série d'une
douzaine de modèles. Pour mémoire, Apple a réalisé 8,8 milliards de
dollars de bénéfice au cours du trimestre écoulé.
Réglementation -
L'Arcep, le régulateur des télécoms, vient de lancer une
consultation publique sur la question. La réutilisation de ces
fréquences permettrait d'accélérer le déploiement du très haut débit
mobile.



